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  1. Hier
  2. guiguitoune

    BM4

    Merci Coach, pour l'aide que vous apportez.
  3. La conscription ne permettait que la défense du territoire national, on ne pouvait envoyer les appelés en mission extérieure, sauf demande formelle ( ceux qui allaient à la FINUL par exemple). Donc elle n'aurait pas lieu d'être réactivée en ce moment, puisque notre territoire ne court aucun risque d'invasion. Et puis, qui formerait et encadrerait les conscrits ? Où ?
  4. Pourquoi pas une réactivation de la conscription ? Cela semble très très très opportun !
  5. C'est très intéressant en ce sens que certains pays fondateurs de l'UE sont totalement ignorés : les trois premiers (je crois) étant les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg avec leur BENELUX Pourquoi les a-t-on oubliés ??????????
  6. C'est moi ! Entretiens : sachez déjà combien de jour de dispo et comment vous allez les repartir sur l'année (ex. Je suis dispo que juillet août, où alors je suis dispo tout les week-end sans exception et parfois en semaine...). Une réponse est mauvaise et une est bonne. Sachez expliquer votre motivation à venir au 24. Sachez expliquer votre avenir (je suis étudiant et dans 1 an je rentre dans l'active ... ou je suis salarié et je me vois faire carrière par exemple). Sport : sachez courir 1h à 6'00 à minima. 20 belles pompes, 5 tractions strictes et ça sera bien. La FGI-R est la même que partout : 12 jours non sécable.
  7. En cas d'urgence, c'est-à-dire pour la défense du sol national, ça recruterait à tire-larigot sans regarder, voire avec réactivation de la conscription. Mais personne ne croit sérieusement, sauf gens drogués à certaines chaînes d'info continue, que l'ennemi est à nos portes. Nos intérêts, ceux de l'UE, sont menacés, mais pas du tout comme par le passé. Donc je ne vois pas vraiment de changement dans un avenir proche. Quant à s'auto-congratuler, c'est la maladie nationale, car il ne faut pas dire quelques chose de déplaisant, ça fait mal voir, et on a tendance comme certain peuple antique à crucifier le messager des mauvaises nouvelles. J'ai fait trois ministères, et la chanson "tout va très bien" est la préférée. L'orchestre joue alors quand le navire fait eau. C'est peut-être porté à un degré élevé dans l'armée, grande muette, parce que dire ce qui ne va pas fait passer pour un indiscipliné, voire un révolutionnaire. Mais il est certain que la R.O. se heurte à de sérieux problèmes, à ce que je vois autour de moi, qui rendent la visibilité très faible au-delà de deux ans, et encore je suis optimiste : année d'étude plus prenante que d'autres, ou avec stages obligatoires, fin des études et entrée dans la vie active, problèmes financiers qui obligent à travailler, et j'en oublie.
