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  • Date de naissance 22/05/2003

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    Étudiant en médecine, 21 ans, presque aspirant med de réserve au SSA

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  1. Si tu es en étude sup à l'université, et que celle-ci n'est pas trop bercée dans le wokisme, tu peux avoir un référent défense qui permet de faire le lien entre la scolarité de ta faculté et tes référents de la réserve Tu as aussi un statut RSE qui te permet d'être plus souple sur les présences obligatoires en TD et en exam
  2. Vous me faites dire exactement l’inverse de ce que j’ai écrit. Je ne critique pas le fait de recruter des étudiants — j’en suis un. Ce que je dénonce, c’est l'incapacité d’articuler les besoins avec la réalité de nos cursus. Si vous cherchez à recruter des étudiants dans un domaine spécifique, peut-être commencer par se renseigner sur les rythmes universitaires et les contraintes propres à chaque cycle (1er, 2e, 3e) ? Cela semblerait logique, d’autant que les postes devraient justement s’adapter au prorata de cet avancement, non ? Mais non, on préfère justifier l’injustifiable : retards à rallonge, absence de communication, candidature fantôme… avec en prime une petite leçon de morale sur “l’engagement” et le “savoir attendre”. Résultat : 1 année de perdue à cause de la lenteur administrative. Une candidature sérieuse, anticipée, motivée, tombée dans le vide. Et ce n’est pas un cas isolé — c’est récurrent. Cela dit, je devrais être incorporé prochainement comme ASP. Je suivrai mon chemin, je servirai là où on aura besoin de moi, et je regarderai de loin certains RH continuer à expliquer qu’ils font ce qu’ils peuvent, qu’ils ne sont jamais en tort, et que tout va bien dans le meilleur des mondes. Et je lirai, encore et encore, sur ce forum, des témoignages de candidats sérieux et prometteurs écoeurés par un système qui s’auto-congratule tout en gâchant ses propres ressources. Quelle ironie, n’est-ce pas ? Je suis d’accord avec vous : beaucoup de cadres font ce qu’ils peuvent avec les moyens du bords. Et sans parler des réservistes fantômes.. M'enfin, peut-être qu'avec le contexte géopolitique, cela changera !
  3. Discours hors-sol. Vous avez des étudiants qui sont de moins en moins disponibles au fil des années. Vous ratez donc la fenêtre de tir où vous auriez pu leur faire passer l'ensemble des formations sans difficulté, et vous perdez les années où ils auraient pu poser un maximum de jours de réserve. Par ailleurs, il ne s'agit pas d'un cas isolé, mais d'au moins 30 personnes concernées. Nous assistons à vos réunions, à vos discours, on fait les choses correctement. Pourtant de l'autre côté, cela ne suit pas : vous rejetez la faute sur le vivier d'étudiants qui vient postuler pour servir, sur le peu de temps libre dont ils disposent, en plus de leur études, qui sont exigeantes. Permettez-moi de sourire face à ce raisonnement, qui, à lui seul, résume parfaitement la problématique initiale. Quant au recrutement de spécialistes, c'est une belle idée. Mais petit scoop : il n'y a pas beaucoup de carabins, et ils sont déjà débordés. Alors comment leur faire passer leurs formations dans ces conditions ? C'est tout l'intérêt de recruter des étudiants : vous pouvez les former, les fidéliser, et ils finiront par devenir médecins à leur tour. J'entends et comprends vos difficultés RH. Toutefois, pensez-vous vraiment que vos candidats, après un an d'attente, seront toujours aussi motivés pour servir, après s'être fait balader pendant tout ce temps ?
