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  1. Dernière heure
  2. Pour préciser un peu « Pour les métiers du soutien (mécanicien, cuisinier, ressources humaines, secrétaire, etc.) : diplôme et/ou expérience selon les domaines (recrutement possible jusqu’à 29 ans) Possibilité de recrutement en qualité d’Engagé Volontaire Ultérieur (EVU) (jusqu’à 2 ans après un engagement dans l’armée) » source https://www.securite-civile.interieur.gouv.fr/sengager/devenir-sapeur-sauveteur en fin d’article les liens sites des différentes unités et surtout leurs numéros de téléphone
  3. Aujourd’hui
  4. Bonjour et bravo pour ce retex je plussoie c’est facile de se raconter quand on se sent en confiance et qu’on a tout déchiré …vous venez « comme vous êtes » et assumez c’est honnête et surtout une qualité indispensable à votre souhait de parcours dans l’institution le physique ça s’améliore …allez continuez à aller de l’avant rien n’a été disqualifiant ça devrait déboucher sur qqchose 😉 en attendant on enfile les baskets et on y retourne 💪 bonne suite à vous🤞(venez nous raconter la suite )
  5. Merci pour le partage, qui donne beaucoup de visibilité. J’imagine que ce parcours est une ligne directrice mais est quand même théorique et qu’en pratique le parcours/la progression du réserviste est conditionné par la durée de son engagement (contrat) et son implication (nombre de jours par an).
  6. Bonjour pour avoir échangé avec des personnels de la sécurité civile l’âge c’est l’âge, SAUF si vous êtes déjà militaire et que vous passez par une réaffectation Sinon il faut savoir qu’il est en plus coutume chez eux de passer la période probatoire en VDAT pour « limiter la casse » pour l’ENSOA c’est une quinzaine de pax recrutés par an , incorporés sur la session de mars (1 seule directe par an) et après passage de l’agrément technique (entretien) en janvier …les sergents directs sont « attendus au tournant » donc il faut avoir ce qu’il faut … le CIRFA devrait vous aiguiller mais le mieux c’est encore de passer en direct avec eux chaque unité à un numéro pour info et recrutement et ils creusent avec vous les possibilités en fonction de votre profil quitte à vous rappeler après quelques recherches s’ils n’ont pas la réponse exacte toute faite alors ne perdez pas plus de temps et allez y au culot vous n’avez rien à perdre (appelez entre 10h et 17h)
  7. Le soldat inconnu n'est PAS mort en vain. Ce soldat dont nul ne connait l'identité avait une seule qualité : il est mort pendant la grande guerre en accomplissant son devoir mais reste inconnu. L'allusion à "toute la population de la Cinquième République" est simplement maladroite, ou même bêtement méchante. Elle m'étonne de la part d'un Légionnaire, de la part d'un frère d'arme gradé ! Un de ces jours on déglinguera le premier trouffion venu et Yann dira-t-il aussi que "c'était dégoutant" ? Même par les temps qui courent, il faut respecter comme valeur première le droit à la vie.
  8. Hier
  9. Bonsoir à toutes et à tous. Je viens d’avoir 28 ans et je souhaite rentrer dans l’armée de terre, plus spécifiquement rentrer à la BMSC. Je souhaite rentrer en tant qu’homme du rang car je sais que les places sont très limitées si je passe par l’ENSOA. Mon expérience fait que j’ai un bagage en tant que secouriste et tout se qui touche à l’aide à la population. Seulement l’âge limite pour la spécialité est de 26 ans, et je viens tout juste d’en avoir 28. Je me demande si la limite est catégorique ou s’il peut y avoir des exceptions. A savoir que j’ai également eu une expérience dans la Marine nationale à mes 18 ans où je suis resté 1 an. Merci à vous.
