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Bud

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Tout ce qui a été posté par Bud

  1. Oui, je suis entièrement d'accord avec toi Stvn. Je lui ai juste donné de grandes idées qui sont du bon sens.
  2. On peut en discuter en MP si tu le souhaites
  3. https://www.6play.fr/enquete-exclusive-p_831/forces-speciales-la-guerre-ne-s-arrete-jamais-c_12790805 Forces spéciales : la guerre ne s'arrête jamais Le 13e Régiment des Dragons Parachutiste est une unité de Forces Spéciales françaises unique en son genre. C'est la seule unité militaire dans le monde à être dédiée exclusivement au renseignement et à intervenir sur les terrains les plus sensibles, partout où la France est impliquée. Discrets, souvent invisibles, « les hommes du 13 » - 700 au total, tous parachutistes -s'infiltrent en territoire ennemi pour observer, analyser et restituer des informations souvent cruciales. Ils sont formés pour travailler dans les conditions les plus extrêmes, aussi bien dans le froid glacial que dans la fournaise du désert. « Les hommes du 13 » ont pu préparer des opérations comme la traque des criminels de guerre de l'ex-Yougoslavie, la localisation de chefs de guerre taliban en Afghanistan ou, plus récemment, la neutralisation des groupes armés terroristes au Sahel et au Levant. Mais pour intégrer ces unités d'élite, le parcours est long et difficile. Pour la première fois, une équipe de télévision a été autorisée à filmer au quotidien, et dans la durée, le 13e Régiment de Dragons Parachutistes. L'excellence est le maître-mot, répété sans cesse par les instructeurs comme Georges, 25 ans d'actions de renseignement au sein de l'unité. Mais avant d'intégrer le « 13 », ces soldats doivent affronter une des sélections les plus dures au monde. Les stagiaires présélectionnés doivent faire preuve d'un moral et d'un physique à toute épreuve s'ils veulent appartenir à l'élite du renseignement militaire. Malgré leur détermination, beaucoup n'iront pas jusqu'au bout.
  4. Il me semble que ton profil SIGYCOP, ici le Y pour les yeux peut changer. Du fait d'une opération, tu pourras "seulement" être Y2 au maximum mais qui peut suffire pour être apte FS.
  5. https://www.la-croix.com/France/A-lentrainement-forces-speciales-francaises-2020-10-17-1201119960 Reportage Au cours d’un exercice annuel de trois semaines, les forces spéciales de l’armée de terre ont multiplié les opérations de préparation à une guerre de haute intensité. Ces soldats d’élite s’exercent dans des conditions similaires à des théâtres extérieurs, selon différents scénarios. Un rouge-gorge s’échappe au ras du sol. Au creux d’un talus, entre les branchages, sur un épais tapis de feuilles de chêne, la bâche de camouflage se fond dans l’environnement de la forêt. Dissimulé de la tête aux pieds, dans une combinaison d’un même ton sur ton de vert, marron et noir, son occupant est enfoui, invisible. Depuis quarante-huit heures, sous une pluie continue, le sergent-chef Alexis, membre du 13e régiment de dragons parachutistes (13e RDP), observe et écoute, sans bouger, les mouvements et les bruits. Il n’a dormi qu’une demi-heure. Il pourrait rester une dizaine de jours si la mission l’exigeait, avec l’eau, les rations et les munitions nécessaires. Équipé de jumelles de vision nocturne, d’une radio, d’un ordinateur capable de résister à la pluie de la Creuse comme à la poussière du désert, armé d’un pistolet semi-automatique et d’une mitrailleuse, il a appris à être furtif. « On a une mission hors du commun, au plus près de l’ennemi. Notre but, c’est de mettre un dispositif de surveillance itinérant, avec une cellule qui bouge discrètement, pour pouvoir faire des prises de vues », explique ce parachutiste rodé au largage à très grande hauteur. Il est déjà parti sept fois en opérations, principalement au Sahel. Opération de renseignements Ce jour-là, au-dessus du lac de Bort-les-Orgues (Corrèze), il s’est infiltré de nuit, pour une opération de renseignements sur « la possible présence d’une personnalité d’intérêt », le chef d’une cellule terroriste. En réalité, le jeune sous-officier participe à l’exercice annuel « Gorgones », réunissant les unités de forces spéciales de l’armée de terre : le 1er régiment de parachutistes d’infanterie de marine (1er RPIMa), héritier des SAS de la France libre, spécialisé dans le contre-terrorisme et la libération d’otages ; le 13e RDP, expert du renseignement ; et le 4e régiment d’hélicoptères des forces spéciales (4e RHFS), maître en aérocombat. La compagnie de commandement et de transmissions des forces spéciales (CCT FS) et un groupe d’appui composé d’experts, analystes d’images, médecins, démineurs, conseillers en risque nucléaire, radiologique, biologique et chimique (NRBC) les accompagnent, ainsi qu’un groupe de forces spéciales belges et des « bérets verts » américains. « On essaie de mixer le plus possible les unités d’action. Cela permet de travailler entre alliés », souligne le colonel Vincent, chef d’état-major du commandement des forces spéciales terre. Un scénario « ukrainien » Dans un rayon de 120 à 150 kilomètres autour du camp de La Courtine (Creuse), cette force de 400 militaires s’entraîne dans des conditions similaires à celles des théâtres extérieurs. Le scénario est celui d’un conflit « un peu ukrainien », expliquent les officiers. « De type Donbass ou Crimée », « avec un ennemi qui a les mêmes forces que nous, si ce n’est plus, et avec des” petits hommes verts” », surnom donné par les Ukrainiens aux soldats russes infiltrés. « Le thème est celui du durcissement des engagements. L’environnement est de plus en plus disputé », affirme le général Bruno Baratz, commandant des forces spéciales terre. Le scénario colle à la vision stratégique du chef d’état-major de l’armée de terre, le général Thierry Burkhard, pour qui il faut « réapprendre la grammaire de la guerre de haute intensité ». Cela signifie que l’ennemi pourrait ne plus être seulement asymétrique, comme les groupes terroristes au Mali, mais aussi symétrique, comme l’armée conventionnelle d’une puissance, capable de contester la supériorité aérienne française ou de mener des actions dans « les champs immatériels » par des cyberattaques ou une guerre informationnelle. Se préparer aux nouvelles menaces Le poste de commandement déployé pour l’exercice « Gorgones » se prépare à ces nouvelles menaces. « Un gros effort a été mis sur la sécurité et la protection des systèmes d’information. On a joué une prise d’otages avec une limitation des moyens du PC, qui l’a obligé à mettre davantage de moyens humains sur le terrain », précise le colonel Vincent. Sous la tente du PC, plusieurs écrans permettent de suivre les opérations de manière instantanée et permanente. De petits points bleus géolocalisent la position des équipiers de recherche en phase de surveillance. Sous une tente voisine, une dizaine de jeunes analystes et géographes interprètent les prises de vues aériennes. Ce sont eux qui ont réceptionné les rapports envoyés, par satellite ou ondes UHF (ultra-haute fréquence), par le sergent-chef Alexis du 13e RDP. Sur leurs écrans, les enquêteurs cherchent des indices et orientent leurs capteurs, radar ou drone, pour prospecter davantage. « C’est le réacteur de la task force, un endroit où on travaille sept jours sur sept, et vingt-quatre heures sur vingt-quatre, pour récolter le renseignement », dit le commandant Mathieu. Enchaînement d’opérations Sur le terrain, les soldats des forces spéciales enchaînent les opérations dans différentes situations : libération d’otages sur le terrain de rugby de Brive (Corrèze) ; action en milieu urbain dans un collège désaffecté de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), avec la capture d’un capitaine ; ou prise d’otages de masse, avec une contamination NRBC, dans un train près de Vichy (Allier). Ils se préparent à intervenir dans tous les milieux, hôtels ou centres commerciaux, y compris sur le territoire français si le président de la République le décidait. Âgés de 33 ans en moyenne, ces militaires formés longuement, éprouvent leurs techniques d’infiltration et testent de nouvelles procédures tactiques et de nouveaux matériels. « On découvre de nouveaux modes opératoires, explique le capitaine Pierre, membre du 1er RPIMa. L’objectif est de se préparer au combat face à une armée étatique ». Chef d’un groupe d’une centaine de commandos « aux gros caractères », il décrit l’excellence de ces troupes d’élite : « L’ouverture d’esprit, l’adaptabilité, l’autonomie. »« Ce sont les seules unités capables de rivaliser avec les forces spéciales américaines sur un spectre large d’opérations », estime-t-il. Un aumonier en treillis Parmi ces caractères d’acier se dresse une figure singulière et attachante. Le « Padre » des forces spéciales terre, le père Étienne, participe lui aussi à l’exercice, de la messe à 7 h 30 aux séances de sport et de saut en parachute. Il est un capteur du moral de la troupe. « Je suis un aumônier en treillis et non armé. Parce que je partage leur quotidien, ils viennent chercher un dialogue éclairant, qui ne soit pas jugeant. J’ai un rôle de confident et de conseil au commandement général, de messager. » Dehors, la nuit tombe et quatre groupes d’équipiers, des Français, Belges et Américains, préparent leur équipement. Ils s’apprêtent à former une colonne d’assaut. Leur cible est une cellule terroriste cachée au bord du lac de Bort-les-Orgues, qui possède du matériel radiologique et chimique. Les tireurs de précision ont répété jusqu’à « mécaniser » leurs gestes. Ils vont utiliser des munitions d’entraînement appelées « simunitions » pour gagner en réalisme. Cela signifie que leur arme n’est pas létale mais provoque un fort impact. Ce soir-là, dans l’obscurité, l’objectif de « neutralisation » est atteint en trente minutes. ----------------------- Des unités terre, air et mer Un commandement centralisé. Depuis 1992, après la guerre du Golfe, les forces spéciales sont rassemblées sous le commandement des opérations spéciales (COS), qui est placé sous les ordres du chef d’état-major des armées et l’autorité directe du président de la République. Les trois composantes de l’armée. Les soldats des forces spéciales sont 2 600 dans l’armée de terre, 900 dans l’armée de l’air et 650 dans la marine nationale. Outre les trois régiments terre situés à Bayonne, Pau et Souge, il s’agit de sept unités de commandos marine – dont le commando Hubert basé à Saint-Mandrier, les autres étant à Lorient – et de deux unités de l’air, le commando parachutiste de l’air numéro 10 et l’escadron de transport 3/61 Poitou, sur la base d’Orléans-Bricy.
