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  1. Dernière heure
  2. Re bonjour, pour être sur d'avoir compris les articles, et d'avoir les bonnes cartes en main. ( rappel de cas ) J'ai 2,2 cm d'écart et ne porte pas de semelle compensée. Je ne m'étais jusqu'alors pas rendu compte du pb et n'avais jamais vu de podologue. selon le texte : "1. Inférieure ou égale à 2 centimètres, compensée et sans retentissement rachidien. I = 1 à 2" comprenez vous aussi que la mesure est prise avec semelle compensatrice ? de même: "Nota. – Le port d'une compensation efficace (semelle ou talonnette) est un facteur minorant dans la cotation" comprenez vous cette phrase comme: cela diminura votre coef, exemple, si vous rentrez sous les 2cm mais avec talonnette, c'est I=2 plutot que I=1 ( car seuil passé avec assistance ) ou plutot: cela peut permettre de passer d'un coef I=3 à un I=2 Je peux dans le délai de "inapte temporaire", me faire faire une semelle compensatrice chez le podologue et refaire la radio, passant sous le seuil. Le scénario vous semble jouable ? Bonne journée a vous,
  3. Ah c'est chez moi. Soyez patient comme le mail vous le demande. Le nombre de candidature est important.
  4. Aujourd’hui
  5. Bonjour a tous, j'incorpore le 92ri le 3 décembre. Ya t'il des gens du grand est dans le même cas . Merci
  6. Que recherchez-vous ? Un boulot tranquille qui ne vous expose pas trop à des départs inopinés en OPEX et des retours hypothétiques ? Un boulot avec des horaires fixes style "rond de cuir" qui vous permette de rentrer chez vous tous les soirs ? Des chefs sympa et cool ? Une ambiance de camaraderie et un esprit de corps intense ? Si déjà vous nous disiez ce que vous souhaitez comme environnement humain et professionnel, on pourrait éventuellement ous aiguiller. BTX
  7. Hier
  8. Levy Pierre

    ?

    Conclusion : je ne sais pas ce que je veux, mais je le veux vraiment !
  9. jeune padawan

    ?

    Bon premièrement c'est pas des régiments mais des bases pour l'armée de l'air Moi je passe bientôt les tests la pour être mécano donc je vais te dire les infos que j'ai. Si tu cherches la spécialité de combats dans l'armée de l'air c'est les fusiliers de l'air et les commandos. Si tu n'as pas l'aptitude para tu peux faire que fusiller. Les fusillers se charges de la protections des bases aériennes. Ils font des sentinelles aussi. Concernant les opex ils en font mais c'est pas autant que l'armée de terre si je ne me trompe pas donc c'est surtout au besoin. Donc honnêtement si ce qui t'importe le plus c'est de bouger reste dans l'armée de terre ou sinon prend des spé comme mécanicien ou agent du transit aérien tout ça. Tu veux faire quoi comme spé?
  10. Rackham

    ?

    Ahah , j’en doute pas mais bon faut que je tente un truc différent quoi 😂
  11. Yann pyromane

    ?

    Le 2 REP c'est bien aussi, tu y seras libre mais d'être militaire H24 7/7 conformément à ton contrat. Tu verras que finalement c'etait pas si terrible d'être TDM.
  12. C'est celle qui est marqué à coté de "référent", dans la phase d'engagement sur le site de la réserve.
  13. Rackham

    ?

    Non non je recherche bien de l’armée de l’air J’ai envie de plus de liberté et je me fie à ce que quelques camarades m’ont dit à propos de quelques régiments de l’armée de l’air , c’est assez tranquille quoi Le problème c’est que je ne connais pas trop quels sont les spécialités qui bougent le plus .. Sinon j’avais aussi entendu parler de la Valbonne qui a l’air sympa ! Mais pour un tdm comme moi je sais pas si je pourrais y trouver une place sympa ?
  14. Yann pyromane

    ?

