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Beauvarlet

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Tout ce qui a été posté par Beauvarlet

  1. Bonjour, Bienvenue à vous, et bon courage dans le cadre de votre candidature. N'hésitez pas à communiquer les résultats de la commission, et à chercher sur le forum des camarades de votre future promotion ! Bien à vous, BEAUVARLET
  2. Bonjour, Vœux de réussite et bon courage ! BEAUVARLET
  3. Bonsoir, Suivre une classe CPES peut être une excellente idée, mais uniquement si vous ne pouvez pas intégrer directement une CPGE littéraire — idéalement au sein d’un lycée militaire, cela va de soi. Pour ma part, ayant suivi une CPGE littéraire d'un lycée militaire, je ne peux que saluer ce choix de vous diriger en Lettres (et adresser une pensée solidaire à nos camarades scientifiques, accablés par des khôlles incessantes pendant que nous découvrons tranquillement Racine ou Hugo). En réalité, opter pour une CPES revient à "perdre" une année dans la course au concours de Saint-Cyr. Cette année pourrait vous priver ultérieurement de la possibilité de "khûber" en cas d’échec en Khâgne, ce qui serait regrettable. Cela dit, j’ai connu au Lycée Militaire de Saint-Cyr un camarade passé par une CPES à Autun — sans doute en filière économie — avant d’intégrer une CPGE, et qui avait un niveau franchement supérieur aux autres grâce à cette année. Vous perdez donc numériquement une année, mais vous en gagnez "au moins" une en terme de niveau : car vous aurez déjà le rythme "prépa" en vous dès votre arrivée en hypokhâgne, car vous connaitrez déjà le système des lycées militaires, car vous aurez appris à avoir une haute capacité de travail; là où vos camarades, l'année prochaine, sortiront tout juste du baccalauréat. Donc, si l’accès à une CPGE vous est pour l’instant fermé, foncez en CPES. Cela vous permettra d’acquérir de solides bases, mais aussi de prendre une année d’avance en maturité, notamment sur vos futurs camarades d’hypokhâgne, encore en phase d’adaptation. Vivre un an dans un lycée militaire forge le caractère — et ce n’est pas un luxe pour la suite. Gardez cependant à l’esprit que l’ambiance à Aix ne saurait rivaliser avec celle de Saint-Cyr ou de nos chers voisins brutions. Si votre projet est sérieux, envisagez la CPES comme une transition : une année de préparation avant de rejoindre un lycée militaire plus exigeant, plus formateur, et plus ancré dans l’esprit de tradition et de cohésion que requiert la voie que vous avez choisie. Quant au travail, il sera intense. Vous vous engagez dans un parcours long, exigeant, dont l’objectif est clair : intégrer l’ESM, devenir officier, et porter haut vos responsabilités. Si cette ambition ne vous habite pas profondément, si vous n’êtes pas prêt à faire des sacrifices — y compris celui d’une certaine légèreté propre à la jeunesse — alors mieux vaut envisager une autre voie. Ce chemin ne tolère pas la tiédeur ni la facilité. Vous souffrirez, sans doute, mais vous grandirez. La vie en internat, dans un lycée militaire, est l’une des expériences les plus riches et formatrices que vous connaîtrez. Acceptez les règles, laissez-vous forger par le cadre : vous y deviendrez un officier en herve, et vous y vivrez des moments inoubliables. Être élève dans un lycée militaire est une chance. Une vraie. Et cette chance, Eléonor, il ne faut pas la laisser passer. Je reste à votre disposition si vous souhaitez davantage d'informations. Bien à vous, BEAUVARLET PS : Je viens de voir que vous étiez une femme; Aix sera sans doute plus clément avec vous, alors faites donc vos classes et raffermissez vous là-bas, avant de viser, bien sûr, une formation plus exigeante. Être une femme en LM n'est pas toujours facile, je vous l'accorde : apprenez à vous imposer pendant cette année de CPES. Vous en aurez besoin à votre arrivée au Pryt' ou au Kholdo.
