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Tout ce qui a été posté par La Nueve

  1. Ça devait être le lacry et le masque à gaz.. Je voyais pas mon cougar comme ça ^^ Quand je suis rentré dans la boite c'était plutôt cela modèle 98 K, ils avaient même pas effacé l'aigle sur la culasse . Photo de 68, mais en 82 même fusil, même sacoche .
  2. C'est vrai que ce professionnel, défend souvent les forces de l'ordre . C'est un avocat, son métier est de défendre des gens , point barre . Même si pour ma part le défendeur, n'a pas plus de moralité qu'une racaille de banlieue https://www.midilibre.fr/2018/07/27/une-histoire-banale-interviewe-par-tf1-alexandre-benalla-persiste-et-signe,4664972.php A 1 minute 22 de l’interview sur TF1, a l'affirmation de la journaliste qui précise que le manifestant a des marques visible sur la poitrine . "C'est pas moi, c'est le CRS avec son cougar ".
  3. A première vue , c'est une pratique régulière . https://www.lyonmag.com/article/96480/un-proche-collaborateur-de-gerard-collomb-lui-aussi-apercu-avec-un-brassard-sigle-police Tu veux quoi pour Noël , un déguisement de Zorro ? Non un déguisement de Police .
  4. C'est certain que dans ce milieu, quelqu'un qui n'est pas passé par l'ENA, ou les grandes écoles , n'est pas bien vu ( nouvelle noblesse oblige ). Mais quand même pour moi , alors qu'un policier ou un gendarme qui a passé un concours et tout au long de sa carrière doit passer moults habilitations (je crois que j'en ai passé une pour pisser... ), nous avons des individus qui se trouvent aux plus hautes sphère de la sécurité sans aucunes formation . Mais enfin , quelque soit la faute de ce mossieur ,la réaction tardive et l’indulgence de l'employeur est choquante . ET je ne parle pas de tout les mensonges des hautes autorités de la police dans cette affaire .
  5. Je sais que je suis peut être mal placé pour dire cela, car de mon temps, on obtenait le concours de Gardien de la Paix même si on écrivait papa avec trois P. Mais je conseille de faire attention à l’orthographe. Pour l’engagement militaire, j’aurai mis la durée . Pour le RETEX d’ADS, il y a autant d’expériences que de services, normalement ,l’ADS assiste le gardien de la paix dans ses missions , mais il ne peut pas faire de procédures. Donc , cela dépend de la grandeur de l’affectation . Quand j’étais en CRS, nous n’avions que deux ADS à la Compagnie , ils étaient au matériel et au secrétariat, car ils ne pouvaient pas faire de déplacements et encore moins de MO (manifs ). Lorsque j’ai muté à la PAF, c’est les ADS qui m’ont formés aux contrôle frontières . Par la suite le service a grandit , et nos petit gars et filles se sont retrouvés a des fonctions subalternes, bien que j’ai vu une ADS qui a remplacé pendant six mois l’adjoint au chef du CRA (un major ) . En résumé , les gradés et gardiens de la Police sont les nouveaux esclaves des temps modernes, et l’ADS est en dessous du Gardien . Mais pour celui qui veut intégrer la fonction , c’est une très bonne expérience, surtout en ce qui concerne la motivation.
