Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

Toute l’activité

Ce flux se met à jour automatiquement

  1. Dernière heure
  2. Exact c'est pour çà qu'un petit jeune du site qui avait choisi le Train c'est retrouvé au RTP ( bien classé) et ses potes fantassins de choc béret bleu dans des "vieilles casernes oubliées " là il larguait sans doute sur Gaza 😁....
  3. Pense à une paire de baskets de qualité qui vont t'éviter pas mal de problème au niveau des membres inférieurs..çà nage pas au top loin de là mais çà court beaucoup ....
  4. 15 jours normalement Vous aller recevoir plusieurs sacs à dos militaire (45 li, 70li +, sac à barda, ...) mais qui sont destinés à un usage mili sur le terrain. Pour votre arrivée, prenez un sac de voyage avec vous effets personnels, plutôt qu'une valise (ça se plie moins facilement), et plutôt d'un modèle civil que khaki. Clairon
  5. Attention, les voeux et le mode recrutement MDR/EVAT diffère fortement du recrutement EVSO/Sous-Off. Pour les EVAT on formule de un à trois choix de "régiment" ou garnison (le 1er RI, le 2e RMAT, le 3e RHC, 4e Chasseurs, 5e Dragons, 6e Génie, ...) Pour les Sous-off on choisi le DS (Domaine de Spécialité) : Infanterie, Génie Combat, RH, Sports, Musique, ... et en fonction de sa "scolarité" à l'ENSOA et des résultats obtenus on pourra choisir parmi les régiments recrutant dans cette spécialité à ce moment précis, ou bien on "sera choisi" en fonction de son classement ... Clairon
  6. La formation à l'ENSOA est ponctuée de 5 terrain dont 3 ERAF (vous allez les adorer) + une nuit dans un camp pour passer le module bravo sur le HK. Le premier terrain intervient en clôture de votre 3eme semaine d'école avant lui vous n'aurez pas de quartier libre et après lui vous en aurez sauf si les gars de votre section font de la merde. Tous les terrains durent 3 nuit et 3 journée sauf celui de la Courtine il me semble, mais je ne l'ai pas encore fait.
  7. Je ne sais pas quelle opportunité s'offre à un pax en sortie de l'ensoa dans cette branche ...A mon avis tu commenceras evat dans un régiment comme soldat . https://www.defense.gouv.fr/sante/recrutement/rejoindre-service-sante-armees/professions-paramedicales/devenez-infirmier-militaire-forces Brancardier c'est evat . 26 berges ne tarde pas ...🧐
  8. Aujourd’hui
  9. On te souhaite de rester dans le projet initial , mais là les résultats seront déterminants .Comme pour tous y compris les candidats officiers ...Il s'agit d'une gestion de masse .
  10. Intéressant, je l’ignorais. J’attends le retour, ma candidature étant EVSO, et par conséquent MDR par la même occasion, je vais devoir discuter du choix final avec mon CeR. (Enfin, choix "final" en adéquation avec mes résultats et motivations). Effectivement, celui qui vise un régiment précis a tout intérêt à y candidater directement.
  11. Depuis peu, les commandos marine, en particulier ceux du commando Hubert, basé à Saint-Mandrier [Var], utilisent le Propulseur sous-marin de 3e génération [PSM3G], grâce à un hangar de pont amovible [encore appelé Dry Dock Shelter, ou DDS] placé derrière le kiosque des sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de classe Suffren. Produit par Exail [ex-ECA Group] et doté d’un mât télescopique muni d’un capteur optronique et de systèmes de transmission, cet engin peut emporter une dizaine de nageurs de combat pour des missions d’infiltration. Mais ses caractéristiques sont confidentielles. « C’est un véritable outil anti-déni d’accès. […] Il y a très peu de nations qui possèdent ce type de vecteur et maîtrisent la capacité globale du triptyque PSM-DDS-SNA. Les capacités opérationnelles du PSM3G sont révolutionnaires par rapport à l’actuel PSM2G », précise la Marine nationale. Outre le PSM3G, les commandos marine utilisent aussi des « tracteurs sous-marins » [TSM], comme, du reste, les nageurs de combat du 1er Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine [RPIMa] et du 13e Régiment de Dragons Parachutistes [RDP]. De dimensions réduites, ces propulseurs sous-marins permettent de doubler le rayon d’action des plongeurs tout en emportant une charge utile [notamment des explosifs] de plusieurs