    Mille millions de mille sabords. C'est peut-être le juron le plus connu du capitaine Haddock. ... Bachi-bouzouk. ... Moule à gaufres. ... Tonnerre de Brest. ... Flibustiers. ... Ectoplasme (à roulettes) ... Hurluberlu. ... anacoluthe 😉 j'ai la ref ....
  15. Oula ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit J'emmagasine les informations pour faire mon choix, ce n'est pas vraiment un choix à faire à la légère. Pour cela que je me renseigne également sur les mentalités de chaque armée, car il y a beaucoup de "on dit", c'est pour ça que je souhaite avoir des points de vu concret des membres de l'active
  16. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/le-pentagone-lance-un-consortium-de-securite-maritime-marsec-pour-lasie-du-sud-est/ Le Pentagone lance un Consortium de sécurité maritime (MARSEC) pour l’Asie du Sud-Est Le Bureau du Secrétaire adjoint à la Défense pour les affaires de sécurité en Indo-Pacifique (IPSA) du DoD (le ministère américain de la Défense) a annoncé la création d’un Consortium de sécurité maritime (MARSEC). Cette nouvelle initiative public-privé veut oeuvrer pour la transformation de la sécurité maritime en Asie du Sud-Est, zone par laquelle transite 60% du commerce mondial. L’IPSA lance le Consortium MARSEC en collaboration avec la Defense Innovation Unit, la Defense Security Cooperation Agency et le commandement Indo-Pacifique américain. Le Consortium MARSEC « rassemble des investisseurs de l’industrie de la défense, des entreprises, des responsables de la politique et de l’innovation du gouvernement américain et des décideurs gouvernementaux d’Asie du Sud-Est déterminés à identifier des solutions peu coûteuses et disponibles dans le commerce pour répondre aux défis de sécurité maritime les plus urgents des partenaires d’Asie du Sud-Est intéressés », selon le communiqué du DoD qui ne spécifie pas quels pays sont associés. Au cours des prochains mois, le consortium MARSEC poursuivra les objectifs suivants : – investir plus de 95 millions de dollars par an dans des solutions peu coûteuses et disponibles sur étagère pour renforcer la connaissance du domaine maritime, la logistique et le MCO, ainsi que la défense maritime en Asie du Sud-Est ; – réunir régulièrement les parties prenantes de l’ensemble des entreprises et de l’industrie du DoD pour lever les obstacles à la fourniture de solutions disponibles dans le commerce ; - travailler avec des partenaires partageant les mêmes idées pour donner de la cohérence aux activités de coopération en matière de sécurité envisagées par le consortium MARSEC ; – élargir les démonstrations technologiques pour les alliés et les partenaires dans le cadre d’exercices multilatéraux tels que BALIKATAN (cet exercice maritime multilatéral s’est déroulé du 22 avril au 4 mai au large des côtes de Palawan, en mer de Chine méridionale; il visait le renforcement de la coopération et de l’interopérabilité entre Américains et Philippins. La France y a participé).
  17. J'ai loupé un stage montagne important parcequ'un abruti d'infirmier avait mal posé les electrodes du test a l'effort. Le medecin militaire a rien voulu savoir..Finalement j'y suis allé 2 ans après. Faut être bien informé.
  18. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/larmee-britannique-saignee-a-blanc-les-travaillistes-annoncent-des-coupes-tres-claires/ Photo Royal Navy Le Royaume-Uni va se débarrasser de cinq navires de guerre, de dizaines d’hélicoptères militaires et d’une flotte de drones pour faire des économies, malgré les menaces croissantes de la Russie et la guerre qui fait rage en Europe. John Healey, le ministre de la Défense, a annoncé cette décision spectaculaire au Parlement mercredi, affirmant qu’elle permettrait d’économiser jusqu’à un demi-milliard de livres sterling au cours des cinq prochaines années. On lira ici l’intégralité de sa déclaration. Sont concernés: – les navires de transport de