  8. https://www.opex360.com/2025/06/23/lescadron-de-drones-de-chasse-du-1er-regiment-dinfanterie-de-marine-demontre-son-efficacite/ Dans leur récent rapport intitulé « Masse et haute technologie : quels équilibres pour les équipements militaires français », les députés Thomas Gassilloud et Damien Girard ont défendu l’idée de former chaque élève officier et sous-officier à l’assemblage et à l’utilisation d’un drone personnel FPV [à vue subjective] dès le début de leur cursus. « Cette mesure pourrait s’accomplir en parallèle d’une systématisation des formations drones, en s’appuyant sur l’exemple de l’École de drones ouverte récemment par l’armée de Terre, modèle qu’il conviendrait d’étendre à l’ensemble des armées et formations. L’usage de ces équipements serait personnel et discrétionnaire. Il pourrait également s’étendre au domaine civil, permettant aux élèves de développer leurs compétences durant leur temps libre », ont développé les rapporteurs. Cela étant, les militaires se sont rapidement appropriés cette capacité, comme en témoignent le récent défi organisé par le 13e Régiment de Dragons Parachutistes [RDP] autour des drones FPV et la récente création de l’escadron de drones de chasse au sein du 1e Régiment d’Infanterie de Marine [RIMa], dont les « innovations doctrinales » ont été saluées par l’Inspection générale de l’armée de Terre. Contrairement à ce que le nom peut suggérer, cet escadron n’a pas vocation à faire la « chasse » aux appareils télépilotés ennemis… mais plutôt à traquer l’adversaire grâce à des essaims de drones et à l’intelligence artificielle. Et ce concept a tenu ses promesses, à l’occasion de l’exercice Hedgehog 2025, organisé le mois dernier en Estonie. Dans le détail, un peloton « d’acquisition et de surveillance » est d’abord chargé de déployer des drones eBee Vision afin de repérer les mouvements ennemis. Pour cette tâche, les marsouins s’appuient sur des algorithmes d’intelligence artificielle [IA] censés faciliter la détection et l’identification de cibles potentielles. Les renseignements sont ensuite transmis, via une liaison Starlink, à un peloton de commandement, à des fins d’analyse et d’exploitation. Puis, le cas échéant, il revient à un peloton de « drones de contact » de détruire les objectifs qui lui ont été désignés. « Discret et mobile », cet escadron de drone de chasse « désorganise l’adversaire en provoquant la surprise. Le tout à coût maitrisé et en s’intégrant dans la manoeuvre tactique », souligne le 1er RIMA. Et de souligner que, « avec 5 % de la force vive du GTIA » [groupement tactique interarmes, ndlr], il est en mesure d’infliger 20 % des pertes chez l’ennemi ». Durant l’exercice, deux blindés Bradley ont ainsi été neutralisés [« à blanc », évidemment], sans avoir à utiliser autant de missiles antichar Akeron MP [dont le prix unitaire s’élève à environ 198 000 euros…]. Photo : EMA
      • 1
      • Thanks
  9. https://www.opex360.com/2025/06/23/le-rafale-f5-pourra-emporter-18-missiles-smart-cruiser-pour-saturer-les-defenses-aeriennes-ennemies/ L’une des priorités de l’armée de l’Air & de l’Espace [AAE] est de retrouver, au plus tôt, la capacité de neutraliser les défenses aériennes adverses [SEAD – Suppression of Enemy Air Defenses]. Capacité qu’elle a en grande partie perdue avec le retrait du missile antiradar AS-37 MARTEL [Matra Anti-Radar TELévision], alors mis en œuvre par le chasseur-bombardier Jaguar. L’enjeu est de pouvoir contrer les moyens d’interdiction et de déni d’accès [A2/AD] susceptibles d’affecter la capacité des forces françaises à « entrer en premier » sur un nouveau théâtre ou de contrarier une frappe nucléaire d’ultime avertissement dans le cadre de la dissuasion. En février, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger a indiqué que le Rafale porté au standard F5 disposerait d’une capacité SEAD avec une version antiradar du missile de croisière RJ10, développée par MBDA. Celle-ci doit être complétée par un imposant drone de combat [d’une masse à vide de 10 tonnes pour une envergure de 15 mètres], dérivé du démonstrateur nEUROn, mis au point dans les années 2000/10 sous la maîtrise d’œuvre de Dassault Aviation. Cela étant, à l’occasion du dernier salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget, la Direction générale de l’armement [DGA] a indiqué que la capacité SEAD du Rafale F5 reposerait également sur le missile Smart Cruiser de MBDA. Comme l’a expliqué l’ingénieur en chef de l’Armement [ICA] responsable du segment « armements air-air et air-sol » au sein de l’unité de management « combat aérien », l’objectif est de permettre à un Rafale F5 de saturer les défenses sol-air ennemies, voire de les détruire, en tirant un grand nombre de missiles Smart Cruiser, ces derniers ayant la capacité de voler en essaim et de se disperser à l’approche des cibles qui leur auront été désignées. Pour cela, le Rafale F5 sera doté de trois systèmes « hexalauncher » pouvant chacun embarquer six Smart Cruiser. Soit un total de dix-huit missiles, qui, par ailleurs, resteront en liaison avec l’avion – soit pour donner des informations à l’équipage, soit pour recevoir de nouvelles instructions en fonction de l’évolution tactique – jusqu’à leur objectif final. « Dans le cadre du programme Armement Air-Sol Futur [AASF], le missile Smart Cruiser doit contribuer à donner au Rafale F5 une capacité de suppression des défenses aériennes ennemies et donc renforcer sa capacité d’entrer en premier », a résumé la DGA. Photo : MBDA
  10. La musique jouée par la MLE est aussi mythique, mais autrement : elle illustre une triste fin et un départ, un abandon d'un village !