dizaines de kilogrammes. En novembre 2010, il avait été rapporté que la Marine nationale s’intéressait au tracteur sous-marin DPD [Diver Propulsion Device], conçu par l’entreprise américaine STIDD et commercialisé en France par TR Équipements (ci-dessus). Il s’agissait de remplacer les modèles autrefois fournis par la société française Premeco. Visiblement, ce modèle a donné satisfaction, à en juger par les rares photographies du Commando Hubert publiées à l’occasion de reportages sur les forces spéciales. D’une masse de 75 kilogrammes à sec, le DPD mesure 2,24 mètres une fois déployé, pour un diamètre de 61 centimètres. Il permet de transporter deux plongeurs avec leurs équipements [soit 40 kilos] sur une dizaine de nautiques. D’une autonomie de 4 heures, grâce à des batteries lithium-ion, il est doté d’un système de navigation par GPS et d’une antenne télescopique. Mais ces engins ont fait leur temps. En effet, via un avis de marché qu’elle vient de publier, la Direction générale de l’armement [DGA] a fait savoir qu’elle était en quête de nouveaux tracteurs sous-marins destinés à la Marine nationale. « Un tracteur sous-marin […] est un engin automoteur de forme et de taille variable destiné aux plongeurs, leur permettant d’augmenter leur rayon d’action et de transporter du matériel. Ils sont constitués possiblement de sous-ensembles sur étagères, seront utilisés par des plongeurs de la Marine nationale depuis la terre [quai, etc.] ou la mer [embarcations, etc.] pour diverses actions comme la reconnaissance sous-marine, l’intervention contre les obstacles sous-marins, etc. », rappelle d’abord la DGA. Ces futurs TSM devront avoir des « performances propulsives » et une autonomie devant permettre à « un binôme de plongeurs d’augmenter significativement son rayon d’action via une autonomie supérieure à 10 nautiques avec un fort état de mer », précise-t-elle, avant d’ajouter que le « système de propulsion [unité d’énergie, moteur, hélice] devra être « fonctionnellement redondé ». Autre spécification : l’utilisateur devra être en mesure d’assurer « certaines tâches de maintenance en autonomie comme le remplacement de moteur, d’unité d’énergie ou d’hélice ». Enfin, les TSM recherchés devront être dotés « d’un système de cartographie et de navigation, de moyens de positionnement, d’un sonar de navigation et de sonars latéraux ». Selon l’avis de la DGA, l’industriel qui sera retenu aura à fournir deux TSM « à courte échéance », ces derniers devant faire l’objet d’une « commande ferme ». Puis, douze autres suivront par la suite. La valeur du marché est estimée à 30 millions d’euros maximum. Cette somme couvre « des prestations associées comprenant notamment la fourniture d’accessoires, de sous-ensembles, de conditionnements de transport, la formation, la documentation d’utilisation et de maintenance ainsi que des rechanges et outillages ». Les candidats – et leurs éventuels sous-contractants – devront être basés « exclusivement sur le territoire de l’Union européenne ». Et la DGA d’ajouter : « La livraison des matériels et la réalisation de la formation se dérouleront au sein des principales bases navales de la Marine Nationale en France métropolitaine. Les documents seront livrés à Paris ou Toulon ». Reste à voir le modèle susceptible d’être choisi. En 2021, le 1er RPIMa a reçu deux TSM de type Divejet RD2, fournis par l’entreprise allemande Rotinor, via TR Équipements. Mais ses performances ne sont sans doute pas celles qu’attendent les commandos marine, dont le choix pourrait se porter sur une solution française, à savoir celle proposée par Alseamar, avec le Murene. Photo : ALSEAMAR https://www.opex360.com/2025/08/07/le-ministere-des-armees-est-en-quete-de-14-nouveaux-tracteurs-sous-marins-pour-les-commandos-marine/
      • 1
      • Like
  12. Merci à vous deux @BTX, bien entendu ! Une seule semaine de vacances prévue, et tout le reste est mouvementé à coup de séance de sport. Ne pas subir ! @Yann pyromane, exact, choix "simples" mais avec un plaisir important. Je laisse les super-héros ou les Captain Price de Call of Duty de côté Bien entendu pour les deux PM, on essaye la tête de liste ! Louis.
