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Patraque

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Tout ce qui a été posté par Patraque

  1. Si c'était le coup de Drach ? J'étais devant ou derrière toi. On a même traversé queques bleds de nuit sur le cul tellement ça glissait, la neige étant gelée, et un que je me souviens bien, Langensoultzbach que ça se nommait, je vois encore la pancarte imprononçable pour nous sudistes.
  2. Ce que tu fais après le stage commando ? Et bien tu pars en permission de fin de stage...
  3. JP ! Tu sais tres bien ce que je pense, on a assez évoqué cela à Hubert, quand on était jeunes, la culture et l'instruction de certains fusiliers marins étant extraordinairement variée et disparate, et si d'aucuns sont arrivés à aller loin, c'est juste parce qu'ils avaient des QI à 3 chiffres et une intelligence situationnelle supérieure. Alors quand le gars a une mémoire d'elephant, tu remarqueras que cela te correspond bien.
  4. Dans la marine, on appelle cela "le sac", en reference au sac du marin qui le suivait partout dans le temps. Il avait aussi sa toile de hamac personnelle qui lui etait attribuee, elle n'existe plus, les hamacs ayant ete remplace par des couchettes sur les navires et de vrais lits dans les affectations a terre dont font partie les ecoles. Y a ete rajoute maintenant, la celebre valise bleue marine en aluminium qui ferme a clef. Donc, a l'incorporation est attribue a chacun, un sac et une valise et dans ce sac seront mises toute les tenues de travail, de sortie a la taille de l'individu concerne, mais aussi de sport et autres objets particuliers, nous avions ainsi il y a 50 ans une brosse a chaussures, du cirage, une brosse a vetements, bref tout ce qu'il faut pour etre equipe uniformement mais aussi entretenir cette dotation individuelle, car c'est a l'individu a entretenir ses tenues et etre toujours en tenue adequate impeccable.. Ensuite, en ecole de specialite lui sera attribue et verse a sa taille, le materiel specifique a cette specialite, pour le fusilier marin, cela consistera en treillis vert armee, pataugas, rangers, brelage, ceinturon, gamelle et bidon individuel, casque, etc... Seules les armes ne sont distribuees que lorsque l'instruction le necessite, nettoyees et rendues a l'issue, les munitions non utilisees rendues, comptees et notees sur un registre prevu a cet effet sous le controle de differents responsables (remember Carcassonne et les munitions non rendues gardees par les gars...). Pas de soucis donc, mis a part qu'il va vous falloir apprendre a entretenir vos tenues, lavage, couture et autres repassages, quand on est bloque x ou y semaines en ecole, il vaut mieux ne pas penser a des mains feminines (copine, soeur ou mere) pour cela et encore moins au pressing du prochain boulevard. Le jeune qui n'est pas capable de cela il vaut mieux qu'il reste chez lui a jouer a la console de jeu... Nota : Au sujet de la toile de hamac de la vieille marine a voiles, elle servait aussi de linceul lors du deces du gars, avant immersion de la depouille en mer.
  5. Il y a deux sortes d'officiers, en fonction d'abord de leur niveau d'emploi : - Les off subalternes et les off supérieurs, seuls ces derniers ont des fonctions d'encadrement les autres n'ayant comme dans un autre corps de troupe que des fonctions de direction d'un groupe ou d'une cellule ou bien d'adjoint ou même pour carrément d'intervenants sur le terrain avec les sous officiers supérieurs connaissant bien le boulot et ayant un passé connu et reconnu dans le service. Puis on peut aussi les classer en fonction bien sûr leur formation, là aussi, un administratif restera administratif, et progressivement en fonction de ses affectations dans les différents services composant "la boite" aura sa carrière qui divergera pour aller plus dans ce boulot de renseignement que vous tous ne pouvez pas connaître, mais qui est immensément éclectique. Tandis qu'un opérationnel même s'il est subalterne se retrouvera soit sur le terrain avec des sous officiers supérieurs de haut niveau d'emploi et de confiance soit comme je l'ai mis plus haut adjoint soit comme dit aussi intervenant et donc apprenant temporairement le travail par le commencement, c'est à dire en bas de l'échelle. Pour les civils il en est de même, 3 niveaux d'emploi, C = agent, B = maitrise/maistrance et A (divisée en 3 sous catégories) - A supérieure = même niveau d'emploi que les officiers généraux ou les préfets par exemple. - A prime = Encadrement supérieurs à responsabilités, tels chef d'un service à la centrale ou poste à l'étranger. - A = Encadrement à responsabilités limitées, chef d'une cellule ou d'un groupe. En réfléchissant vous constaterez qu'il y a en fait une pyramide des grades et des fonctions comme dans tout système équilibré, ce n'est pas et ne sera jamais un service exotique oû le moindre chefaillon est au minimum colonel.
