Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

estradie

Membres actifs
  • Compteur de contenus

    7
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par estradie

  1. Vous avez raison, je suis prêt à mettre de côté la pratique intensive pour être totalement disponible pour le pays via l’armée de terre, sans néanmoins l’abandonner totalement. Je comprends que ça soit à la fois farfelu et utopique de s’engager comme militaire du rang pour « choisir » le lieu d’affectation. Je revois donc ma copie, un engagement en sous-officier serait plus intéressant et à-propos. Je vais certainement aller comme le CIRFA me l’avait conseillé, vers sous-officier cavalerie légère bien qu’EPMS m’attire également mais moins. Bien que la BSPP soit une bonne idée, j’avoue que ça ne m’attire pas plus que ça. Je vous remercie pour vous conseils très intéressants et justes qui remettent les idées en place. Merci à vous !
  2. Bonjour à tous, Il y a une fausse note en effet, un ingénieur qui veut devenir EVAT pour continuer à faire son sport tout en étant prêt à être le "plouc de base" au régiment résume parfaitement la situation. Mais ça mérite des explications. Attention, je tiens quand même à préciser une chose : je pense réellement que l’armée de terre est une « vocation » depuis longtemps. Au collège : volonté de rentrer dans un lycée militaire, après le bac : même chose, à bac +2 : rentrer à St-Maixent et finalement à +5 je me retrouve ici. Mes parents ont toujours voulu que je fasse des études afin d’assurer un certain niveau, la possibilité de faire mon choix et voyez-vous, lorsque je leur ai parlé d’un possible engagement, ils n’étaient absolument pas étonnés. Le choix qui sonne faux c’est aussi ça, c’est ne plus passer 8h/jour derrière un ordinateur, assis, intervenir occasionnellement sur le terrain, mais c’est aussi perdre 60% de mon salaire actuel. En entrant dans l’armée mon objectif serait de passer sous-officier au bout d’un certain temps et si je dois faire carrière peut-être aller jusqu’à officier à la fin. Officier n’est pas une fin en soi, entrer directement sous-officier non plus d’ailleurs. Je ne veux pas être affecté à un régiment que je n’ai pas choisi dans le cas ou mon classement en sous-officier ne serait pas brillant, je préfère rentrer au plus bas en ayant la possibilité de choisir. Je vais développer : Hebdomadaire : 8h de cours spécifique, 5h de course (cross/route), 1h30 de renforcement spécifique. Pratique sur 40 semaines de l’année. Je vous rassure, je ne rêve pas d'un parcours à la Benoit Saint-Denis, c’est un sport amateur, peu voire pas médiatisé et loin de moi la prétention d’atteindre ce niveau. De plus sur la partie technique spécifique, l’armée ne m’apportera rien, cependant ça serait surtout au niveau physique et mental que le gain serait important. Je nuance juste en disant que l’ambition n’est pas une quête de haut niveau, mais bel et bien comme vous le dites une pratique très prenante. Cela étant dit, j’avais déjà pensé à EPMS et vous relancez cette idée.
  3. Messieurs, bonjour, Merci pour vos retours, conseils et avis. Très intéressants en particulier lorsqu'ils viennent du terrain et doublés de la bienveillance dont vous avez tous fait preuve. Merci beaucoup pour vos recommandations ! Bonne journée à vous, JD.
  4. En effet mais le souhait n'est pas d'être confronté à un niveau moyen physique au dessus de la moyenne mais d'être géographiquement à proximité de clubs de haut niveau. En supposant que le renforcement physique général pourra venir sur le temps libre. Cependant merci du conseil !
  5. Je suis entièrement d'accord avec vous. On m'a décris ça comme beaucoup de TIG, pas nécessairement autant d'exercices que ce que l'on pourrait penser, beaucoup d'entretiens du matériel, du sport, des révisions. En effet c'est ce qui m'a été proposé, sous-officier dans un premier temps, ce que j'aurais certainement accepté si la possibilité était donnée de choisir son régiment or en fonction du classement c'est possible mais absolument pas certain. J'avoue préférer en baver en étant dans le régiment que je veux plutôt qu'avoir une affectation "non voulue". Honnêtement j'interroge ce choix depuis quelques mois, cependant je suis enclin à me donner à l'armée mais l'importance de ma pratique sportive rentre en considération. D'où l'importance d'aller dans le régiment visé. Je ne sais pas si je suis clair dans ma démarche, mais j'espère que ces explication auront aidées.
  6. Merci à vous, C’est un diplôme d’ingénieur en chimie, il s’agit d’un art martial et en termes de métier ça serait pour entrer dans les unités de combat blindé, pas de soutiens ni d'administratif. Merci beaucoup pour ces précisions, concernant la formation EVAT, il s’agit des 10 semaines au centre de formation initiale précédant la formation spécifique ? J’avais bien compris que c’était une période où il n’y aurait pas de quartiers libres (ou peu) et je n’ai aucun problème à mettre ma saison et ma vie personnelle en suspend pour cette période. On soulève une autre question, quelle est la durée totale que je dois envisager de formation initiale + spécifique + intégration au régiment avant de pouvoir repratiquer ? Je souhaiterais faire coller ma reprise effective en entrainement avec la reprise de la saison (càd en septembre). J’ai un bon niveau en effet et une marge de progression que je pense intéressante mais loin je pense de pouvoir prétendre à l’équipe de France militaire, bien que ça serait un honneur.
  7. Bonjour à tous, Tout d'abord je tiens à m'excuser pour les éventuelles maladresses ou les mauvais termes que je peux avoir. Je suis un jeune diplômé de 22 ans qui souhaite s'engager en militaire du rang. Ce choix à toujours été évident mais j'ai souhaité (et été un peu obligé) de réaliser des études avant. Je dirais que c'est d'abord une vocation et ensuite un attrait pour la vie sportive des militaires. J'ai besoin de vous pour m'éclaircir sur plusieurs points. Je souhaite rejoindre un régiment de cavalerie légère bien précis puisque ses missions et son esprit collent à mon tempérament et qu'il se situe stratégiquement pour moi. En effet, au-delà de la vocation, le sport est super important pour moi et actuellement je n'en fais passez, l'armée mobilise assez de temps pour la pratique sportive de ses soldats, c'est là ou ça me conforte dans mon idée de m'engager. Là ou j'ai besoin de vos REX c'est sur la pratique en dehors de la garnison, sur le temps libre. Je pratique un sport spécifique à un niveau correct et souhaite intensifier sa pratique pour viser un niveau plus haut, les entrainements sont 5 soirs par semaine de 19 à 22h. Je suis conscient que des missions, gardes etc. ne me permettrons pas de suivre en continu mes entrainements, et je suis tout à fait d'accord, pas de problème là-dessus. Mais la question concerne plus la soutenabilité en semaine, est-ce que c'est incompatible avec la vie en garnison ? Les horaires de "fin de journée" peuvent-ils coller avec les débuts d'entrainement ? Arrive t-il qui faille rester plus longtemps que prévu ? Comment s'organise le calendrier des missions ? Peut-on "s'arranger" avec la hiérarchie ? Du style prendre les week-ends de garde pour se libérer des soirs d'entrainement en semaine ? Autre question, la pratiques de certains sports comme notamment le pentathlon militaire, dépend de l'EPSM, du choix de la hiérarchie de la garnison ? Peut-on demander à le pratiquer ? Comment cela se passe. Un grand merci à vous pour le temps accordé et les éventuelles réponses JD.

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...