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  1. Aujourd’hui
  2. On peut ajouter à la bonne volonté mise à mal pour la prise de TC : lieutenance infinie (passage au grade sup' que durant le TC), échelon de solde non mis à jour malgré les conditions remplies : perte seche en terme de rémunération, faiblesse en terme d'infra de matos et tout le toutim.. Franchement faut avoir envie de se palucher deux ans (a minima) pour faire son TC. Lors de tables ronde c'est une idée qui avait été évoquée avec la DRHAT : créer un détachement pour les fonctionnaire pour la prise de commandement et valoriser l'emploi civil au profit de l'armée pour le temps de non gestion de l'UIR. Réponse de la DRHAT : silence. Le retour des ORSA est évoqué, mais pas pris au sérieux. Il y a une crise des vocations pour les postes de commandement mais les états majors grouillent de barrettes qui se plaignent de ne pas être suffisamment employées, cherchez l'erreur. Beaucoup d'idée mais peu de concrétisation et un modèle chancelant qui continue par la bonne volonté de ses membres qui veulent que tout fonctionne avec le peu de moyen dont ils disposent.
  3. Photo ECPAD La société norvégienne NFM Group, fondée en 1996 et spécialisée dans les systèmes de protection individuelle, a finalisé l’acquisition de Paul Boyé, l’un des fabricants du secteur défense et sécurité les plus établis de France. Cette opération marque une nouvelle étape dans l’expansion européenne de NFM Group et renforce son engagement à long terme envers les forces armées françaises et les institutions nationales de sécurité civile et sanitaire. À l’issue d’un processus mené en lien avec les autorités de l’Etat, NFM Group a acquis 100 % des actions de Paul Boyé. La finalisation de la transaction est intervenue le 7 octobre 2025. Fondée en 1904, Paul Boyé fournit des systèmes de protection et d’équipements opérationnels aux forces armées, aux forces de l’ordre, à la sécurité civile et au secteur de la santé. L’entreprise est reconnue comme un expert de la protection NRBC et un fournisseur de confiance d’équipements tactiques, d’uniformes techniques et de vêtements de protection utilisés dans des environnements opérationnels exigeants. À la suite de l’acquisition de Paul Boyé, NFM Group sera présent dans huit pays et emploiera environ 3 400 personnes, dont plus de 1 300 en Europe. Avec des sites de production désormais répartis en Norvège, France, Allemagne, Pologne, Bulgarie, États-Unis et Madagascar (où Paul Boyé emploie plus de 2000 personnes), NFM Group consolide l’une des bases industrielles les plus complètes du secteur européen de la défense, garantissant la résilience de la chaîne d’approvisionnement et la continuité opérationnelle en période de crise. Dans le cadre de cette intégration, Mads E. Larsen, actuellement Directeur Général de NFM France et Directeur de la Stratégie de NFM Group, assumera le rôle de Président de Paul Boyé. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/le-groupe-norvegien-nfm-group-acquiert-paul-boye/
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      • Confused
  4. Avant les 6×6 Zetros: 49 Sprinter 4×4 pour l’armée de Terre Photo MB Petit clin d’oeil et une suite à mon article sur les camions Mercedes-Benz Zetros… Après 80 Sprinter 4×4 ambulances en 2017, de nouveaux utilitaires Mercedes-Benz équipent l’armée de Terre. Suite à un appel d’offres de l’UGAP, le service des achats de matériel a récemment perçu près de 50 Sprinter. Il s’agissait de: – 30 Sprinter 319 CDI 4×4 (23 bennes et 7 plateaux) carrossés par JPM – 19 Sprinter 319 CDI 4×4 fourgons ADR* carrossés par CORNUT Deux types d’utilisation étaient prévus pour ces Sprinter 319 4×4 boite automatique 9G TRONIC à convertisseur et répondant aux dernières normes de sécurité GSR II: – les 30 Sprinter bennes et plateaux JPM servent aux équipes du génie à acheminer outils et matériaux de construction sur les terrains de manœuvre. – quant aux 19 fourgons – également des versions 4×4 319 (190 ch) – ADR réalisés par CORNUT, ils sont affectés au transport de matières dangereuses et autres matériaux nécessitant des conditions particulières de sécurité. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/avant-les-6x6-zetros-49-sprinter-4x4-pour-larmee-de-terre/
