Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

JKS

Membres actifs
  • Compteur de contenus

    376
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    5

Tout ce qui a été posté par JKS

  1. Et surtout on oublie pas de se reposer
  2. Gloire à lui alors Yes ça vous permet d'éviter de souffrir pour rien et de pousser encore plus. Il y'a un facteur x à prendre en compte, votre détermination le jour J qui va normalement vous permettre de gratter 1 palier ou des secondes en plus.
  3. Serment de 14 votre pseudonyme me dit quelque chose Pour répondre à votre question je n'ai pas vraiment eu de "tactique" pour réussir mon LL sauf les deux suivantes : Bien respirer dès le début du test même avant pour oxygéner les muscles et surtout pendant le test. Changer d'appui à chaque demi-tour, la technique ultime
  4. Tu peux nous expliquer d'où tu sors tes chiffres ? Tu n'es même pas militaire donc oui tu peux éviter ce genre de remarque inutile.
  5. Le sergent Jonathan Lassus-David était hospitalisé depuis l’incendie géant intervenu mercredi sous la dalle commerciale de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Un pompier hospitalisé mercredi à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne), après être intervenu lors de l’incendie désormais qualifié de « criminel » qui s’est déclaré sous la dalle commerciale, est décédé samedi, ont annoncé les Pompiers de Paris sur leur page Facebook. Lors de leur intervention, trois pompiers avaient été blessés, dont l’un grièvement. Le sergent Jonathan Lassus-David est décédé ce dimanche matin « des suites de ses blessures », précise la préfecture de police dans un communiqué. https://twitter.com/prefpolice?ref_src=twsrc^tfw&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.leparisien.fr%2Ffaits-divers%2Fchoisy-le-pompier-hospitalise-est-decede-l-incendie-etait-criminel-14-01-2018-7500015.php Âgé de 28 ans, Jonathan Lassus-David avait une compagne et était père d’un enfant. Il exerçait au centre de secours de Choisy. Son action « a contribué à l’évacuation d’habitants qui auraient pu être victimes de ce sinistre », salue la brigade des sapeurs-pompiers de Paris. « Mort au feu, il est allé au bout de son engagement ». Pompier volontaire dans sa ville natale d’Oloron-Sainte-Marie (Pyrénées-Atlantiques), il avait intégré la BSPP en avril 2012. Mercredi, un incendie s’est déclaré dans un parking sous la dalle de Choisy, dans un box de garage. Il s’est rapidement propagé à d’autres véhicules, puis dans le parking souterrain voisin. Touchant deux étages et près de 2 000 m², le sinistre avait nécessité l’intervention de 120 sapeurs-pompiers. Pendant six heures, les trois foyers de l’incendie ont développé une chaleur terrible de 600 degrés, ce qui a causé l’affaissement de deux, voire de trois, immeubles de logements situés sur la dalle. Quatre jours après l’incendie, des équipes de pompiers continuent à surveiller les lieux – la température de la dalle peine à redescendre et les fumées doivent être pompées à l’extérieur - et près de 250 habitants n’ont pu réintégrer leur appartement que quelques minutes samedi, pour récupérer des vêtements et des papiers. Incendie à Choisy-le-Roi, plus de 250 personnes évacuées Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb et la ministre des Armées, Florence Parly ont salué dans un communiqué commun « la mémoire de ce sous-officier, tombé alors qu’il participait à des opérations d’extinction de véhicules en feu dans des conditions très difficiles et à proximité de nombreuses habitations ». Alors que, vendredi, selon les informations du Parisien, les experts du laboratoire de la police semblaient mettre en cause des branchements électriques sauvages qui auraient accidentellement provoqué le feu, la préfecture de police affirme ce dimanche qu’« une enquête est actuellement en cours pour rechercher les auteurs de ces faits d’origine criminelle ». http://www.leparisien.fr/faits-divers/choisy-le-pompier-hospitalise-est-decede-l-incendie-etait-criminel-14-01-2018-7500015.php RIP
  6. T'es un p'tit comique
  7. Un Bigeard Bis
  8. Un peu de culture G, opération trop peu connu à mes yeux. Opération Jedburgh C'était l'élite de l'élite. En 1943, le commandement suprême interallié recrute des volontaires parachutistes, Britanniques, Américains et français, pour l'épisode le moins connu de la Seconde Guerre mondiale : L'opération Jedburgh... Triés sur le volet, formés à toutes les techniques de la guerre non conventionnelle, ces 300 commandos Jedburghs, précurseurs des forces spéciales contemporaines, sont parachutés par équipes de trois sur l'Europe occupée en été 1944. Le nom Jedburgh est à l'origine celui d'un village des Borders au sud d'Edimbourg, réputé pour l'ardeur au combat de ses habitants pendant les guerres anglo-écossaises. La légende prétend que ces précurseurs de la guérilla, qui donnaient tant de fil à retordre aux Anglais, jouaient à la soule (au Moyen Âge, mi-football, mi-rugby, ancêtre de ces deux sports) avec les têtes décapitées