  13. https://www.opex360.com/2025/08/06/m-lecornu-1-euro-investi-dans-notre-defense-cest-en-moyenne-15-euro-de-richesse-creee-dans-leconomie-francaise/ Alors que le gouvernement s’apprête à soumettre au Parlement un nouveau plan pour rééquilibrer les comptes publics et contenir la progression des dépenses publiques grâce à une « année blanche » en 2026, c’est-à-dire que les prestations et les barèmes ne seront pas augmentés, le ministère des Armées sera l’un des rares à voir son budget progresser significativement l’an prochain, son montant devant passer de 50,5 à 57,1 milliards d’euros, comme l’a annoncé le président Macron le 13 juillet. Comme cela a pu être naguère le cas, cette hausse des dépenses militaires risque d’être contestée par une partie de la classe politique et de l’opinion publique, malgré l’accumulation des menaces et le durcissement de la conflictualité et les coupes budgétaires, souvent drastiques, dont les armées ont été victimes dans les années 2000 et 2010. D’ailleurs, lors d’une audition au Sénat, en juin, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a confirmé que le « muscle » des forces françaises avait fini par être « attaqué » durant la période des « dividendes de la paix ». Les « coupes budgétaires dans les années 2000 ont été brutales. C’est même de l’amputation », a-t-il dit. Et ce n’est pas pour ça que la dette de la France s’est réduite, bien au contraire. Quoi qu’il en soit, M. Lecornu devra convaincre de la nécessité de cette hausse importante des crédits militaires. Sans attendre la rentrée parlementaire, il est passé à l’offensive en prenant l’exemple de la région Auvergne-Rhône-Alpes. « Investir dans nos armées, c’est concret. En Auvergne-Rhône-Alpes, l’économie de défense c’est 25 121 emplois dans les 738 PME et ETI sous-traitantes de l’industrie de défense, pour un total de 3,5 milliards d’euros de paiements directs du ministère des Armées aux entreprises en 2025, 20 078 personnels du ministère présents, qui génèrent avec leurs familles 14 605 emplois dans les services et commerces de proximité, 194,5 millions d’euros investis dans les infrastructures, et 2 369 PME et ETI fournisseurs directs du ministère sur le territoire », a-t-il détaillé. « Notre effort de défense est nécessaire pour garantir notre capacité à être libres souverainement. Il est aussi essentiel pour notre économie », a souligné M. Lecornu, qui a ensuite enfoncé le clou. « Le modèle français, souverain, garantit que la grande majorité du budget de nos armées est réinjecté dans notre économie nationale », a insisté le ministre, avant de rappeler que les 4 369 entreprises de la Base industrielle et technologique de défense représentaient « près de 210 000 emplois ». Il aurait pu également ajouter que leurs exportations permettaient aussi de rééquilibrer la balance commerciale. En outre, au-delà des aspects industriels, M. Lecornu a fait valoir que « partout en France autour de nos bases, régiments, sites techniques et administratifs », les « 260 000 agents civils et militaires du ministère participent à la vie de nos territoires, générant avec leurs familles plus de 200 000 emplois induits dans les services et commerces de proximité ». Aussi, selon lui, « 1 euro investi dans notre défense, c’est en moyenne 1,5 euro de richesse créée dans l’économie française ». Cet appel à l’argument du « multiplicateur keynésien » [encore appelé « multiplicateur d’investissement »] n’est pas nouveau. Avant lui, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense entre 2012 et 2017, l’avait avancé, en donnant une estimation « au doigt mouillé ». « Un seul euro investi dans l’industrie de défense représente en retombée économique 2 euros, 3 euros, peut-être davantage », avait-il en effet déclaré, dans un commentaire sur les exportations françaises d’équipements militaires, en février 2016. « Il est utile pour la réflexion sur la stratégie industrielle d’y réfléchir, au moins de le mettre en valeur et de le constater », avait-il asséné. À l’époque, une note de l’Observatoire économique de la Défense avait expliqué que « les investissements de la défense […] contribu[ai]ent également à la croissance, à l’innovation, à l’emploi et au développement des territoires tout en tenant compte des