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Tout ce qui a été posté par archinard

  1. Le nettoyage continue www.cridem.org 27-06-2011 15:57 Opération de ratissage après le raid contre Aqmi au Mali. Les armées mauritanienne et malienne ont poursuivi lundi des opérations de ratissage au Mali, trois jours après un raid de l'armée mauritanienne contre une base d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui, selon Nouakchott, a fait 17 morts, quinze jihadistes et deux soldats mauritaniens. Ces opérations, menées conjointement, ont lieu dans et autour de la forêt du Wagadou, située dans le nord-ouest du Mali, à 70 km de la frontière mauritanienne, que les deux armées ont investie, chacune en contrôlant un secteur déterminé. Il s'agit, selon des sources mauritaniennes, de pourchasser les derniers membres d'Aqmi qui avaient établi dans cette forêt un campement, dont l'état-major de l'armée à Nouakchott a révélé qu'il a été totalement détruit lors du raid mené vendredi par les seuls soldats mauritaniens. Lors de ce raid terrestre soutenu par l'aviation, quinze membres d'Aqmi et deux soldats mauritaniens ont été tués, cinq autres blessés, selon l'état-major mauritanien qui a indiqué que la base d'Aqmi abritait de l'armement lourd anti-char et anti-aérien et constituait une menace pour la Mauritanie.
  2. Aqmi a perdu gros www.cridem.org 27-06-201111:22 Mali: 15 combattants d'Aqmi tués à la frontière avec la Mauritanie. Quinze combattants d'Al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) ont péri dans une opération lancée vendredi par la Mauritanie et le Mali à la frontière entre les deux pays, a déclaré dimanche l'armée mauritanienne. Neuf militants d'Aqmi ont également été capturés par l'armée malienne, a précisé un porte-parole militaire, qui a fait état de deux morts et cinq blessés dans les rangs mauritaniens. Les combats ont eu lieu dans la forêt de Wagadou, une zone proche de la frontière avec la Mauritanie d'où les islamistes armés d'Aqmi, issus de la mouvance salafiste algérienne, sont réputés agir. «Nettoyer la région» «L'opération, menée à environ 70 kilomètres de nos frontières, fait suite à une décision de l'armée mauritanienne de nettoyer la région où un camp armé bien protégé menace la sécurité de notre pays», a déclaré le colonel Teyib Ould Brahim lors d'une conférence de presse. Une source gouvernementale malienne a précisé samedi à Reuters que des armes lourdes avaient été utilisées dans les affrontements et que des hélicoptères avaient été mis à contribution pour évacuer les blessés. Prises d’otages et trafic de drogue Les gouvernements de la région largement désertique du Sahel sont sur le qui-vive depuis qu'Oussama ben Laden, chef d'Al-Qaida, a été exécuté le 2 mai au Pakistan par des forces spéciales américaines. Aqmi a étendu sa zone d'action ces dernières années dans tout le Sahel, se finançant notamment grâce à des prises d'otages de touristes et une dîme sur le trafic de la drogue latino-américaine destinée à l'Europe, qui transite par la région
  3. www.cridem.org 25-06-201110:53 La Mauritanie détruit un campement d'Aqmi au Mali, au moins 4 blessés L'armée mauritanienne a entièrement détruit vendredi un campement d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) en territoire malien lors d'un assaut au cours duquel quatre de ses hommes ont été blessés, a annoncé à l'AFP une source militaire mauritanienne. L'opération militaire mauritanienne a été confirmée à l'AFP à Bamako par une source militaire malienne, le capitaine Ousmane Diarra, qui a indiqué que les combats ont été très violents. Aucun bilan n'était immédiatement disponible sur les pertes d'Aqmi et "l'armée malienne n'a pas participé à l'attaque proprement dite", qui s'est déroulée dans la zone de la forêt du Wagadou (ouest du Mali), près de la frontière mauritanienne, a précisé la source militaire mauritanienne jointe depuis Nouakchott. Des moyens aériens ont été utilisés lors de cet assaut qui a eu lieu vers 17H45 (locales et GMT)". Le campement d'Aqmi a été entièrement détruit,mais les terroristes ont riposté avec un armement lourd, a-t-elle ajouté. Selon elle, quatre militaires mauritaniens ont été blessés, dont deux grièvement lors de l'assaut. "Le bilan définitif côté ennemi ne sera fait qu'à la levée du jour samedi matin, mais il doit être important. (...) Les tentes du campement et trois véhicules ont été détruits au sol avec leurs occupants" dont le nombre n'est pas encore déterminé, a-t-elle expliqué. "De fortes déflagrations ont été entendues sur un rayon de 20 km, probablement celles de munitions de haut calibre stockées dans le campement", a encore dit la source militaire. Plusieurs sources militaires avaient affirmé récemment à un journaliste de l'AFP basé à Bamako qu'Aqmi tentait actuellement d'installer une nouvelle base dans la forêt du Wagadou. Selon la source militaire mauritanienne jointe depuis Nouakchott, le mouvement des hommes d'Aqmi avait été suivi et leur lieu d'implantation localisé avant l'attaque de vendredi après-midi. Le capitaine malien Diarra a de son côté expliqué à l'AFP à Bamako: "Vendredi en début de nuit, il y a eu de violents combats entre Aqmi et l'armée mauritanienne en territoire malien". L'affrontement s'est déroulé sur des positions que les Mauritaniens tenaient dans le cadre des opérations militaires communes.Le capitaine Diarra a précisé que les combats ont été très violents. Des centaines de militaires maliens et mauritaniens mènent depuis le 21 juin et "pour quelques semaines" des opérations communes le long de leur frontière contre Aqmi et la criminalités organisée, d'après des sources au sein des deux armées. D'après des témoins joints cette semaine par l'AFP depuis Bamako, des hélicoptères participent à ces opérations. Le Mali et la Mauritanie sont parmi les pays les plus concernés par les activités d'Aqmi, avec le Niger et l'Algérie, où cette organisation est née et se livre dans le Sahel à des attentats, des enlèvements et divers trafics
  4. Un kamikaze s'est infiltré en Mauritanie hier nuit,à partir du nord Mali.Attention:porte une ceinture explosive.Alerte maximale www.cridem.org 21-06-2011 20:42 Les services de sécurité recherchent un kamikaze qui serait infiltré en Mauritanie par AQMI De source informe, on apprend que les services de sécurité ont procédé à la diffusion du portrait de celui qui serait un kamikaze d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique qui se serait infiltré en territoire mauritanien pour exécuter un attentat. De même source, on apprend que les services de sécurité sont parvenus à des renseignements concernant un jeune homme originaire du nord malien répondant au nom « Ould jiddou Ould Soueilim » qui serait entré en Mauritanie équipé d’une ceinture explosive en vue d’exécuter un attentat visant un objectif encore non défini. Le portrait robot du jeune a été mis à la disposition de l’ensemble des points de contrôle d’accès de la capitale. Rappelons qu’Aqmi a déjà exécuté trois attentats kamikaze, dont le premier st celui de 2009 ayant visé l’ambassade de France en Mauritanie. Le second était celui de Néma ayant visé la 5ème région militaire, en plus du troisième attentat échoué à l’entrée ouest de la capitale, en février dernier.
