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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 21/03/2015 dans Messages

  1. L'ajout d'une photo de couverture est désormais possible sur votre profil !
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  2. C'était l'élite de l'élite. En 1943, le Commandement suprême interallié recrute des volontaires parachutistes, britanniques, américains et français, pour l'épisode le moins connu de la Seconde Guerre mondiale : ​l'opération Jedburgh. Triés sur le volet, formés à toutes les techniques de la guerre non conventionnelle, ces 300 commandos Jedburghs, précurseurs des forces spéciales contemporaines, sont parachutés par équipes de trois sur l'Europe occupée en été 1944. Parmi eux, Jean Sassi, un jeune Corse, déjà vétéran de la campagne de France et des Corps francs d'Afrique. Un engagement qui va le conduire des maquis du Vercors aux jungles du Laos, contre les Allemands, puis contre les Japonais. Officier instructeur du 11e Choc, il sera envoyé en Indochine pour commander les Hmongs du Laos, guérilleros anti-Viêt-minh et pro-français, au sein du GCMA (Groupement de commandos mixtes aéroportés). Avec eux, il tentera en vain de sauver Diên Biên Phu, contre l'avis de l'état-major, qui se méfie de ce seigneur de la guerre, trop pur, trop dur. Après l'Indochine, ce sera l'Algérie, où l'attendent d'autres déceptions, d'autres trahisons. Pendant des années, cet homme de l'ombre choisit de se taire, fidèle à la loi du silence des Jedburghs. Quelques mois avant sa mort, il décide finalement de raconter l'extraordinaire aventure que fut sa vie. Pour ses camarades tombés là-bas, dans les maquis alpins, dans les sables du bled, dans les forêts d'Asie. Et pour les Hmongs qui poursuivent leur combat anticommuniste au Laos, oubliés de tous. Né en 1917, le colonel Jean Sassi était commandeur de la Légion d'honneur et décoré de treize titres de guerre, dont cinq étrangers. Ex-commando des Jedburghs et de la Force 136 en Extrême-Orient, président d'honneur de l'Association nationale des anciens du 11e Choc, chef de maquis autochtones en Indochine, le colonel Sassi était un spécialiste incontesté de la guerre contre-révolutionnaire et non orthodoxe. Quelques mois avant sa mort, il s'est confié dans cet ouvrage à Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro Magazine.
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  3. ​Yeah ! félicitation ,on se retrouve tous le 7
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  4. J'ai également était accepté au 4RCH comme pilote engin blindé. Au plaisir !
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  5. ​L'image originale pour les intéressés
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  6. Wasan, superbe ! https://www.aumilitaire.com/forum/profile/39070-wasan/
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  7. Très belle photo Charlie
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  8. Jolies photos ! Je viens du coup de mettre aussi une converture
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  9. Bonjour, Je viens de voir ça, fait pour moi
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  11. Bonjour à tous Une grande nouveauté très sympa sur le forum : pour poster une vidéo, c'est très simple, plus de code compliqué ou de bouton ou insérer un code, il suffit de poster l'adresse de la vidéo puis tappez "Entrée" et le forum s'occupe du reste ! exemple : A vous de jouer !
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  12. En France, le 7 février 1986 : 11e Régiment parachutiste de Choc, voici votre drapeau ! La voix du général Imbot, le nouveau patron de la D.G.S.E., porte loin. Elle s'adresse aux parachutistes formant le Régiment qui renaît de ses cendres après 23 ans de silence. Elle franchit les années, elle tend une passerelle entre le présent qui revit et le passé qui se souvient. Elle parle pour l'Histoire... Une Histoire qui commença voici quarante ans, au coeur d'une citadelle oubliée au fin fond des Pyrénées, le 1er septembre 1946, et qui s'est poursuivie, sur tous les continents, partout où la France avait besoin d'hommes courageux, discrets, compétents, efficaces. Que ce soit en Europe, transie de Guerre froide, en Indochine, au coeur des maquis du Laos, sur les plages d'Annam, en Algérie, d'une frontière à l'autre (et même au-delà), les officiers, les sous-officiers et les Chasseurs du 11e ont combattu, parfois à visage découvert, le plus souvent dans l'ombre. Ils ont contribué à forger la légende . Pour son nouveau livre 11e Choc , Erwan Bergot, qui fut l'un d'entre eux, a choisi de parler des hommes, qui avaient le Service pour guide, le Secret pour règle, qui préféraient le silence au tapage, la discrétion au panache, et n'avaient pas, bien souvent, le réconfort d'un communiqué à l'heure du succès, de la souffrance, de la mort. Lorsque, dans les remous de l'affaire Greenpeace , le ministre des Armées a annoncé à l'Assemblée nationale, la reformation du 11e Choc, le silence qui a suivi a montré que pas un seul des députés présents n'ignorait de quoi il s'agissait. Les anciens l'ont ressenti comme un hommage rendu à leurs qualités : fidélité, ténacité, efficacité.
