La Syrie est un pays très secret, à ne surtout pas sous estimer. D'autant plus qu'ils sont soutenus par nombre de partenaires dont l'Iran et la Corée du Nord avec lesquels elle n'échange pas uniquement des ingénieurs ...
C'est à mon humble avis c' est à prendre avec des pincettes, et je pense que personne ici n'a les carte en main pour commenter la décision d'un engagement en Syrie ... ou la réduction d'effectif puisque c'est le topic.
A mon sens les seul faits avérés sont que les ressources financières - qui sont le nerf de la guerre - ne sont plus ce qu'elles étaient et que comme l'article le dit si bien, les militaires n'ont pas le droit de grêve donc il est plus facile de cibler l'armée dans le cadre des réductions des dépenses publiques.
D'autre part, il me semble qu'au niveau de la thématique défense, vue de l'extérieur (je suis toujours civil ^^), les conflits se sont métamorphosés au fil des décennies. Ces changements entraînent une apréhension différente des dangers qui nous entourent avec une armée en conséquence adaptée à la menace.
Néanmoins, la question que je me pose, directement en lien avec la réduction d'effectifs, les nouveaux conflits et l'instabilité montante au niveau géopolitique est la suivante : si dans un futur proche, un conflit plus "conventionnel" type guerre totale éclate ( d'ici 2019, qui peut prédire que la paix sera maintenue ? ), serons-nous à même de nous défendre ?
Si non, qui nous aidera et quelles en seront les contre-parties / conséquences ?