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Augure

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    J'ai il y a longtemps posté sur ce forum en attente d'aide, aujourd'hui j'ai 24 ans et je reviens une nouvelle fois vers vous en quêt d'aide. Parce que les choses ont changé et qu'il est fort probable que je quitte mon CDI pour enfin rejoindre l'armée.

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  1. Bonjour, je vous remercie de votre réponse, toutefois, si je comprends bien, je n’aurais pas l’occasion d’achever mon préavis d’1 mois avant de pouvoir partir au CFIM ou à l’ENSOA. Dans ces conditions, il serait préférable que je démissionne bien avant la signature afin de pouvoir être en mesure de partir de manière « clean » tout en ayant rempli cette ultime obligation auprès de mon employeur. Je pourrais également demander une suspension de préavis, cependant cela risque d’être du 50/50, qui ne tente rien n'a rien après tout.
  2. Bonjour ! Je dois bien admettre que cela fait une petite éternité que je ne fusse pas revenu ici, mais il faut admettre que j’avais fort à faire. Je reviens vers vous avec des nouvelles, de bonnes cette fois-ci, celles-ci accompagnées dans ce contexte, de quelques questions. Si vous souhaitez avoir un aperçu plus complet de ce dont il était question, vous pouvez lire le contenu de mon premier sujet sur le forum : Peut-on encore espérer rentrer dans l'armée malgré une inaptitude et le temps qui passe ? Quoiqu’il en soit, sachez que j’ai bien pris note de l’ensemble de vos recommandations et que si elles ne furent pas utiles en premier lieu, elles le furent postérieurement. Que c’est donc-t-il passé depuis mon absence ? Le cap fixé par vos éclaircissements, j’ai pris contact par e-mail, puis ouvris une requête auprès du Ministère des Armées (mais cela ne mena nulle part) et enfin par téléphone avec le Ministère afin de pouvoir être redirigé vers le pôle précis pouvant m’épauler pour faire une demande de surexpertise médicale. Toutefois, je dois bien dire que j’ai été plus que déçu par l’accompagnement qu’ils m’ont apporté au téléphone, car j’ai été redirigé soit : -Vers des services qui ne pouvaient pas traiter ma demande -Soit ceux étant apte à me venir en aident n’étaient pas disponible -Soit une fois que je rappelais le Ministère des Armées, l’on me renvoyait dans un autre pôle alors que je formulais au mot prêt la même demande. -Etc… (et j’en passe) Cela fut la croix et la bannière, à les harceler toutes les semaines à chaque pause possible au travail, pendant des mois, mais cela paya récemment puisque l’un de ceux qui pu enfin me répondre décréta que l'inaptitude à l'engagement (global: Armée de Terre, Air, Marine, Gendarmerie - définitif) avait été levée puis un bon moment du seule fait de son ancienneté. Il ne me fallut pas plus de 48h pour appeler mon CIRFA et demander un rendez-vous. Mais lorsque je m’y suis rendu, mon conseiller me dit que l’inaptitude était encore présente (alors que j’avais reçu l’information inverse par un pôle duquel j’avais été redirigé lorsque j’avais appelé pour la énième fois le Ministère des Armées). Bref, les informations étaient contradictoires des deux côtés… Aimable et professionnel, mon instructeur m’aide à faire lever l’inaptitude définitive et si les documents médicaux que j’avais rassemblés grâce à vos conseils m’ont été malheureusement inutiles lorsque je fis une requête auprès du Ministère des Armées, cela m’aida grandement à accélérer la procédure que mon conseiller en recrutement avait lancée pour ma cause. Enfin de compte, après un interminable préambule de 400 mots, c’est bon, me voilà à nouveau apte à l’engagement ! Je tenais donc avant de continuer à vous remercier pour l’apport en information que vous m’aviez apporté initialement, ce fut capital d’un côté, et de l’autre cela me permit de raviver la flamme de ce rêve. Après 5 ans j’avais perdu presque tout espoir de pouvoir, ne serait-ce qu’effleurer à nouveau, le métier que j’appelle de mes vœux depuis si longtemps, pour tout cela : Merci ! Aujourd’hui, je devrais faire les épreuves du CSO de Lyon courant mi-septembre. Je me prépare donc comme il se doit, mais j’ai encore des questions vis-à-vis du « palier » à choisir, si je puis dire. De tout temps, que ce soit à ma première tentative (2019) ou à ma seconde tentative (inaptitude définitive), j’ai été « éligible à l’ENSOA », c’est aujourd’hui toujours le cas, semble-t-il, au regard de mon âge (24 ans) et de mon pedigree (études & emplois). Cela fait si longtemps que j’aspirais à rentrer dans l’armée que si cela était à nouveau possible, je ne ferais pas la fine bouche