  5. Infos du journal sénégalais sénégalais Leral www.leral.net EXCLUSIF : BLANCHIMENT DE L’ARGENT DU TERRORISME AU SENEGAL: UN SAOUDIEN -YÉMÉNITE AU CŒUR DU RÉSEAU Oussama Ben Laden est certes mort, mais une question demeure : «Quels sont les réseaux, personnes et organisations qui l’ont soutenu et lui ont permis de se cacher aussi longtemps ?» D’ailleurs, les langues commencent à se délier. Aussi, PiccMi.Com a pu apprendre, avec force révélations, que les ramifications sonnantes et trébuchantes d’Al-Qaïda vont jusqu’au … Sénégal. Avec, dans le rôle du maître d’opéra, un certain M. D. qui est un Saoudien-Yéménite. D’ailleurs, la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) connaît de cette affaire qui fait grand bruit au sommet de l’Etat. Plus de 80 dossiers sont instruits et déjà ficelés par la Cellule nationale de traitement des informations financières (Centif) qui attend toujours, selon des sources judiciaires, le «feu vert» des pouvoirs publics pour déclencher les poursuites judiciaires qui «s’imposent de droit dans ce genre de situations». Pendant ce temps, comme par une sorte de synchronisation, une levée de boucliers est notée à l’Assemblée nationale où les députés, d’ordinaire enclins à tout avaliser, s’insurgent contre un projet de loi qui devrait dépouiller la fameuse Centif de ses prérogatives et remettre un blanc-seing aux blanchisseurs d’argent qui semblent vouloir de notre pays un terrain de prédilection. Connexions insoupçonnées C’est dans ce contexte plus que vicié que l’ambassade des Etats-Unis à Dakar, craignant sans doute une attaque terroriste au Sénégal, a émis une note d’alerte. Et, les menaces proviendraient d’Aqmi qui est la branche africaine d’Al-Qaïda. Un malheur ne venant jamais seul, nous avons pu glaner, auprès des services chargés de surveiller ces mouvements d’argent, que «des investissements douteux provenant du clan Al-Qaïda et accompagnés d’un blanchiment d’argent sont bien visibles au Sénégal». Se faisant plus précis, nos interlocuteurs y vont de leurs éclairages : «Il ressort de nos investigations qu’un nommé M. D., un Yéménite d’origine mais de nationalité saoudienne, qui séjourne souvent à Dakar dans un grand hôtel situé sur la Corniche Ouest, dirige de main de maître un réseau très dense qui a mis ses billes dans bien des secteurs de l’économie nationale. Au point d’avoir des connexions insoupçonnées au sommet de l’Etat». S’agissant de M. D., nous avons appris qu’il s’occupe à travers le monde des biens des héritiers d’un milliardaire saoudien, Khaled Ben Mahfouz, rappelé à dieu le 15 août 2009 à Jeddah. Coïncidence ou come back ? On ne sait pas trop. Mais, toujours est-il que la famille Ben Mahfouz, considérée comme «persona non grata» en Arabie Saoudite, a réussi, par l’intermédiaire de leur bras droit M. D., à faire des investissements aussi massifs au Sénégal «sans être ni dérangé, ni inquiété». Business en … or Au point, croient savoir nos sources, que ce Saoudien-Yéménite crie, urbi et orbi, ce qui suit : «Je viens toujours avec beaucoup d’argent à Dakar où tout s’achète». Et ce n’est pas tout. Car le sieur M. D., «qui a abrégé la carrière d’un haut fonctionnaire qui n’a pas voulu lui obéir au doigt et à l’œil», se trouve à la tête d’une importante joint-venture qui a pignon sur rue au Sénégal et regroupe trois (3) entreprises qui évoluent dans un secteur «sensible par excellence» : l’or et les mines. Au même moment, un document du Trésor américain révèle que «le terrorisme, qui continue d’avoir accès à des ressources financières considérables, a converti nombre de ses savoirs en actifs tangibles (or et pierres précieuses) et en usant massivement de la Hawala qui est un système informel d’échanges permettant de transférer de l’argent via un intermédiaire spécialisé sans laisser de trace». Et nos sources de faire une terrible révélation : «La quasi-totalité des problèmes d’escroquerie à l’or instruits au Sénégal sont liés, d’une manière ou d’une autre, à ce réseau qui ne cesse d’étendre ses tentacules. En atteste cette affaire qui a défrayé récemment la chronique où était mêlée une chargée de mission à la présidence de la République. Sans parler de l’immobilier haut de gamme qui est l’autre filière. Mais, comme on a les mains liées …». Khaled Ben Mahfouz, décédé en 2009 d'une crise cardiaque Qui est Khaled Ben Mahfouz ? Khaled Ben Mahfouz, décédé en 2009 d'une crise cardiaque Une des premières fortunes du monde arabe avec des actifs estimés en 1999 à 2,5 milliards de dollars, la famille Ben Mahfouz est originaire, à l’instar des Ben Laden, de la vallée de l’Hadramaout au Yémen. Khaled Ben Mahfouz est décédé d’une crise cardiaque en 2009 avec une réputation plus que douteuse. Il était propriétaire de la National commercial bank (Ncb), qu’il avait hérité de son père Salem Ben Mahfouz, qui devient celle de la famille royale au moment ou les revenus pétroliers s’envolaient. Mieux, la Ncb établie les bases financières de l’Arabie Saoudite et lui permet de rejoindre la communauté internationale. Cependant, Khaled Ben Mahfouz est arrêté en 1999. Mis en résidence surveillée à Taïf sur ordre du prince héritier d’alors, l’actuel roi d’Arabie Saoudite Abdallah Ben Abdoul Aziz Al Saoud, au lendemain de la découverte par les services secrets américains d’un transfert d’argent émanant de la Nbc au profit d’Oussama Ben Laden au Soudan, la gestion de la Nbc lui a aussi été retirée. Accusé d’avoir détourné 400 millions de rials saoudiens à des fins personnels, suite à une enquête de la Banque centrale saoudienne, sur la situation très défavorable de la Nbc, Khaled Ben Mahfouz a aussi été inculpé de fraude fiscale aux Etats Unis où le directeur de la Cia (James Woolsey) le désigne à maintes reprises comme un des nombreux bailleurs d’Al Qaida. En effet, après les attaques terroristes du 11 septembre 2002 à New York et Washington, dans lesquelles 15 des 19 terroristes présumés étaient des Saoudiens, une suspicion considérable a fini de peser sur les milieux financiers et caritatifs saoudiens comme source de financement du terrorisme. D’autant que des enquêtes et beaucoup de cet argent passait par la banque de Khaled Ben Mahfouz (Nbc). Toutefois, ce dernier a toujours clamé son innocence avec ferveur. D’autre part, il était aussi l’actionnaire principal de la Banque de crédit et de commerce international (Bcci) qui avait, pour rappel, une succursale à Dakar, plus précisément à la Place de l’Indépendance, jusqu’à sa faillite. Réunissant des capitaux arabes et pakistanais, la Bcci fut, après avoir été accusée de corruption et blanchiment d’argent par la Cia, «liquidée» par les autorités royales saoudiennes. Mais, malgré sa mise en résidence surveillée assortie d’une interdiction de quitter le territoire du Royaume d’Arabie Saoudite, Khaled Ben Mahfouz continuait à faire des affaires en Asie, au Liban, au Pakistan, au Yémen et au Sénégal à travers M.D. Surtout que cette puissante famille était également actionnaire d’une banque bien vue dans un pays arabe qui compte de nombreux ressortissants dans notre pays. En tout cas, la banque en question a fini d’installer, il y a peu, ses quartiers au Sénégal, sous l'egide de cet homme d'affaire M.D qui en est l'actionnaire.