  10. RETEX GRS NANCY JUILLET 2025 Début mai 2025 : appel de mon CeR, je passerai mes tests à Nancy vers la mi-juillet. Délai bien plus court que prévu, mais je suis soulagée d’avoir une date. Hop, on termine la licence, on l’obtient, termine les stages obligatoires, et c’est parti. RDV début juillet au CIRFA pour récupérer le carnet du candidat, mes billets de train, ainsi que les tickets de bus. Au GRS, plusieurs candidats adT avaient un carnet légèrement différent (feuilles détachées...), mais pas de panique, ça dépend des CIRFA, apparemment. Le carnet du candidat détaille parfaitement tout le nécessaire pour les tests, respectez le bien. Départ pour Nancy. Pas de pression pour le train, suivez les indications en gare calmement, tout ira bien. Je sais que ça peut être compliqué pour certains, mais c’est aussi un premier moyen de voir comment vous allez vous débrouiller pour tenir cette micro-responsabilité. Une fois à Nancy, prenez le 11 direction Vandoeuvre, arrêtez vous à Faron. Une centaine de mètres plus loin, vous trouverez le GRS. Je suis arrivée très tôt ; erreur, pas besoin, ils attendront que tout le monde soit arrivé avant de nous installer. Respectez quand même les horaires, c’est le minimum d’arriver à l’heure, soit PAS à 22h, ni à 17h. Mangez absolument avant d’entrer, pas trop lourd pour bien dormir quand même. D’ailleurs, vous ne dormirez sûrement presque pas la première nuit, c’est normal. Les bouchons d’oreilles vous sauverons d’ailleurs la vie. On discute avec les autres candidat.e.s, puis extinction des feux. ATTENTION on ne semblera quasiment pas vous surveiller une fois dans le bâtiment vie à votre étage, c’est à vous de vous gérer, mais ils noteront très vite les fauteurs de trouble. Un groupe fera le choix de faire un bazar monstre jusque tard, ils se sont fait chopper plus tard par des CCH, et étaient morts pour les tests du lendemain. JOUR 1 : Tests psycho et visite médicale. Levé 05:30, rasso à 06:20 devant le bâtiment, départ pour l’ordinaire ensuite. On vous remettra de magnifiques ficelles auxquelles seront accrochés de petits badges avec votre numéro : vous répondrez à l’appel de ce numéro dorénavant, pour tout. Les horaires sont vraiment très souple je trouve, les candidats ne sont pas du tout brusqués, alors aucune raison d’être en retard. Premier problème ici : plusieurs candidats n’ont pas descendu leurs documents. Le premier matin, descendez TOUT avec vous (pochette idéalement, avec papiers d’identité, carnet candidat, carnet de santé, et TOUS vos justificatifs + un stylo). Après l’ordinaire, le groupe sera scindé en 2 : je commencerai ainsi par les tests psychotechniques. Une personne pour un ordinateur, on ne touche à rien sans en avoir reçu l’ordre. Le moindre faut clic peut planter toute la session. Pour m’entraîner, j’ai exclusivement utilisé le site Exam Arena (payant malheureusement, mais il en valait amplement la peine). Les exercices des différentes épreuves étaient extrêmement similaires et souvent plus simple que ceux du site, un vrai soulagement. Tests psychotechniques : rien de bien compliqué si on est préparé : trouver les prochaines faces du cube, choisir la rotation effectuée, associer rapidement un code à un mot, des maths niveau collège/lycée max, déceler l’intru… Honnêtement, vous avez le temps de terminer la plupart des exercices, sauf celui de codage à la fin qui est super rapide. (enfin les maths j’ai fait la moitié, mais ça, c’est dû à ma qualité de brêle en la matière, malgré les révisions). Préparez vous sur Exam Arena si vous pouvez, l’appli « tests armée de terre » est bien aussi même si payante encore une fois… Enfin, les autres RETEX de ce forum vous aiguilleront encore mieux. Test de personnalité : 251 questions je crois, répondez honnêtement, c'est quand même la seule épreuve sur laquelle vous ne pouvez pas vous planter (j'espère qu'on le se connait un minimum soi-même). Les réponses s'étalent sur 5 choix : tout à fait d'accord, plutôt