contraintes économiques et budgétaires auxquelles [étaient] soumis le ministère ». Trois ans plus tard, Florence Parly, alors ministre des Armées, avait repris à son compte cet argument. « Un euro investi dans les industries de défense, c’est, in fine, au bout de dix ans, 2 euros de croissance économique, et donc du PIB ». Ce que confirma un rapport de l’Assemblée nationale, publié en 2020. « Les dépenses publiques consenties dans ces industries de souveraineté bénéficient très majoritairement à des producteurs français et, en conséquence, créent de l’activité, de l’emploi et de la valeur ajoutée en France. Dans d’autres secteurs, à l’inverse, les dépenses publiques stimulent davantage d’importations, ce qui limite d’autant leur effet bénéfique sur l’économie française », était-il avancé dans ce document. Plus récemment, le ministère des Armées s’est appuyé sur une étude de l’Institut de l’économie industrielle pour évaluer exactement ce que rapporte un euro de dépense militaire à l’économie française. « L’investissement militaire agit comme un véritable multiplicateur économique. […] Chaque euro investi dans la défense génère entre 1,27 euro et 1,68 euro de richesse dans l’économie nationale, en fonction de l’horizon temporel considéré », a-t-il en effet avancé. Et d’ajouter : « Ce multiplicateur élevé s’explique par la structure même des dépenses militaires, qui se concentrent sur la production industrielle nationale à forte valeur ajoutée technologique, et mobilisent un large écosystème de sous-traitants, d’ingénieurs, de techniciens et de services annexes ». Selon le ministère des Armées, les investissements dans la défense ont la particularité de « contribuer directement à la croissance du PIB en stimulant la demande domestique » et en encourageant la modernisation des outils de production. « À moyen et long terme, les effets se prolongent par l’amélioration de la productivité globale de l’économie, en raison des retombées technologiques, de la diffusion d’innovations vers le secteur civil et du maintien de compétences de pointe sur le territoire », a-t-il relevé. Sur le plan budgétaire, a-t-il conclu, « les dépenses de la défense ont également un effet de retour fiscal significatif » car elles engendrent de « l’activité » et « alimentent la taxe sur la valeur ajoutée [TVA], les impôts sur les sociétés, les cotisations sociales ainsi que l’impôt sur le revenu des salariés concernés ».
  14. L’intérêt de postuler directement dans les régiments comme par chez moi au 21 Rima prend tout son sens , pas de surprise . https://www.instagram.com/21erima/p/C66zIQRM40p/?img_index=1
  15. Tout çà est bien ficelé , tu ne demandes pas la lune . Essaye de bien réussir tes PM " Apte officier requis" à la PMS bien évidemment .Tu as toutes tes chances .
  16. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/decrypt-defense-la-chaine-youtube-de-lexpert-es-blindes-marc-chassillan/ L’excellent Marc Chassillan, grand expert des blindés et senior international consultant chez SPAD, donne désormais rendez-vous sur sa chaîne Youtube: Decrypt.défense On y trouve des vidéos de présentation des matériels les plus emblématiques présentés au salon turc IDEF d’Istanbul, des interventions sur la chaîne LCI, des reportages au Bourget et d’autres sujets liés à l’actualité de défense. C’est ici.
  17. A noter aussi qu'il n'y a aucune obligation a formuler 3 voeux, vous pouvez si vous le voulez n'en formuler que 1 ou 2, ça diminue vos chances certes, mais si vous avez les capacités et un but précis, ça peut se comprendre Clairon
  18. Salut normalement c'est une formalité cependant le Doc militaire est souverain dans ses décisions .Tu es comme tu es, je dirai ne rien cacher quand on te pose des questions .Arriver en bonne condition physique basique , les dents OK , les vaccins prévus ok et tout ira bien .Pour les régiments para c'est plutôt à la fin que tu sauras 😁 dans quelques mois .Les places sont prises par les premiers à toi d'en faire partie sinon ce sera béret bleu ..
  19. Envers un candidat qui s'appelle "douze" ... On comprend 😁 Clairon
  20. Merci pour ces précisions, tout est clair. Plus qu’à patienter. Je suppose que les propositions peuvent aussi dépendre des sessions de recrutement de chaque régiment.
