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Manudu42600

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  1. Comme promis voici un Retex de la PMPFS (préparation militaire parachutiste des forces spéciales) d'avril 2014 , qui pour certains, réveillera peut-être l'envie d'y participer. Pour des raisons évidentes aucun nom ne sera mentionné. D'autre part, le matériel et les activités ne seront détaillés davantage afin de conserver une certaine magie pour ceux qui y participeront ultérieurement. 1er jour... Arrivée à Pau la veille du RDV pour ma part. Et oui pas de train ! 1h avant le rendez-vous direction la gare. Les candidats arrivent petit à petit, présentations de chacun... A 17h un bus se pointe sur le parking. On charge nos sacs, on s’installe et direction l’école de troupes aéroportées ! Arrivé à l’ETAP, direction le réfectoire et retour au chalet. Quelques indications nous sont laissées concernant les horaires et au dodo ! Assez calme jusque là:cool:. Le lendemain perception des paquetages pour certains pendant que d’autres s’initient à l’OS (ordre serré). Des consignes nous sont données par cadres qui feront par la même occasion une présentation des instructeurs, du stage et de ses modalités ! Le début d’après midi annonce les premières épreuves sportives telles qu’il est indiqué sur nos convoc. Nul besoin d’être Rambo. Un entrainement sérieux à la course, à la musculation et l'envie de se dépasser suffiront. On commence par le 4 km après un bon échauffement. Afin de pouvoir continuer la PM vous devrez obligatoirement effectuer ces 4km en 24min au maximum et pour ceux qui aspirent au 1er RPIMa il sera demandé de les effectuer en moins de 16 min ! A peine le temps de souffler et direction le gymnase pour les maxi en pompes, abdos, tractions et grimper de corde ! Déçu ? Trop tard ! C’est là qu’il fallait tout donner… En raison de la disponibilité des avions la première semaine sera consacrée à l’instruction troupes aéroportées. Bien qu’ayant mangé comme des porcs vous devrez rester concentré car les cours s’enchainent et il vous sera demandé d’assimiler rapidement afin d’avoir le temps nécessaire au passage de chaque modules : réception lors de l’atterrissage et roulé-boulés (sur l’herbe ou dans des graviers depuis une petite plateforme), mise en place de l’équipement et pliage sommaire du parachute ventral/dorsal, simulateur de direction du vent, procédure d’embarquement et maquettes d’avion simulant la sortie…. La veille du saut vous passerez sur l’agrès de synthèse afin de mettre en pratique tout ce que vous aurez appris durant la semaine alors mieux vaut avoir suivi ! Enfin vous assisterez une conférence sur le saut en ouverture automatique et les procédures de sécurité à appliquer en cas d’accident. "Faites ventral!" A qu’est-ce qu’on est serré ! Au fond de cette boite… Le jour du saut arrivé, direction la zone d’embarquement. A partir de là vous serez triplement vérifié par les instructeurs. Nous nous équipâmes donc comme vu durant l’instruction. Au loin, l’avion, un CASA, se met en position. Chaque stagiaire vérifié, direction la rampe arrière de l’avion. Le largueur et d’autres responsables procèdent à une énième vérification. Premiers pas sur la rampe de l’avion, point de non retour atteint, prochaine sortie à hauteur de 400m à plus 240 km/h ! Une fois entassé, l’instructeur nous fait signe de nous asseoir. Attachez vos ceintures : "click!". En préchauffage, les moteurs passent à la vitesse supérieure : les hélices latérales se mettent à tourner pleine balle, le moteur fait un bruit assourdissant, l’odeur du kérosène se fait sentir, le stress se lit sur le visage des stagiaires ou se fait sentir par des rires nerveux. La rampe arrière commence à remonter tout doucement et petit à petit ne laisse entrevoir qu’une mince ouverture… clack ! Nous voici enfermé au cœur de l’avion. Celui-ci procède à quelques manœuvre et demi-tours. Décollera, décollera pas ? Une fois en position il se stoppe net. Dès ce moment, les turbines et le bruit assourdissant du moteur redoublent d’intensité, l’avion tremble de tout son corps, une poussée nous entasse les uns