Bonjour !
Je dois bien admettre que cela fait une petite éternité que je ne fusse pas revenu ici, mais il faut admettre que j’avais fort à faire.
Je reviens vers vous avec des nouvelles, de bonnes cette fois-ci, celles-ci accompagnées dans ce contexte, de quelques questions.
Si vous souhaitez avoir un aperçu plus complet de ce dont il était question, vous pouvez lire le contenu de mon premier sujet sur le forum :
Peut-on encore espérer rentrer dans l'armée malgré une inaptitude et le temps qui passe ?
Quoiqu’il en soit, sachez que j’ai bien pris note de l’ensemble de vos recommandations et que si elles ne furent pas utiles en premier lieu, elles le furent postérieurement. Que c’est donc-t-il passé depuis mon absence ?
Le cap fixé par vos éclaircissements, j’ai pris contact par e-mail, puis ouvris une requête auprès du Ministère des Armées (mais cela ne mena nulle part) et enfin par téléphone avec le Ministère afin de pouvoir être redirigé vers le pôle précis pouvant m’épauler pour faire une demande de surexpertise médicale. Toutefois, je dois bien dire que j’ai été plus que déçu par l’accompagnement qu’ils m’ont apporté au téléphone, car j’ai été redirigé soit :
-Vers des services qui ne pouvaient pas traiter ma demande
-Soit ceux étant apte à me venir en aident n’étaient pas disponible
-Soit une fois que je rappelais le Ministère des Armées, l’on me renvoyait dans un autre pôle alors que je formulais au mot prêt la même demande.
-Etc… (et j’en passe)
Cela fut la croix et la bannière, à les harceler toutes les semaines à chaque pause possible au travail, pendant des mois, mais cela paya récemment puisque l’un de ceux qui pu enfin me répondre décréta que l'inaptitude à l'engagement (global: Armée de Terre, Air, Marine, Gendarmerie - définitif) avait été levée puis un bon moment du seule fait de son ancienneté.
Il ne me fallut pas plus de 48h pour appeler mon CIRFA et demander un rendez-vous. Mais lorsque je m’y suis rendu, mon conseiller me dit que l’inaptitude était encore présente (alors que j’avais reçu l’information inverse par un pôle duquel j’avais été redirigé lorsque j’avais appelé pour la énième fois le Ministère des Armées).
Bref, les informations étaient contradictoires des deux côtés…
Aimable et professionnel, mon instructeur m’aide à faire lever l’inaptitude définitive et si les documents médicaux que j’avais rassemblés grâce à vos conseils m’ont été malheureusement inutiles lorsque je fis une requête auprès du Ministère des Armées, cela m’aida grandement à accélérer la procédure que mon conseiller en recrutement avait lancée pour ma cause.
Enfin de compte, après un interminable préambule de 400 mots, c’est bon, me voilà à nouveau apte à l’engagement !
Je tenais donc avant de continuer à vous remercier pour l’apport en information que vous m’aviez apporté initialement, ce fut capital d’un côté, et de l’autre cela me permit de raviver la flamme de ce rêve. Après 5 ans j’avais perdu presque tout espoir de pouvoir, ne serait-ce qu’effleurer à nouveau, le métier que j’appelle de mes vœux depuis si longtemps, pour tout cela : Merci !
Aujourd’hui, je devrais faire les épreuves du CSO de Lyon courant mi-septembre.
Je me prépare donc comme il se doit, mais j’ai encore des questions vis-à-vis du « palier » à choisir, si je puis dire.
De tout temps, que ce soit à ma première tentative (2019) ou à ma seconde tentative (inaptitude définitive), j’ai été « éligible à l’ENSOA », c’est aujourd’hui toujours le cas, semble-t-il, au regard de mon âge (24 ans) et de mon pedigree (études & emplois).
Cela fait si longtemps que j’aspirais à rentrer dans l’armée que si cela était à nouveau possible, je ne ferais pas la fine bouche et ne viserais que comme objectif principal : rentrer dans l’armée de terre. Le choix des régiments n’étant que des cibles secondaires. Cela fait plus de 5 ans que j’aurais dû être, que je devrais être dans l’armée, je vous laisse donc imaginer la motivation qui m’anime ne serait-ce que pour y rentrer, et les sacrifices que je suis prêt à faire, si cela s’avère nécessaire.
J’ai des régiments préférentiels (2e RH, 54e RT,etc…), et j’ai été informé par l'instructeur bien que je le savais partiellement déjà que choisir l’ENSOA ou le CFIM ne menait pas à la chose ni aux mêmes opportunités.
-ENSOA : Qu’il y a des « plages » de recrutement spécifiques pour chaque régiment et que par extension, si l’on choisit un « Domaine de spécialité » précis, cela ne signifiait pas pour autant que l’on serait pris dans le régiment du domaine de spécialité convoité si l’on n’était pas dans la bonne « plage » de recrutement (sans oublier le classement de chaque personne en ENSOA).
-Que le CFIM permettait un accès plus « simple » au régiment souhaité, mais qu’en contrepartie cela signifiait commencer tout en bas, et également côtoyer des personnes de tous âges, notamment beaucoup plus jeunes.
La question qui va suivre est presque totalement tranchée, mais j’ai eu du mal à avoir une réponse limpide de mon conseiller sur ce sujet, et je pense que vous pourriez à nouveau m’aider à voir plus clairement :
-J’ai 24 ans, je suis bon en langue étrangère, j’ai un bon bagage universitaire et plusieurs expériences dans le monde du travail (je suis toujours actuellement en CDI). Je souhaite rentrer dans l’armée à tout prix et si j’ai le choix du régiment c’est un plus.
Question : À la lumière de tout cela, est-il préférable de partir à l’ENSOA quitte à ne pas me retrouver dans le ou les régiments souhaités, et à écouter l’expérience des autres une fois en régiment (cela ne constitue pas à un problème à mes yeux), mais en atteignant au terme le grade de sergent à la sortie de l’ENSOA ? Ou est-il préférable de partir au CFIM quitte à me retrouver avec des personnes ayant un âge probablement inférieur au mien (cela ne constitue également pas à un problème à mes yeux), à « perdre » des années avant d’avoir la possibilité d’être sous-officier, mais en me trouvant dans le régiment que je souhaite ?
Question : Je suis toujours en CDI, j'aimerais pouvoir démissionner de mon travail une fois l'annonce de la signature du contrat annoncée, avez-vous une durée moyenne qui sépare la signature du contrat et le départ en CFIM ? J'ai un préavis d'1 mois, j'aimerais dans ces conditions avec la possibilité de le boucler avant de parler à l'armée.
Si vous avez des informations ou éclaircissements supplémentaires à apporter à ces deux points n'hésitez pas!
Je vous remercie du temps que vous m'accordez! =D