  6. FIGAROVOX/TRIBUNE - Le Général Soubelet dénonce la gestion des violences survenues après les célébrations liées à la victoire des Bleus et attire l'attention du grand public sur le peu de marge de manœuvre laissé aux forces de l'ordre, ce qui, selon lui, les maintient dans un attentisme néfaste. Général de corps d'armée, ex-numéro trois de la gendarmerie nationale, Bertrand Soubelet est l'auteur de Tout ce qu'il ne faut pas dire (Plon), ouvrage sans concessions sur la situation de la France, et Sans autorité, quelle liberté? (éd. de l'Observatoire). Les graves troubles à l'ordre public survenus à Marseille, Lyon, Nantes, Grenoble, Rouen et Paris notamment ont terni la célébration du titre de champions du monde des footballeurs menés par Didier Deschamps. Ils m'ont personnellement révolté car il n'existe plus dans notre pays aucun rassemblement festif ou symbolique qui ne soit l'occasion de violences et de pillages. J'entends des commentaires selon lesquels cela a toujours existé, voire que c'est le prix à payer et que c'est du détail au regard de la joie de la victoire. Ce sont des appréciations dangereuses car elles sont le témoignage d'une philosophie qui désagrège notre société. Celle du laisser-faire et d'une pseudo-tolérance, qui en réalité nous met dans le mur depuis cinquante ans. C'est une indication très sérieuse de l'état de notre société et de l'incapacité de notre collectivité à l'autorégulation. Elle est aggravée par la complaisance de certains médias qui minimisent le nombre de ces événements ou qui l'évoquent à la marge comme un fait divers. Nous avons encore vécu un épisode qui devrait inciter les responsables politiques à réagir. Mais ils sont atones ou tétanisés. Au choix. Nous sommes toujours dans la politique du déni. Il est vrai qu'aujourd'hui ce dont on ne parle pas dans les médias est réputé ne pas exister. Nous avons donc encore vécu un épisode qui devrait inciter les responsables politiques à réagir. Mais ils sont atones ou tétanisés. Au choix. Pourquoi? Tout simplement parce que l'ampleur de la tâche les plonge dans l'indécision et l'attentisme, exactement comme leurs prédécesseurs. Contrairement aux commentaires qui fleurissent sur les réseaux sociaux et que je ne partage pas, la solution de fond n'appartient pas aux forces de sécurité. J'admire leur patience et leur abnégation pour supporter cette violence et ne pas être en capacité d'assurer leurs missions avec la sérénité et le soutien du «système». Les forces de sécurité agissent conformément aux lois et aux ordres de leurs chefs qui les reçoivent des politiques. Dans une démocratie, il ne peut pas en être autrement. En revanche, au cours de rassemblements de personnes lorsque des délits sont commis: soit les forces de sécurité sont absentes car il est impossible de couvrir tout le terrain, soit elles sont présentes. Dès lors, deux cas de figure. Elles agissent sur ordre, ce qui est le cas le plus fréquent notamment à Paris ou la préfecture de Police ne laisse aucune marge de manœuvre aux forces déployées sur le terrain. Le deuxième cas de figure est celui de la réponse d'initiative du chef opérationnel devant lequel se produisent les débordements. Se retrouver devant un tribunal pour se justifier d'avoir fait son travail et risquer d'être condamné pour avoir malmené une crapule n'est humainement pas supportable. Dans ce cas malgré la validité juridique de la décision d'intervention (la commission d'un délit de destruction ou d'agression) le risque encouru par celui qui décide d'intervenir et ses subordonnés est important en fonction des conséquences, notamment des blessés éventuels parmi les fauteurs de troubles. Cela se termine en général par un désaveu de la hiérarchie et une mise en cause judiciaire. Pour cette raison il est possible de voir des images de forces de l'ordre rester impassibles devant des exactions qui se déroulent devant elles. C'est tout le dilemme de ceux qui sont chargés de faire respecter la loi et que le système met en position de ne pas pouvoir le faire. Ils le vivent très mal car ne pas être en capacité de faire son métier quand on est un vrai professionnel, et ne pas se sentir soutenu quand on le fait, contribue au malaise décrit dans le rapport récent des sénateurs Grosdidier et Boutant. Se retrouver devant un tribunal pour se justifier d'avoir fait son travail et risquer d'être condamné pour avoir malmené une crapule n'est humainement pas supportable. Mais soyons lucides. Les forces de sécurité ne sont pas la solution des difficultés de notre pays. Elles sont seulement un moyen, un instrument. La réponse de fond à ce délitement social tient en deux mots: éducation et justice. Il n'échappe à personne que l'éducation est le fondement du comportement individuel. Cela commence par la politesse et l'apprentissage de règles de base acquises dans le milieu