contre les autres et c’est parti ! Il prend de la vitesse et tout doucement nous nous extirpons du sol. Serré les uns contre les autres on peut apercevoir le sol qui s’éloigne à travers les vitres du Casa. L’avion adopte sa hauteur et sa vitesse de croisière. « Sauter d’un avion en vol à plus de 240km/h, c’est pas naturel… Mais tellement bon ! » 10-15 minutes de vol et le largueur procède à l‘ouverture de la porte arrière droite. Ah de l’air ! Quelques minutes de vol porte ouverte et le largueur nous demande de nous lever, de ranger nos ceintures et d’attacher nos SOA. Toujours entassés, le premier se met en position, mains sur la carlingue, prêt à s’extirper au top. Encre quelques minutes de vol et… "GO ! En position. Go ! En position Go !.......". Les stagiaires du câble B encore assis ainsi que moi-même en fin de colonne, voyons les candidats s’engouffrer et disparaître à un à un par la porte. Mais où vont-ils comme ça ?! La file se rétrécit à une vitesse fulgurante et je me rapproche tout doucement de la porte. Plus que 5, plus que 4, plus que 3, plus que 2,…..et c’est à mon tour ! "EN POSITION ! GO !!!" Je reproduis grossièrement les pas vus lors de l’instruction, l’instructeur me tape dans le dos et je m’extirpe le plus loin possible de la carlingue de l’avion . A partir de ce moment, tout se déroule en une fraction de seconde qui paraît durer une éternité. A plus de 240km/h la puissance du souffle me fait valdinguer dans tous les sens, l’impression d’être dans un sèche-linge en mode essorage. J’entends toujours le bruit assourdissant de l’avion, de l’air et de la S.O.A. qui extirpe mon parachute avec l’impression que celui-ci ne s'ouvrira pas, ma chute paraissant durer une éternité. Et d’un coup, un choc assez sec me laisse stone. Et là… grand silence. L’impression d’être seul au monde. A peine un léger vent qui fait vaciller ma voile et s’engouffre dans mes suspentes…Quelques gouttes de pluies tombent sur la coupole. Sa y est ! ON l’A FAIT ! DÉPUCELLÉ !!! A la manière de nos anciens durant les batailles et de tous ceux qui ont suivis, nous avons franchis la porte... Quelques secondes de vol pour admirer le paysage, contrôler la voile, vérifier qu’aucun stagiaire ne me fonce dessus et je prends la position d’atterrissage… Vlam ! Je m’écrase comme une merde au sol, je déclipe l’un des éventeurs pour dégonfler ma voile qui me traîne sur l’herbe. Pliage sommaire du parachute, quelques centaines de mètres en courant avec les 25kg d’attirail pour rejoindre la tour de contrôle et on se ré-équipe pour le saut suivant ! Même procédé : vérification des stagiaires, montée dans l’avions, clipage des ceintures, allumage du moteur, ça pue le kérosène, l’avion décolle, ouverture de la porte... et le largueur nous fait signe de nous rasseoir, le saut est annulé… Trop de vent, des orages qui arrivent, l’avion reçoit l’ordre d’atterrir. Dommage car si le palpitant était à 100% lors du premier saut, il l’était deux fois plus lors du second ! La pression redescend, on atterrit et réintégration du matériel. Le lendemain, visite du musé des parachutistes qui est à voir au moins une fois dans sa vie (hyper intéressant et de très belles mise en scène homme-matériel !). La remise des brevets prémilitaire parachutiste sera faite dans la foulée, toujours avec une pluie battante. Et oui, saut par temps pluvieux, remise des brevets par temps pluvieux ! La semaine suivante direction le camp de Souge avec au programme, bivouac ainsi que présentation du matériel de vison nocturne (hallucinant !). Le lendemain, pendant que certains s’initient au TIOR, d’autres prennent la direction du stand de tir (20 cartouches au FAMAS, 20 cartouches au PA Glock 17 à 25m: terrible !). Ensuite présentation du matériel : armement, matériel de plongée des nageurs-palmeurs, matos de la spé montagne ….etc. Pour les amateurs de beau matos vous serez gavé ! Retour à Pau, vous visiterez la base du 4ème RHFS qui vous présentera le Caracal… vous aurez même la chance de monter à bord. Oui oui, en marche ! Là, un seul mot d’ordre: PROFITEZ ! Attention ça souffle : lorsque vous voyez et que vous sentez arriver le bestiau (une jolie machine, attention !), vous ne regrettez pas d’être venu… Vous ferez également du secourisme au combat. La semaine s’enchainera avec une marche, de l’OS et quelques conférences sur les métiers, les spécialités, les carrières, et le quotidien au sein des forces spéciales. Des présentations inédites ! Voici en quoi consiste la PMPFS. Ce type de préparation se destine à tous ceux qui désirent intégrer un jour les forces spéciales que ce soit au 1er RPIMa, au 13ème RDP, ou au 4ème RHFS. Vous aurez ainsi l’occasion de mettre un pied dans ce milieu et de vous faire une idée de votre futur métier. Si je peux vous donner un conseil, allez-y préparé. Le rythme est soutenu entre le sport, les conférences et les activités qui s’enchaînent, vous n’aurez pas trop le temps de souffler. Vous aurez également l’occasion de poser TOUTES les questions qui vous trottent l’esprit, les instructeurs se feront un plaisir d’y répondre sans tabou. En sortant de votre PM vous n’aurez normalement plus de doute ou d’incertitudes quand à votre futur métier. Point positifs: Cette PM a été une expérience extraordinaire. Elle permet de rencontrer, d’échanger avec des personnes travaillant au sein de la BFST. Des moyens hors du commun sont mis à notre disposition. Et oui ce n’est pas tout le monde qui a l’opportunité, la chance, de voler 20 minutes en Caracal, de sauter en parachute d’un avion militaire, de visiter le camp du 13, de rencontrer des personnes issues du milieu, d’appréhender du matériel spécifique aux FS…. Donc c’est un minimum, abordez cette PM avec sérieux et SURTOUT avec un bon état d’esprit. J’entends par là maturité, esprit de cohésion, goût pour l’aventure, et avant tout humilité. Humilité. Ce mot vous l’entendrez souvent... C’est la base ! Point négatifs : Certains regrettent de n’avoir eu d’informations pour le CPIS. A priori tout se passe aux entretiens. D’autre part, quelques candidats manquaient de sérieux pour cette PM. Dommage mais le but de cette préparation est également d’observer et d’effectuer une présélection des stagiaires. Bref, très peu de choses à redire face à toutes les opportunités qu’offre d’une telle préparation. Voilà. Evidemment ce retour d’expérience résulte de mon avis personnel, d’autres ayant perçu les choses autrement. Mais dans l’ensemble, tous les candidats ont étés comblés et ravis de cette expérience.
  2. Retex posté: https://www.aumilitaire.com/forum/21447-retex-une-pmpfs,pour-qui,pourquoi.html Bonne lecture.
  3. Désolé pour le retard je sus débordé, j'essaie de faire ceci avant le WE, mais c'est promis je vous le poste !
  4. Retex en préparation histoire de vous faire rêver... Le temps de le finir d'ici début de semaine prochaine et c'est good.:cool:
  5. Rôdé par l'encadrement LOL (Sacha)
  6. J-4 :happy: Qui y vas? Je serai peut-être sur place dès samedi...
  7. Je n'ai jamais utilisé ces livres, je ne peux donc pas te répondre à ce sujet mais je pense qu'ils doivent être très bien ! En revanche j'ai lu beaucoup l'actualité (google actu et la Croix). Je me suis également entraîné avec un ancien cours méthodique de dissertation du Cned que j'avais eu il y a 5 ou 6 ans pour préparer le concours de gardien de la paix (que j'ai d’ailleurs raté ^^). Et j'ai également refait toute les dissert. des anciens concours (une par jour pour un total de 22 dissert). Tu peux les trouver sur ces sites : http://prepagavsog.wordpress.com/aides-aux-concours/exemple-sujets-ecrits-admissibilite-concours-sog/ http://www.lagendarmerierecrute.fr/Documentation/Annales/Annales-concours-sous-officiers-de-gendarmerie/Concours-septembre-2012 Bref, j'ai eu les résultats il y a quelques jours et admissible au concour de mars :)
  8. Sa fait mal ! les places sont chère ! :(
  9. Ok je pense que ça n'a pas facilité la vie tout le monde le lieu choisi cette fois-ci. Au dernier concours javai eu 12 à la compo, 11 aux tests psycho, et 11 en anglais (à peu près). Anglais et tests de Raven je pense m'être maintenu mais la dissert. même si je pense l'avoir mieux réussi (j'ai révisé beaucoup plus cette fois-ci) j'ai du mal à être optimiste. Ça va être long jusqu'au 08 avril !