  6. 14-06-201117:51 L’Algérie, Mauritanie, Mali et Niger viennent «de lancer le ratissage de la forêt de Wagadou... ... aux confins du Mali et de la Mauritanie» (Dixit le chef de la diplomatie malienne). Dans un entretien accordé à l’Express.fr qui l’a publié ce mardi 14/06/2011, le Ministre des Affaires étrangères du Mali, Soumeylou Boubeye Maïga affirme que l’Algérie, Mauritanie, Mali et Niger viennent «de lancer le ratissage de la forêt de Wagadou, aux confins du Mali et de la Mauritanie» et qu’il s’agit pour nos quatre pays «de constituer à l'horizon de la fin 2012 une force de 25.000 à 75.000 hommes, toutes spécialités confondues: gendarmerie, police, douanes et justice». Et de préciser: «Entendons-nous bien: l'objectif n'est pas de faire du Sahel une zone de guerre permanente, mais bien au contraire une zone sécurisée pour l'activité économique et les actions de développement. Chacun sait que les retards en la matière préparent un terreau favorable aux trafics illégaux, qu'il s'agisse de drogue, d'armes ou de terrorisme. L'espace saharo-sahélien est devenu une région stratégique majeure. En route pour l'Europe, les flux de cocaïne venus d'Amérique latine y croisent les flux d'héroïne venus d'Afghanistan. La frontière sud du Vieux continent n'est plus l'Afrique du Nord, mais le Sahel.» M. Maiga notera cependant: «L'action armée seule ne suffit pas. Neutraliser les noyaux durs d'Aqmi, soit. Mais à quoi bon s'ils se reconstituent au moindre désengagement? Il faut donc prolonger cette action militaire, notamment par l'amélioration qualitative de la présence de l'Etat.» Interrogé pour savoir si avec la mort de Ben Laden, il redoutait une fuite en avant des cellules locales affiliées à Al-Qaïda, le ministre malien répond: «Pour l'heure, cette nébuleuse traverse une phase de flottement. La crise libyenne, avec l'afflux massif de forces étrangères au voisinage de son théâtre d'opération, perturbe ses activités. Voilà pourquoi ses membres font plutôt profil bas. Mais qu'en sera-t-il demain, après le retour à la normale ? D'autant qu'Aqmi met à profit cette parenthèse pour renforcer ses capacités. Selon des données fiables, il y a eu acquisition massive d'armes collectives, dérobées à la faveur de pillages des arsenaux de l'armée de Tripoli: mitrailleuses de 12.7 et 14.5 mm, canons de 106mm, pièces d'artilleries anti-aériennes. Certes, les commandos estampillés Al-Qaïda attendent des jours meilleurs pour les employer, mais il ne fait aucun doute que l'on assiste à une militarisation de la région. Notre but, à moyen ou long terme, reste bien d'extirper ces groupes de leurs sanctuaires.» Enfin, à une question relative au sort des otages français enlevés au Niger, il indique: «Leur vie ne semble pas plus en danger aujourd'hui qu'hier. Là encore, la présence de forces étrangères dans les parages a un effet dissuasif. Si Aqmi s'en prenait à ses captifs, il s'exposerait à des représailles immédiates, voire décisives. Par ailleurs, la finalité des ravisseurs demeure avant tout financière. Tout porte à croire que les négociations butent sur le montant de la facture.»
