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Aumilitaire

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la seule façon pour un militaire d'etre armé sur le territoire (a moins que je me trompe), c'est que celui si soit déclaré en etat de siège , et j'espère qu'on arrivera jamais là ????

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Y a quand même un truc bizarre qu'il s'attaque a des militaires c'est vague , mais bizarrement deux fois sur des parachutistes !! Et si c'était un refoulé inapte TAP lors d'une visite médicale au cso et tout ça ne serait que pure jalousie ..

Les enquêteurs trouveront bien cet enf....

Si c'est le cas, il à surement raté le test psycologique ce C.....

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Je sais pas pourquoi mais je sens bien un crime raciste si l'assassin du militaire de toulouse et le même que celui de montauban . les 3 soldats morts avaient des noms d'origines magrhébines ... Et je pense que l'autre soldat blessé était au mauvais endroit au mauvais moment ..

Dans tous les cas cet acte est pitoyable

Moi aussi je pense que c'est un crime raciste parce que je viens de regarder un reportage de M6 sur youtube plus exactement 66 minutes c'est un reportage qui date de 2008, et on parle du 17 RGP de Montauban et on voit trois soldats dans leur chambre posant avec un drapeau nazi.

voici le lien de la vidéo :

http://www.youtube.com/watch?v=JwTcJ3QUh2k&feature=related

P.S : regarder la vidéo en entier

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"Un témoin a aperçu le visage de l’assassin des militaires"

18 mars 2012 – 12:10

Une cellule forte d’une cinquantaine de policiers a été mise en place pour retrouver l’auteur des meurtres de trois parachutistes, commis à Toulouse et à Montauban en quelques jours.

Pour le moment, les enquêteurs connaissent le mode opératoire de l’assassin, le type du véhicule avec lequel il se déplace ainsi que celui de son arme, qu’il a utilisée à Toulouse pour tuer le maréchal des logis chef Imad Ibn-Ziaten du 1er Régiment du Train Parachutiste, et à Montauban où il a ouvert le feu sur trois militaires du 17ème Régiment du Génie Parachutiste.

Mais ce n’est pas tout. Car les policiers disposent d’images prises par les caméras de surveillance placées près du guichet automatique où se tenaient les parachutistes montalbanais lors de la fusillade et des témoignages de personnes qui étaient sur les lieux.

Dont celui d’une femme, qui s’est confiée à RTL et au quotidien La Dépêche. « Je faisais des courses. Je sortais de la pharmacie, j’allais au bureau de tabac lorsque le tueur m’a bousculée. Il s’est retourné et, dans le mouvement, la visière de son casque s’est relevée de quelques centimètres. J’ai alors aperçu un tatouage ou une cicatrice au niveau de sa joue gauche. J’ai aussi entrevu ses yeux à travers la visière. Il avait un regard froid, d’une lucidité effrayante. Un regard que l’on n’oublie pas » a-t-elle affirmé.

En outre, ce témoin a pu donner le signalement de l’assassin. « Il était de taille moyenne, 1m70 environ et assez corpulent. Si ce n’est cette marque sur le visage, je n’ai pas vu d’autres signes distinctifs » a-t-elle ajouté.

Cela étant, les policiers restent prudents, en raison, selon La Dépêche, de l’état troublé du témoin. « Il s’ajoute à d’autres témoignages que nous vérifions » a confié un enquêteur au quotidien régional.

En attendant, le 17ème RGP rendra, la semaine prochaine, un hommage aux victimes. D’après la mairie de Montauban, le Premier ministre, François Fillon, et le ministre de la Défense, Gérard Longuet, y assisteront. La présence du président Sarkozy est en attente de confirmation."

http://www.opex360.com/2012/03/18/un-temoin-a-apercu-le-visage-de-lassassin-des-militaires/

"Mourir pour libérer les hommes..."

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4 autres assassinats à toulouse (3 enfants et un adulte) par un homme en scooter. Ce type est un malade, ceux qui habitent la région fait attention!

The only easy day was yesterday

Remember to keep yourself alive, there is nothing more important than that

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Suite : Toulouse/Montauban : la piste d'un ancien militaire ?

"Sur son site Internet, Le Point évoque « une première piste dans l'enquête de Toulouse », rappellant que « en 2008, des soldats réputés néo-nazis avaient été renvoyés du 17ème RGP ». A la suite des révélations du Canard enchaîné, nous avions à l'époque publié un article sur ce blog, que l'on peut lire ici.

Simple rapprochement ou début de piste ? Il est trop tôt pour le savoir. Une seule chose est certaine : les enquêteurs de la police ont interrogé ceux de la DPSD (Direction de la protection et de securité de la défense). « C'est un rapprochement qu'on ne peut pas éluder », confirme une source militaire. Dans les états-majors, nombreux sont ceux qui craignent que le tueur soit un ancien militaire du 17. L'homme semble bien connaître les lieux.