chalands de débarquement HMS Albion -photo ci-dessus) et HMS Bulwark, la frégate de type 23 HMS Northumberland et deux bâtiments-ravitailleurs de la Royal Fleet Auxiliary: les RFA Wave Knight et RFA Wave Ruler, – 17 hélicoptères Puma de la RAF – 14 hélicoptères Chinook – 47 drones de type Watchkeeper (entré en service il y a 6 ans) Le ministre de la Défense a qualifié les équipements supprimés de « dépassés » et a déclaré que la décision « de bon sens » de les retirer était attendue depuis longtemps. Il a signalé que cette décision faisait partie d’un plan de restructuration et de modernisation des forces armées, dont la taille a déjà été considérablement réduite après des décennies de coupes budgétaires, avec de nouvelles capacités devant être mises en place pour combler les lacunes.
  19. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/lecole-des-applications-militaires-de-lenergie-atomique-de-cherbourg-ouvrira-ses-portes-en-janvier/ L’Ecole des applications militaires de l’Energie atomique (EAMEA) est la seule école française destinée à la formation du personnel militaire et civil des armées en matière de nucléaire défense depuis 1956. Elle ouvrira ses portes au grand public le samedi 18 janvier 2025. Cette journée est destinées au lycéens et étudiants dans le cadre de leurs orientations scolaires et universitaires. https://www.defense.gouv.fr/marine/mieux-nous-connaitre/ecoles-formations/lecole-applications-militaires-lenergie-atomique-eamea Cette « JPO » sera l’occasion de : – rencontrer des atomiciens de propulsion nucléaire navale et radioprotectionnistes. – présenter les formations et métiers de (BAC à BAC +6) en lien avec l’exploitation nucléaire de défense. – annoncer les nouvelles formations POST BAC de l’école. – une visite grand public pour découvrir le patrimoine nucléaire de défense français. L’EAMEA est située sur le site des écoles militaires de Querqueville (50). L’école forme en moyenne 1000 stagiaires par an. Elle possède un portefeuille de 50 formations différentes dans les domaines des sciences et techniques nucléaires, de la sécurité nucléaire, de l’hygiène nucléaire et de la maîtrise des risques nucléaires. C’est donc un lieu incontournable pour former ceux qui seront à des postes clés de la communauté nucléaire de défense du territoire. « On s’adapte aux ambitions de la France pour ce qui est de la défense nucléaire, en dispensant, annuellement, des cours à plus de 1 000 stagiaires et élèves » , expliquait en 2021 le commandant Archinard, qui commande l’EAMEA. À ces stagiaires s’ajoutent 120 élèves en formation supérieure. Une partie des personnes qui suivent les cours est issue de l’aviation mais la très grande partie restent des membres de la Marine. « Après plusieurs mois à l’EAMEA, les élèves poursuivent le cursus en alternance sur des bâtiments et par le biais de cours sur simulateurs. »
  20. vous me rendez un fier service de clarification. Je vous remercie sincèrement, vous et Yann Pyromane. La clarté de vos réponses, leur rapidité et votre dévouement m'épatent. chapeau bas, merci encore.
  21. En effet, sauf qu'en général les unités qui ont des besoins spécifiques les expriment avant (par exemple faire du contrôle aérien) et recrute la personne pour ce poste. Un exemple ici : https://www.reservistes.defense.gouv.fr/consulter-poste/7612 C'est plus rare de faire sa FMIR HN et ensuite d'aller dans une base pour trouver son affectation après (des fois il n'y a pas de postes correspondants aux compétences). Et les missions, ça peut aller de la mise en place de missions pour des pompiers de l'air, de l'instruction de combat, du pilotage, etc etc. Ça va vraiment dépendre de tes propres compétences.