  10. Des officiers de gendarmerie??? Je pensai que c'était des profs de français qui corrigeaient. Pour 1/3 d'absent à Lyon, je trouve que la salle était bien remplie... après la salle était grande... Et aussi il y a le fait que les transports en commun ne déversaient pas ce jour là! Ce qui expliquerait une partie des absent mais c'était indiqué sur nos convoc. C'est bizard d'ailleurs? D'où le nombre de taxis je pense...) D'ailleurs vous êtes venus comment?
  11. Très juste ! Avec le nombre de corrections à faire (d'ailleurs c'est qui qui corrige?), les correcteurs n'ont pas forcément envie de lire un roman. D'où la raison pour laquelle j'ai écris petit. Oui c'est vrai. Il me semble que la méthode préconise de revenir à la ligne si l'on aborde un autre point dans une même partie?
  12. Le mot épanouissance existe, non? La correction du forum me le souligne mais google donne plusieurs exemple avec ce mot... Pour ma part j'ai fait 4 pages mais écrivant petit et en utilisant chaque carreaux de 0,5mm. Théoriquement si j'avais sauté un carreau entre chaque ligne je me serai retrouvé avec 7-8 pages... :| Ne t'inquiète pas, moi aussi j'ai inventé quelques mots avec le stress. Lors du premier concours SOG de 2013 j'avai eu 11,43... La moyenne du dernier candidat admissible était de 11,47. Dans les choux de 4 centièmes de points :mad::mad:
  13. Je suis sceptique... En tout cas c'est drôle, au début superbe écriture ensuite des crampes aux mains et il faut lutter pour que la belle écriture du début ne se transforme en pattes de mouches ! En tout cas j'étais étonné que la plupart des candidats aient finis au bout de 2h30. Il m'a fallu bien les 3h, 20 minutes de plus n'auraient pas été du luxe. Au bout des 3h , on était pas nombreux encore assis.
  14. J'ai recopié rapidement la plupart de ce que j'ai marqué pour ce sujet en reprenant mon brouillon (avant que tout ceci ne me sorte de la tête): => Le travail. Fondé sur l’intelligence collective, il est la base de notre société, laquelle repose sur son évolution et sa pérennité. L’homme étant par nature enclin à se réunir, le travail permet a chacun de tisser des liens sociaux, établis par le contrat social. Pour certains le travail se dit vecteur d’ambitions. En effet, le travail permet à quiconque d’évoluer, de créer, d’entreprendre et d’établir des projets. Le travail se diversifie en nombre de spécialités. La hiérarchie au travail permet à chacun d’évoluer au gré de ses ambitions et de ses compétences. Ces idées laissent songer à un monde où la recette du bonheur est liée à l’épanouissement au travail. Mais la réalité des faits tranche avec cette idée. La récente annonce du gouvernement indique que le chômage a atteint des niveaux record insupportables, les jeunes étant particulièrement touchés. La mondialisation favorisée par l’arrivée d’internet et le développement des moyens de communication a conduit à de nombreuses inégalités à travers le monde. En effet la moitié de la richesse mondiale serait détenue par les 1% les plus riches, soit 85 des plus grandes fortunes. Tandis que le travail permet à certains de s’épanouir, il est pour d’autres une cause de souffrance et d’exclusion menant parfois à certains suicides. Toutes ces interrogations et l’inquiétude des faits mettent à mal la pérennité du travail et l’épanouissement des travailleurs. C’est pourquoi nous devons nous demander : le travail est-il interopérable avec bonheur et épanouissement personnel ? Afin de répondre à cette interrogation, il convient de se demander quelles sont les carences et les troubles portant atteinte à la quête du bonheur au travail, d’une part. En second lieu, notre raisonnement sera consacré au travail facteur d’intégration et garant de l’épanouissement personnel. Enfin, nous déterminerons quelles nécessités s’impose pour l’accès au bonheur, au travail. 