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Saint-Dizier et sa région ont sans doute des qualités mais en tout cas ce n'est sûrement pas le divertissement qui arrive en tête et loin de là.

Tout à fait, et ma remarque allait en ce sens.

C'est assez amusant de voir les discours moralisateurs sur le cannabis. C'est à peu de choses près les mêmes effets que l'alcool, qui est bien moins mal vue dans la société car licite/beaucoup d'argent en jeu. C'est une histoire de mesure. Après, pour des métiers où la moindre erreur de jugement ne peut être acceptable, c'est certain que c'est à prohiber totalement. On aurait pas l'idée d'aller à une séance de tir après une cuite, c'est pareil avec un pète. Après, c'est pas parce qu'on est détecté positif une semaine après la fumette que l'on est encore sous l'effet du cannabis. Et c'est pas parce qu'on tire sur un pète de temps en temps que l'on est un drogué qui ratera sa vie ou que l'on détruit sa santé. Personnellement je n'aime pas l'idée de perdre le contrôle de moi-même donc je ne fume pas, mais il faut être réaliste, une grande majorité des jeunes - et aussi de personnes un peu plus agées - sont consommateurs de cannabis quelque soit sa forme et ne sont pas des bons à rien, drogués à la moelle.

Ce qui est amusant c'est qu'au bout de 10 minutes sans réponse, il fait une remarque.

Mais le passage au CSO est unique et identique aux deux armées? Et sinon, ça doit-être plutôt mal vu d'ouvrir deux dossiers à la fois, non?

Bonjour, Je ne sais pas si je poste au bon endroit ou non. Je me pose une question ; si on souhaite postuler pour une spécialité qui est ouverte à la fois dans l'AT et l'AA, est-il possible de postuler en même temps pour les deux armées? Si oui, est-ce bien vu? Ou alors est-il préférable de tenter sa chance avec une armée puis si l'on n'est pas reçu d'entamer un nouveau dossier pour l'autre armée?

Merci Dudz, j'avais déjà lu un certain nombre de ces informations. Ces éléments s'inscrivent dans la tradition des Chasseurs Alpins. "L'esprit chasseur" ne serait-il donc "que" la tradition ou cela va-t-il au-delà? Aussi, ce ne sont pas les seuls a avoir un tradition forte, je me demandais donc pourquoi ils mettaient ce point davantage en avant par rapport aux autres formations.

Bonsoir à tous. Je continue à tenter de découvrir les vastes domaines que couvrent les opportunités d'emploi dans l'Armée de Terre. Je me pose donc la question suivante: Qu'est ce que "l'esprit chasseurs alpins"? En effet, je lis souvent cette formule et il me semble que c'est la seule formation à mettre sans cesse en avant "son esprit" spécifique sur les sites web, les plaquettes d'information, etc. Quelles sont donc les composantes de cet "esprit chasseur" ?

Je te remercie. Ca paraît un peu étrange d'évaluer le stress d'un candidat par rapport à ce genre de questions.

Tu peux donner un exemple de question s'il te plaît?

Bonsoir à tous. Sur quel type de tests ils évaluent la gestion du stress?

Je vais tenter d'avoir plus d'informations sur les conditions exactes de travail dans cette spécialité. Il est vrai que présenté de la sorte ça paraît assez rebutant. Je ne retrouve pas sur le site de l'ADT les détails que mentionne BTX.

D'après mes recherches, ils sont affectés aux régiments de transmissions de la Brigade de Renseignement, le 44e et le 54e. En ce qui concerne la DGSE, ils sont recrutés sur concours et n'ont apparemment pas le statut de militaire.

Merci BTX pour vos précisions. J'ai pris contact avec un membre du forum qui avait été retenu pour cette spécialité. L'AT se fait avant l'entrée à Saint-Maixent, en revanche des sélections éliminatoires se font par la suite à Strasbourg et en cas d'échec il faut se réorienter.

Merci pour vos réponses. Je sais que le mieux est de se renseigner dans un CIRFA mais je suis actuellement à l'étranger. Merci BTX pour vos précisions sur l'AT. J'avais déjà parcouru le descriptif du site recrutement de l'ADT et fait des recherches également sur celui de l'ENSOA. Mais ils ne sont pas très prolixes. Je voulais savoir en substance vers quel(s) type(s) de locuteurs se portait le recrutement d'autant que l'Arabe ou le Chinois, par exemple, sont des domaines linguistiques extrêmement vastes. Autrement dit, savoir si le CFIAR à Strasbourg enseigne la langue aux recrutés ou s'il s'applique essentiellement à les former aux aspects spécifiques et techniques de la spécialité. @Sugerlady: J'ai un peu de mal à saisir la pertinence de ton propos. Maîtrise : capacité à employer une langue. Niveau : degré atteint. Exemple : le Cadre européen de référence pour les langues (CECR) est un outil tendant à évaluer ce niveau de maîtrise.

J'aimerais savoir quel est le niveau de maîtrise de la langue étrangère requis pour envisager un recrutement en tant que linguiste d'écoute. Je n'ai pas réussi à trouver d'informations à ce sujet.

Que te conseille ton orienteur? Je n'ai pas encore commencé le processus de recrutement mais je pense que je serai face au même genre de dilemme.

Bienvenue ! Tes résultats sont très bons! Tu dis qu'au vu de ton âge, ça risquerait d'être compromis pour toi. Tu ne veux pas du tout t'engager en tant qu'EVAT?