  6. Il y a des exceptions, cela dépend de certaines spécialités, mais pour le service pont et le service machine, en principe les gars embarquent environ les 2/3 (c'est bien sûr une moyenne, certains ce sera moins, d'autres plus) du temps de toute leur carrière, il n'y a que les cours et stages qui sont à terre et bien sûr des affectations, aéronautique navale, écoles, sémaphores et services transmissions des régions maritimes, plus les soutiens techniques et administratifs aux sous marins, dragueurs et autres navires qui sont obligatoirement au port base que ce soit en métropole ou bien outre-mer. Et bien sûr il y a ceux qui sont médicalement "inaptes à la mer", là aussi c'est décidé par une commission médicale et si le gars n'est pas de carrière (dans la marine on dit CDM = Cadre de Maistrance là oû les autres armes disent SOC = Sous Officier de carrière), son rengagement en principe est compromis, car il est marin dans la marine, et n'a pas vocation à être marin à terre, donc la marine sauf quelques cas exceptionnels ne garde pas les inaptes au service à la mer.
  7. Sur terre, pour un mataf, c'est quand même un boulot à contre emploi, il lui reste l'armée de terre, pour avoir les pieds bien posés à plat et ne pas avoir les embruns dans la figure. Un marin un jour ou l'autre sera obligé d'embarquer, il n'a pas le choix, c'est ainsi...
  8. Exemple de journée de travail à la mer pour tous, sans exceptions : - un service (appelé quart) de nuit si le navire fonctionne par tiers, en fonction de cela vous aurez un 20 à 24, un 00 à 04 ou un 04 à 08 de présence à votre poste de travail, radio, radar, machine, canon, pc sécurité, etc... Si le navire fonctionne par quart, vous aurez une nuit complète de sommeil tous les 4 nuits, et les 3 autres nuits vous serez au travail comme par tiers. - 07h00 : tous se lèvent (branle bas = en bas des branles = voulant dire en bas des hamacs en vieux Français), petit déjeuner et passage obligatoire aux lavabos, rasage, etc... - 08h00 = Relève de service, le tiers prenant fera jusqu'à midi aux commandes du navire. - 08h30 : Appel de tout le personnel (présence obligatoire sauf bien sûr les gens de service à ce moment là) un appel est fait sans aucune dérogation, cela permet de constater s'il y a un absent (homme à la mer ou autre...) Puis poste de lavage (nettoyage, balais, éponges, serpillières). - 09h15 : Poste d'entretien, dans son service, les canonniers entretiennent leur matériel, les mécanos le leur, dans leurs locaux spécifiques, etc... - 11h00 : Repas pour le tiers prenant le service à 12h00. - 12h00 : Relève de service, ceux qui prennent vont jusqu'à 14h. Repas pour tous les autres. - 14h00 : prise de service jusqu'à 18h pour ceux qui prennent. Poste d'entretien locaux et matériels pour tous les autres, idem que le matin. - Dans l'après midi entre 14h00 et 17h : En principe une activité aléatoire est prévue, exercice de sécurité, ou poste de combat, ou ... tout autre exercice aux ordres du commandant en second pour tout le personnel restant non de service à ce moment là, un appel est fait sans dérogation, cela permet de constater s'il y a un absent (homme à la mer ou autre...). - 17h00 : Fin du poste d'entretien pour tous, repas pour le tiers qui prend le service à 18h00. - 18h00 : Prise de service pour ceux qui iront jusqu'à 20h aux commandes du navire, repas pour tous les autres. - 20h00 : prise de service de nuit pour ceux qui feront jusqu'à 24h00, les autres soit lisent, soit jouent aux cartes, à leur ordinateur, ou télévision du bord, ou regardent les étoiles à certains endroits du bords autorisé, car la nuit il est interdit de passer sur les ponts extérieurs. et puis etc... Bien sûr des activités nocturnes sont aussi prévues aléatoirement, on n'en sait rien, ça se décide au dernier moment, mais il arrive d'avoir un poste de combat en pleine nuit, un exercice incendie idem, ou tout autre en fonction des besoins d'entrainement du personnel et ceci décidé par l'état major constatant certaines insuffisances dans le personnel... Quand vous faites cela 60 jours d'affilée, vous n'avez pas le temps de vous embêter et quand on vous parle ensuite des 35h, vous n pouvez qu'éclater de rire...