  4. Bonjour, Tout d’abord, pensez impérativement à compléter la section "Présentation" avec une description globale de votre profil, afin que l’on sache à qui l’on s’adresse (et surtout, pour mieux vous aiguiller en fonction de votre âge, de vos objectifs, de votre formation passée, etc.). Si vous souhaitez intégrer le 2e REP, le meilleur conseil que je puisse vous donner est avant tout de vous battre et de tout donner, peu importe les barèmes minimaux. Vous vous apprêtez à rejoindre une formation d’élite, au sein d’un corps extrêmement exigeant, qui demande non seulement de la résilience, mais aussi une capacité à faire face à une rusticité élevée. Pour intégrer le 2e REP, vous devez être âgé d’au moins 17 ans. D’après les rares informations que vous donnez sur le site, vous semblez être en lycée militaire, ce qui vous place dans les conditions adéquates pour le recrutement. Les modalités de recrutement au sein de la Légion étrangère sont particulières, et ne passent pas par un CIRFA, mais par des centres de recrutement spécifiques à la Légion (notez que BTX pourra volontiers vous fournir plus de précisions que je ne suis en mesure de le faire). Vous devez donc entamer le processus de recrutement propre à la Légion étrangère. Vous trouverez toutes les informations détaillées sur leur site internet, qui est facile à trouver et propose une navigation claire et fluide. Pensez également à regarder les vidéos du Major GERALD si votre projet est sérieux, et commencez à vous entraîner selon ses conseils. Il n’y a normalement pas de seuil minimum strict pour intégrer le régiment, mais vous devrez donner le meilleur de vous-même et viser l’excellence. Pour les tractions, visez généreusement les 10 répétitions, et allez bien au-delà si vous souhaitez maximiser vos chances. Pour le test du Luc Léger, ne descendez pas en dessous du palier 10. Apprenez aussi à nager — ou du moins, à simuler une nage correcte — sur 25 mètres, avec assez de dextérité pour ne pas vous ridiculiser. Au-delà des muscles et des capacités physiques, n’oubliez pas qu’être légionnaire, c’est avant tout une question de mental. Bien à vous, BEAUVARLET
  5. Bonjour, Bienvenue et mon soutien dans le cadre de votre engagement. Bon courage. BEAUVARLET
  6. Je suis tout à fait d'accord avec toi. Il s'agit pourtant d'un test qui ne coûte pas cher : ceux qui ne parlent pas anglais se retirent au bout de quelques minutes, et ceux qui ont l'opportunité de peaufiner leur dossier le font volontiers. L'un des candidats de ma session qui n'avait pas le baccalauréat s'est bien débrouillé à l'épreuve, et son résultat est ressorti à l'entretien. Il n'est pas bilingue, mais disons qu'il était moins mauvais que les autres... Conseil aux futurs candidats : révisez des notions fondamentales, qui sont littéralement primitives, telles que les bases de la grammaire. Premièrement, pour ne pas vous faire grassement humilié par un test qui vous pose des questions triviales consistant à sélectionner la bonne réponse parmi "Which/Who/Whom", et surtout pour gagner des points aisément. Ces notions se révisent, voir s'apprennent le temps d'une soirée sur des sites internet qui synthétisent le tout en des leçons facilement compréhensibles. Surtout, accrochez-vous ! Même si ce n'est qu'une sélection de MDR, toutes les bonnes impressions que vous pouvez dégagez sont à prendre, alors marquez les personnes que vous croisez dès le début de votre aventure. Je parle aussi bien du sport que des tests psychotechniques, qui comptent par ailleurs (tout du moins, selon les dires de l'Adjudant qui m'a reçu en entretien) davantage que le sport. L'Armée n'attend pas seulement de vous des bêtes de sport, elle attend aussi des personnes en mesure d'assimiler correctement la formation qu'elles s'apprêtent à recevoir en tant que MDR. Si cognitivement, vous n'êtes pas capable de suivre une formation de base, vos 30 tractions ne sont pas très pertinentes. BEAUVARLET