et ne viserais que comme objectif principal : rentrer dans l’armée de terre. Le choix des régiments n’étant que des cibles secondaires. Cela fait plus de 5 ans que j’aurais dû être, que je devrais être dans l’armée, je vous laisse donc imaginer la motivation qui m’anime ne serait-ce que pour y rentrer, et les sacrifices que je suis prêt à faire, si cela s’avère nécessaire. J’ai des régiments préférentiels (2e RH, 54e RT,etc…), et j’ai été informé par l'instructeur bien que je le savais partiellement déjà que choisir l’ENSOA ou le CFIM ne menait pas à la chose ni aux mêmes opportunités. -ENSOA : Qu’il y a des « plages » de recrutement spécifiques pour chaque régiment et que par extension, si l’on choisit un « Domaine de spécialité » précis, cela ne signifiait pas pour autant que l’on serait pris dans le régiment du domaine de spécialité convoité si l’on n’était pas dans la bonne « plage » de recrutement (sans oublier le classement de chaque personne en ENSOA). -Que le CFIM permettait un accès plus « simple » au régiment souhaité, mais qu’en contrepartie cela signifiait commencer tout en bas, et également côtoyer des personnes de tous âges, notamment beaucoup plus jeunes. La question qui va suivre est presque totalement tranchée, mais j’ai eu du mal à avoir une réponse limpide de mon conseiller sur ce sujet, et je pense que vous pourriez à nouveau m’aider à voir plus clairement : -J’ai 24 ans, je suis bon en langue étrangère, j’ai un bon bagage universitaire et plusieurs expériences dans le monde du travail (je suis toujours actuellement en CDI). Je souhaite rentrer dans l’armée à tout prix et si j’ai le choix du régiment c’est un plus. Question : À la lumière de tout cela, est-il préférable de partir à l’ENSOA quitte à ne pas me retrouver dans le ou les régiments souhaités, et à écouter l’expérience des autres une fois en régiment (cela ne constitue pas à un problème à mes yeux), mais en atteignant au terme le grade de sergent à la sortie de l’ENSOA ? Ou est-il préférable de partir au CFIM quitte à me retrouver avec des personnes ayant un âge probablement inférieur au mien (cela ne constitue également pas à un problème à mes yeux), à « perdre » des années avant d’avoir la possibilité d’être sous-officier, mais en me trouvant dans le régiment que je souhaite ? Question : Je suis toujours en CDI, j'aimerais pouvoir démissionner de mon travail une fois l'annonce de la signature du contrat annoncée, avez-vous une durée moyenne qui sépare la signature du contrat et le départ en CFIM ? J'ai un préavis d'1 mois, j'aimerais dans ces conditions avec la possibilité de le boucler avant de parler à l'armée. Si vous avez des informations ou éclaircissements supplémentaires à apporter à ces deux points n'hésitez pas! Je vous remercie du temps que vous m'accordez! =D
  3. 1) Je n’ai pas la moindre idée de la raison pour laquelle ma demande de surexpertise médicale n’a pas eu de réponse. Peut-être, ma lettre a été perdue ou mal envoyée (cela m'est déjà arrivé pour le concours Policier-adj de l'an dernier donc ...) ? Pourtant je me souviens du processus comme si c’était hier. Cette grande enveloppe cartonnée avec une feuille A4 que l'on m'a donnée lors de mon dernier rendez-vous au CIRFA, sur laquelle étaient inscrites les étapes afin d’obtenir la surexpertise en question pour ensuite se rendre dans un hôpital militaire. Je dois même avoir conservé des photocopies dudit document. 2) Il n'y a donc rien que je puisse faire pour remédier à cela ? Même si je possède des photocopies des documents que l'on m'a données pour la surexpertise ainsi que le document sur laquelle est inscrite mon inaptitude ? 3) Merci d'avoir agi de la sorte. 4) Bien sûr, je suis né grand prématuré (jumeau oblige) et c'est ma diplégie spastique qui est la cause de mon inaptitude (Je vous laisse voir sur internet de quoi il est question, car il saura mieux vous expliquer de quoi il en retourne). Et encore, je devrais plutôt dire la relique de ma diplégie spastique puisque ce problème de motricité a été définitivement corrigé des suites d'une opération légère au tendon d'Achille gauche en octobre 2016. C'est bien ce qui m'a surpris lorsque l'on m'a déclaré inapte, car le médecin généraliste m'ayant ausculté la 1re fois (été 2019) m'avait déclaré apte à l'engagement même si je lui avais fait l'étalage de mon pedigree médical (avec le carnet de santé également). Ce souci de santé passé ne me pose plus aucun problème, même à l'époque de mon engagement puisqu’en plus de l'opération, j'avais travaillé sur la course de fond afin de courir "normalement" (et ce 3x/semaine sur une distance de7km par course pendant 1 an).