de leurs ennemis ! Entraînements des JED'S Les équipes (teams) Jedburghs sont entraînées d’avril à décembre 1944 au camp de Milton Hall (Jedburgh Training School, nom de code Military establishment 25 ou ME 65), dans le comté de Cambridge (Angleterre). Ce camp est dirigé par le Lieutenant-colonel d'artillerie George Richard Musgrave. Cet officier a combattu au Somaliland en avril-mai 1941 sous les ordres du colonel Orde Charles Wingate. En 1945 il dirige le camp ME 25 de la force 136 du SOE en Asie du sud-est implanté à Colombo (Ceylan, maintenant Sri Lanka)4. Ils reçoivent une formation intensive à Henley-on-Thames et subissent des tests psychologiques, un entraînement physique important de type commando, à dose massive, Speed march (marche commando, au pas de course en tenue de combat avec sac à dos), marche de nuit surprise de 50 kilomètres toujours avec sac à dos de 30 kg, parcours d'obstacles (toujours lestés) etc. Tous les déplacements au pas de gymnastique, des entraînements au tir, sabotage à l'explosif de toutes sortes et au combat luttent, boxe close-combat, et silent killing (l'art de tuer en silence : tous les gestes interdits par les arts martiaux traditionnels). L'opération Les équipes parachutées derrière les lignes ennemies opèrent en uniforme avec un officier appartenant aux pays d'accueil (français, Néerlandais). Elles sont parachutées dans des zones prises en charge par la Spéciale opération Exécutive, à plus de soixante kilomètres en arrière des lignes pour agir et disposer de transmissions avec les États-majors ou avec Londres. Le plus souvent, les équipes sont constituées de deux officiers et d'un opérateur radio. L'opérateur radio assure le contact entre maquis et centrale de Londres, d'une part, et troupes régulières amies d'invasion approchant des zones de maquis, d'autre part. Le seul contact des radios avec l'extérieur est la station Charles dont les opérateurs sont formés aux changements de fréquences et aux prises de contact et d'appel. Deux contacts quotidiens sont permis ; les heures de contact sont fixes, les fréquences peuvent varier. La station Charles assure la liaison avec 64 équipes Jedburgh et 24 stations mobiles régulières au nord de la Loire en juillet 1944. Entre juin et septembre 1944, 279 Jedburghs — répartis en 94 équipes (teams) de 3 (format le plus fréquent) sautent sur la France et les Pays-bas à partir de bases d’Angleterre et d’Afrique du Nord. Parmi eux, il y a 114 français, souvent de la France Libre. Paul Aussaresses, Jean Sassi et Jean Larrieu ont été des Jed's. La missions des Jed's étaient : 1. s'intégrer aux maquis locaux, et former des combattants à la guérilla et à ses techniques, pour les mener au combat et soulager les troupes du débarquement après le jour J. 2. réaliser des actes de sabotage, embusquades et autres actions afin d'affaiblir l'ennemi physiquement et psychologiquement(guerre insurrectionnelle, ou non conventionnelle). 3. collecter du renseignement 4. organiser et réceptionner des parachutages en territoire ennemie (Ne pas confondre les SAS et les Jed's : les SAS étaient portés sur l'action brève et violente, agissant par sections de 10 à 30 hommes. Les Jed's, eux devaient agir à trois sur un plus long termes. Après leur action en France ou aux Pays-bas, certains membres des équipes Jedburgh accomplissent des missions de même nature en Norvège, en Italie, en Birmanie, en Malaisie, à Bornéo, en Indonésie, en Chine et en Indochine, "La Force 136". Des Jed's français assez connu : Le colonel Jean Sassi : Très bon livre relatant la vie de ce baroudeur et celle des Jed's https://www.amazon.fr/Opérations-Spéciales-Ans-Guerres-Secrètes/dp/2915243174 Le général Paul Aussaresses : https://www.escouade77.com/origine-historique-des-fs/
  9. Mais ils t'ont refusé ? Ou ils n'ont pas étudié ton dossier ?
  10. Yes @Sco a raison si tu veux vraiment bouger les fs ça répond à tes attentes encore faut-il être capable de les intégrer, malheureusement ou heureusement ? c'est plus facile à dire qu'à faire
  11. Attention pour attendre ... Attendez
  12. https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/bleu-horizon-pour-la-310-e-promotion-de-l-ensoa
  13. Il y a une sélection, si tu ne sais pas aligner tes pieds ils ne vont pas te prendre Et dieu sait qu'en OS y'a des psycho
  14. Le reportage est décevant voir même chiant
  15. Espérons que cette fois ci la chance soit de notre côté
  16. Quelqu'un a une date pour la deuxième commission ? Étant très chanceux je suis arrivé trop tard pour la première
  17. Bienvenue, Amateur de BushCraft ?
  18. Bonjour, C'est simple il faut être soi-même et ne pas se donner un genre pour faire bonne figure. Vous verrez bien pendant vos tests si vous avez le profil pour devenir militaire ou non.
  19. Félicitation
  20. Bienvenue issou !
  21. J'me suis chié pour une fois sur l'emploi du mot foie corrigeons ça en foi
  22. cirrhose à l'eau face à cette bouse cinématographique

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...