  11. Bienvenue sur ce forum Hélène, Pense quand même à utiliser un pseudo différent de ton vrai nom ! Bonne chance pour ta démarche !
  12. Bienvenue sur ce forum Domino2801 Je suis convaincu que tu pourras apporter beaucoup aux jeunes qui souhaitent rejoindre le monde militaire Je te souhaite un plein succès pour ta présente démarche. CDT, LEVY Pierre, CNE ING IETA
  13. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/un-sondage-revele-un-large-soutien-dans-toute-leurope-en-faveur-dune-augmentation-des-depenses-de-defense/ En amont du sommet de l’Otan, des 24 et 25 juin à La Haye, le Conseil européen des relations internationales (ECFR) a réalisé un sondage multi-pays. Réalisé par les instituts de sondage YouGov, Datapraxis et Norstat, ce sondage multinational a été mené dans 12 pays européens: Allemagne, Danemark, Espagne, Estonie, France, Hongrie, Italie, Pologne, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni et Suisse. Il révèle un large soutien dans toute l’Europe en faveur d’une augmentation des dépenses de défense (50 % en moyenne dans les 12 pays sondés contre 24 % d’opposants), d’un engagement à maintenir le soutien militaire à l’Ukraine en cas de retrait des États-Unis (59 %) et d’un soutien au développement d’une force de dissuasion nucléaire européenne alternative qui ne dépende pas des États-Unis (54 %). Les principales conclusions de l’enquête multinationale menée par l’ECFR sont les suivantes : ● Il existe un large consensus en Europe sur la nécessité d’augmenter les dépenses de défense. Une majorité de la population en Pologne (70 %), au Danemark (70 %), au Royaume-Uni (57 %), en Estonie (56 %) et au Portugal (54 %) soutient (soit « fortement », soit « dans une certaine mesure ») l’idée d’augmenter les dépenses nationales de défense. Une majorité en Danemark et en Estonie (les deux seuls pays où l’autre question a été posée) est également favorable à une augmentation des dépenses de défense à 5 % du PIB national. Des pluralités en Roumanie (50 %), en Espagne (46 %), en France (45 %), en Hongrie (45 %), en Allemagne (47 %) et en Suisse (40 %) se sont également déclarées favorable à une augmentation des dépenses de défense. L’Italie fait toutefois figure d’exception à cette tendance, avec une majorité de 57 % qui s’oppose à cette idée « dans une certaine mesure » ou « fortement », et seulement 17 % qui la soutient. ● Une majorité des personnes interrogées est également favorable à la réintroduction du service militaire obligatoire. Les personnes interrogées en France (62 %), en Allemagne (53 %) et en Pologne (51 %) sont les plus favorables à cette mesure, tandis que le soutien le plus faible provient de Hongrie (32 %), d’Espagne (37 %) et du Royaume-Uni (37 %) (cette question n’a pas été posée au Danemark, en Estonie et en Suisse, car le service militaire y est déjà obligatoire). Les personnes âgées de 60 à 69 ans et de 70 ans et plus sont les plus favorables à l’idée d’un service militaire obligatoire (avec respectivement 54 % et 58 % de soutien). Ce soutien chute toutefois lorsqu’il s’agit du groupe démographique le plus jeune (les 18-29 ans). En moyenne, seuls 27 % de ce groupe, qui est en âge de partir en guerre, se sont déclarés favorables, tandis qu’une majorité, 57 %, a indiqué qu’elle s’opposerait à une telle mesure. ● Les Européens sont déterminés à soutenir