  4. Bonjour, Je ne sais si la section est adaptée pour la question que je vais vous poser, cependant, ne trouvant de catégorie autre que celle-ci pour placer mon interrogation, j'espère ne pas me tromper. Je vous prie donc de m’excuser à l’avance si c’est le cas. Avant d'exposer ma question, il est préférable d'établir le contexte afin de voir plus clair. J'ai lancé ma procédure d'engagement dans un CIRFA du sud de la France en fin d'année 2018 pour pouvoir recevoir les résultats des épreuves achevées en même temps que mes partiels (juillet 2019) dans l'optique de me placer selon des auspices favorables ou non. Ceux-ci furent heureux, c'est alors qu'ayant le choix du roi, j'ai choisi de ne pas signer directement et prolonger mes études pour avoir "un peu plus avant de partir". Qu’avais-je à risquer, l'avenir me souriait après tout ? Malheureusement, les choses ne se sont pas passées comme prévu, les études se sont avérées plus ardues et le Covid19 a toqué à notre porte ce qui a eu pour conséquence de me contraindre à ramer davantage pour sauver ma nouvelle année à l’université. Je n’ai pas quitté le radeau alors même qu’il prenait l’eau, j’aurais pourtant dû. J’ai finalement lâché prise et je me suis retourné en direction de mon "Saint Graal", les résultats que j'avais précédemment obtenus et l'espérance de rentrer dans l'Armée de Terre ; seulement, la date de validité des épreuves s'étaient écoulées, il me fallait donc les repasser. Mais à cette époque, je ne doutais pas d'un échec, j'avais déjà réussi les épreuves une fois, alors pourquoi échouerais-je cette fois-ci ? Je me suis donc représenté au CIRFA pour passer les examens et signer pour sortir la tête de l'eau, j'avais compris ma faute et il était hors de question d'avoir les yeux plus gros que le ventre, je signerais et partirais pour l'ENSOA. Cependant, lors de l'entretien médical avec le médecin généraliste, ce dernier m'a déclaré inapte à l'engagement (global: Armée de Terre, Air, Marine, Gendarmerie - définitif). Je vous laisse imaginer la réaction qui fut la mienne à cette annonce... De retour chez moi, j'ai envoyé une demande de contre-expertise médicale pour faire ré-évaluer mon inaptitude et rentrer dans l'armée, mais aucune réponse ne me parvint. Nous sommes en Mars 2023, dimanche dernier, j'ai eu l'occasion de discuter avec un ami et nous avons échangé à propos de l'armée (mon frère jumeau étant rentré récemment dans l'Armée alors qu'il ne le souhaitait pas, il l'a fait, car il était dos au mur. Je vous laisse une fois encore saisir toute l'ironie de ma situation). Cet ami m'a expliqué de plusieurs de ses anciens camarades qui sont à l'armée et que quelques-uns avaient vécus une situation similaire à la mienne et étaient tout de même parvenues à y rentrer. Le cœur de ma question est là, est-il possible de demander une contre-expertise médicale pour faire ré-évaluer mon inaptitude et peut-être rentrer dans l'armée malgré toutes ces années ? J'ai essayé de trouver une réponse, sans succès, voilà la raison de ma venue ici. J'espère, quelle que soit la réponse, que cela mettra fin à ma crainte, car je ne désire pas me voir m'embraser pour une vaine illusion. J'ai fait mon "deuil" il y a longtemps, je me suis dirigé vers la police et le système carcéral dans l'espoir de "servir" et me montrer utile. Mais si c'est envisageable de changer les choses, alors je vendrais jusqu'à mon âme au diable si cela peut me permettre de réparer cette erreur. Voilà, tout est dit, je vous remercie à l'avance pour le temps et l'attention que vous aurez apportés à ma question. =D
  5. Bonjour, Je suis Augure, ex-candidat pour l'Armée de Terre dans le Sud de la France. Une question m'assaille depuis quelques temps après avoir discuté avec un collègue (mais il semblerait que ce soit pas la bonne section pour en discuter), ainsi en quête d'une réponse que je n'ai pas su trouver sur internet, c'est purement par hasard que je suis tombé ici. En espérant trouver ce qui rallumera peut-être un espoir endormi ou éteindra définitivement une chimère douloureuse.

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