  5. D’accord je vois, merci beaucoup ! pour la police nationale j’y ai pensé, mais ça ne correspond pas avec mes valeurs
  6. Apparemment l'avenir est au fantassin sur moto cross d'ailleurs !
  7. Malheureusement, cela ne me menace pas. Ce qui est bien pire, c’est que beaucoup de gens dans l’armée touchent des salaires énormes pour “commander” et “adapter la doctrine”. Et au final, après quatre années de guerre de haute intensité à l’est de l’Europe, nous continuons encore à courir en petits groupes serrés. Quelqu’un, à mon avis, vole tout simplement son salaire. (ce n’est que mon opinion, fondée néanmoins sur des faits indéniables) Quant aux camarades de Nîmes : « J’avais un camarade, de meilleur il n’en est pas… »
  8. Hier
  9. Le PGHM a pour mission de former des secouristes en montagne .....
  10. c'est marqué sur la vidéo ....avec le 132 RIC en action commune ... Quand tu seras officier ODS tu rétabliras la situation ...tu as largement le niveau !
  11. Je vois sur les images une groupe d’infanterie tassée derrière un mur. Parfait, bien compact. En cas d’explosion d’un quelconque projectile à proximité, ou de la visite d’un drone FPV, on pourra enterrer tout le monde proprement dans une fosse commune. Un détail supplémentaire : à en juger par les gilets d’imitation, tout cela se passe au centre d’instruction CENZUB/CENTAC. Eh bien, il semble que c’est ainsi qu’on y enseigne. Très bien, très moderne.
  12. https://www.facebook.com/watch?v=705029395936812
  13. Quand on voit ce que çà devient avec un bon droniste posté à x kms de là qui pulvérise même des pax en moto on se demande si c'est bien utile .... https://www.youtube.com/watch?v=1p59CrDkG2o
  14. https://www.opex360.com/2025/10/07/lavion-de-transport-bresilien-c-390-serait-sur-le-point-de-damer-le-pion-a-la400-atlas-en-inde/ L’avion de transport brésilien C-390 serait sur le point de damer le pion à l’A400 « Atlas » en Inde Le 6 octobre, la Suède a confirmé la commande de quatre avions de transport C-390 Millenium auprès du constructeur brésilien Embraer, dans le cadre d’un achat groupé avec les Pays-Bas et l’Autriche. Ces trois pays rejoignent ainsi le Brésil, le Portugal, la Hongrie, la Slovaquie, la République tchèque, la Corée du Sud et la Lituanie [et peut-être l’Ouzbékistan]. Mais Embraer pourrait obtenir une grosse commande de la part de l’Inde. En tout cas, les signaux passent un à un au vert. En 2023, le ministère indien de la Défense a émis une demande d’informations [RFI – Request for Informations] auprès de l’industrie dans le cadre du programme MTA [Medium Transport Aircraft – Avion de transport moyen], celui-ci devant permettre de remplacer les avions de transport Antonov AN-12 et Iliouchine II-76 exploités par l’Indian Air Force. Au moins trois industriels y ont répondu : Lockheed Martin avec le C-130J Hercules, Airbus avec l’A400M « Atlas » et Embraer avec le C-390. Évidemment, un tel marché – évalué à quatre-vingts appareils – pourrait être une aubaine pour Airbus qui, jusqu’à présent, peine à exporter l’Atlas, malgré ses qualités intrinsèques, mises en lumière lors de ses récents engagements. « Oui, nous avons répondu à la RFI et proposé l’A400M. Il peut transporter une charge plus élevée [37 tonnes, ndlr] et dispose d’une autonomie deux fois plus importante que ses concurrents », avait d’ailleurs fait valoir Jean-Brice Dumont, responsable des systèmes aériens militaires au sein de l’industriel européen, dans un entretien accordé à la presse indienne. Seulement, Embraer a quelques cartes à jouer. Ainsi, l’an passé, le constructeur brésilien a signé un protocole d’accord avec le groupe indien Mahindra pour produire des éléments du C-390 dans le cas où cet appareil serait sélectionné par l’Indian Air Force. « L’Inde possède une industrie de défense et