  7. www.rfi.fr Accrochage au nord d’Arlit, au Niger : la piste d’Aqmi se précise Deux morts et six blessés, c’est le bilan de l’accrochage qui a eu lieu au nord d’Arlit, au Niger, entre des militaires et des hommes armés, dimanche 12 juin. Selon une source ministérielle nigérienne, l’implication d’al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) se précise. Selon des informations obtenues par RFI, une patrouille de la garde nationale nigérienne s’est retrouvée nez à nez avec trois véhicules de bandit armés à Ouraren, à 80 kilomètres d’Arlit, ville du Nord où se trouvent d’importants gisements d’uranium. Les bandits étaient à l’arrêt au moment de l’intervention de l’armée nigérienne. Le bilan de l’altercation est d’un mort de part et d’autre et de six blessés du côté nigérien. Suite à l’altercation, l’armée a réussi à récupérer un des trois véhicules bourrés d’explosifs, de détonateurs, d’uniformes militaires et d’une somme de 90 000 dollars en liquide. De quoi laisser imaginer que les deux autres véhicules étaient également bien remplis. RFI a également appris que la victime, côté bandit, serait un Arabe. Mobilisation des forces armées nigériennes sur la recherche des deux véhicules Le ministre nigérien de la Défense s’est rendu en personne à Arlit, en compagnie de l’ensemble des hauts responsables des services de sécurité. Le ministre est venu pour « galvaniser » les troupes et se rendre au chevet des six blessés. Selon des informations obtenues par RFI, de nombreux renforts des forces armées nigériennes, des gardes républicains et des gendarmes sont arrivés sur place. L’armée a également fait appel à de petits avions de surveillance pour survoler la zone. Selon une source ministérielle nigérienne, les militaires auraient pris en chasse un des deux véhicules restants. Selon cette même source, « leur capture est une question d’heures ». Les premiers résultats de l’enquête se rapprochent de la thèse d'une implication d'Aqmi Concernant l’enquête sur l’identité des bandits armés et sur leurs motivations, et toujours selon des informations RFI, les explosifs retrouvés dans le véhicule arrêté sont de fabrication tchèque et les caisses sont tamponnées « Libya ». Au total, 40 caisses de Semtex ont été retrouvées dans le 4x4 ainsi que des détonateurs et des équipements militaires complets. Selon une source proche de l’enquête, cette cargaison est signée incontestablement Aqmi : le convoi arrivait de Libye, l’homme tué par les Nigériens est un « barbu ». Reste maintenant à savoir quelle était la destination de ce convoi. Arlit et les zones minières ? Ou bien le Mari, leur zone de repli, tout au nord pays ? En tout état de cause, les autorités du Niger sont déterminées à faire la guerre contre ces terroristes qui ont trouvé, avec le conflit libyen, l’opportunité idéale pour s’équiper en armement en tout genre. Il s’agit du premier incident impliquant l’armée et des hommes armés officiellement signalé dans le nord nigérien, depuis l’opération de sauvetage conjointe des armées nigérienne et française, qui avait coûté la vie, en janvier dernier, à deux Français enlevés à Niamey par des éléments d’Aqmi. En septembre 2010, la branche maghrébine d'al-Qaïda avait également kidnappé cinq Français, un Togolais et un Malgache dans la ville d’Arlit, un site d’extraction d’uranium du groupe nucléaire français Areva. Aqmi retient toujours en otages quatre Français et réclame le départ des troupes françaises d’Afghanistan en échange de leur libération. Aqmi, qui a des bases au Mali et ses racines en Algérie, se livre régulièrement à des attentats, des enlèvements et divers trafics dans plusieurs pays du Sahel, dont le Niger. Des bandes armées écument aussi les zones frontalières entre le Niger et le Mali. Coordination régionale des politiques antiterroristes dans la zone sahélo-saharienne Face à cette menace, les dirigeants du Mali, du Niger, d'Algérie et de Mauritanie ont entrepris de renforcer la coordination de leurs politiques antiterroristes. Tous s’accordent sur la nécessité d’une mise en commun des renseignements qui peut rendre plus efficace la lutte contre al-Qaïda au Maghreb islamique. Au mois d’avril dernier, l’Algérie a renoué avec le Mali, pays qu’elle considérait jusqu’alors comme le maillon faible dans la lute contre le terrorisme. Le nouveau ministre des Affaires étrangères malien, Soumeylou Boubeye Maïga, a scellé cette réconciliation par une visite à Alger le 26 avril, dans le cadre d’une visite qui l’a aussi conduit à Nouakchott, en Mauritanie, et à Niamey, au Niger. Autre mesure : le Mali, la Mauritanie, le Niger et l’Algérie ont promis, le mois dernier, de mettre sur pied une force de 75 000 hommes pour sécuriser la sous-région saharo-sahélienne. Beaucoup craignent en effet que le conflit libyen donne un nouvel élan au trafic d’armes dans la région
  8. Paix aux âmes de ces hommes et femmes d'honneur et mort aux terroristes
  9. Les forces mauritaniennes ont neutralisé mardi,devant la base militaire de Ghallawiya,nord-est, une énième tentative armée d'intrusion terroriste,provenant du côté malien de la frontière,après qu'une 4x4 venant du côté malien et conduite par deux jihadistes ait essayé de forcer l'entrée de la base,ouvrant le feu sur les gardes et blessant l'un d'entre-eux.L'armée a immédiatement riposté,bilan:un terroriste éliminé et un autre capturé et actuellement interrogé.Le terroriste éliminé est originaire du nord du Mali et avait participé au massacre,en 2005,par un commando d'Aqmi,de 15 militaires mauritaniens,dans la base de Lemgheity,dans le nord du pays,où l'armée multiplie les patrouilles,ainsi que dans les autres régions,où les forces armées continuent les recherches de plusieurs véhicules jihadistes,signalisés il y a une semaine dans la région du Tiris-Zemmour,à la lisière du Sahara et de l'Algérie
  10. Le correspondant à Néma,dans l’Est mauritanien,du journal d'informations mauritanien Sahara Médias , nous informe,de source militaire,que les zones militaires se trouvant dans le Hodh El Charghi et le Tiris Zemmour connaissent une situation d’extrême alerte depuis le milieu de la nuit dernière.On parle de l’incursion d’un véhicule du Tanzim d’Al Qaida au Maghreb Islamique en territoire mauritanien Plus d'éléments dans le site d'informations mauritanien www.cridem.org