l’Ukraine, quelle que soit la politique américaine. Les données de l’ECFR montrent que dans onze des douze pays sondés, une majorité ou une pluralité de la population s’oppose à l’idée que l’Europe retire son soutien militaire à l’Ukraine, qu’elle incite l’Ukraine à renoncer aux territoires occupés par la Russie ou qu’elle lève les sanctions économiques contre la Russie, indépendamment d’un éventuel changement de politique américaine sur ces points. Les personnes interrogées au Danemark (78 %), au Portugal (74 %), au Royaume-Uni (73 %) et en Estonie (68 %) sont les plus fervents partisans du maintien du soutien militaire en cas de retrait des États-Unis. De même, les personnes sondées au Danemark (72 %), au Portugal (71 %), au Royaume-Uni (69 %) et en Estonie (68 %) sont les plus opposées à l’idée de pousser l’Ukraine à renoncer aux territoires occupés, si les États-Unis adoptaient une telle approche ; et sont également les plus farouchement opposées à la levée des sanctions économiques contre la Russie, si les États-Unis agissaient de la sorte (Danemark, 77 % ; Royaume-Uni, 71 % ; Estonie, 69 % ; et Pologne, 68 %). ● L’hostilité de Trump envers l’Europe suscite un sentiment anti-américain. C’est particulièrement vrai au Danemark, où 86 % des personnes interrogées pensent que le système politique américain est « défaillant » et où la part de la population qui considère la réélection de Trump comme une mauvaise chose pour les citoyens américains est passée de 54 % à 76 % en seulement six mois. On observe une situation similaire parmi les citoyens portugais, où 70 % considèrent aujourd’hui que le système politique américain est « défaillant », contre seulement 60 % lorsque l’ECFR a posé la même question en novembre 2020, après l’élection de Joe Biden. Au Royaume-Uni et en Allemagne, des majorités respectives de 74 % et 67 % pensent également que le système américain est défaillant. Et même en Pologne, traditionnellement pro-américaine, la part des citoyens partageant cet avis est passée de 25 % à 36 % depuis novembre 2020 ● Il règne un certain scepticisme quant à la capacité de l’UE à s’affranchir efficacement des États-Unis en matière de défense et de sécurité. Les personnes interrogées au Danemark et au Portugal sont les plus optimistes à cet égard, avec respectivement 52 % et 50 % des citoyens estimant qu’il est « possible » pour l’UE de devenir indépendante des États-Unis en matière de défense et de sécurité au cours des cinq prochaines années. Ce scepticisme est le plus prononcé en Italie et en Hongrie, où respectivement 54 % et 51 % des personnes interrogées considèrent que l’autonomie de l’UE en matière de sécurité et de défense est « très difficile » ou « pratiquement impossible » à atteindre au cours des cinq prochaines années. Ailleurs, les avis sont partagés, notamment en Roumanie (45 % pensent que c’est possible contre 39 % qui pensent que c’est difficile ou impossible), en France (44 % contre 39 %), en Allemagne (44 % contre 45 %), en Pologne (38 % contre 48 %) en Estonie (41 % contre 49 %) et en Espagne (43 % contre 47 %). Les Européens sont également sceptiques quant à la capacité de l’UE à mettre de côté ses divergences internes et à devenir une puissance mondiale capable de rivaliser économiquement avec les États-Unis et la Chine. La conviction que l’UE peut devenir un tel acteur