  21. ENSOA et CFIM n'ont STRICTEMENT rien de semblable. Au CFIM, la FGI dure quatre mois destinée à faire acquérir à l'EVAT les fondamentaux du métier de soldat et les actes élémentaires, se poster, se déplacer et utiliser son arme. Le plus "dur" sera en compagnie au régiment lors de la formation à la spécialité (emploi) de l'EVAT. Saint Maixent est une Ecole Militaire, chargée d'une longue et glorieuse histoire. Elle a formé et forme depuis des siècles des officiers d'Infanterie et désormais des sous-officiers. Six mois de formation initiale. Des cours, des sorties terrain, des exercices de jour et de nuit, du sport, du tir et beaucoup de données théoriques à ingurgiter et à maîtriser. On vous inculque les principes qui feront de vous un Sous-Officier, càd, un spécialiste. Voici ce que j'écrivais jadis aux futurs EVSO : Quels que soient au final vos domaines de spécialités et filières, vous avez choisi d'exercer le métier des armes. A nul autre comparable. Dur, exigeant, complexe, sous-payé et exposé aux critiques de tout bord, politique et militaire confondu. En prenant cette voie, vous n'avez pas choisi la facilité loin s'en faut. Vous serez pris entre l'enclume, les EVAT à l'image de la société, et le marteau, les officiers. Il faudra conquérir votre place, chaque jour et à chaque instant contestée. Un sous-officier commande. Lui seul commande les EVAT. Il commande parce qu'il a 1/la compétence 2/le savoir-faire L'officier doit rester à sa place, rien que sa place et toute sa place et l'occuper. Il commande des sous-officiers. Exiger de vos officiers des ordres clairs et précis, exécutables par la troupe càd les EVAT. Il vous faudra le rappeler INLASSABLEMENT à votre chef de section. Comment pourrait-il en être autrement ? Comment pourriez-vous assumer vos responsabilités au combat si, dès le temps de paix au quartier, vous tolériez que l'officier prenne votre place et fasse votre boulot. Que penseront de vous vos EVAT ? Que vous êtes incompétent et paresseux. En prenant cette voie, vous n'avez pas choisi la facilité loin s'en faut. Il faudra cultiver l'exemplarité, ne pas se laisser aller au copinage. Soyez dur avec vous-même pour pouvoir l'être avec vos subordonnés. Bannissez le tutoiement. Exigez de vos petits gradés (caporaux-chefs et caporaux) le respect dû à votre statut et à vos compétences.". BTX
  22. Très belle spécialité qui offre pas mal d'opportunités .Bon choix .
  23. merci BTX 💪🏽 Actuellement je brancardier et je me disais que brancardier secouriste ( auxiliaire sanitaire) serais une belle évolution dans mon domaine. sinon RH ou administration
  24. Enfin, je range le calibre. Bienvenue Que souhaitez vous rejoindre comme domaine de spécialités ? En clair, vers que métier vous tourneriez-vous ? BTX
  25. Bonjour Quentin, comme ce passe l’es terrain durant la formation a l’ensoa ? La durée et la quantité
  26. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/usa-plus-de-limite-dage-pour-rejoindre-les-forces-de-limmigration-and-customs-enforcement/ Dans un post du 18 juin (lire ici), j’avais signalé que l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) des Etats-Unis voulait recruter dix mille nouveaux agents. Je précisais que « 858 millions de dollars supplémentaires seront consacrés à des primes à la signature et à d’autres primes pour les missions de maintien de l’ordre ». Dans une interview accordée à Fox News, Kristi Noem, la secrétaire du Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a déclaré que les efforts déployés pour recruter 10 000 nouveaux agents de l’ICE ont été « extrêmement fructueux »: « À ce jour, nous avons déjà plus de 80 000 candidatures pour ces 10 000 postes », a-t-elle déclaré. Candidats donc. Il va falloir les recruter formellement puis les équiper et les former avant de les déployer. Or, l’administration Trump est pressée. Kristi Noem a donc annoncé ce mercredi que l’ICE allait supprimer les limites d’âge pour les nouveaux candidats. Objectif: permettre à un « nombre encore plus grand de patriotes soient qualifiés pour rejoindre l’ICE dans sa mission d’arrêter les meurtriers, les pédophiles, les membres de gangs, les violeurs et autres criminels étrangers en situation irrégulière dans les rues américaines » (lire le communiqué ici). Supprimer la limite d’âge pour les nouvelles embauches permettra ainsi aux personnes de plus de 40 ans de rejoindre sa force d’expulsion. Cette décision, qui s’appliquera aux agents actuellement en fin de contrat, supprime également la limite d’âge pour les candidats aux postes d’enquêteurs, qui était auparavant fixée à 37 ans. Enfin, le DHS a également annoncé mercredi une prime à la signature pouvant atteindre 50 000 dollars et un remboursement de prêt étudiant pouvant atteindre 60 000 dollars.
  27. Il n'y a plus qu'à attendre en améliorant sa forme physique = cardio, musculation (dont tractions et abdominaux), endurance et technique grimper de corde. BTX
  1. Charger plus d’activité

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...