d'accord, neutre, plutôt en désaccord, pas d'accord du tout. Ne mentez pas, les résultats montreront clairement la réalité dans tous les cas. Tests d’anglais : aucun souci de mon côté avec l’anglais, mais qu’est-ce qu’il est mal fait ! Il date clairement, et est en somme fait de traductions au mot à mot du français vers l’anglais. Pour faire simple, ça donne une majorité de phrases très moches qu’un anglophone n’utiliserait jamais… Beaucoup l’ont raté apparemment, et à mon humble avis un autre test serait plus adéquat pour mesurer les capacités linguistiques des candidats. → Midi direction l’ordinaire, puis on reprend avec la visite médicale. On urine dans le gobelet, puis on monte pour passer le test d’audition. Dans une petite cabine, un casque sur les oreilles, pressez le bouton lorsque vous entendez le moindre son. Test très facile je trouve, après je n’ai aucun problème d’audition. La suite concerne la vue : quels chiffres voyez-vous (pour le daltonisme etc), le pacman est tourné de quel côté, quelle série de lettres discernez-vous en vous couvrant l’œil gauche puis droit… Enfin les goûtes dans les yeux pour tester la dilatation des pupilles, et tout un tas de choses que je ne maîtrise pas mais qui parlent aux professionnels de santé. L’étape décisive arrive : le passage chez le médecin. Alors là, on ne pipait mot dans la salle, tous clairement pas sereins. Je suis appelée, le cœur qui tambourine. Le médecin militaire est au final une bonne expérience, elle ne m’a pas demandé mes CR d’hospitalisation, mais s'intéressait réellement à tous les candidats. Apte à toutes les spécialités déclinées sur la précieuse fiche, apte MDR et SO, je suis surtout apte à souffler un bon coup après ce soulagement. Ensuite nous avons attendu dans une salle avant la présentation adT, un CCH s’est bien amusé à tester nos connaissances, c’était drôle pour certains, moins pour ceux interrogés sans aucun idée de la réponse. La présentation vous donnera de nombreux éléments clés pour l’entretien du lendemain, NOTEZ-LES. L’apprentissage se fait avant, venez au moins en connaissant les spés, les missions actuelles, les valeurs, les engagements, etc. Les tests, c’est le moment de montrer pourquoi l’adT devrait vous choisir, l’institution n’est pas venue vous appeler de force, c’est votre volonté. Fin de journée on mange, on se lave, et au lit. Le moment fatidique des tests sportifs approche à grand pas. Malgré le stress, je peux assurer qu’à 21h toute ma chambre ronflait déjà. JOUR 2 : Tests sportifs et entretien. Même horaires qu’hier, même routine. À cela près qu’on descend en tenue et en chaussures de sport, car on se rend au gymnase après l’ordinaire. Là, tout le monde se sentait mal, je crois. Préparés ou pas, l’idée de devoir tout donner maintenant ou jamais fait monter l’adrénaline comme jamais. Explications claires et complètes du moniteur, petit coup de pression par la venue de plusieurs officiers pour nous observer. L’impression d’être un de ces chevaux aux enchères, c’est déstabilisant. LL premiers abandons très rapides, aucun palier 12. Tractions ça ira de 0 à une quinzaine. Tirage poulie d’une vingtaine à une soixantaine. Killy des 30sec aux 4’20 je crois. On sort des épreuves rincés comme on l’a rarement été, majoritairement à cause de la pression immense qu’on se met tout seuls. Quelques uns vont même vomir leurs tripes. Direction les douches, on se dépêche pour que tout le monde puisse sentir bon à l’entretien, et on enfile sa plus belle tenue (SOBRE mais par un effort quand même, ne venez pas en jean ou pire en jogging). Attention à vos chaussures aussi. Oui on porte tous des baskets, mais faites un effort juste cette fois. Même des sortes de bottines font l’affaire. Dernier passage à l’ordinaire, et direction la salle d’attente pour les entretiens. Là, plus personne ne parle. On voit les plus jeunes s’inquiéter de leur tout premier entretien, les plus âgés sont davantage tranquilles. Viens mon tour, et dès le départ je