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  13. L'armée au pouvoir ? 15 % des Français sont pour ! C'est l'une des grandes surprises du «baromètre de la confiance politique» réalisée par le Cevipof (SciencesPo) et l'institut de sondage Opinionway. 15 % des personnes interrogées souhaiteraint que «l'armée gouverne le pays», un chiffre en hausse de trois points depuis l'an dernier. 84% des Français considèrent néanmoins qu'il s'agit là d'une mauvaise idée... Dans le détail, les jeunes sont les plus favorables à un pouvoir militaire : 22% chez les 18/24 ans et 26% chez les 25/34 ans - les plus âgés étant les plus hostiles (7% chez les plus de 65 ans). C'est aux deux extrêmes que les partisans d'une junte sont aussi les plus répandus : 22% chez les électeurs de la gauche radicale et 30% chez ceux du FN. http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/l-armee-pouvoir-15-francais-sont-21774 ¡ Viva la Revolución ! BTX dit Zapata
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  14. La tradition des "Chocs" a été reprise par le CNEC à Montlouis. BTX
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  15. Préfacé par Jean-Pierre Raffarin, Sun Tzu en France propose une étude inédite sur L’art de la guerre de Sun Tzu. L’ouvrage retrace l’histoire de la réception du célèbre traité en France et analyse les différentes traductions qui sont aujourd’hui proposées au public francophone. Yann Couderc répond à une multitude de questions : Quand a-t-on découvert Sun Tzu en France ? Quel accueil lui a-t-on alors réservé ? Combien de traductions françaises existe-t-il aujourd’hui ? Pourquoi sont-elles si différentes ? Napoléon s’est-il inspiré du stratège chinois ?... Fruit d’une enquête minutieuse autant historique que philologique nous permettant de mieux appréhender ce classique de la stratégie qu’est L’art de la guerre, cette étude a été récompensée du Prix scientifique de l’IHEDN. Yann COUDERC est officier de l'armée de Terre. Saint-Cyrien, breveté de l'École de Guerre, il s'est pris d'intérêt pour ce classique qu'est devenu L'art de la Guerre et en a entrepris une étude rigoureuse, à destination du lecteur français non-sinologue. Animateur du blog Sun Tzu France et auteur de nombreux articles sur le sujet, il compte aujourd’hui parmi les spécialistes français de Sun Tzu. Blog associé : http://suntzufrance.fr
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  16. Bonjour à tous, ça fait un certain temps que je ne me suis pas connecté.. j'en profite pour faire un Retex de ma FGI au CFIM du camp du Valdahon. La formation a duré 3 mois, 3 mois qui passent très vite. Durant cette période, des cours théoriques sur l'armement, les connaissances militaires générales, NRBC, génie, combat.. et des cours pratiques sur le tir par exemple. De nombreuses séances de tir au programmes tant sur cibles basculante que sur cible fixe pour le groupement. Des marches sont aussi prévu (jusqu'à 25km , pas de quoi décourager les plus sportifs) ainsi que des bivouacs pendant lesquels des activités sont mises en place sur le combat , la reconnaissance de mines, les actes élémentaires du combattants. Ce sont pour moi les meilleurs moments de la FGI malgré la pluie et le froid. Le point négatif de la FGI est le sport, en effet le programme étant chargé, il n y a pas assez de temps pour l'entrainement physique.. a la fin de la FGI, un rallye est organisé afin de testé les connaissances acquises au cours de la formation : 1er jour tests théoriques , 2ème jour mises en places des groupes pour les différents ateliers du rallye. Certaine matières sont plus importante que d'autres, le tir est coeff 6 et le combat 9 ! Une marche de 25 km avec descente en rappel à l'issue est organisée au cours de la dernière semaine ainsi que l'annonce du classement de la FGI.. j'ai été major de promotion et j'ai eu l'honneur de recevoir mon diplôme par le commandant du CFIM. Si vous avez des questions.. n'hésitez pas =)
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