aérospatiale diversifiée et solide et nous avons choisi Mahindra comme partenaire pour poursuivre conjointement le programme MTA « , avait affirmé Bosco da Costa Junior, le PDG d’Embraer Defence & Security. « L’Inde est un marché clef pour nous et nous soutenons pleinement ses ambitions pour ‘Atmanirbhar Bharat’ [Inde autonome, ndlr]. Nous considérons ce partenariat comme un symbole du renforcement des relations entre le Brésil et l’Inde et un moyen de favoriser la coopération dans les pays du Sud », avait-il expliqué. Comme l’a sous-entendu M. da Costa Junior, les considérations politiques entrent en ligne de compte dans cette affaire. D’ailleurs, c’est ce que montrent les discussions en cours entre New Dehli et Brasilia. Discussions qui pourraient déboucher sur un accord de défense « historique ». Récemment, l’ambassadeur du Brésil en Inde, Kenneth da Nóbrega, a confié à la chaîne de télévision WION que Brasilia étudiait « attentivement l’acquisition de certains produits de défense indiens » et que New Delhi envisageait de se procurer des équipements militaires brésiliens. « Je ne souhaite donc pas entrer dans les détails concernant la défense, mais nous avons de bonnes perspectives dans ce domaine », a-t-il dit. Pour la presse spécialisée indienne, les propos du diplomate brésilien suggèrent que l’Inde envisage d’acquérir des C-390 Millenium dans le cadre d’un « troc » avec le Brésil, ce dernier étant intéressé par l’avion de combat Tejas, pour remplacer les F-5 et les AMX de sa force aérienne, ainsi que par le missile de croisière BrahMos et l’hélicoptère LCH Prachand. L’option du Tejas avait d’ailleurs été avancée par le général Marcelo Kanitz Damasceno, le commandant de la Force aérienne brésilienne [Força Aérea Brasileira, FAB], l’an passé. « Selon nos règles, nous ne devrions pas avoir moins de deux ni plus de trois types d’avions de combat. Actuellement, nous avons le F-5 et le Gripen, mais après 2030, nous aurons peut-être besoin de deux autres types, le F-5 devant être abandonné. Ainsi, le Tejas est l’une des options pour notre deuxième ou troisième avion de combat », avait-il dit, après avoir reçu le général Upendra Dwivedi, son homologue indien. Pour rappel, propulsé par deux turbofans IAE V2500, le C-390 a la capacité de transporter 20 à 25 tonnes de fret sur une distance de 2815 km, à la vitesse de croisière maximale de 850 km/h.
  15. https://www.opex360.com/2025/10/08/arquus-propose-a-larmee-de-terre-une-nouvelle-version-du-camion-zetros-6x6-de-daimler-truck/ Quand on a la curiosité de consulter les journaux de marche des régiments français écrits durant les premières semaines de la Grande Guerre, on trouve régulièrement la mention « pas de ravitaillement » quand les unités arrivaient à leur cantonnement. Pourtant, tous les stratèges le disent : la logistique est, en quelque sorte, le nerf de la guerre. D’où l’importance de disposer d’une solide chaîne logistique. Pour autant, cet aspect a été négligé, le renouvellement des camions de l’armée de Terre ayant souvent servi de variable d’ajustement budgétaire pour financer d’autres programmes jugés prioritaires. Certes, la Loi de programmation militaire [LPM] 2019-25 avait prévu de lancer le programme « Successeur poids lourds – Véhicules 4-6 tonnes », avec l’objectif d’acquérir 7 000 nouveaux camions pour remplacer les GBC180 qui, bien que réputés « increvables », n’en arrive pas moins au bout de leur potentiel, après avoir été mis à rude épreuve pendant des années d’opérations extérieures. Seulement, le projet de LPM 2024-30, bien que mettant l’accent sur la « cohérence », ne fit aucune mention de ce programme. Cet oubli fut réparé par le Sénat, qui fit adopter un amendement pour commander « 2 086 camions logistiques terrestres », sur une cible totale de 9 466 exemplaires