  4. C'est un excellent résumé du vivier universitaire.. Toutefois, il faut aussi s'avouer que le recrutement des réservistes est catastrophique, et encore le mot est faible. Vous n'imaginez pas le nombre de personnes qui finissent par abandonner. L'armée nous fait des réunions, des réunions, des réunions, ou ils expliquent avoir besoin de réservistes, et encore plus qu'ils sont contents d'eux et de leurs recrutements. (Essayez de dire devant les gradés qu'on se moque de nous, je suis un peu près certain que notre dossier s'évaporera par la suite..) Entre-deux, on a toute une faculté de médecine qui attend depuis 1 AN de se faire recruter voir ne serait-ce d'avoir une réponse négative comme positive. (on devrait avoir des dossiers plus ou moins interessants tout de même ????) Comment voulez-vous fidéliser en traitant de cette manière les personnes ? Comment expliquer une telle lenteur de l'administration militaire ? Je m'étais déjà pointé en personne pour aller au bureau du personnel demander des nouvelles de nos dossiers à 18 h après l'amphi. Le soldat a l'entrée m'avait rit au nez en disant que cela faisait déjà longtemps qu'il n'y avait plus personne.. Bref, il y a un an, nous aurions tous embrassé une carrière dans la réserve en parallèle de nos études de médecine. Dorénavant, cela s'approcherait plus d'un job étudiant de quelques années tout au plus. (si un jour, on se fait incorporer bien entendu)
  5. Je ne suis pas certain qu'après une FMIR1 et une FMIR2, un réserviste soit capable de tenir le front en toute franchise.. Pour le coup, ils suivent une carrière d'officier assez classique ! Concernant le SSA du moins. Côté formation, ils font encore la FMIR 1 et 2. Ce n'est juste pas une obligation pour commencer à travailler dans la réserve, il me semble qu'il y a 1 ou 2 ans pour la faire.
  6. L'intérêt de la réserve est aussi de ramener des individus diplômés ayant des compétences techniques.. On sait très bien qu'un réserviste n'ira pas en première ligne, c'est n'est nullement sa vocation... Toutefois, il peut apporter un savoir-faire différent que de savoir se battre. Il peut participer à la recherche, au renseignement, aux soins, à l'enseignement, à l'administration si l'on veut.. Honnêtement quel intérêt d'avoir un ingénieur derrière son bureau dans sa base capable de prouesses athlétiques hors normes ? Ou d'un médecin, chef de service, qui ne sortira jamais de son hôpital puisqu'il a besoin de son matériel pour travailler ? Voir même d'un expert-comptable à Paris ?
  7. "B. La formation. 1. Principes généraux. La formation est indissociable du parcours professionnel du réserviste. Elle doit lui permettre d'obtenir des connaissances sur l’institution militaire et sur le milieu dans lequel il évolue et d'acquérir les spécificités techniques indispensables à la réalisation de ses activités au sein du service de santé des armées (SSA). Tout réserviste n’ayant aucun passé militaire (service national, active ou réserve), qui rejoint le SSA doit suivre la formation initiale de réserve en deux modules (FMIR) au cours de ses deux premières années de contrat. Ces formations sont prises en charge et organisées par les SeRFRéM. La non-réalisation de la formation expose au non renouvellement de contrat ou à un renouvellement limité à un an pour lui permettre de régulariser sa situation. 2. La formation socle. Cette formation a pour objet de délivrer une information générale sur le monde de la défense et du SSA en particulier. La FMIR1, d’une durée comprise entre cinq et sept jours, est réalisée dans le cadre de l'engagement à servir dans la réserve opérationnelle (ESR) souscrit par chaque volontaire. 3. La formation militaire santé (FMIR 2) À l'issue de la formation socle, les réservistes effectuent une formation militaire adaptée aux missions du service de santé des armées. D’une durée comprise entre cinq et sept jours, la FMIR 2 est obligatoire pour la réalisation des activités opérationnelles de soutien (exercices, manœuvres, projections, etc.). 4. Les formations d’adaptation à l’emploi ou de préparation au contexte opérationnel Après la formation militaire initiale, le personnel de réserve suit des formations lui permettant d'adapter ses connaissances techniques au milieu militaire. Celles-ci peuvent être communes avec celles dispensées au personnel d'active. Disponibles dans le catalogue de l’EVDG, ces demandes sont laissées à la discrétion de l’employeur. Certaines formations dispensées par des organismes, telles que l'école supérieure des officiers de réserve spécialistes d'état-major (ESORSEM) ou l'institut des hautes études de la défense nationale (IHEDN), préparent à des fonctions de responsabilité au sein d’états major ou cabinets." Source : "https://www.gorssa.fr/23-10-24 Mémento.pdf" Étant donné que je suis toujours candidat et pas encore incorporé, je ne peux que te donner les informations que j'ai.. Mais comme tu vois, une fois rentrée dans le système, tu as deux ans (voir plus) pour te mettre à niveau selon les exigences ! De plus, j'ai l'impression que les réservistes du SSA se font rares sur le forum :/, normalement, d'ici cet été, je devrais enfin rentrer dedans en tant qu'étudiant en med. Je pourrais donc répondre à tes questions d'ici-là si aucune réponse ne t'aura été apportée !