  22. Art. 2. – Les données recueillies au cours d’un examen d’aptitude médicale sont exprimées par la formule dite profil médical. Ce profil médical rassemble sept rubriques, chacune identifiée par un sigle et affectée d’un coefficient variable. Les sigles correspondent respectivement : S : à la ceinture scapulaire et aux membres supérieurs ; I : à la ceinture pelvienne et aux membres inférieurs ; G : à l’état général ; Y : aux yeux et à la vision (sens chromatique exclu) ; C : au sens chromatique ; O : aux oreilles et à l’audition ; P : au psychisme. Les sigles S, I, G, Y, O peuvent varier de 1 à 6, le sigle C de 1 à 5 et le sigle P de 0 à 5. Les coefficients proposés correspondent aux niveaux d’aptitude indiqués ci-après. Coefficient 0 : il n’existe que pour le sigle P. Attribué au sigle P par le médecin des forces ou le spécialiste en psychiatrie des hôpitaux des armées, il traduit l’aptitude à l’engagement telle qu’elle peut être évaluée lors d’une expertise médicale initiale. Ce coefficient temporaire n’est attribué qu’à l’engagement et doit être réévalué avant la fin de la période probatoire. Coefficient 1 : il traduit l’aptitude à tous les emplois des armées, même les plus pénibles, les plus contraignants ou les plus stressants. Attribué au sigle P avant la fin de la période probatoire par le médecin des forces ou le médecin des hôpitaux des armées spécialiste en psychiatrie, il traduit l’aptitude à tous les emplois des armées. Coefficient 2 : il autorise la plupart des emplois militaires. Attribué au sigle P par le médecin des forces ou le médecin des hôpitaux des armées spécialiste en psychiatrie, il permet le maintien de l’aptitude à servir d’un militaire souffrant de troubles psychopathologiques, sous réserve de restriction temporaire de certaines de ses activités. Coefficient 3 : – attribué à l’un des sigles S, I ou G, il entraîne une restriction significative dans l’entraînement (notamment l’entraînement physique au combat) et limite l’éventail des emplois (en particulier ceux de combattants placés en première ligne) ; – attribué au sigle P par le médecin des forces ou par le médecin des hôpitaux des armées spécialiste en psychiatrie, il entraîne une inaptitude temporaire au service, en raison de troubles psychiatriques ou psychologiques dont la nature, la sévérité et/ou la prise en charge médicale sont temporairement incompatibles avec le service actif. Coefficient 4 : – attribué à l’un des sigles S, I ou G, il exempte de tout entraînement physique au combat et impose des restrictions importantes d’activité, précisées par le médecin ; – attribué au sigle C, il indique une inaptitude à la conduite des véhicules du groupe II (poids lourd et transport en commun) ; – attribué au sigle P par le médecin des hôpitaux des armées spécialiste en psychiatrie, il indique une inaptitude définitive à servir en raison de troubles psychopathologiques, ou de troubles importants de la personnalité ou de l’adaptation. Coefficient 5 : – attribué au sigle Y, il est incompatible avec de nombreux emplois opérationnels et la conduite des véhicules du groupe II. Il reste compatible avec la majorité des emplois de soutien ; – attribué à l’un des sigles S, I, G ou O, il impose des restrictions majeures d’activité, précisées par le médecin et entraîne une inaptitude à la conduite des véhicules du groupe II ; – attribué au sigle P par le médecin des forces ou le médecin des hôpitaux des armées spécialiste en psychiatrie, lors de l’expertise médicale initiale ou à l’incorporation, et par le seul médecin spécialiste en psychiatrie au cours du service actif, il indique une inaptitude totale et définitive à servir en raison d’une pathologie psychiatrique évolutive ou d’antécédents de pathologie psychiatrique. Coefficient 6 : quel que soit le sigle auquel il est attribué, il entraîne une inaptitude totale