de tout type. Ce point était d’autant plus important que l’exercice de préparation à la haute intensité Orion avait mis en lumière les fragilités de l’armée de Terre en la matière. Reste que, en juillet 2024, la Direction générale de l’armement [DGA] a lancé un appel d’offres portant sur l’acquisition et le soutien de 7 000 camions militaires et le développement de « différentes versions de porteurs logistiques de charge utile de 6 tonnes [PL6T] tout terrain protégés ou non ». Selon des informations de La Tribune, ce marché, d’une valeur de 5 milliards d’euros et qui doit s’étaler sur douze ans, serait entré dans la dernière ligne droite, les quatre industriels en lice devant remettre leur meilleure offre à la DGA avant le 14 octobre. Le vainqueur sera désigné avant la fin de cette année. Parmi les soumissionnaires, on trouve Soframe, associé à l’italien Iveco, MAN [groupe Volkswagen] et Arquus, qui a récemment scellé un partenariat avec Daimler Truck. Le renouvellement des GBC180 de l’armée de Terre est dans le viseur d’Arquus depuis quelque temps déjà. En 2020, l’industriel avait dévoilé l’ARMIS 6×6, pensé pour mettre en œuvre les systèmes de communication et d’information du programme SCORPION et être doté de tourelleaux téléopérés de la gamme Hornet. Mais ce n’est sans doute pas ce modèle qu’Arquus entend proposer. En effet, à l’occasion du Forum Entreprises Défense 2025, l’industriel dévoilera le « Zetros by Arquus ». Développé par Mercedes Benz, le Zetros est un camion pouvant rouler en milieu difficile. Aérotransportable, il équipe déjà l’armée allemande [en version 4×4]. « Déjà en service, avec plus de 15 000 camions au sein de forces armées internationales comme celles du Canada, de la Lituanie et de l’Ukraine au cours des dernières années, le Zetros arrive désormais sur le marché français avec une valeur ajoutée significative d’Arquus : la militarisation, l’intégration des équipements et systèmes d’armes, des configurations polyvalentes – blindées ou non protégées, pour le transport de troupes ou la logistique – et un soutien complet assuré sur le territoire français », précise le communiqué diffusé par l’industriel. Et d’ajouter : « Conçu pour des conditions d’engagement sévères, le camion accueille deux membres d’équipage à l’avant, dans un confort et une protection optimale. Le savoir-faire d’Arquus assure une charge utile de plus de 6 tonnes quelles que soient les intégrations ou le type de cabine. » Pour rappel, Arquus a déjà obtenu le marché relatif au programme « Camions-citernes de nouvelle génération »[CCNG], la DGA lui ayant notifié un contrat d’un montant de 120 millions d’euros pour la livraison de 70 premiers véhicules de la gamme ARMIS. Quoi qu’il en soit, le directeur général d’Arquus, Emmanuel Levacher, a dit vouloir que « les forces françaises aient confiance dans un camion militaire robuste et éprouvé, doté de performances tactiques de haut niveau et d’une proximité maximale avec les unités pour les opérations de Maintien en condition opérationnelle ». D’où cette offre basée sur le « Zetros by Arquus », développé en partenariat avec Daimler Truck. « Ensemble, nous pouvons fournir aux forces françaises et européennes un véhicule fiable qui renforce la préparation opérationnelle et la souveraineté industrielle de nos pays voisins », a fait valoir Daniel Zittel, le responsable des ventes de la division « défense » de l’industriel allemand.
  16. Aux qualif été/hiver ( j'ai pas pu aller plus loin potentiel atteint 😁 ) les temps de référence avaient été établi par un major quand il était gendarme .....Les parcours étaient toujours les mêmes pour trier les pax avant de les envoyer au CNISAG .Ces gars là sont hors norme et ils passent toutes les qualifs qui existent militaires et civiles .Des monstres en effet ...