comprends que je tombe sur un bon. Très attentif, et à l’aise (tutoiement et surtout détente instantanée, volonté d’apaiser les candidats). Je ne sais pas si c’est à cause de mon dossier ou simplement sa nature même, mais l’entretien a plus été une discussion/ un échange qu’autre chose. Super intéressé par mon projet, et comme j’étais renseignée à fond la discussion était vraiment géniale. Je connaissais les missions actuelles (OPINT comme OPEX), l’histoire et les rôles des régiments que j’apprécie, le détail de l’arme qui m’intéresse (artillerie) et les processus de recrutement puis formation pour MDR, SO... Le matériel aussi de l’arme en question, comment il est utilisé et ou est-ce qu’il est déployé actuellement. En bref, si vous êtes passionné, ils le verront, et le seront aussi. Le bilan que l'on m'a fait des deux jours : j’ai fait bonne impression, conduite exemplaire et ça a été noté, donc tenez vous à carreau et soyez irréprochables durant ce court passage. Pas besoin de se forcer, même si c'était dur pour certains. Mes tests psycho et de personnalité sont vraiment excellents, moyenne très haute, pour ma candidature MDR ça place mon dossier dans une position plutôt confort, et EVSO c'est apparemment correct également. Tests psycho : 10/10. Test de personnalité : profil recherché, en adéquation totale avec l’institution. Anglais : 130/150. Médical : RAS, apte à tout. Sport LL 5'45, tirage 30, killy 2’30. E1 psycho E2 sport → les psychos comptent 2x plus que le sport on nous l’a expliqué, donc mon dossier est classé C1. Tout le monde peut apprendre à courir, mais ce qu’il y a dans la tête ça bougera difficilement, alors bossez bien l'entièreté de vos tests et soyez vous-même. Toujours pas digéré mes non-performances sportives, mais je me réconforte en me disant que j’ai au moins tout déchiré la première journée. Dégoûtée quand même, j’ai tout donné, mais le corps ne fut pas au rdv, ça donnait bien + à l’entraînement, j'ai profondément honte de la perfromance finale. D’après l’entretien, le sport est le seul point critiquable du dossier (tu m’étonnes l’escargot) mais mon CV et mes performances sur le reste pallient apparemment à tout ça (un escargot, certes, mais un escargot qui réfléchit plutôt bien, et même en anglais). De mon point de vue perso, je suis mitigée, un peu déçue. J'en attendais plus de mes résultats sportifs, mais je ne peux que m'engueuler, personne n'allait courir à ma place. Pour l'expérience globale du passage au GRS, j'étais au paradis, c'était formidable. Reste à attendre l’appel du CeR, et à faire un choix en adéquation avec tout cela. Pour finir, à tous ceux qui souhaitent s’engager, qui se préparent ou attendent de bientôt passer leurs tests… Donnez vous à fond, si vous le voulez vraiment vous serez à la hauteur, donnez tout. Ne prenez rien à la légère, renseignez vous un maximum, et foncez atteindre vos objectifs. Merci et courage à ceux qui liront ce RETEX, j’espère sincèrement qu’il sera utile à certains comme l’ont été tous ceux du forum pour moi. ( remerciement énorme à @DocMartineLeS, @Eudaimonia et @LGR51 notamment, pour vos RETEX qui sont de l’or entre les mains des candidats). Ce forum est vraiment excellent pour se renseigner, et lire les expériences d'autres partageant cette passion commune. Aussi mon RETEX vous montre des performances moyennes, ça change des monstres que je lis souvent... M'enfin, j'en ferai peut-être relativiser quelque uns. Je me baffe à nouveau intérieurement, mais autant les assumer jusqu'au bout. Bonne lecture.
  11. Et oui ma bonne dame, le jeunisme frappe partout, même si les boomers sont au pouvoir ... Donc 26 c'est pas encore trop tard, mais on commence à se diriger vers la catégorie "les vieux qui doivent choisir ce qui reste ...", comme la grande partie des candidats potentiels a entre 20 & 25 ans, ceux au delà sont un peu moins "attrayant" et comme la concurrence est dure ... Clairon
  12. 26 ça commence à faire tard pour rejoindre l’ensoa ?