familial. L'école ne compensera jamais les lacunes familiales. Elle n'est pas faite pour cela. Tant que nous ne nous donnerons pas les moyens de sanctionner sous quelque forme que ce soit les fautes des transgresseurs nous ne pourrons pas vivre en harmonie. Lorsqu'un être doué de raison ne respecte pas les règles, pour peu qu'il les connaisse, il doit être mis en face de ses manquements. Lorsqu'ils sont bénins et sans conséquence, et également lorsque cela est plus grave. Or la réponse de la société aux écarts des «citoyens égarés» n'est pas adaptée en raison de moyens insuffisants, de politiques pénales inexistantes et parfois de dogmatisme. Tant que nous ne nous donnerons pas les moyens de sanctionner sous quelque forme que ce soit les fautes des transgresseurs nous ne pourrons pas vivre en harmonie. Lorsque ce travail de fond aura été réalisé et que la cohérence de l'ensemble éducation-justice sera assurée la sécurité redeviendra une évidence et pourra être portée par des femmes et des hommes sereins qui ne se poseront plus de question sur le sens de leur engagement. Ah! J'oubliais un mot, qu'on entend beaucoup bien qu'on l'ait vidé de son sens: Respect. Respect de la règle, respect de la loi, respect de l'Autre. C'est simple mais tellement exigeant et ce n'est pas exactement la voie que nous montre le pouvoir actuel. Mais soyons lucides. Les forces de sécurité ne sont pas la solution des difficultés de notre pays. Elles sont seulement un moyen, un instrument. A 100 %.
  7. C'est pas faux, en plus j'ai connu des interpellations plus violente . La seule question que je me pose , c'est : Si dans la vidéo que notre ministre de l'intérieur a eu connaissance le 02 Mai, il s'était agit d'un vrai policier ou gendarme , qu'aurait il fait ?
  8. Je reviens sur le sujet du lieutenant colonel. C’était une autre époque . https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/3059/reader/reader.html#!preferred/1/package/3059/pub/4115/page/8 Le seul lieutenant colonel est mort pour la France .
  9. Après le SAC service d'action civique . Le SAM service action en marche .
  10. Ce qu'a dit Alexandre Benalla en garde à vue https://www.lejdd.fr/politique/ce-qua-dit-alexandre-benalla-en-garde-a-vue-3716255 Le chargé de mission à l'Elysée Alexandre Benalla, dont la garde à vue s'est terminé samedi soir, a entraîné dans sa chute trois cadres de la préfecture de police. Une information judiciaire devrait être ouverte dimanche. En quatre jours, le garde du corps du président de la République est devenu l'homme par qui le péril arrive. Les accusations portées contre Alexandre Benalla ont rejailli sur Emmanuel Macron, causant la plus importante crise depuis son élection en mai 2017. La proximité du chef de l'État avec ce chargé de mission de 26 ans qui jouait un rôle important dans sa sécurité interroge d'autant plus que le jeune homme a pu se maintenir auprès d'Emmanuel Macron après son dérapage violent. Alexandre Benalla a visiblement préparé sa défense Titulaire d'un master en droit, Alexandre Benalla a visiblement préparé sa défense. Selon plusieurs sources concordantes, il a assuré en garde à vue que c'est à l'invitation de la préfecture de police qu'il s'est rendu comme "observateur" sur la manifestation. Selon sa version, c'est son "référent" policier, un major de la DOPC (Direction de l'ordre public et de la circulation) censé l'accompagner sur le terrain, qui lui aurait fourni casque, brassard et radio. Enfin, il invoque pour justifier son intervention musclée l'article 73 du code de procédure pénale, qui permet de prêter main-forte aux forces de l'ordre quand les circonstances l'imposent – "Dans les cas de crime ou de délit flagrant […] toute personne a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche." C'est pour étayer son argumentation que l'ex-gorille du Président semble avoir demandé (et obtenu) les images des caméras de la préfecture, afin d'illustrer la violence des affrontements du 1er-Mai à Paris, place de la Contrescarpe, dans le quartier du Panthéon, où lui-même en est venu aux mains. Quelques semaines plus tôt, avant que Le Monde ne révèle l'affaire, il s'était confié à un haut fonctionnaire de ses proches, en regrettant son comportement. "J'ai une merde sur le dos, regrettait-il. Je suis allé sur la manif, c'était chaud. Les CRS en prenaient plein la gueule. J'ai pété les plombs." Le témoin précise au JDD : "Il avait conscience qu'il avait fait une connerie. Il savait que les images tournaient sur les réseaux sociaux." Alexandre Benalla a invoqué l'article 73 du code de procédure pénale, selon lequel dans «les cas de crime ou de délit flagrant […] toute personne a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche». Je suis allé sur la manif, c'était chaud. Les CRS en prenaient plein la gueule. Merci Mr Benalla d'avoir sauvé les pôvres CRS .