  9. Je peux témoigner que toutes les actions et autres que vous lirez dans le livre de JPR sont bien réelles et ne sont pas des inventions ou des broderies, d'ailleurs j'en ai vécues certaines à ses côtés. De bien bons souvenirs, et pas que de rigolade mais aussi de sérieux dans le boulot.
  10. Les infirmiers dans la marine servent dans l'unité oû ils sont affectés, et en fonction des brevets et stages qu'ils suivent ils deviennent et sont opérationnels. Dans les commandos marine, ils font partie de la section de commandement du commando dans lequel ils sont affectés. Sur le terrain font leur travail d'infirmier, en temps de paix c'est quand même plus tranquille qu'en temps de conflit. En zone de conflit ils ont le boulot qu'a tout infirmier militaire confronté aux blessures de ses collègues. En Afghanistan, le premier Maître infirmier Frédéric Paré été tué en opérations par les talibans le 25 aout 2006. http://frederic-pare.skyrock.com/ http://cdojaubert.canalblog.com/archives/2007/01/01/22949573.html
  11. En tant que coureur à pied et entraîneur de course à pied, je préfère le Cooper (12') ou carrément le demi Cooper (6'), le Vameval ne me convient pas, je faisais les marathons à 55 ans en 3h30'/3h35' et si j'avais suivi les tables j'avais une VMA de 17, mais en fait à mon âge elle n'était que de 16, donc différence, tandis qu'avec le Cooper, là c'était précis et clair.
  12. J'ai tellement eu de biffins et de gonfleurs avec moi puis sous mes ordres que toutes leurs abréviations même si elles n'étaient pas de mon monde maritime, j'ai eu l'obligation de m'y faire. CATI = Certif d'Aptitude au tir AA= Armée de l'Air ADT = Arméee de Terre
  13. Pour Cham ! Bien, au lu de ton texte qui est équilibré, tu sembles savoir ce que tu fais et ce que tu veux... Mais je constate de petites fautes de Français, qui ne sont pas rédhibitoires mais peuvent en cas être vues négativement. Tu dois en attendant travailler aussi la force du haut du corps, buste et bras, car pour les tractions autant avoir le maximum là aussi tout comme tu l'as fait pour le grimper de corde. Au sujet de la VMA, seulement 15 pour un jeune de ton âge c'est le minimum, tu dois là aussi la travailler, et s'entraîner à rester en équilibre respiratoire en dessous de 4' au km et ce systématiquement, sauf bien sûr en cas de charge sur le dos, auquel cas tu seras comme beaucoup proche de 5' aux 1000m. Si je me souviens passer au dessus de 5' aux 1000m pour les marches de 4 et de 8km (avec charge) est éliminatoire.
  14. Se porter volontaire pour s'engager et penser déjà aux congés, que voilà une idée saugrenue. Les postes et télécoms sont bien plus accueillantes au niveau repos du personnel...
  15. La main dans la poche ou la main coincée dans le ceinturon, au moins tu es bien calé en ligne.
  16. Chargeur de 9 cartouches, je confirme. Il était recommandé de ne le charger qu'à 8, ceci pour ne pas fatiguer le ressort intérieur du chargeur, vu que les armes concernées avaient un certain âge (un âge certain), les fatiguer et avoir la surprise d'avoir le chargeur HS au moment de l'utiliser, n'étant pas la meilleure manière pour les faire durer et être sûr d'avoir une arme en état de marche nominale. Nous, si je me souviens bien pour "assurer" le chargeur, on en était venu à passer autour de la carcasse et du chargeur un caoutchouc de pliage de parachute afin de sécuriser ce foutu chargeur qui avait tendance à s'éjecter assez souvent tout seul. Mais, il est évident que ce n'était qu'une arme de dernier recours, et qu'à plus de 25m, il fallait avoir le temps de prendre la visée pour toucher, au jeté et au jugé c'était assez dispersé, vu que ces armes avaient subi tous les outrages et qu'elles commençaient à prendre du jeu et à devenir fatiguées de l'âge de leurs éléments intérieurs. Mais une fois bien en main, pour l'usage qu'il lui était demandé, c'était une bonne assurance tout risques.