  13. En effet, le CeR me l'avait bien expliqué. Ce que je voulais dire, c'est que je me demande si je devrai faire les deux (voeux de DS pour l'ENSOA + voeux de régiments "au cas ou"). Au vu du bilan de mes tests pendant l'entretien au CSO, le tout est positif. Enfin, je développerai tout ça dans le RETEX qu'il faut vraiment que je termine.
  14. Il y a logiquement de sacrés placards .....Même si le décalage d'ancienneté l'explique mais quand même ... Des "clients ".....👍
  15. C'est une cérémonie très émouvante et particulière pour les familles des militaires du rang, sous-officiers et majors qui accèdent ce soir la au grade de sous lieutenant C'est le "point d'orgue d'une semaine passée à coetquidan où tous ces personnels admis ont été accueillis dans la "maison mère" sans distinction de tenues ou de grades. Ayant "participé" depuis 18 ans a plusieurs triomphes avec les OAEA et les ODS et adoubé plusieurs d'entre eux, j'ai chaque fois ressenti une émotion comparable à celle de ma cérémonie des sabres en novembre 1973....
  16. Normalement ils savent ce dont ils ont besoin ...le reste doit suivre ...Ou bien c'est le monde à l'envers .
  17. Exact c'est pour çà qu'un petit jeune du site qui avait choisi le Train c'est retrouvé au RTP ( bien classé) et ses potes fantassins de choc béret bleu dans des "vieilles casernes oubliées " là il larguait sans doute sur Gaza 😁....
  18. Pense à une paire de baskets de qualité qui vont t'éviter pas mal de problème au niveau des membres inférieurs..çà nage pas au top loin de là mais çà court beaucoup ....
  19. 15 jours normalement Vous aller recevoir plusieurs sacs à dos militaire (45 li, 70li +, sac à barda, ...) mais qui sont destinés à un usage mili sur le terrain. Pour votre arrivée, prenez un sac de voyage avec vous effets personnels, plutôt qu'une valise (ça se plie moins facilement), et plutôt d'un modèle civil que khaki. Clairon
  20. Attention, les voeux et le mode recrutement MDR/EVAT diffère fortement du recrutement EVSO/Sous-Off. Pour les EVAT on formule de un à trois choix de "régiment" ou garnison (le 1er RI, le 2e RMAT, le 3e RHC, 4e Chasseurs, 5e Dragons, 6e Génie, ...) Pour les Sous-off on choisi le DS (Domaine de Spécialité) : Infanterie, Génie Combat, RH, Sports, Musique, ... et en fonction de sa "scolarité" à l'ENSOA et des résultats obtenus on pourra choisir parmi les régiments recrutant dans cette spécialité à ce moment précis, ou bien on "sera choisi" en fonction de son classement ... Clairon
  21. La formation à l'ENSOA est ponctuée de 5 terrain dont 3 ERAF (vous allez les adorer) + une nuit dans un camp pour passer le module bravo sur le HK. Le premier terrain intervient en clôture de votre 3eme semaine d'école avant lui vous n'aurez pas de quartier libre et après lui vous en aurez sauf si les gars de votre section font de la merde. Tous les terrains durent 3 nuit et 3 journée sauf celui de la Courtine il me semble, mais je ne l'ai pas encore fait.
  22. Je ne sais pas quelle opportunité s'offre à un pax en sortie de l'ensoa dans cette branche ...A mon avis tu commenceras evat dans un régiment comme soldat . https://www.defense.gouv.fr/sante/recrutement/rejoindre-service-sante-armees/professions-paramedicales/devenez-infirmier-militaire-forces Brancardier c'est evat . 26 berges ne tarde pas ...🧐
  23. On te souhaite de rester dans le projet initial , mais là les résultats seront déterminants .Comme pour tous y compris les candidats officiers ...Il s'agit d'une gestion de masse .
  24. Intéressant, je l’ignorais. J’attends le retour, ma candidature étant EVSO, et par conséquent MDR par la même occasion, je vais devoir discuter du choix final avec mon CeR. (Enfin, choix "final" en adéquation avec mes résultats et motivations). Effectivement, celui qui vise un régiment précis a tout intérêt à y candidater directement.
