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  1. Aïe huit ans après ? Il pourrait être caporal-chef ..................... BTX
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  2. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/dacian-fall-en-photos-solidarite-strategique-et-casse-tete-logistico-administratif/ Dacian Fall en photos. Solidarité stratégique et casse-tête logistico-administratif Des VBCI avant un franchissement via un PFM): les blindés doivent franchir la rivière Mures à Santimbru, en Roumanie (Photo by Daniel MIHAILESCU / AFP) Quand on reparle de Dacian Fall mais d’abord en photos (crédit AFP)! Des militaires français de la 7e BB lors de Dacian Fall. (Photo by Daniel MIHAILESCU / AFP) Du 20 octobre au 13 novembre, une brigade multinationale formée pour l’occasion et armée par la France avec des contingents belge, luxembourgeois et espagnol, multiplie les manoeuvres, les tirs réels d’artillerie et de chars avec les unités roumaines pour valider la capacité de l’armée française à rapidement monter en puissance et se déployer en cas de crise. Un renforcement rapide que Dacian Fall vise à valider auprès de l’Alliance atlantique. « On doit démontrer notre capacité à s’intégrer dans une division otanienne, tant au niveau des procédures que de la diffusion des ordres », explique le général Maxime Do Tran, commandant la 7e brigade blindée déployée pour Dacian Fall. Des PVP français escortent un des nombreux convois français lors du déploiement des unités de la 7e BB. (Photo by Daniel MIHAILESCU / AFP) Pour convoyer en Roumanie les renforts français (1 300 militaires de la 7e brigade blindée et leurs chars Leclerc, leurs blindés VBCI, les canons Caesar et les engins du génie pour franchir les cours d’eau, huit hélicoptères), tous les modes de transport ont été mis à contribution. Un cargo roulier a transporté tout le matériel du détachement logistique, le GT Dragon, jusqu’au port grec d’Alexandroupoli. Celui-ci a ensuite pris la route en 12 convois qui ont traversé la Grèce, la Bulgarie et la Roumanie pour arriver sur le plateau de Transylvanie, au pied des Carpates. « Schengen militaire » Pourtant, si l’objectif est de se déployer rapidement en cas de conflit, « pour tous les moyens qui transitent il y a des délais de déclaration assez importants, si bien qu’on a dû figer l’état de la force à déployer fin août pour un exercice qui commence fin octobre », explique le lieutenant-colonel Alexis, numéro deux du GT Dragon. Chaque plaque d’immatriculation de véhicule doit être précisée dans la documentation, de même que les noms des personnels dans le convoi, qui doit constamment être escorté par la police locale. Une procédure répétée pour chaque passage de frontière. « On est confronté à des contraintes de temps de paix, que l’on peut comprendre », philosophe le général Maxime Do Tran, commandant la 7e brigade blindée (ci-dessous). Des mécanismes de l’Otan existent pour « baisser les barrières administratives et douanières » en cas de conflit, assure le lieutenant-colonel Alexis. Ces procédures se compteraient alors en « quelques semaines ». Mais la libre circulation des équipements à travers un « Schengen militaire » n’existe pas encore, alors que pour les pays en première ligne, la réactivité des alliés éloignés de la ligne de front est clé. Des blindés français sur l’un des champs de manoeuvres de Roumanie, le 3 novembre (Photo by Daniel MIHAILESCU / AFP) Corridors de mobilité L’identification des infrastructures (ponts, routes, voies ferrés) adaptées au passage de lourds et volumineux équipements, délaissée après la fin de la Guerre froide, est en revanche elle « bien meilleure qu’avant », selon lui. Pour faire sauter les verrous, la solution réside dans l’instauration de « corridors de mobilité » par lesquels les itinéraires sont clairement identifiés, les procédures administratives allégées. Les Pays-Bas, l’Allemagne et la Pologne sont en train d’en établir un depuis les ports de la mer du Nord jusqu’à la frontière bélarusse. « L’harmonisation est en cours mais ça prend du temps », se désole le lieutenant-colonel Alexis. L’Union européenne prévoit d’adopter d’ici la fin de l’année un « paquet sur la mobilité militaire » avec un « objectif de cinq jours, voire trois jours ouvrés » pour obtenir d’un pays de transit l’autorisation de passage, selon le général Fabrice Feola (ci-dessous), commandant le Centre de soutien des opérations et des acheminements (CSOA).
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  3. Une compagnie de drones antichars au sein d’un régiment d’infanterie — c’est excellent, formidable. Tout cela sonne assez optimiste, mais derrière les déclarations tapageuses se cache une incompréhension totale du concept même du FPV. Le principe du FPV qui domine le champ de bataille en Ukraine, c’est une munition bon marché et massive, c’est une adaptation permanente, ce sont des tetes de combat extrêmement variées — charge creuse, charge creuse tandem, brisante, à fragmentation, incendiaire, thermobarique, combinée... Le choix de charge pour un FPV (et la fréquence de commande ou d’utilisation de la bobine de câble à fibre optique) est entre les mains du pilote du drone, qui les change pour obtenir un maximum d’efficacité. Utiliser les soi-disant « munition téléopérée de courte portée Damoclès » en quantités microscopiques n’a rien à voir avec le progrès ni avec l’efficacité. Au fait, combien elles coûtent ? Quelle ogive y est installée, quelle efficacité pour 500 grammes contre l’infanterie et contre les véhicules légers ? Et où est la capacité « antichar » ? Et au fait, combien d’explosif peut-on loger dans une tete militaire de 500 grammes ? Ils ont accroché au drone une grenade à main , ces « inventeurs », ces charlatans ! Tout cela, mes chers amis, n’est qu’une imitation d’activité, rien de plus. Si l’armée française était au minimum intéressée par la modernisation et l’utilisation du FPV, la première étape serait de créer une tete militaire modulaire et variable, et d’utiliser une base (peu couteuse) FPV bon marché pour la livrer jusqu’à l’ennemi. Simple, peu coûteux, mortel ! À la place, nos cheres généraux ont inventé une sorte de « munition téléopérée » et la présentent sans honte comme une technologie révolutionnaire. Rien de nouveau sous le soleil. "Avaritia et ignavia rem publicam perdiderunt." Sallustius
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  4. https://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2025/11/un-militaire-meurt-en-guyane-lors-dune.html 21h après sa disparition lors de la traversée d'un cours d'eau, le corps du caporal-chef Jimmy Gosselin vient d'être retrouvé en Guyane. Le jeune soldat du 7e bataillon de chasseurs alpins (BCA) participait à une mission de lutte contre l'orpaillage clandestin. C'est lors d'une traversée en eaux vives pour atteindre un site illégal que le militaire a été emporté par le courant. Au cours de la traversée, le caporal Jimmy Gosselin a disparu. Les réactions immédiates de la patrouille n’ont malheureusement pas permis de le localiser. Les forces armées en Guyane ont rapidement entrepris des recherches avec des moyens terrestres, fluviaux et aériens. Le corps a été retrouvé sans vie après 21 heures de fouilles. Une enquête judiciaire est ouverte pour déterminer les circonstances de l’évènement. Le caporal-chef Jimmy Gosselin était déployé depuis le 25 septembre 2025 pour une durée de 4 mois au sein du 9e Régiment d’infanterie de marine (9e RIMa) stationné à Cayenne (973). More Majorum
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