1- L es carences liées au travail : a) XXIème siècle et mondialisation = rythme de vie et cadences imposés par la concurrence déloyale et la délocalisation des entreprises (pour la recherche continuelle du profit sans scrupules), déshumanisation du travail courant à la perte de nombreux emplois, augmentation de la population mondiale (7,5 milliards en 2012 pour 9,5 milliards prévus en 2050). Difficultés des nations à répondre à la demande d’emplois. L’exclusion au travail favorisant de nombreuses dépressions et parfois certains suicides : Stabilité éphémère de l’emploi et victimes d’exclusion, de chantage, de discrimination ou de harcèlement parmi les actifs : jeunes, anciens, femmes, handicapés, étrangers… Mais aussi chez les inactifs : chômeurs, jeunes, retraités… Des carences difficilement conciliables avec le bonheur au travail. De surcroit, beaucoup de salariés peinent à s’intégrer et s’isolent. La peur de l’avenir, le pessimisme renforcé par les troubles de l’époque (crise économique, terrorisme) ont ainsi conduis à de nombreux cas de dépressions chez nombre de salariés. 2- En quoi le travail rend-il heureux : a) La famille pilier de la société : Lors d’un récent sondage, la famille reste la priorité des Français semblant avoir confiance en les politiques familiales. Le travail permet de subvenir à ce besoin ainsi qu’à de nombreux autres besoins secondaires… Le travail permet aussi de s’intégrer en société, de nombreuses rencontres amicales ou affectives émanant des relations professionnelles. Autre atout indéniable au travail : Le droit. Le droit est un principe philosophique, juridique et moral en vertu duquel les actions humaines doivent être sanctionnées ou récompensées en fonction de leur mérite au regard du droit et de la morale. …CGT, conventions collectives, possibilités de recours en cas de litige, prud’hommes, droits des travailleurs, comités d’entreprise…. 3- Quelles nécessités s’imposent pour concilier bonheur et travail. a) Promouvoir le dialogue au travail : certaines entreprises ont jouées la carte de la transparence, en publiant notamment parle biais d’un écran accessibles à tous, ses revenus, son chiffre d’affaire ainsi que le salaire de chaque employés. Nécessitant bien entendu des explications conséquentes quant aux écarts entre salariés, cette méthode permettrait de supprimer les jalousies et rumeurs négatives entre employés. On ne peut plus enseigner comme on le faisait autrefois. L’enseignement doit être repensé, adapté à des enfants du XXIème siècle, soumis au stress de l’image, à la pression de l’argent. Les enfants sont devenus des consommateurs de marques ciblés par les industriels. L’omniprésence de la tv et d’internet sont une réalité, l’école doit intégrer cet état de fait dans ces pratiques par une utilisation accrue de l’ordinateur et des images sous toutes leurs formes. L’école doit être un relais entre les études et l’entrée dans la vie active, elle doit être perçue comme une institution et non plus comme un sanctuaire en marge de la société. c) Concilier bonheur et travail implique la pratique d’activités annexes permettant de trouver et de cultiver son équilibre personnel. L’apparition de 2 semaines de congés payés, instaurées par le Front populaire en 1936 ont permis le développement de nombreuses activités culturelles et sportives. Le sport permet de épanouir et de cultiver cet équilibre, d’où l’adage « Mens sana in corpore sano », un esprit sain dans un corps sain. D’autres trouveront leur équilibre par la pratique de différentes activités culturelles, le culte de leur religion ou en consacrant sa vie à l’aide des plus démunis aux côtés d’aide sociales. Conclusion : La nécessité de donner un sens à sa vie.
  15. Salut! A tous ceux qui ont passer le concours (j'étais également de la partie) comment avez-vous trouvé les épreuves, et qu'avez-vous penser de la journée? Perso j'ai trouvé qu'il n'y avait pas beaucoup d'absent, la salle à Lyon était bien remplie. Pour le concours SOG 1, le sujet était : Le travail rend-il heureux? Vaste sujet!

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