  17. J'ai suivi le premier ce soir, Toulouse plus frais a commencé à prendre le dessus sur les Castrais à partir du retour de leurs 2 cartons jaunes. Sans faire d'étincelles ils ont renvoyé les Tarnais à leurs chères études petit à petit. Mais on constate comme d'habitude une gentillesse systématique arbitrale envers les protégés des laboratoires Fabre, deux poids et deux mesures toujours entre eux et leurs adversaires du jour. Probable que le poids du président de la ligue professionnelle qui est Castrais y est pour quelque chose ? Demain cela risque d'être du pareil au même sachant que deux pontes de la ligue professionnelle sont aussi dirigeants de l'association sportive "ex" Michelin et dorénavant Montferrandaise. Se souvenir juste en passant de la demi finale de 2010 et de l'essai gagnant qui n'y est pas accordé miraculeusement aux jaunards, et après on te parle de justice sportive...
  18. C'est lors d'une visite médicale que le toubib il constate ou pas, quitte à faire des examens complémentaires.
  19. Ouais, on s'en souvient bien. JP Tu ne faisais pas partie de l'équipe de tir de Hubert ?
  20. Je ne sais si vous connaissez celui ci écrit par Georges Fleury (ancien du commando Jaubert) : Commandos mes frères :
  21. Le SIGYCOP minimum pour être fusilier marin est de 1123121. Le SIGYCOP est un acronyme dont les lettres désignent respectivement : S : ceinture scapulaire et membres supérieurs ; I : ceinture pelvienne et membres inférieurs ; G : état général ; Y : yeux et vision ; C : sens chromatique ; O : oreilles et audition ; P : psychisme. Pour ton cas le Y. En additionnant les deux yeux il faut être à 16/20, car en dessous ça ne passe pas. Exemple : 8/10 + 9/10 ok !!! Mais 10/10 + 5/10 ça ne passeras pas. Mais pour ta myopie tu peux te faire opérer par laser, mais la marine te mettra en stand by pendant 2 ans pour être sûr que c'est bien cicatrisé et que ta vue dorénavant est fixée.
  22. Je me souviens bien de ton frère à Trépel, il s'est tué le même jour que l'autre fusilier marin de la compagnie de protection du port de Toulon (originaire de l’Ardèche ce jeune), et le lendemain à Marseille, Emmanuel Vitria recevait le coeur de l'un deux, devenant ainsi le premier greffé du coeur en France.
  23. Il y a des concours pour toutes sortes de métiers, fonctions, niveaux. Matheux, bons en langues étrangères rares ou pas, fanas de transmissions, geek hacker en informatique, spécialiste de la lime et de la bidouille, QI à 3 chiffres, etc... Lien vers un article intéressant de la revue "l'étudiant" qui aborde ce sujet : http://www.letudiant.fr/metiers/metier-despions-comme-dans-james-bond-19093.html Dans les années 70/80, la DGSE étant sous la tutelle du ministère de la défense, les militaires d'active étaient en grand nombre, progressivement, après être passé en partie sous la tutelle du premier ministre, ce nombre a diminué soit par embauches de personnels civils (concours ou cooptation), soit de nombreux militaires ayant profité de leur connaissance de la maison et des créneaux rendus disponibles par les départs des anciens en retraite pour se proposer, ils sont devenus du jour au lendemain civils au service après avoir raccroché la casquette. D'aucuns donc ont pu être intégrés comme opérateur "agent de niveau C", ou contrôleur, agent de maîtrise "cadre B" ou inspecteur, cadre supérieur "cadre A" (soit les 3 niveaux d'emploi de la fonction publique), en fonction des besoins, en fonction de leur niveau, en fonction de leur passé professionnel dans la maison. Depuis les années 90, et puis surtout après la fin du service national les civils sont intégrés en nombre plus important, pas mal d'ingénieurs jeunes embauchés dés la sortie des grandes écoles, ou moins jeunes qui ont été débauchés d'entreprises privées. Leurs connaissances dans certains secteurs pointus ont amené un bon plus nécessaire. Si on rajoute là dessus, les anciens qui avaient déjà quelques années de bons et loyaux services à la centrale ou dans les postes extérieurs, et qui avaient vécu la modernisation du système et la montée en puissance des nouvelles technologies, la