  25. Depuis peu, les commandos marine, en particulier ceux du commando Hubert, basé à Saint-Mandrier [Var], utilisent le Propulseur sous-marin de 3e génération [PSM3G], grâce à un hangar de pont amovible [encore appelé Dry Dock Shelter, ou DDS] placé derrière le kiosque des sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de classe Suffren. Produit par Exail [ex-ECA Group] et doté d’un mât télescopique muni d’un capteur optronique et de systèmes de transmission, cet engin peut emporter une dizaine de nageurs de combat pour des missions d’infiltration. Mais ses caractéristiques sont confidentielles. « C’est un véritable outil anti-déni d’accès. […] Il y a très peu de nations qui possèdent ce type de vecteur et maîtrisent la capacité globale du triptyque PSM-DDS-SNA. Les capacités opérationnelles du PSM3G sont révolutionnaires par rapport à l’actuel PSM2G », précise la Marine nationale. Outre le PSM3G, les commandos marine utilisent aussi des « tracteurs sous-marins » [TSM], comme, du reste, les nageurs de combat du 1er Régiment de Parachutistes d’Infanterie de Marine [RPIMa] et du 13e Régiment de Dragons Parachutistes [RDP]. De dimensions réduites, ces propulseurs sous-marins permettent de doubler le rayon d’action des plongeurs tout en emportant une charge utile [notamment des explosifs] de plusieurs dizaines de kilogrammes. En novembre 2010, il avait été rapporté que la Marine nationale s’intéressait au tracteur sous-marin DPD [Diver Propulsion Device], conçu par l’entreprise américaine STIDD et commercialisé en France par TR Équipements (ci-dessus). Il s’agissait de remplacer les modèles autrefois fournis par la société française Premeco. Visiblement, ce modèle a donné satisfaction, à en juger par les rares photographies du Commando Hubert publiées à l’occasion de reportages sur les forces spéciales. D’une masse de 75 kilogrammes à sec, le DPD mesure 2,24 mètres une fois déployé, pour un diamètre de 61 centimètres. Il permet de transporter deux plongeurs avec leurs équipements [soit 40 kilos] sur une dizaine de nautiques. D’une autonomie de 4 heures, grâce à des batteries lithium-ion, il est doté d’un système de navigation par GPS et d’une antenne télescopique. Mais ces engins ont fait leur temps. En effet, via un avis de marché qu’elle vient de publier, la Direction générale de l’armement [DGA] a fait savoir qu’elle était en quête de nouveaux tracteurs sous-marins destinés à la Marine nationale. « Un tracteur sous-marin […] est un engin automoteur de forme et de taille variable destiné aux plongeurs, leur permettant d’augmenter leur rayon d’action et de transporter du matériel. Ils sont constitués possiblement de sous-ensembles sur étagères, seront utilisés par des plongeurs de la Marine nationale depuis la terre [quai, etc.] ou la mer [embarcations, etc.] pour diverses actions comme la reconnaissance sous-marine, l’intervention contre les obstacles sous-marins, etc. », rappelle d’abord la DGA. Ces futurs TSM devront avoir des « performances propulsives » et une autonomie devant permettre à « un binôme de plongeurs d’augmenter significativement son rayon d’action via une autonomie supérieure à 10 nautiques avec un fort état de mer », précise-t-elle, avant d’ajouter que le « système de propulsion [unité d’énergie, moteur, hélice] devra être « fonctionnellement redondé ». Autre spécification : l’utilisateur devra être en mesure d’assurer « certaines tâches de maintenance en autonomie comme le remplacement de moteur, d’unité d’énergie ou d’hélice ». Enfin, les TSM recherchés devront être dotés « d’un système de cartographie et de navigation, de moyens de positionnement, d’un sonar de navigation et de sonars latéraux ». Selon l’avis de la DGA, l’industriel qui sera retenu aura à fournir deux TSM « à courte échéance », ces derniers devant faire l’objet d’une « commande ferme ». Puis, douze autres suivront par la suite. La valeur du marché est estimée à 30 millions d’euros maximum. Cette somme couvre « des prestations associées comprenant notamment la fourniture d’accessoires, de sous-ensembles, de