est faible et minoritaire dans onze des douze pays sondés par l’ECFR (les Danois étant les seuls à faire exception par leur optimisme). ● Beaucoup pensent également que l’alliance transatlantique sera rétablie une fois que Trump aura quitté ses fonctions. L’opinion selon laquelle les relations transatlantiques s’amélioreront après le départ de Trump est largement répandue, notamment au Danemark (62 %), au Portugal (54 %), en Allemagne et en Espagne (52 %) et en France (50 %). Ce point de vue est le moins répandu en Hongrie (20 %) et en Roumanie (28 %), où une proportion relativement importante de personnes (respectivement 24 % et 19 %) estime que Donald Trump n’a pas vraiment nui aux relations transatlantiques. Seule une minorité dans chaque pays (22 % en moyenne dans les 12 pays sondés) estime non seulement que Donald Trump a nui aux relations entre l’Europe et les États-Unis, mais aussi que « les dommages persisteront probablement même après son départ ». En outre, l’opinion dominante dans les douze pays étudiés par l’ECFR est que l’Europe peut continuer à compter sur la dissuasion nucléaire américaine (48 % des citoyens, en moyenne sur l’ensemble des pays sondés, partagent cette opinion), qu’il faut maintenir la présence militaire américaine sur le continent (55 %) et qu’il faut éviter une guerre commerciale avec Washington (54 %). ● Trump 2.0 a provoqué une révolution non seulement dans la géopolitique européenne, mais aussi dans l’identité politique de ses principaux partis politiques. Le retour au pouvoir de Trump semble avoir déclenché une vague de « travestissement politique » en Europe. Les partisans des partis populistes ne sont plus exclusivement opposés au statu quo : ils sont désormais favorables au contre-projet trumpien. Et ceux qui soutiennent les partis traditionnels ne sont plus simplement favorables au statu quo : ils puisent désormais de plus en plus leur énergie dans leur rôle de défenseurs de la souveraineté nationale contre Trump. En conséquence, l’opinion publique européenne est actuellement fortement polarisée dans sa perception du système politique américain. Par exemple, les électeurs des partis de droite, Fidesz (Hongrie), PiS (Pologne), Frères d’Italie (Italie), AfD (Allemagne) et Vox (Espagne), ont une opinion majoritairement positive des États-Unis, tandis que les électeurs traditionnels de ces pays ont une opinion majoritairement négative du système politique américain. De plus, le fait de pouvoir considérer les États-Unis comme un modèle semble permettre aux électeurs d’extrême droite de critiquer encore plus ouvertement l’UE. Cela représente un bond en avant considérable pour les partisans de certains partis populistes, tels que le PiS (Pologne), Vox (Espagne) ou Chega (Portugal), où l’idée que l’UE est défaillante est désormais majoritaire, alors qu’elle n’était auparavant partagée que par une minorité de leurs électeurs. À l’inverse, les électeurs des partis traditionnels semblent se rallier autour du drapeau européen, notamment en Allemagne et en France. Ces différents changements dans l’opinion publique ont pour conséquence l’émergence d’une relation inverse dans la perception des États-Unis et de l’UE, qui n’existait pas auparavant.
  14. Salut Domino2801 , un exemple à suivre pour les mous de la formation continue ou même initiale pour certains ..Bravo !