  8. "4. Formations des infirmiers militaires 4.1. Formation initiale Le recrutement des IDE militaires se fait soit parmi les militaires des forces, soit parmi les infirmiers civils, sur titres c’est-à-dire après obtention de leur diplôme d’État. Les militaires des forces souhaitant devenir infirmiers intègrent sur concours l’École du Personnel Paramédical des Armées (EPPA), école militaire au sein de laquelle ils suivent à la fois une formation en soins infirmiers (identique à celle civile) et une formation militaire spécialisée. En plus, s’ajoute un curriculum particulier pour l’acquisition des compétences dite « cœur de métier infirmier militaire ». Elles sont au nombre de trois et s’implémentent dans le cursus traditionnel tout au long de la formation initiale. Ces enseignements par compétences se décomposent en unités de formation et en stages spécifiques La formation au SC se décompose en 3 niveaux. Les niveaux 1 (SC1) et 2 (SC2) sont enseignés lors de la formation initiale dans le cadre de l’acquisition de la compétence C. .... 4.2. Formation continue Après validation de leur formation initiale soignante et militaire, les infirmiers du SSA sont affectés dans un centre médical des armées ou dans un des 8 HIA (Clamart et Bégin en Île-de-France, Toulon, Marseille, Lyon, Brest, Metz et 10 ■ L’URGENCE HORS STRUCTUREBordeaux). Tout au long de leur carrière, un enseignement médico-militaire continu et dynamique, à la fois théorique et pratique, leur est dispensé. Actuellement, avant toute projection opérationnelle, les équipes médicales bénéficient d’une préparation opérationnelle santé spécifique, adaptée aux particularités du TOE sur lequel elles seront engagées. Les médecins et les IDE des forces sont ainsi formés au niveau 3 du sauvetage au combat (SC3)." Ci-joint le papier de la Société Française de Médecine d'Urgence : https://www.sfmu.org/upload/70_formation/02_eformation/02_congres/Urgences/urgences2015/donnees/pdf/107.pdf Sous-entendu que cela est réservé pour les infirmiers militaires lors d'Opex ! Je t'invite également à lire le post de BTX : " Memento du réserviste opérationnel du SSA " (https://aumilitaire.com/communaute/topic/63109-memento-du-réserviste-opérationnel-du-ssa/)
  9. Ce n'était pas mentionné, mais cela reste très important pour les étudiants : la réserve apporte 40 points parcours sur les 60 de l'internat !
  10. Le tout sera de réussir à remplir l'hôpital de soignant... Or le SSA en manque déjà cruellement Quid du civil ou ce n'est pas mieux, puisqu'en réalité nous ne formons pas plus de médecin (Le numerus est établi en fonction du nombre de places assises en amphi.. spoiler alerte : nous n'avons pas construit d'amphi) Puis à force de mesures coercitives envers les jeunes médecins qui doivent payer des décennies de bêtises politiques, on les fait fuir Pour ensuite essayer de combler le déficit en important d'autres médecins avec parfois une moins bonne formation que la nôtre
  11. Franchement respect, surtout avec l'externat 🥸
  12. Exactement, 40 points parcours pour les EDN ! Sur le second point, tu as malheureusement raison.. Mais entre faire de la restauration l'été ou servir à quelque chose, le choix est vite fait . D'autant qu'on a eu des promesses disant que les parcours allaient changer ! Toutefois, quel parcours du combattant de rejoindre une réserve.. J'y suis depuis Mai 2024, premier contact avec l'HIA Février 2025, et ce n'est pas fini.. Ça t'avait pris autant de temps à toi aussi ?
  13. Bonjour, Ils recrutent activement dès la P2 avec des parcours dédiés ! Du moins, dans ma fac, je ne sais pas comment cela fonctionne ailleurs

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