Sen

Sinon, toujours personne pour le rmed?

Bonne chance pour ton incorpo ! Je ne rentre pas dans ce régiment mais je te souhaite du courage !

Ah c'est cool ! Tu as demandé quel spé et quel régiment ?

Tu ne peux pas intégrer l'armée ?? merci beaucoup !

Ahhh, bonne chance à toi alors !

Tu y vas ?

Régiment médical de La Valbonne

Bonsoir, y en a qui font leur incorpo le 4 avril au RMED ??

Contrairement à la france, au us les anabolisant c'est autorisé pas en France. Et je ne cherche pas à me doper. Et non, si j'arrête mon traitement mes hormones féminines reprennent leur droits. Généralement les médecins veulent qu'on fasse une hysté parce que ça peut causer des douleurs au niveau des ovaires et puis 'castration' pour pas que nous être contre-nature ont ait le malheur de faire naitre des enfants. Tout les hommes ne sont pas des ours, c'est pareil pour les transgenre il y en a beaucoup qui sont imberbe et qui par ailleurs n'auront jamais de barbe. En fait on vit juste une seconde puberté mais du sexe qu'on veut vraiment. Oui c'est intramusculaire, sur les cuisses ou les fesses. Effectivement c'est mieux de changé ! Mais en gros, pour mon cas j'aurais besoin de 250ml d'Androtardyl, c'est la testosterone la moins forte. Donc je n'aurais pas non plus une force surhumaine, juste un développement normal au niveau masculin.

Salut ! Alors, oui c'est un traitement à vie j'en suis conscient, je suis aussi très bien renseigner sur les hormones que je vais prendre. Je ne vais pas 'détruire ma production naturelle d'hormones' la testostérone que je vais injecter aura pour but de ma masculinisé et donc va déposer un espèce de voile blanc sur mes ovaires qui va potentiellement me retirer mes fonctions reproductrices, donc je ne pourrais peut-être pas avoir d'enfant si je decide d'arrêter le traitement. Mais même si j'arrête le traitement, si je ne me fais pas l'hysterectomie (retirer ovaires/uterus tout le blabla) mes hormones féminines vont reprendre le dessus, seul les poils, la voix et la pomme d'Adam resterons. Je prends des hormones masculines et non des anabolisants/stéroides, certes c'est à peu près la même chose. Mais dans mon cas ça n'a rien à voir, je ne prends pas ça pour devenir un boeuf mais tout simplement physiquement un homme. L'agressivité n'est pas visible chez tout le monde au contraire beaucoup de transgenre homme deviennent moins agressif en prenant leurs doses d'Androtardyl. Les remarques clairement, je m'en fou un peu parce que dans tout les cas je pense que j'en aurais eu. ahah Et comme dit précédemment je ne prends pas d'anabolisant, donc non je n'en voudrais pas plus vu que je suis suivi par un endocrinologue qui lui seul peu ajouter ou réduire ma dose qui est une dose normal (c'est une dose qu'on donne à des hommes castré) et à un certains moment la dose se réduit.

Le suivi psy est obligatoire que pour avoir les hormones ainsi que les différentes opérations, le psy est juste la pour dire que ce n'est pas une maladie et qu'il atteste que le patient est bien ce qu'il dit être (même si je pense que personne n'a a dire quoi que ce soit sur ça) Le patient n'est donc pas obliger de revoir son psy, ou un autre psy si il le désire. Dans le cas contraire, le patient ne voit pas son psy toutes les semaines, ça peut arriver qu'il le voit une fois par mois voir tout les deux mois.

Justement, je me doute que je devrais demander à ma visite médicale mais sachant que les hormones devraient arriver sous peu, j'aurais aimer savoir si je peux les prendre ou dois-je attendre. Et disons que le médecin-chef au CSO n'avait pas franchement le temps pour des questions, plus ça allait vite mieux c'était pour lui. En tout cas, merci de votre réponse.

Alors bonjour à tous, Je suis désolé si ce n'est pas la place adéquate pour poser ce genre de question mais je ne sais pas vraiment où je peux la poser, donc voilà je m'explique. Mon dossier est récemment passer en commission et pour ma plus grande joie j'ai été accepté en tant que brancardier-secouriste, seulement voilà un problème s'offre à moi. Aux yeux de la société je suis une fille, mais pour moi ce n'est pas le cas. Je m'explique, j'ai ce qu'on appelle une dysphorie du genre ou plus simplement appeler Transgenre. Je suis donc à mes yeux et au fond de moi même un garçon né dans le mauvais corps, bien entendu tous mes proches sont au courant ma famille/amis tout ça, tout se passe très bien avec eux, là n'est pas le problème. J'ai passé mes tests dans ma situation actuelle qui est fille, mes papiers sont filles tout et fille, mon physique l'est encore. En fait, un transgenre doit voir OBLIGATOIREMENT un psy pendant quelques temps (2/3rdv dans mon cas) qui attestera que ce n'est pas une maladie (ce que mon psy pense) pour ensuite voir un endocrinologue (1/2rdv ça dépend de l'endoc) qui lui délivrera une ordonnance pour que le patient dit Transgenre puisse commencer à prendre des hormones masculine (Testosterone, Androtardyl pour les Français.) Arrivant à mon terme avec mon psy, qui ne me reste plus qu'à récupérer mon attestation puis mon ordonnance c'est-à-dire que d'ici debut-mars voir mi-mars j'aurais le droit aux hormones masculines. Ma question arrives donc ici, est-ce possible que l'armée me laisse prendre ces fameuses hormones ? Ou au contraire je serais contraint à abandonner ça pendant 2 ans (le temps de mon contrat) ? Sachant que le temps que je suis dans l'armée je ne compte pas faire d'opération (type mastectomie/hystérectomie) ni même changé mon état-civil (c'est-à-dire changé mon F en M aux yeux de l'Etat) Et si je viens à ne pas leur dire, pour mes hormones, est-ce que je risques d'avoir des problèmes qu'ils pensent que je me drogue/dope ? Sachant que même si je prends mes hormones, au niveau de mes test au CSO que j'ai passé en tant que fille ça ne serait pas mentir vu que je garde mon Etat-Civil, juste mon physique qui deviendra bcp plus masculin (mue/pousse de poil/carrure qui s'élargit) Merci de vos réponses !

Très bien, je remet mon post là-bas. Merci de vos réponses !

D'accord, merci de ta réponse. J'suis censé mettre ça où ? J'le mettrais là-bas comme ça pas de soucis.