  23. https://www.opex360.com/2024/11/19/larmee-de-terre-a-experimente-le-concept-de-fantassin-volant/ Mis en lumière lors du défilé du 14 juillet 2019, le Flyboard Air avait suscité l’intérêt de l’Agence de l’innovation de défense [AID] en raison des usages militaires que l’on pouvait en faire. Et celle-ci avait accordé une subvention de 1,3 million d’euros afin de permettre à son concepteur, Zapata Industries, de lui apporter des modifications afin de le rendre compatible aux exigences opérationnelles. L’Office national d’études et de recherches aérospatiales [ONERA] fut également sollicité. Pour rappel, le Flyboard Air est une sorte de planche de surf qui, grâce à six moteurs [dont quatre développant chacun une puissance de 250 chevaux], peut voler à une altitude de 10 000 pieds ( = 3000 mètres) grâce à un algorithme, qui ajuste en permanence l’inclinaison des moteurs et la vitesse des turbines latérales. En novembre 2021, lors du Forum Innovation Défense [FID], Florence Parly, alors ministre des Armées, fit savoir que les forces spéciales allaient expérimenter « une plateforme volante individuelle, pilotée, dérivée du Flyboard-R ». À l’époque, le Commandement des opérations spéciales [COS] s’y intéressait effectivement de près car un tel appareil pouvait notamment lui permettre de mener des missions d’infiltrations / exfiltrations. Seulement, depuis l’accident d’un Flyboard Air lors d’une démonstration au-dessus du lac de Biscarrosse, en mai 2022, le ministère des Armées n’a plus évoqué cette innovation. Pour autant, cela ne veut pas dire qu’il se désintéresse de ce nouveau moyen de « mobilité ». En témoigne l’expérimentation d’un « jetpack » lors des Journées nationales de l’Infanterie qui, organisées à Canjuers [Var], la semaine passée, avaient pour thème « La technologie au centre, le fantassin au cœur ». Dans le compte rendu succinct de cet évènement qu’elle a publié, l’armée de Terre a diffusé la photographie d’un fantassin équipé d’un tel système, par ailleurs similaire à celui qui avait été testé par les Royal Marines britanniques en 2019. Il s’agissait d’une solution qui, développée par Gravity Industries, reposait sur un exosquelette doté d’un « jetpack » et de deux turbines fixées sur chaque bras afin d’orienter et de stabiliser le vol. Cette « combinaison » permettait de voler à plus de 50 km/h, à une altitude de 10 000 pieds. Un tel dispositif peut-il avoir un intérêt pour l’infanterie, alors que le soldat qui en est équipé n’a pas la liberté de mouvement nécessaire pour utiliser son armement ? Si ce n’était pas le cas, l’armée de Terre ne l’aurait pas mis en avant… « Pour l’Ecole d’infanterie, la mission est de définir son besoin et la façon d’utiliser les technologies existantes ou en cours de développement pour être toujours plus efficace au combat », a-t-elle résumé. Et cela alors que les régiments relevant des brigades légères « souhaitent développer leur mobilité et leur capacité d’agression en lien avec les milieux aéroporté et montagne qui contraignent à un allègement du combattant ». Interrogé par Var Matin à l’occasion de ces Journées nationale de l’Infanterie, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], le général Pierre Schill, a expliqué qu’il fallait surtout faire le tri dans les innovations proposées. « Ce qui m’intéresse à la fin, c’est de savoir si ça apporte quelque chose aux unités. Et puis […] je dois garder à l’esprit la question suivante : telle ou telle innovation peut-elle être généralisée à l’ensemble de l’armée de Terre? Une innovation qui pourrait être adoptée pour les forces spéciales, qui ne représentent que des effectifs réduits, le serait plus difficilement à grande échelle », a en effet expliqué le CEMAT. Photo : Journées nationales de l’Infanterie 2024 – armée de Terre
  24. Bonjour BTX, merci pour cet apport de règlements, c'est précis ! à quoi correspondent les "I 1 à 2" et "I 3 à 4" en termes d'aptitude ?
  25. BTX

    ?

    RACKHAM voit ROUGE ! BTX
  26. Evidemment et c'est tant mieux ! Cuisinier embarqué ça n'a pas l'air de vous plaire ? Si demain l'ordre tombe d'aller se battre dans le Donbass, vous déserteriez ? BTX
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