  11. Les chaînes d'informations Al Arabiya et Al Jazeera ont révélé hier,de sources libyennes informées,que le dictateur de Tripoli aurait échappé à la mort hier,dans son retranchement de Bab Al Azizia.En effet,le qg du "guide" aurait essuyé une attaque aérienne ciblée de la part d'un pilote rallié au soulèvement populaire et qui aurait lancé un missile sur les lieux.On parle aussi de combats et de morts au sein de Bab Al Azizia.On parle en effet depuis plus de semaines maintenant de l'élémination physique d'Abdallah Al Senoussi,chef du renseignement du "guide".Senoussi aurait été abattu lors d'échanges houleux au sein du clan Kaddafi,échanges qui opposaient ceux qui voulaient "rester",parmi eux Senoussi,responsable du massacre,en 2003,de 1200 intellectuels,médecins,et cadres,dans la prison de Bou Slim,et ceux qui voulaient filer,on parle aussi d'autres tensions et combats,dans le clan de Kaddafi,qui a fait hier soir une sortie dans une aile de Bab Al Azizia,dans une atmosphère de panique et d'hystérie
  12. Des enquêtes internationales ont révélé que le régime FLN d'Alger a fourni et continue à fournir des armes et des troupes,y compris des bombardiers et des pilotes,au régime sanguinaire et terroriste de Kaddafi,dans le cadre de la boucherie qu'il inflige au peuple libyen,en réponse aux aspirations de ce peuple à bâtir un pays normal,moderne,et ouvert,et à tourner la page de 43 ans d'extrémisme et de terrorisme.Alger est sérieusement mouillé avec Kaddafi,mais si ce dernier tombe,le régime de Boutelika suivra dans la chute,en effet ça chauffe aussi en Algérie,et ça chauffe en Syrie
  13. www.cridem.org 19-02-2011 14:15 Tunisie : derrière la mort d'un prêtre, l'ombre des extrémistes Le meurtre d'un prêtre polonais, attribué à des extrémistes,par une source proche du ministère tunisien de l'intérieur,a poussé le gouvernement à réaffirmer samedi son attachement à la liberté de culte et à appeler toute la société tunisienne à éviter que de tels actes ne se reproduisent. Marek Rybinski avait 34 ans ; il était polonais, prêtre, et vivait en Tunisie, dans la région de Manouba. Il était chargé de la comptabilité dans une école religieuse. C'est dans le garage de cette école qu'il a été retrouvé égorgé vendredi. Depuis la chute du régime de Ben Ali, le 14 janvier, il s'agit du premier meurtre annoncé à la fois d'un religieux et d'un étranger. Ses meurtriers ont été désignés clairement dès vendredi comme des extrémistes. Le ministère polonais des Affaires étrangères a réagi dans un premier temps de manière prudente en refusant de faire un lien entre cet "acte particulier" à caractère criminel et les événements des derniers jours en Tunisie, sans exclure cependant que l'assassinat ait pu être commis pour des raisons religieuses. Mais les autorités tunisiennes ont pris l'affaire très au sérieux, et samedi matin, elles ont voulu faire passer un message. "Le ministère des Affaires religieuses condamne cet acte criminel et pris instamment les hommes de religion et les composantes de la société civile à condamner ces faits et à agir avec détermination pour éviter que de tels actes ne se reproduisent", a fait savoir un communiqué publié par l'agence officielle TAP. Et le ministère d'ajouter que "la Tunisie a toujours constitué un lieu de coexistence entre les races et les nationalités, et de dialogue entre les civilisations, les religions et les cultures", en réaffirmant son attachement à "la liberté de culte,aussi bien au niveau des croyances qu'au niveau des pratiques". De son côté, soucieux de ne pas voir son image associée à cette mort, le principal mouvement islamiste en Tunisie, Ennahda, a "vivement condamné" ce meurtre, estimant qu'il s'agissait "d'une manoeuvre pour détourner les Tunisiens des objectifs de la révolution tunisienne". Poussée de fièvre. Une poussée de fièvre islamiste avait déjà surgi vendredi dans l'après-midi à Tunis : des dizaines d'entre eux avaient tenté de mettre le feu dans une rue où travaillent des prostituées. Selon un policier,des habitants les ont empêchés de rentrer dans cette rue jusqu'à l'arrivée des agents des forces de l'ordre qui ont bloqué l'entrée en interdisant tout passage. Ils ont ensuite réussi à disperser ces manifestants. Le quartier a ensuite été survolé durant plusieurs heures par des hélicoptères de l'armée. Les islamistes avaient auparavant manifesté dans le centre-ville en criant : "Non aux lieux de prostitution dans un pays musulman"......... La semaine dernière, la communauté juive de Tunisie avait exprimé son inquiétude au gouvernement après des incidents antisémites devant la grande synagogue de Tunis. "Là, nous sommes dans la vigilance", a répété vendredi le président de la communauté Roger Bismuth. Monsieur Bismuth a précisé que ces actes antisémites étaient l'oeuvre de salafistes,mais a déclaré qu'il "n'y a pas de terreau en Tunisie pour le développement du salafisme". Conscient du vide sécuritaire prévalant depuis la chute du régime, le gouvernement avait décidé la semaine dernière de rappeler des réservistes,qui ont rejoint l'armée mercredi
  14. La démocratie est un contrat entre gens rationnels et responsables,de part et d'autre.On ne donne pas la démocratie aux extrémistes et aux terroristes,sinon les pays,les régions,et le monde sont foutus.Rappelons-nous que la démocratie intégrale ouvrit la voie à des fléaux dévastateurs comme le nazisme.Or l'intégrisme islamiste,de par sa volonté folle d'éradiquer tout ce qui est différent et par ses méthodes criminelles effroyables,passées et présentes,est un nouveau fascisme et menace sérieusement la liberté et la sécurité de millions d'êtres humains,d'abord dans les pays où il sévit et d'où il sévit
  15. J'espère que les dirigeants modernistes du mouvement populaire égyptien sauront contenir les extrémistes et construire un régime démocratique responsable et sécurisateur et non un cheval de Troie islamiste,qui mènerait le pays en enfer et menacerait sérieusement la sécurité régionale et nécessiterait alors une réponse rapide et appropriée
  16. L’algérien Khaled Aboul Abbass alias Bellawar, chef de la Brigade des enturbannés, affiliée à Al Qaida au Maghreb islamique (AQMI), est bien le responsable de la dernière tentative d’attaque terroriste en Mauritanie,d'après les aveux de deux membres du commando ayant mené cette tentative. « Nous avons utilisé deux voitures piégées et une troisième assurant la logistique », ont reconnu mercredi soir à la Télévision officielle,à Nouakchott,un mauritanien et un guinéen capturés par l’Armée mauritanienne. Les deux présumés terroristes ont confirmé également que les attaques planifiées visaient l’ambassade de France à Nouakchott, le ministère mauritanien de la défense et l’état-major des forces armées,trois cibles régulièrement menacées par l'organisation terroriste et étroitement protégées par les forces armées et de sécurité,qui recherchent activement le troisième véhicule piégé et son conducteur,le terroriste Taieb Ould Sidi Ali