Que s'est-il passé en 2008 ? Un ancien sergent du 17e Régiment de génie parachutiste, Jamel Bensehrir, dénonce le comportement de certains paras du régiment, qui affichent des idées racistes et néonazies. Il a en sa possession une photo de trois d'entre eux, paradant avec un drapeau nazi dans une chambre du régiment. Le Canard enchaîné publie cette photo. Une enquête interne permet de découvrir qu'elle date « sans doute de la fin 2004 », le local ayant depuis lors été retapissé... Des trois militaires figurant sur la photo, l'un a quitté l'armée en 2005 mais les deux autres servent toujours au 17. Ils sont immédiatement consignés et le chef de corps dépose une plainte contre eux. Ils sont contraints de quitter l'armée. Le sergent Bensehrir - dont le contrat n'a pas été renouvelé - évoquait le fait que les jeunes en question portaient des tatouages, certains reproduisant une toile d'araignée.

Avant l'attaque antisémite de ce matin - qui montre que les militaires ne sont pas les seuls visés - pouvait-on parler d'attentats racistes ? Là encore, la réponse est complexe. Contrairement à ce qui a été dit et écrit, les trois morts ne sont pas tous les trois musulmans : l'un d'entre eux, Abel Chennouf, est issu d'une famille catholique. Deux autres victimes, Imad Ibn Ziaten et Mohamed Legouad (dont le nom a été rendu public par la presse et non par l'armée), sont de confession musulmane. Le blessé, toujours dans le coma et dont le pronostic vital est engagé, est lui aussi de confession catholique - et d'origine guadeloupéenne.

Les quatre victimes militaires du tueur au scooter sont donc :

- le maréchal des logis-chef (sergent-chef) Imad Ibn Ziaten, du 1er régiment de train parachutiste (Toulouse), servant au 2ème escadron de livraison par air. Né en 1981, il avait plus de huit de service. Il avait servi au Tchad (trois fois), en Cote d'Ivoire, au Gabon et à La Réunion. Moniteur para, il était divorcé et sans enfant.

- le caporal Abel Chennouf, du 17e régiment de génie parachutiste, servant à la compagnie d'appui (Montauban). Né en 1986, il servait depuis plus de cinq ans. Il avait fait un séjour en Afghanistan (2008) et un autre au Sénégal. Pacsé, sa compagne est enceinte.

- le 1ère classe Mohamed Legouad, du 17e RGP (Compagnie d'appui). Né en 1988, il servait depuis un an et neuf mois. Célibataire, il n'avait fait qu'un seul séjour en Nouvelle-Calédonie.

- le 1ère classe Loïc Liber (blessé), servait depuis trois ans et trois mois dans la même unité que les deux précédents. Né en 1984, ce célibataire n'avait fait qu'un seul séjour en Guyane.

Les obsèques militaires auront lieu mercredi à Montauban, en présence du président de la République."

Source : http://marianne2.fr/blogsecretdefense/Toulouse-Montauban-la-piste-d-un-ancien-militaire_a547.html

"Mourir pour libérer les hommes..."

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Drames de Toulouse et de Montauban : Confusion sur la piste des néo-nazis renvoyés du 17eme RGP

"L’homme qui a abattu, le 11 mars à Toulouse, le maréchal des logis chef Imad Ibn-Ziaten, du 1er Régiment du Train Parachutiste, et ouvert le feu, quatre jours plus tard à Montauban, sur trois militaires du 17ème Régiment du Génie Parachutiste (2 tués, le 1ère classe Mohamed Legouad et le caporal Abel Chennouf, et 1 blessé grave, le caporal Loïc Lieber) a ainsi récidivé en s’en prenant cette fois à un professeur et à des éleves de l’école juive Ozar-Hatorah, située non loin du centre de la Ville Rose.

« Il a tiré sur tout ce qu’il avait en face de lui, enfants ou adultes; des enfants ont été poursuivis jusqu’à l’intérieur de l’école » a expliqué Michel Valet, le procureur de Toulouse. C’est ainsi qu’il a enlevé la vie à Jonathan Sandler (30 ans) et à ses deux fils, Arieh (5 ans) et Gabriel (4 ans), ainsi qu’à Myriam (7 ans). Il a également blessé un adolescent de 17 ans.

Comme pour les précédents cas, l’assassin est arrivé puis reparti avec un scooter Yamaha T-Max de forte cylindrée. Et il a tiré avec la même arme de calibre 11.43. A la différence près, toutefois, qu’il s’est aussi servi d’un autre pistolet 9mm, lequel s’est enrayé. Autre élément : il portait, sanglée sur sa poitrine, une caméra de type GoPro, qui, même si c’est un équipement prisé des parachutistes, est relativement facile à trouver dans la commerce à un prix allant de 100 à 200 euros.