  17. https://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2025/10/legionnaires-missions-de-combat-une.html La série Légionnaires, missions de combat se décline en six épisodes de 30mn diffusés par Canal Docs, chaîne du groupe CANAL+. Il s'agit d'un regard télévisuel innovant sur la Légion étrangère porté les réalisateurs Frédéric Decossas, Pierre-François Glaymann et Philippe Bodet qui est à la fois réalisateur mais aussi producteur (Paramonti). C’est ce dernier, fin connaisseur de l’univers légionnaire que j’ai rencontré afin de nous parler de cette collection qui, pour l’heure, devrait être diffusé dans 45 pays. Ces 25 dernières années, il y a eu beaucoup de documentaires et de magazines sur la Légion. A travers cette collection, vous utilisez une écriture un peu différente, avec des angles inhabituels ? Justement quand vous dites qu'il y a beaucoup de reportages ou de documentaires qui ont été faits sur la Légion, il y certainement les miens. Beaucoup ont été des immersions... En fait, c'est un peu à partir de la somme de tous ces films précédents et des rencontres qui ont été réalisées pendant ces 20 ans avec des légionnaires, que j’ai eu envie de trouver une forme narrative pour entrer dans la tête du légionnaire et comprendre ce qui le motive et comprendre son engagement ? Au sens le plus large du terme, contractuel évidemment parce que ce sont des étrangers, mais l'engagement moral, humain, éthique, combatif, agressif, parce qu’ils sont là aussi pour aller au combat. Voilà ce que je voulais raconter. Donner à voir le légionnaire autrement. Vous y êtes parvenu… J’espère ! Beaucoup de retours l’expriment. Des amis peu familiers du monde militaire se sont étonnés des propos des légionnaires. Ils ont été impressionnés par leur humilité et leur sens moral. Le légionnaire, ce n’est pas une brute épaisse qui tient le fusil, c’est un homme qui peut avoir des états d'âme, des peurs et des angoisses. Mais qui accomplit sa mission avec courage, probité et loyauté, au service de notre pays. Quand un légionnaire étranger dit « je suis prêt à mourir pour la France », cela interpelle, cela touche. Quel casting pour trouver ces personnages ? Après avoir obtenu l'aval de la Légion étrangère et du COMLE, le général Youchtchenko, j'ai travaillé avec la division patrimoine et rayonnement. À partir de là, il fallait que j’identifie des actions de combat qui soient différentes, des terrains d'action distincts, tout en restant sur quelque chose d'assez récent comme l’Afghanistan, le Mali, la République Centrafricaine... Et à partir du moment où j’ai identifié ces histoires, avec mes deux comparses coréalisateurs Frédéric Decossas et Pierre-François Glaymann, nous nous sommes partagé les six épisodes - deux chacun – et nous nous sommes rendus dans les régiments concernés. Nous avons rencontré des légionnaires qui avaient vécu ces combats. Nous avons dialogué, échangé, parfois au foyer du légionnaire autour « d’une binouze »… Pour faire connaissance et expliquer notre démarche plutôt que de mettre immédiatement une caméra en marche. Notre objectif était de créer une relation de confiance. C’est la force de cette collection… Tous les trois, nous avons vécu des moments où nous avons été émus par certains propos recueillis. Et nous avons pris le temps. Certaines interviews enregistrées étaient très longues, deux heures parfois. Mais c’est ce qui fait que la parole émerge. Il y a tellement de choses intéressantes qui sont dites, mais chacun des six épisodes est de 30 minutes. Après, ce sont des choix de montage. Il y a unité de lieu dans les interviews, où ont-elles été enregistrées ? Mon choix était effectivement d'avoir un décor unique. J'ai réfléchi en amont et je me suis dit que la tente était une bonne idée parce que pour eux un c'est un décor familier. La tente modulable comme l'appellent les militaires est présente dans tous les régiments, le lit Picot, également ; le pare-balles, le casque, ce sont des outils de travail… Donc je savais que j'allais pouvoir recréer un décor identique où que nous tournions et donner cette unité. Dans combien de régiments avez-vous tourné ? Avec le 2e REI au camp de La Courtine, au 2e REP, au 2e REG, au 4e RE, au GRLE, au 3e REI. Le décor des évocations de la Centrafrique, c'est au CEFE en Guyane. Nous avons également été dans l’Aveyron à la 13e DBLE. CANAL+ DOCS votre diffuseur, c’est une exposition intéressante ? C’est en effet une belle exposition. Que disent les premiers retours ? L’audience est bonne. Pourvu que ça dure ! A la Légion, la perception de la collection est bonne parce ces épisodes expliquent le sens de l’engagement du légionnaire. Parce que cela participe à le sortir de l’image traditionnelle de l'homme d'action. Pour les légionnaires qui témoignent c’est aussi un travail de mémoire. Un hommage à leurs camarades blessés ou morts. Pour les honorer et ne pas oublier. Et côté civil, les gens découvrent les légionnaires autrement. La vie de la série va se poursuivre à l’étranger ? Oui, la série sera diffusée par CANAL+ dans 45 pays si je ne me trompe pas. Combien de temps entre le moment où l’idée de cette série vous vient et la fin du montage ? A peu près un an et demi. C'est le temps de création pour ce type de collection. Celui où je commence à travailler dessus, où j'en parle à CANAL+DOCS, le moment où obtient le feu vert, où on commence à repérer puis à tourner. Après il y a la phase de montage. Puis la diffusion. Quand ça s'arrête, il y a un petit spleen…