  17. www.cridem.org,source:journal malien Le Combat,via Maliweb.net www.maliweb.net 10-02-201111:27 Lutte contre le terrorisme : Un présumé Djihadiste d’origine mauritanienne arrêté à Ségou. Notre source est formelle : un membre du réseau d’Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI) a été arrêté le dimanche dernier à Ségou avant d’être conduit à la Sécurité d’Etat (S.E) à Bamako. Devant les limiers de la S.E, le djihadiste précise qu’il s’appelle Mohamed Ould Brahim. A en croire notre source (un passager arrêté par erreur comme étant le complice du terroriste puis relâché), Mohamed Ould Brahim s’est mis à table pour expliquer aux services de renseignements maliens les raisons de sa présence à Ségou. Selon les explications recueillies, le présumé terroriste a quitté Bamako pour rallier Gao. « C’est à 6 heures du matin à Bamako que je suis monté à bord d’un bus de la compagnie de Transport SONEF pour regagner la ville de Gao. Aux environs de 11h, le bus entre à Ségou. Il dépasse le poste de contrôle. Sans problème. Et à quelques kilomètres, des policiers arrêtent le car. Après des fouilles, ils font descendre du bus le présumé l’élément d’Al Qaida. Au même moment, ils m’ont arrêté comme étant le complice du terroriste. Seul motif évoqué : je n’avais pas de papier sur mois. Par la suite, les flics nous conduisent au poste de police de Ségou. Avant de nous placer en garde-à-vue ». C’est en substance ce qu’a révélé notre source interpellée par erreur. C’est au poste de Ségou que les policiers fouillent les deux hommes avant de confisquer leurs appareils téléphoniques et autres objets divers. Les deux individus passent par la suite à l’interrogatoire. Et c’est vers 16h qu’ils ont été conduits à Bamako où ils seront mis à la disposition de la sécurité d’Etat. C’était, aux environs de 18 heures. C’est ici, précise notre interlocuteur, que l’appartenance de l’homme au réseau d’AQMI sera confirmée avec l’exhibition de sa photo. L’homme précise qu’il s’appelle Mohamed Ould Brahim. A ses dires, il est né en 1984 dans un village du nom de Tangara dans la région de Gao. Mais paradoxalement, il ne parle au moins une des langues nationales du pays. Après recoupements, il serait d’origine mauritanienne. Par ailleurs, la police a trouvé sur lui des documents attestant de sa double identité. Pour toute réponse, il indiqua aux enquêteurs que les documents en question appartiendraient à un parent à Bamako et dont il ignore l’adresse. Aussi, son dernier appel téléphonique a été effectué avec un correspondant se trouvant à Gao. Et après s’être rassurée qu’aucun soupçon ne pèse sur le présumé complice du terroriste, la sécurité d’Etat a libéré ce dernier lequel, à la lumière des premiers résultats de l’enquête n’est ni de près ni de loin concerné par l’affaire. Selon toute évidence, le présumé élément d’AQMI retenu dans les liens de l’accusation était vivement recherché. Son arrestation n’est donc pas le fait du hasard, mais le résultat d’un travail de fourmi des enquêteurs. Le suspect Mohamed Ould Brahim est aujourd’hui gardé au frais à Bamako. Baba Ahmed Le Combat,via Maliweb.net Plus de détails sur Maliweb.net
  18. www.cridem.org 08-02-201119:45 Lutte contre le terrorisme: Sale temps pour AQMI. La fin de la cavale, samedi dernier après-midi dans la localité de Tessem 2 (Dar El Barka), pour les deux présumés terroristes d’AQMI, dont dont un (Sidi Mohamed Ould Ahmedou, alias "Zoubeir") s'est fait exploser alors que le second (Cheikh Ould Saleck, alias "Abou Qaswarah") a été capturé sans grande résistance par forces armées et de sécurité, est à ne pas en douter, une réussite pour le Pouvoir de Nouakchott qui signe là une autre victoire après ses raids et combats en territoire malien contre la fameuse branche d’AlQaida au Maghreb. Aussi, le Ministère de la Défense Nationale s’est-il empressé de livrer en détail cette opération qui n’était que la dernière boucle d’une contre-offensive lancée le même jour de la semaine précédente, lorsque, le 29 janvier 2011, les Forces armées nationales avaient identifié trois véhicules qui tentaient de s’infiltrer à l’intérieur du pays par la frontière Sud-est, prenant les mesures nécessaires pour suivre leur trajectoire jusqu’à leur pénétration par des itinéraires de contournement et des chemins d’accès difficile et en entraînant au moins un véhicule bourré d’une tonne et demi d’explosifs dans une embuscade qu’ils ont fait exploser avec ses trois occupants terroristes, Le mercredi 2 février à 2 heures du matin, au kilomètre 20 au sud-est de la capitale Nouakchott, un premier véhicule d’AQMI ayant été saisi avec armes et explosifs et dont deux des trois passagers ne sont autres que ces fugitifs précités, le troisième ayant été arrêté mardi dernier. «Dans l’après-midi du samedi 05 février 2011, des unités de nos Forces Armées et de sécurité ont capturé l’un des terroristes fugitifs, tandis que le second, cerné par nos forces, sans aucune issue et se sentant en désespoir de cause, s’est fait exploser à l’aide d’une grenade. A l’issue d’un siège serré et d’un ratissage systématique de la zone, les unités en présence donnèrent l’assaut final vers 16h30mn, dans une forêt à proximité de la localité de Tessem 2 relevant de la commune de Dar El Barka, dans la wilaya du Brakna. Il convient de préciser qu’il s’agit de deux terroristes ayant fui le véhicule maîtrisé mardi 1er février dans les environs de la localité de Maata Moulana, après la capture du troisième membre de leur sinistre équipage. De plus amples informations sur cette opération seront communiquées ultérieurement à la presse». La page de cette triste cavale s’est donc refermée pour de bon, au moins pour cette équipée sauvage dont la fin tragique ne fera pas oublier au Ministère de la Défense nationale de «présenter ses condoléances attristées à la famille du regretté martyr des Forces armées, l’héroïque gendarme, froidement abattu par les terroristes» au cours de cette dernière traque. Aux dernières nouvelles, nous apprenons alors que nous sommes sous presse, de l’AFP qui rapporte ce dimanche des sources sécuritaires maliennes que deux Mauritaniens liés à Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI), dont l’un en est membre et est impliqué dans de récentes tentatives d’attentats en Mauritanie, ont été arrêtés au Mali. Un exploit pour l’Armée. Un premier exploit qui forcera l’estime à l’intérieur par la classe politique toutes forces confondues, comme à l’extérieur par des africains et des européens, notamment l’Union Africaine dont le Président de la Commission, M. Jean Ping, félicitera «les autorités mauritaniennes pour leur vigilance et leur action qui a permis de prévenir une catastrophe et réitère le soutien de l’UA aux efforts de la Mauritanie et des autres Etats membres visant à faire efficacement face au terrorisme» et la France où le porte parole du Ministère français des Affaires étrangères, M. Bernard Valero déclarait, en substance: «Nous saluons l’efficacité de l’action des autorités mauritaniennes et leur détermination face au risque terroriste». Un Bernard Valero qui