conditionnements de transport, la formation, la documentation d’utilisation et de maintenance ainsi que des rechanges et outillages ». Les candidats – et leurs éventuels sous-contractants – devront être basés « exclusivement sur le territoire de l’Union européenne ». Et la DGA d’ajouter : « La livraison des matériels et la réalisation de la formation se dérouleront au sein des principales bases navales de la Marine Nationale en France métropolitaine. Les documents seront livrés à Paris ou Toulon ». Reste à voir le modèle susceptible d’être choisi. En 2021, le 1er RPIMa a reçu deux TSM de type Divejet RD2, fournis par l’entreprise allemande Rotinor, via TR Équipements. Mais ses performances ne sont sans doute pas celles qu’attendent les commandos marine, dont le choix pourrait se porter sur une solution française, à savoir celle proposée par Alseamar, avec le Murene. Photo : ALSEAMAR https://www.opex360.com/2025/08/07/le-ministere-des-armees-est-en-quete-de-14-nouveaux-tracteurs-sous-marins-pour-les-commandos-marine/
  26. Merci à vous deux @BTX, bien entendu ! Une seule semaine de vacances prévue, et tout le reste est mouvementé à coup de séance de sport. Ne pas subir ! @Yann pyromane, exact, choix "simples" mais avec un plaisir important. Je laisse les super-héros ou les Captain Price de Call of Duty de côté Bien entendu pour les deux PM, on essaye la tête de liste ! Louis.
  27. https://www.opex360.com/2025/08/06/m-lecornu-1-euro-investi-dans-notre-defense-cest-en-moyenne-15-euro-de-richesse-creee-dans-leconomie-francaise/ Alors que le gouvernement s’apprête à soumettre au Parlement un nouveau plan pour rééquilibrer les comptes publics et contenir la progression des dépenses publiques grâce à une « année blanche » en 2026, c’est-à-dire que les prestations et les barèmes ne seront pas augmentés, le ministère des Armées sera l’un des rares à voir son budget progresser significativement l’an prochain, son montant devant passer de 50,5 à 57,1 milliards d’euros, comme l’a annoncé le président Macron le 13 juillet. Comme cela a pu être naguère le cas, cette hausse des dépenses militaires risque d’être contestée par une partie de la classe politique et de l’opinion publique, malgré l’accumulation des menaces et le durcissement de la conflictualité et les coupes budgétaires, souvent drastiques, dont les armées ont été victimes dans les années 2000 et 2010. D’ailleurs, lors d’une audition au Sénat, en juin, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a confirmé que le « muscle » des forces françaises avait fini par être « attaqué » durant la période des « dividendes de la paix ». Les « coupes budgétaires dans les années 2000 ont été brutales. C’est même de l’amputation », a-t-il dit. Et ce n’est pas pour ça que la dette de la France s’est réduite, bien au contraire. Quoi qu’il en soit, M. Lecornu devra convaincre de la nécessité de cette hausse importante des crédits militaires. Sans attendre la rentrée parlementaire, il est passé à l’offensive en prenant l’exemple de la région Auvergne-Rhône-Alpes. « Investir dans nos armées, c’est concret. En Auvergne-Rhône-Alpes, l’économie de défense c’est 25 121 emplois dans les 738 PME et ETI sous-traitantes de l’industrie de défense, pour un total de 3,5 milliards d’euros de paiements directs du ministère des Armées aux entreprises en 2025, 20 078 personnels du ministère présents, qui génèrent avec leurs familles 14 605 emplois dans les services et commerces de proximité, 194,5 millions d’euros investis dans les infrastructures, et 2 369 PME et ETI fournisseurs directs du ministère sur le territoire », a-t-il détaillé. « Notre effort de défense est nécessaire pour garantir notre capacité à être libres souverainement. Il est aussi essentiel pour notre économie », a souligné M. Lecornu, qui a ensuite enfoncé le clou. « Le modèle français, souverain, garantit que la grande majorité du budget de nos armées est réinjecté dans notre économie nationale », a insisté le ministre, avant de rappeler que les 4 369 entreprises de la Base industrielle et technologique de