A vrai dire, il est impossible, en l’état actuel des choses, de déterminer les motivations de ce tueur. Et encore, il n’est pas certain qu’il soit seul à agir. Comment expliquer, qu’à partir d’une annonce déposée par un militaire, en l’occurrence le MCH Ibn-Ziaten, voulant revendre sa moto, il soit arrivé à commettre cette série de meurtres?

Quoi qu’il en soit, les spéculations dans la presse sont allées bon train. Et c’est ainsi que LePoint.fr, avec la mention « exclusif », a fait le lien avec une affaire qui, remontant à 2008, impliquait trois soldats du 17ème RGP photographiés quatre ans plus tôt en train de faire le salut nazi devant un drapeau du IIIe Reich. Le cliché avait été à l’époque publié par le Canard Enchaîné et la Dépêche, suite aux révélations du sergent Bensehrir, dont le contrat n’avait pas été renouvelé au sein du régiment.

Depuis, le sort des trois hommes est confus. Lorsqu’éclata l’affaire, l’un d’entre eux avait déjà retrouvé la vie civile depuis 3 ans. Quant aux deux autres, ils devaient être « lourdement sanctionnés ».

Sur le plan judiciaire, le chef de corps du 17ème RGP ayant porté plainte à l’époque, le dossier fut classé sans suite, les faits étant prescrits, selon Le Monde, qui souligne par ailleurs que « les mesures disciplinaires d’arrêt, prises par le général commandant la région terre sud-ouest, ont été les plus lourdes… sans atteindre l’exclusion ».

Le quotidien du soir indique en effet qu’un des acteurs de cette affaire a quitté le 17ème RGP en juillet 2008 pour rejoindre un autre régiment, « dans une autre région que le sud-ouest ». Dès le 19 mars, il s’est fait connaître de la police. Le second, également affecté au sein d’une autre unité, aurait quitté les armes en 2011. Pour le coup, le mobile de la vengeance froide (4 ans après les faits), ne tient pas la route.

Quoi qu’il en soit, d’après Reuters et France Info, ces trois hommes ont été entendus par les enquêteurs, puis mis hors de cause. « Deux d’entre eux ont été entendus dans la nuit par les enquêteurs. Un troisième avait déjà été interrogé la semaine dernière après la fusillade Montauban » a affirmé la radio publique, confirmant ainsi l’information donnée quelques minutes plus tôt par l’agence de presse.

Seulement, Le Monde a démenti ces affirmations en indiquant que ces trois anciens du 17ème RGP « vont être entendus ». Mais dans un cas comme dans l’autre, cela montre que la police sait où ils se trouvent et qu’ils ne sont pas en fuite… Ce qui amoindri le « scoop » lancé après la fusillade devant l’école Ozar-Hatorah, lequel a été abondamment repris et commenté.

« Les policiers restent persuadés qu’il s’agit d’un militaire – toujours en activité ou non -, compte tenu de son mode opératoire, de sa manière de se déplacer et de sa façon d’utiliser son arme, lui permettant de tirer et viser à 10 mètres de distance. Le fait que son arme se soit enrayée pourrait accréditer le fait qu’il soit un ancien militaire » a écrit LePoint.fr… Une arme enrayée prouve une chose : c’est qu’elle est mal entretenue. Quant à faire le lien avec un ancien militaire, le raccourci est très rapide… Même si la DPSD (Direction de la protection et de la sécurité ), participe à l’enquête portant sur les drames de Toulouse et Montauban. Ce service « gère la sécurité des biens, des personnels et des implantations de la Défense. Ca rentre totalement dans le cadre de ses compétences » a expliqué le ministère de la Défense.

Mais le mieux serait de laisser la police faire son travail. L’on aura tout le temps de commenter et de s’interroger une fois que l’auteur de ces crimes sera identifié."

http://www.opex360.com/2012/03/20/drames-de-toulouse-et-de-montauban-confusion-sur-la-piste-des-neo-nazis-renvoyes-du-17eme-rgp/

"Mourir pour libérer les hommes..."

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Les obsèques des trois parachutistes auront lieu à Montauban, mercredi après-midi

Les obsèques militaires de ces trois militaires tués par un tireur en scooter, le 11 mars à Toulouse et le 15 mars à Montauban (Tarn-et-Garonne), auront lieu mercredi à 15h dans la caserne du 17e RGP de Montauban, en présence du président Nicolas Sarkozy, de Gérard Longuet, François Fillon, Michel Mercier et Claude Guéant. Outre le président de la République, plusieurs candidats à la présidentielle ont fait connaître leur présence, demain, à Montauban : Marine Le Pen, Eva Joly, François Bayrou et François Hollande

Marechal des logis-chef Imad Ibn Ziaten

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Caporal Abel Chennouf

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1ère classe Mohamed Farah Chamse-Dine Legouade

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Reposez en paix !

"Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte).

- Civil

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