  7. Excellent RETEX ! Pour avoir passé mes tests au DEI de la Caserne Nansouty à Bordeaux à quelques jours prèsLes, j'en profite pour indiquer aux futurs candidats de Nansouty quelques différences : Les candidats n'observent pas de cérémonie des couleurs ; Vous avez l'obligation de rester en chambre, ou éventuellement de demeurer devant le bâtiment dans une zone délimitée globalement aux limites dudit bâtiment ; Il n'y a pas, en tout cas pas quand j'y fus, de système de point pour les petits-déjeuners : mangez bien (sauf pour le sport) ! N'oubliez pas, en revanche, les 25 points des repas, qui peuvent donner quelques surprises s'ils ne sont pas respectés. Les moniteurs ne donnent aucune information quant à vos résultats sportifs, et particulièrement en ce qui concerne le killy : aucune annonce de temps. Si vous souhaitez connaitre votre temps, il n'existe qu'une seule solution, qui est en l'occurrence de tenir les 4 minutes 20 (ce qui n'est pas impossible avec un peu d'entrainement, ne venez pas les mains dans les poches, sauf si vous n'êtes pas si motivé que ça !). Nansouty semble également beaucoup plus souple en ce qui concerne les horaires. Vous vous levez à 6 heure 30 pour un rassemblement à 6 heure 50. En ce qui concerne le soir, vous devez tous être en chambre à 22 heure, et les feux doivent être éteints pour 22 heure 20. Si vous ne respectez pas cette contrainte, un caporal-chef viendra vous border. Ce n'est pas agréable. Vous passerez tous le test d'anglais, qui est composé de 150 questions; même si vous n'êtes pas bachelier ! Lors de votre départ de la caserne, vous serez accompagné jusqu'à la sortie pour le militaire qui était en charge de votre session. Vous partez, justement, avec votre session, à l'unisson. Personne ne part seul, sauf pour des raisons particulières. Si quelqu'un passe ses tests à Bordeaux, et a besoin d'informations pour ne pas trop mouliner ou pour avoir une vision plus détaillée des quelques jours qui l'attendent, qu'il n'hésite pas à me contacter par MP. BEAUVARLET
  8. Vous avez raison. J'ai déjà eu la chance de pouvoir effectuer une PMS, ce qui je pense est assez précieux dans une candidature. J'ai également été SPV. J'espère intégrer rapidement, bien que j'ignore les dates exactes des prochaines incorporations. Bien à vous, BEAUVARLET
  9. Bonjour, Je suis assez d'accord avec vous, et je pense que j'avais (sur le papier tout du moins) un niveau suffisamment correct pour envisager sérieusement le concours menant à l'ESM. En revanche, le fait de n'être intéressé que seulement par la Sécurité Civile me semblait être une condition m'empêchant, justement, de m'embarquer dans un tel parcours : le risque était trop grand de ne pas avoir cette affectation en sortie d'école d'application. Des sous-officiers, je trouve l'entrée "directe" dans ce corps délicate, en raison de la technicité du commandement nécessaire pour gérer une équipe de manière si "directe". Je n'ai ni l'expérience, ni la confiance en moi nécessaires pour assumer ce genre de fonction à 20 ans. Je lace beaucoup d'espérances dans ces quelques années de MDR pour prendre en assurance, en aisance et en maturité pour ensuite commander avec confiance et facilité. L'envie, également, de rentrer dès lors en régiment était également un facteur décisif de mon engagement. Je vous remercie pour votre réponse, BEAUVARLET
  10. Bonjour, J’ai 19 ans et je suis actuellement candidat pour intégrer un régiment d’instruction et d’intervention de la sécurité civile. Après le bac, j’ai suivi deux années de classe préparatoire littéraire dans un lycée parisien. J’ai ensuite décidé de mettre un terme à mon parcours scolaire pour m’engager concrètement sur le terrain. Je souhaite commencer directement par la base, afin d’acquérir une véritable expérience, des compétences solides, et me confronter pleinement à la réalité du métier; dans l'idée d'être un meilleur sous-officier à l'avenir. Ce choix est guidé par une volonté de développer ma résilience, mon goût de l’effort, et de renforcer de manière concrète ma discipline personnelle. Au plaisir d’échanger avec vous !

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