En ce qui concerne l'aspect physique, je n'ai pas à ma connaissance de contre-indications, à l'exception d'une myopie légère (- 0,75 et - 1,25) et une fracture du bras il y a 12 ans. Je ne sais pas si c'est un frein à certaines spécialités. Niveau sport, je fais de la musculation et deux séances de footing de 1 heures par semaine (environ 11/12 km). Je fais également de la natation environ 2 fois par mois. En revanche les tractions en pronation sont un enfer pour moi, il faut que je travaille ça. D'un point de vue pratique, j'ai cru comprendre qu'avant de tirer des plans sur la comète, il faut passer par le CSO, seul indicateur viable pour envisager les possibilités qui s'offrent à nous. C'est ça qui aiguille aussi vers une candidature EVSO ou EVAT, si j'ai bien compris. C'est assez complexe de se retrouver entre les domaines, les armes, les spécialités, les régiments, etc. Je rentre en France en Avril, je compte donc prendre un premier contact avec l'orienteur à ce moment-là. Je vise l'ouverture d'un dossier fin Octobre/ début Novembre afin de me préparer parfaitement. En attendant, je vais essayer de me renseigner autant que je peux sur ce forum et sur Internet en général.

Bonjour à tous! J'ai découvert il y a quelques semaines ce forum ; je l'ai parcouru dans tous les sens avec intérêt et je décide donc de m'inscrire pour pouvoir interagir avec vous. Je suis un jeune homme de 22 ans originaire de Lorraine. Je vais essayer de résumer mon parcours, qui, je pense, permet de mieux cerner le processus qui me conduit à vouloir intégrer l'Armée de Terre. J'ai toujours été attiré par l'Armée de Terre, sans savoir très bien au début exprimer les raisons. J'ai obtenu un Baccalauréat Littéraire mention Très Bien en 2007. Par la suite, parallèlement à des activités salariées nécessaires pour le financement de ma vie et de mes études, j'ai entamé des études en Droit que j'ai arrêtées en deuxième année. Je suis quelqu'un de pragmatique; J'ai grandi à la campagne où j'ai toujours été habitué à faire des travaux de force dans des exploitations agricoles et l'absence d'activité physique / de concret m'a totalement ennuyé et déconcerté. J'ai alors effectué une pause dans ma formation universitaire. J'ai eu l'occasion de partir au Liban pendant un mois ainsi qu'en Chine. Le Liban a été pour moi un expérience importante. La confrontation à une autre culture, un autre système de faire les choses, etc. Ça m'a poussé aussi à m'interroger sur le contexte géo-politique de la région. J'ai notamment vu sur le terrain le déploiement des forces de la FINUL ; ça a été pour moi une nouvelle occasion de questionner le sens d'un engagement dans l'Armée. A mon retour en France j'ai entamé des études en Arabe Littéral ainsi qu'une Licence en Anglais spécialité FLE. J'ai obtenu mon diplôme sanctionnant mon initiation à la langue arabe et actuellement je continue à étudier l'Anglais. Je suis en deuxième année, par correspondance, ce qui me permet de travailler en Italie et d'assouvir mon besoin de faire quelque chose de concret. Tout au long de ce parcours, ces expériences ont renforcé, pour diverses raisons, ma vocation à servir dans l'Armée de Terre. Ce qui me pousse avant toute à vouloir m'engager, c'est le facteur humain: - D'un point de vue personnel, j'ai un besoin incompressible d'activité. J'ai envie de développer mes capacités et ma résistance tant d'un point vue physique que mental. J'ai envie de flirter avec mes limites et de les repousser. De mieux me connaître et de m'affirmer. - D'un point de vue collectif, la collaboration, la dynamique de groupe, la cohésion et les valeurs partagées et véhiculées dans le cadre militaire m'attirent beaucoup. Je crois vraiment que l'armée est un cadre unique. - Enfin, par le soutien que le militaire apporte d'une manière générale à la société civile, française ou étrangère, que cela soit à travers des missions à la suite de catastrophes naturelles, de menaces à la sécurité des populations, ou à travers des conflits armées. Enfin, au-delà de mon goût pour la mobilité, de ma curiosité et de mon ouverture sur le monde, mes déplacements à l'étranger ont tout simplement également renforcé mon attachement à mon pays et à ses valeurs. Au-delà de considérations qualitatives qui n'auraient pas de sens, je parle vraiment du sentiment d'appartenance qui n'a pas de traduction écrite. Aujourd'hui je suis sûr de moi. Mais j'ai aussi, bien sûr, beaucoup de questionnements d'un point de vue pratique. J'ai déjà eu deux contacts avec les services de recrutement de l'Armée de Terre. Le premier en 2007, avant de passer mon Baccalauréat, où à la suite de ma JAPD, j'ai pris un rendez-vous dans un CIRAT avec un « orienteur ». J'avais trouvé la dame qui m'avait reçue peu courtoise et peu réceptive. Avec du recul, je comprends que c'est en fait parce que je n'avais pas de projet réfléchi motivant un tel engagement. Mon deuxième contact a été en 2009, lorsque j'ai voulu me renseigner pour devenir réserviste. Or, en pleine période morose en contexte de réformes, je m'étais vu répondre que mon profile ne correspondait pas à la réserve. Toutes ces considérations, fruit d'une maturation, me poussent aujourd'hui à agir et à prendre ma décision : m'engager. Voilà, désolé pour cette présentation un peu longue. Merci à ceux qui auront le courage de la lire jusqu'au bout ainsi qu'à ceux qui m'aideront dans le processus de recrutement à travers vos témoignages et vos réponses que je parcoure attentivement sur tout le forum.