Bonjour/bonsoir
Je suis nouveau sur ce forum et j'avoue ne pas avoir trouvé la réponse a ma question, donc je vous prie de m'excuser si je l'ai manquée !
Pour vous expliquer ma situation, j'ai passé des tests de sélection a Nancy fin juin 2023
Je sais seulement que j'ai plutôt réussi l'anglais (110/150), le sport, malgré une pratique plutôt récente de celui ci (7 tractions, 57 squats et palier 8.45)
Je n'ai pas plus de détails car mon entretien a duré 5 minutes, dans lesquelles ont m'a expliqué que j'avais des antécédents psychologiques plutôt lourds (décès de ma mère un an plus tôt, conflit avec plusieurs de mes amis donc gros repli sur moi même et pendant quelques mois une période de mutilation (sans chercher le suicide derrière, ce sont juste des brûlures sur l'avant bras, ça forme de petites taches blanches) donc, étant donné que je suis jeune et que ces évènements sont assez récents, on m'a mis inapte temporaire pour pouvoir prendre rdv a Metz chez un psychiatre militaire.
Et donc, pour en revenir a aujourd'hui, le médecin militaire m'a appelé pour m'annoncer que après examens, ils avaient choisis de me mettre inapte a l'engagement, mais en me conseillant malgré tout de faire une demande de sur-expertise a Metz. (Et si elle ne débouchait sur rien d'attendre quelques mois pour retenter un engagement) l'ennui est que sur ma fiche d'inaptitude il est marqué que je suis p5, et de ce que j'ai compris, c'était inapte définitif (un plaisir)
Donc j'ai écris cet après midi même une demande de sur-expertise pour reprendre certains points que j'aurais pu avoir mal communiqué durant l'entretien. J'ai donc précisé avoir fait le deuil de ma mère, avoir réglé les conflits avec mes anciens amis, m'être repris en main et surtout que les mutilations avaient plus vocations a chercher de l'attention auprès de mon entourage plutôt que me faire du mal réellement, que je ne réfléchissais pas vraiment et que je le regrettais profondément. J'ai également précisé que j'ai consulté deux psychologues sur un peu moins d'un an, qui ne m'ont décelée aucune pathologie, même pas de dépression, juste une déprime a la limite et des ruminations, sur lesquelles j'ai travaillé avec l'un d'eux.
Voici donc mes questions :
- est ce que c'est une "cause perdue" et je suis juste en train de perdre mon temps et faire perdre celui du CMA de Metz ?
- est ce qu'il ai nécessaire de re-consulter un psychologue/psychiatre afin d'appuyer ma demande ?
Merci beaucoup si vous avez tout lu et désolé pour ce pavé de mots !!
Crdl