  6. Salut, Les épreuves se déroulent dans cet ordre : 1. Luc Léger 2. Squats 3. Tractions
  7. J'en faisais 5 début février et j'en ai fait 16 début juin lors de mes tests. Voici ce que j'ai fait, au départ, tractions négatives lestées et tractions avec élastiques. Ensuite j'ai suivi le programme http://www.50tractions.com/. Bon courage !
  8. Salut à tous, même chose pour moi. Je devais passer les tests fin avril à Rennes, mon CeR m'a dit qu'il reviendrait vers moi.
  9. Ah d'accord les boules.. Pénible ça. Sur PC tu as : https://www.mon-qi.com/test-psychotechnique.php qui est conseillé aussi.
  10. Oui je l'ai aussi ce bouquin, il va loin dans certains thèmes, du coup j'utilise une application mobile en parallèle que je trouve plus intéressante !
  11. Si je peux me permettre d'ajouter aussi, n'oublie pas les tests psychotechniques ! Je suppose que tu les travailles déjà mais comme tu n'en as pas parlé dans ton message.. ?
  12. Mon CeR m'a dit que c'est le nouveau parcours est un parcours en groupe, peux-tu me donner plus de détails ?
  13. Merci, je vais me préparer et tout donner !
  14. Oui j'ai un bac +5, je suis en train d'y réfléchir. Ma priorité n°1 étant le 13e RDP, mon conseiller cirfa et quelques connaissances qui connaissent bien ce régiment m'ont tous dit que le recrutement se faisait en statut EVAT pour avoir le maximum de chance d'y rentrer depuis l'externe.
  15. Je préfère le contre espionnage, contre terrorisme, tout ce qui touche à la sécurité nationale et à la protection de la France et de ces concitoyens.
  16. Bienvenue Ballian ! Si tu as besoin d'informations plus générales sur la cyberdéfense, tu peux m'écrire si tu le souhaites. Toutes les questions sont les bienvenues.
  17. Oui tout à fait, j'aimerais faire de l'infiltration sur zone, du renseignement humain (même si le reste me plaît aussi) !
  18. Oui c'est un domaine tellement intéressant, à vrai dire je pense peut-être m'en éloigner si je rentre à l'armée. Je serais plutôt intéressé pour rentrer dans un régiment qui effectue des missions de renseignements tel que le 13è RDP par exemple. Haha tout à fait, je connais toutes ces entités, la DGSE m'intéresserait le plus et notamment le CPIS, je ne veux plus pour l'instant d'une vie de bureau, j'ai envie de me rendre utile d'une autre manière en étant sur le terrain.
  19. Bonsoir à tous et bonne année, Je me présente, j'ai 23 ans, j'ai terminé mes études d'ingénieur en cyberdéfense fin août 2019. Je travaille en CDI dans une entreprise depuis fin septembre en tant que consultant en sécurité des systèmes d'information. Je me suis inscrit sur ce forum afin de m'informer, recueillir des informations sur l'armée de terre. En effet, depuis plusieurs années, l'envie de rentrer dans l'armée me trotte dans la tête mais j'ai d'abord fait le choix de poursuivre un cursus universitaire dans le civil afin de faire murir mon projet professionnel. Je suis particulièrement intéressé depuis toujours par le renseignement et aimerait me diriger vers cette voie si je m'engage. Côté sportif, je suis basketteur à l'origine, je pratique la course à pied, la randonnée, etc. Pour information, mon premier rendez-vous au cirfa aura lieu jeudi matin. Voilà pour ma présentation, au plaisir de discuter avec vous, merci. Loris

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