  15. Bonjour ! je recherche la durée (15 jours pleins ?) de la Formation militaire pour nouveaux Réservistes du 24e RI.
  16. La photo du bas est mythique !
  17. https://www.forcesoperations.com/la-bulgarie-et-lalbanie-soffrent-des-radars-gm400/ La Bulgarie et l’Albanie ont officialisé l’acquisition de radars Ground Master 400 pour renforcer la surveillance de leur espace aérien respectif. Côté bulgare, cette commande annoncée de longue date se concrétisera au travers d’un nouveau mécanisme d’achats conjoints lancé par la France. La 55e édition du salon du Bourget s’achève avec un carnet de commandes épaissi pour Thales Land & Air Systems (Thales LAS). La division du groupe français rajoute deux clients à son portfolio d’utilisateurs de la gamme GM400, vendu à plus de 115 exemplaires de part le monde. Tirana a ainsi officialisé l’acquisition d’un radar GM400α, « une étape importante vers le renforcement de l’infrastructure de défense de l’Albanie » saluée par son ministre de la Défense, Pirro Vengu. Version la plus avancée de la gamme, le GM400α offre une portée allant jusqu’à 515 km. Ce radar sera livré à l’Albanie dans les 14 mois, résultat d’un effort consenti par Thales pour garantir la montée en puissance de son outil industriel et, entre autres, tripler les capacités dédiées aux radars Ground Master en France. Le groupe européen est désormais en mesure de livrer jusqu’à 30 radars par an. « Avec la montée en puissance de nos capacités de production et le soutien d’un écosystème de partenaires, nous sommes en mesure de répondre rapidement aux demandes opérationnelles urgentes. Le Ground Master 400 alpha offre une fiabilité et des performances supérieures, avec un haut niveau de mobilité, qui répondent aux besoins de l’Albanie en termes de surveillance aérienne et de souveraineté », déclarait Eric Huber, vice-président Radars de Surface au sein du groupe français. L’accord signé le 16 juin par le ministre de la Défense bulgare, Atanas Zaprianov, et son homologue français permettra à la Bulgarie de « rejoindre prochainement les sept pays de l’UE et de l’OTAN déjà utilisateurs des radars GM400 de Thales », a annoncé le ministère des Armées dans un communiqué. Sept radars et des services de soutien seront commandés au travers de la Direction générale de l’armement (DGA) et sur base d’un mécanisme d’achats communs identique à celui mis en place auparavant pour les missiles MISTRAL 3 et les systèmes d’artillerie CAESAR. « D’autres pays ont d’ores et déjà manifesté un fort intérêt pour la démarche et devraient prochainement, avec le soutien des pays partenaires initiaux, rejoindre la coopération », expliquait le ministère des Armées dans un communiqué. Une coopération qui ne se limite pas à la famille GM400 mais s’étend à l’ensemble des radars militaires proposés par Thales. Le partenariat franco-bulgare pose par ailleurs les bases d’accès à un éventuel appui financier accordé dans le cadre du programme européen « Agir pour la sécurité de l’Europe » (SAFE). Adopté fin mai, ce dispositif prévoit de mobiliser jusqu’à 150 Md€ sur le marché des capitaux pour soutenir les achats conjoints d’équipements militaires via l’octroi de prêts avantageux pour les pays moins bien « notés », à l’exemple de la Bulgarie. Crédits image : Yann Bourdin / Thales
  18. Bienvenue BTX
  19. Bienvenue BTX
  20. A 3'10 le capitaine (er) Joseph ESTOUP, ancien du 1er REP. Fors l'Honneur ! BTX
  21. Bienvenue Domino, Tous mes encouragements quant à ce projet ! (LE COACH serait votre meilleur mentor en ce sens. 👍 )
  22. Bienvenue, Contactez Shafer, c'est l'homme de la situation !
  23. Je viens d'avoir la confirmation pour le Sitem mais pas de nouvelles de la formation d'emploi.
  24. Bonjour, je souhaite devenir Réserviste dans le 24e RI. Qui peut m'en parler ? Qui y est ? et comment me préparer à l'entretien et la Formation initiale ? (cardio ? force ?) Merci beaucoup. Je recherche aussi la durée de la Formation initiale de Réserviste au 24e RI. Merci.
  25. Bonjour, je me présente : la cinquantaine, 1 enfant au collège, fonctionnaire. Je souhaite intégrer la RÉSERVE au 24e RI. Je commence mon dossier. Je n'ai pas compris si la FORMATION MILITAIRE dure 10, 12 ou 15 jours (pour l'indiquer à mon employeur). J'ai compris que que si je ne réalise pas plus de 10 jours comme Réserviste, je n'ai pas à faire de contrat, mais prévenir mon employeur 1 mois avant chaque date. Mon employeur ne préfère pas que je prenne la clause de Réactivité. Merci pour vos réponses sur le durée de la Formation militaire initiale au 24e RI. Et comment m'y préparer physiquement (cardio/gainage...?).
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