symbiose des 2 sources de personnel se complétant a vu le niveau de l'ensemble des équipes augmenter que ce soit à la centrale, dans les postes extérieurs ou en mission. Ainsi je prends un exemple, les intervenants en mission (tels les nageurs de combat) qui exécuteront la mission sur le terrain ne font plus que très rarement la reconnaissance sur le terrain de l'objectif, ce sont des spécialistes qui connaissent bien le boulot des nageurs (ancien nageur, ou ancien militaire ayant travaillé avec les nageurs) qui prépareront les dossiers d'objectifs, ce sont aussi des spécialistes connaissant bien le boulot qui encadreront et organiseront les transits, les récupérations, les exfiltrations, les déposes de matériel, etc... des agents intervenants. Toutes choses qui pouvaient géner le boulot générique de l'intervenant final, il n'a plus dorénavant qu'à s'occuper de sa part de travail. Ainsi, le boulot est cloisonné et on n'aura moins de risques d'avoir une équipe coincée parce qu'elle serait revenue sur le lieu oû elle a sévi afin récupérer soit du matériel soit prendre une liaison aérienne civile soit autres éléments tels des bien pauvres factures* de dépenses à justifier et à fournir au retour. Tout a été ainsi maximisé pour que la mission lambda ou pas soit rendue positive. * = Au sujet des factures, ne riez pas, au début des années d'un certain directeur général issu de la société civile (haut cadre d'Air France), en retour de mission, il fallait fournir les factures des devises dépensées au service comptable pour se faire rembourser, pour une réunion à Berlin ou à Washington, cela n'était pas gênant, mais vous saisissez que cela ne pouvait aller dans le sens d'un niveau opérationnel optimum lors d'une mission à risques... Pour preuves ce qui s'est passé aux antipodes à cette époque là.
  24. Hier dimanche 26/05 au matin, j'ai assisté à la cérémonie de remise des diplômes aux 24 jeunes qui ont suivi la session depuis octobre du centre de préparation militaire marine de Carcassonne. La cérémonie vu que nous sommes en période électorale a eu lieu dans l'enceinte du centre de transmissions marine (CTM France Sud) à La Lauzette, Villepinte (11). La plupart des jeunes garçons et filles de la région ayant suivi cette instruction ont l'intention de continuer et devraient tenter de préparer un dossier afin de s'engager dans la marine. Voir le blog tenu par le fils du capitaine de frégate chef de centre en tapant sous Google search : blog de PMM carcassonne Ainsi vous en saurez un peu plus avec des informations à jour.
  25. A titre personnel, quand je lis cela, je m'étouffe.... Il faut savoir qu'un agent de la DGSE, même à la retraite, ne parle jamais de ses missions passées, réussies ou pas. la protection du secret qu'il a eu à prendre en compte tout le long de sa vie professionnelle et qu'il a contresigné, lui impose un silence de 60 ans (secret défense). Donc si Anonyme rompt ce silence obligatoire là en évoquant ne serait ce que un seul ou quelques éléments d'une seule mission que celle ci soit d'entraînement ou opérationnelle réelle, et bien il risque d'avoir des comptes à rendre et d'avoir une plainte à son encontre pour divulgation de secrets relevant de la Défense Nationale. Qu'il puisse dire qu'il ait fait partie de la DGSE, normal, mais qu'il aille jusqu'à divulguer son niveau d'emploi, son secteur d'activité et enfin qu'il évoque des missions, et qu'il diffuse des informations sur le "service" et la "centrale"... Là je ne donne pas cher de son anonymat qui ne le restera pas bien longtemps. Je ne veux pas jouer au "père la morale", je me sens obligé de faire un rappel de consignes tel que peut et doit le faire tout cadre responsable du ministère de la défense et tel qu'il a du recevoir et prendre connaissance de ces consignes de protection du secret par le service de sécurité de la centrale lorsqu'il a été intégré dans cette direction. Sauf, bien sûr s'il ne nous fait croire qu'il est... Auquel cas il ne manque pas d'imagination. Je n'ai rien à rajouter mon message est clair.

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