ne s’empêchera de préciser d’ailleurs «qu’une stratégie de l’Europe au Sahel serait présentée dans les prochains jours». Un enthousiasme français pour l’échec de cette opération dont l’un des objectifs avoués par l’un des terroristes présumés d’AQMI arrêté était l’ambassade de France, qui sera suivi par l’annonce de la visite, en Mauritanie, du Ministre français de la Coopération Henri de Raincourt (lire article page 4). L’Algérie démantèle un réseau d’AQMI qui préparait des attentats en Europe. Cette réussite des forces armées et de sécurités mauritaniennes aura également coïncidé avec le démantèlement, fin décembre, par les services algériens de sécurité, dans le sud-est du pays, d’un réseau d’Al-Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) de pas moins de quatorze islamistes armés, qui préparait des attentats en Europe notamment en France et parmi lesquels figure le chef salafiste mauritanien Ibrahim Ould Mohamed Ould Abdel Barka “alias Anass Al Chinquitti” présenté comme le «Mufti» (exégète) d’AQMI, qui avait rejoint les rangs d’AQMI en Algérie en 2008, avant de séjourner dans les maquis de Tebessa (extrême-est) et de Batna où il a organisé et formé des groupes armés algériens et mauritaniens pour mener des attentats kamikazes et des enlèvements d’Occidentaux. Ibrahim Ould Mohamed Ouldna a été arrêté fin décembre alors qu’il s’apprêtait à rejoindre le refuge du chef d’AQMI, Abdelmalek Droudkel, a indiqué El Watan. Ses aveux ont permis d’abord l’arrestation d’un autre islamiste, Mustapha Debchi dit Abou Mohamed Al Othmani, un ingénieur en électronique, au port d’Annaba (est) alors qu’il s’apprêtait à embarquer vers l’Europe pour y mettre en place des cellules d’AQMI, selon cette source. Les aveux de cet ingénieur ont ensuite conduit à l’arrestation de tous les membres du réseau en Algérie. Comme quoi, la fin de 2010 et ce début de 2011 sont un sale temps pour AQMI qu’il n’a enregistré que des défaites militaires, l’étau se resserrant toujours un plus sur elle
  19. Ces nouveaux partisans sont capables du pire,sauf si on les stoppe à temps,eux et leurs complices et bosses
  20. www.cridem.org Les hommes qui ont enlevé le 2 février une Italienne dans le sud algérien à bord de deux 4X4, parlaient l'arabe mauritanien, a déclaré au quotidien El Watan de lundi le directeur de l'agence de tourisme Ténéré, citant le guide brièvement détenu par les ravisseurs. "Une bande de 13 à 14 hommes armés, parlant un arabe mauritanien, venus à bord de deux 4X4 ont investi les lieux au coucher du soleil, dans la journée de mercredi", a raconté Ahmed Kheirani, faisant référence à Alidéna, lieu du rapt dans la région saharienne de Tadrart. Un chef de tribu du sud algérien a précisé à l'AFP que les Touaregs du Niger, du Mali et de Mauritanie parlent tous un même arabe mauritanien, un arabe différent de celui parlé par les Touaregs d'Algérie. La touriste, Maria Sandra Mariani, 53 ans, premier Occidental kidnappé depuis 2003 dans cette zone algérienne du Sahel, l'a été "à 18H30 au sud de la ville de Djanet, à 90 km de la frontière avec le Niger", avait précisé Rome le 4 février. "Les assaillants cherchaient un groupe de touristes, avant de confisquer les téléphones et les papiers du guide, du gardien et d'un berger et d'embarquer tout le monde y compris la touriste vers une destination inconnue, a raconté le directeur de l'agence Ténéré. Les trois Algériens ont été abandonnés vers minuit très loin, à proximité de la frontière algéro-nigérienne", a-t-il ajouté, indiquant que les ravisseurs et leur otage "ne devaient plus être en Algérie maintenant". Selon M. Kheirani, "apparemment les ravisseurs étaient à Djanet", site de l'agence et d'où étaient partis Mme Mariani et son guide. "Ils ont suivi le guide jusqu'à Adiléna", a-t-il encore affirmé. Le patron de l'agence Ténéré a indiqué qu'il avait été informé du rapt par le guide alors que l'agence APS avait rapporté que c'était l'otage elle-même qui l'avait informé en utilisant le téléphone satellitaire Thuraya des ravisseurs. Le guide qui a été entendu par les forces de sécurité, était en détention encore lundi, a indiqué à l'AFP ce même responsable tribal. M. Kheirani a précisé à El Watan que le guide avait été relâché par les autorités avant d'être à nouveau interpellé 24 heures plus tard. Le directeur de l'agence a dit ne pas comprendre les motifs de cette interpellation. Il a indiqué qu'il "n'arrivait pas à croire qu'un enlèvement puisse avoir lieu à Alidéna", une région "très bien sécurisée". De toutes façons, a-t-il ajouté, il avait informé comme d'habitude les services de sécurité de l'itinéraire de la touriste. Le Sahel, à cheval sur les territoires du Mali, d'Algérie, de Mauritanie et du Niger, est devenu le fief des islamistes d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui a revendiqué plusieurs enlèvements dans les pays voisins de l'Algérie depuis plusieurs années
  21. www.cridem.org 07-02-201112:06 14 Français s'entraînent dans les camps d'Al Qaida Selon le contre-espionnage, une centaine d'Européens, dont quatorze Français, entraînés dans les camps djihadistes, pourraient passer à l'action. Al-Qaida radicalise ses menaces contre la France et n'a jamais tant recruté de «combattants», notamment européens, en vue de mener de prochaines frappes terroristes. Au lendemain du soulèvement en Tunisie et alors que les manifestations se multiplient en Égypte, le contre-espionnage français est plus que jamais en alerte maximale. Quatre notes «blanches» émanant de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), que Le Figaro s'est procurées, en attestent. Se fondant sur des «éléments recueillis présentement par les services français sur les différents acteurs terroristes de la zone pakistano-afghane», considérée comme «la première pourvoyeuse de menaces susceptible de viser le territoire européen», l'un des documents confidentiels révèle que «la région continue d'attirer les volontaires au combat armé, notamment européens. Ceux-ci sont passés, en moins de trois ans, de quelques cas isolés à plus d'une centaine d'individus.» Selon cette note de la DCRI, «la présence de 14 Français a été signalée en 2010 dans cette zone». «Plusieurs de ces combattants ont désormais acquis une expérience et une légitimité qui leur permettent de rallier autour d'eux de nouveaux arrivants, préviennent les analystes français du contre-espionnage. Ayant vécu en Europe et nourrissant souvent des griefs personnels à l'encontre de leurs pays d'adoption, ces Européens sont susceptibles de s'impliquer dans des actions terroristes.» À en croire ces experts, celles-ci semblent presque inéluctables. En effet, écrivent-ils, «la volonté d'al-Qaida et, désormais, de certains groupes pakistanais, de conduire des attentats en Occident est avérée: depuis 