défense représentaient « près de 210 000 emplois ». Il aurait pu également ajouter que leurs exportations permettaient aussi de rééquilibrer la balance commerciale. En outre, au-delà des aspects industriels, M. Lecornu a fait valoir que « partout en France autour de nos bases, régiments, sites techniques et administratifs », les « 260 000 agents civils et militaires du ministère participent à la vie de nos territoires, générant avec leurs familles plus de 200 000 emplois induits dans les services et commerces de proximité ». Aussi, selon lui, « 1 euro investi dans notre défense, c’est en moyenne 1,5 euro de richesse créée dans l’économie française ». Cet appel à l’argument du « multiplicateur keynésien » [encore appelé « multiplicateur d’investissement »] n’est pas nouveau. Avant lui, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense entre 2012 et 2017, l’avait avancé, en donnant une estimation « au doigt mouillé ». « Un seul euro investi dans l’industrie de défense représente en retombée économique 2 euros, 3 euros, peut-être davantage », avait-il en effet déclaré, dans un commentaire sur les exportations françaises d’équipements militaires, en février 2016. « Il est utile pour la réflexion sur la stratégie industrielle d’y réfléchir, au moins de le mettre en valeur et de le constater », avait-il asséné. À l’époque, une note de l’Observatoire économique de la Défense avait expliqué que « les investissements de la défense […] contribu[ai]ent également à la croissance, à l’innovation, à l’emploi et au développement des territoires tout en tenant compte des contraintes économiques et budgétaires auxquelles [étaient] soumis le ministère ». Trois ans plus tard, Florence Parly, alors ministre des Armées, avait repris à son compte cet argument. « Un euro investi dans les industries de défense, c’est, in fine, au bout de dix ans, 2 euros de croissance économique, et donc du PIB ». Ce que confirma un rapport de l’Assemblée nationale, publié en 2020. « Les dépenses publiques consenties dans ces industries de souveraineté bénéficient très majoritairement à des producteurs français et, en conséquence, créent de l’activité, de l’emploi et de la valeur ajoutée en France. Dans d’autres secteurs, à l’inverse, les dépenses publiques stimulent davantage d’importations, ce qui limite d’autant leur effet bénéfique sur l’économie française », était-il avancé dans ce document. Plus récemment, le ministère des Armées s’est appuyé sur une étude de l’Institut de l’économie industrielle pour évaluer exactement ce que rapporte un euro de dépense militaire à l’économie française. « L’investissement militaire agit comme un véritable multiplicateur économique. […] Chaque euro investi dans la défense génère entre 1,27 euro et 1,68 euro de richesse dans l’économie nationale, en fonction de l’horizon temporel considéré », a-t-il en effet avancé. Et d’ajouter : « Ce multiplicateur élevé s’explique par la structure même des dépenses militaires, qui se concentrent sur la production industrielle nationale à forte valeur ajoutée technologique, et mobilisent un large écosystème de sous-traitants, d’ingénieurs, de techniciens et de services annexes ». Selon le ministère des Armées, les investissements dans la défense ont la particularité de « contribuer directement à la croissance du PIB en stimulant la demande domestique » et en encourageant la modernisation des outils de production. « À moyen et long terme, les effets se prolongent par l’amélioration de la productivité globale de l’économie, en raison des retombées technologiques, de la diffusion d’innovations vers le secteur civil et du maintien de compétences de pointe sur le territoire », a-t-il relevé. Sur le plan budgétaire, a-t-il conclu, « les dépenses de la défense ont également un effet de retour fiscal significatif » car elles engendrent de « l’activité » et « alimentent la taxe sur la valeur ajoutée [TVA], les impôts sur les sociétés, les cotisations sociales ainsi que l’impôt sur le revenu des salariés concernés ».
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