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      • Thanks
  18. Ces monstres... les premiers de mes test avaient bouclé le tout en 1h07, ça partait en courant 🙃!
  19. Voilà des épreuves dignes de ce nom ...😁 1000 M d+ 56 MN !
  20. Le CEHM est principalement destiné aux mdr, les sous off passent normalement par les "qualifs" = BQTM (Brevet de Qualification des Troupes de Montagne, si mes souvenirs sont bons) Pour les officiers l'objectif est le Chef de Détachement, mais pas exclu pour les sous off sup Tu en sauras plus à ton arrivée et le bureau montagne sera là pour répondre à tes questions, mais comme toujours à l'armée ça va dépendre du besoin à l'instant t et des priorités de ton bataillon. Si pas de places pour les qualifs, tu iras surement sur un CEHM... donc direction la perception des cham et du matos montagne et prépare toi à avaler du d+ De mémoire les test CEHM été c'était 1100m de d+ en treillis rangers + sac à 8kg (sans l'eau) à boucler en moins de 1h30, parcours uniquement montant Et ensuite test d'escalade sur falaise, même tenue, du 5A au 6A
  21. Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent. Michel Audiard.
  22. C'est le gérant du Mess , j'ai connu le même genre .Major mais j'avais vu une fois en tenue 😁..
  23. J'ai tout lu mais je vais rebondir à partir de ton message initial. Il ne me semble pas que tu ais approfondis ce sujet mais primo, ton père "a dit que" = a t il servi dans ce régiment ? Si oui, récemment ? Parce qu'entre l'armée d'il y a 20 ans et l'actuelle, il s'est passé deux/trois réformes ^^ j'abonde dans le sens des camarades, un major c'est pas jun EVAT, loin de là. Et généralement ils ont les postes de liaison et on les laisse tranquille du au grade et à l'ancienneté. ils sont très utiles pour leur connaissance du régiment, le prestige du grade et ils mettent de l'huile dans les rouages 😌 concernant ta non-appétence pour l'école, soit. Mais un Régiment NRBC c'est beaucoup de cours, de l'instruction, des essais, des mises à niveau. Tu passeras du temps sur les bancs sur des notions essentielles à ton métier de combattant spécialisé. donc de mon point de vu, soit tu aimes apprendre mais c'est la manière d'enseigner qui ne te plaît pas, soit tu n'aimes pas apprendre et la ça sera compliqué pour toi dans les armées. en effet, tu vas stagner et on ne te proposera jamais d'évoluer, et rester CC1 toute sa carrière peut être frustrant si ça n'est pas voulu. Pour le SEO, renseigne-toi bien mais si tu aimes les OPEX et les déplacements c'est le top comme affectation et aussi en reconversion tu es jeune et t'as l'air paumé, prends le temps de réfléchir dans tes choix.
  24. Régiment ? Mon Dieu bannissez ce mot de votre future conversation alpine à moins d'aller servir le 93e RAM ou le 4e RCh. Evoquez plutôt le mot de "bataillon" c'est désuet mais so chic. BTX
  25. J'en étais moi-même convaincu 😁 Et je ne vous dis pas ce qui se passe au-delà......................... Le cousin de Le Grain BTX
  26. La dernière semaine
  27. Merci oui BAM BSM et BSAM. Pour le reste je pense que ça sera réservé aux cadres opérationnels effectivement. Très heureux d'avoir pu avoir un régiment près de ma région d'origine qui plus est avec une spécialité qui va permettre de sortir de ma zone de confort malgré ma spé qui me convient parfaitement.
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