2009, pas moins de quatre projets aux États-Unis et en Norvège, directement liés aux zones tribales pakistanaises ont échoué ou ont été déjoués». Le péril islamiste est d'autant plus préoccupant que les services de renseignements ont intercepté un inquiétant message d'al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Diffusé le 28 janvier par son «organe médiatique» al-Andalous, il appelle les Tunisiens à «remplacer la religion altérée par la religion révélée et la charia» et soutient que ce sont « les croisés qui sont à l'origine de nos problèmes». Une cible privilégiée Par ailleurs, une des notes remarque que l'organisation terroriste annonce que l'«Amérique, la France et le Maghreb n'accepteront jamais un véritable changement qui ne sert pas leurs intérêts en Tunisie » et que ces régimes «préparent le lancement d'un nouveau laquais qui les satisfera». «Le communiqué vise spécifiquement la France, accusée “d'avoir soutenu le tyran Ben Ali”», insiste la DCRI. Établissant un parallèle avec la situation en Algérie, Aqmi prévient que les États-Unis et la France «joueront prochainement le même rôle, s'ils n'en sont pas empêchés par les frappes des moudjahidins (…)». «La France et ses ressortissants demeurent une cible privilégiée d'al-Qaida», martèle le contre-espionnage, qui rappelle enfin le message imputé à Ben Laden, qui fustigeait le 21 janvier dernier le non-retrait des troupes françaises en Afghanistan et menaçait de cibler différents fronts, à l'intérieur et à l'extérieur de la France. Divers quotidiens d'Alger, dont al-Watan, rapportaient ce dimanche que les services algériens de sécurité ont démantelé dans le sud-est du pays un réseau d'Aqmi qui projetait des attentats en Europe, notamment en France. Dans un entretien au Figaro, le préfet Bernard Squarcini, directeur de la DCRI, révélait en juin dernier que deux attentats sont déjoués chaque année sur le sol français. «Nous pêchons à la fois de ­manière intense au chalut pour débusquer les filières djihadistes qui partent en Afghanistan, par exemple, mais aussi au ­harpon, en ciblant des individus fanatisés mais isolés, confiait-il. Notre mission est de les repérer et de les purger au plus vite, avant qu'ils ne commettent l'irréparable». Des prêches plus radicaux dans les mosquées. «La chute du régime du président Ben Ali et la poursuite des manifestations en Égypte ont alimenté des prêches dans plusieurs salles de prières radicales, ces dernières semaines»: une des notes de la DCRI est sans appel. Le contre-espionnage, dont les antennes sont déployées dans certaines mosquées radicales, signale que, le 21 janvier dernier, dans une salle de prière de Seine-et-Marne,l'imam a critiqué la Tunisie qui s'est orientée vers la laïcité (…). Il a ajouté que “si les États-Unis aujourd'hui faisaient souffrir les musulmans, c'est parce que ces derniers se détournaient de la religion”. Il a conclu sur le fait que “les musulmans devaient, même aux États-Unis ou ailleurs, être toujours prêts pour combattre”. De même, le 28 janvier dernier, dans une mosquée en Alsace, l'imam a fustigé avec une extrême virulence “ceux qui protègent et reçoivent les criminels et en particulier les “collaborateurs des sionistes ” qui salissent l'islam.» Le même jour, précise la DCRI, un imam prêchant dans l'Essonne a exhorté ses fidèles: «Vous voyez, auparavant, nous avons prié pour la Tunisie. Les Tunisiens ont réussi à faire partir le pouvoir injuste qui régnait depuis des années. Aujourd'hui, c'est au tour de l'Égypte. Ces pays vont pouvoir être dirigés maintenant par de vrais musulmans. C'est eux qui vont prendre le pouvoir. Et bientôt, d'autres pays feront de même.»
  22. www.cridem.org Les forces de sécurité mauritaniennes poursuivent l’interrogatoire serré de l’un des éléments d’Al Qaida qu’elle détiennent actuellement, afin de démêler les conditions exactes de l’offensive violente à laquelle Nouakchott a été exposée, ainsi que le sort de ses compagnons, après que les forces armées eurent fait échouer la plus importante tentative à ce jour de l’organisation, la plus dangereuse aussi, à proximité de la commune de Ryad.Selon les informations, il s’est avéré que le deuxième homme recherché est ‘’Sidi Mohamed’’, dit Abou Zoubeir, originaire de Boutilimit, et compagnon de route du kamikaze Sidina Ould Khattary, dit Abdourrahmane Abou Zaineb, qui s’est fait sauter au passage d’un car canadien en Algérie, le 20 août 2008, opération dénommée par Al Qaida de ‘’Bataille de la revanche’’, et la première dans laquelle un ‘’Mouhajir’’ (expatrié) est admis à se faire sauter en Algérie, après son inscription au tableau des volontaires, et un entraînement conséquent. Cet Abou Zoubeir était connu pour ses opinions tranchées à l’intérieur de l’organisation, et qu’il a rassemblées dans un ouvrage publié sous le titre ‘’ ’éclaircissement et preuve sur le fait que l’auteur d’une mécréance par ignorance n’est plus un musulman’’. L’auteur présente dans le livre des passages qui prouve les liens et l’influence qu’avait sur lui son compagnon qui s’est suicidé en Algérie, disant : ‘’Je dédie ce livre à la mémoire du martyr – avec la permission de Dieu – Abdarrahman Abou Zaineb le mauritanien (Sidina Ould Khattary), auteur de l’opération martyre de Bouira qui visait un car de canadiens en Algérie, opération que les jihadistes avaient dénommée ‘’opération Revanche’’ le 20/8/2008, il fut le premier ‘’expatrié’’ à commettre une opération en Algérie. Bien que Nouakchott ait annoncé la fin de la terreur potentielle représentée par les deux véhicules piégés, les recherches continuent pour retrouver le troisième véhicule, qui transporte sans doute le plus connu des dirigeants locaux de l’organisation Al Qaida, Taieb Ould Sidi Ali, selon les données disponibles à l’heure actuelle
  23. Un ressortissant marocain et deux mauritaniens, soupçonnés de relation avec Al-Qaïda au Maghreb Islamique, ont été remis, vendredi, par la brigade mixte de gendarmerie à la direction de la sûreté d’Etat, a appris l'Agence Nouakchott Informations,de source informée. De même source, on indique que les trois prévenus le marocain Oumar er les deux mauritaniens Moustapha et Eby ont été arrêtés jeudi dernier, après des soupçons émis sur le marocain. Ce dernier, habitant le quartier résidentiel de Tevragh Zeina, a récemment créé une société écran et se déplaçait fréquemment vers le nord du Mali. La gendarmerie a saisi sur lui un ordinateur portable avec des programmes de maniement d’armes, en plus d’une paire de jumelles pour vision nocturne. Et la source d’ajouter que ses présumés complices mauritaniens, ont eu auparavant à voyager avec lui plusieurs fois vers le Mali. Les trois hommes sont actuellement interrogés par les services de la sûreté d’Etat

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