  11. Cela est un peu moins sur . Dans le style mythos https://www.ledauphine.com/france-monde/2018/06/11/un-gendarme-et-sa-copine-controlaient-les-vehicules-illegalement Cela pas fait la une de BFMTV
  12. Voila, tu as tout dit . Que les médias, en rajoute , c'est leur business , j'ai même vu http://nordpresse.be/exclu-alexandre-benalla-etait-voisin-de-lenfant-sauve-mamoudou-gassama/ Moi, Ce qui me gêne le plus , c'est que ce conseiller jette un discrédit sur toute la Police Nationale et l’Élysée laisse faire en toute connaissance de cause. Il vaut mieux laisser la Police Nationale être accusée de violences policières, que de dénoncer l’imposture d’un proche d’Emmanuel MACRON. Écurant, surtout quand on sait que ces vidéos servent d'excuses pour agresser des policiers en service mais de plus en plus hors service. Le 10 juillet sur Sud Ouest . Selon la direction zonale Sud-Ouest des CRS, le CRS-MNS a été pris à partie par un groupe d’une dizaine de jeunes, lundi, après-midi, sur la plage centrale de Lacanau, alors qu’il leur demandait de se décaler de la zone surveillée pour jouer au ballon. Ce mardi, la direction zonale Sud-Ouest des CRS a apporté des précisions sur l’agression d’un policier nageur-sauveteur, lundi après-midi, sur la plage centrale de Lacanau. Selon la direction zonale, ce n’est pas en tentant de mettre fin à une rixe que le CRS a été pris à partie mais en demandant tout simplement à un groupe de jeunes qui jouaient au ballon au niveau de la zone surveillée de se décaler. "L’un des membres de ce groupe venait de tomber sur un enfant qui était avec sa mère. L’enfant s’est plaint du bras. Le policier est descendu de la chaise de surveillance de baignade pour voir comment il allait. Il a alors invité le groupe de jeunes à se mettre un peu plus loin pour jouer au ballon. Il s’est fait encercler par une dizaine de personnes qui l’ont insulté et ont commencé à lui porter des coups, tout en faisant allusion aux événements qui se sont passés à Nantes. Les autres CRS-MNS présents sur le poste de secours sont intervenus le plus rapidement possible. Deux jeunes ont été interpellés et remis à la gendarmerie", précise le service communication de la direction zonale. Deux garçons âgés de 17 ans ont été placés en garde à vue, lundi, pour outrage et violences sur une personne dépositaire de l’autorité publique. Le policier nageur-sauveteur s’est vu fixer plusieurs jours d’interruption totale de travail, indique la direction zonale. Ceci est mon avis d'ancien policier CRS . Après , il y a un autre aspect du problème , en tant que citoyen,je pensais que l'usage de barbouzes, et la délivrance de titre d'officier aux courtisans était d'un autre siècle .
  13. Si je me rappelle , notre moniteur de tir nous avait vendu le SIG, en raison d'une économie des couts d'entretien (pièces de rechange ), vu que toutes les forces de l'ordre avait le SIG, même s'il était un peu plus cher que le glock. On recommence a diversifier les armes . Mais bon , les voies des marchés administratifs sont impénétrables .
  14. Je dois dire que ce genre de mission, je l’ai fait, et les CRS l’ont fait dans les années 90 suite a une vague d’attentat, on se mêlaient pas aux voyageurs « en toute discrétion » (c’est à dire incognito) , nous étions en tenue . Quand à dire que le GIGN sera sous employé , je ne suis pas tout à fait d’accord. Ce sont des personnels qui sont formés pour intervenir dans des endroits exigus a forte densité de population ,on se rappelle la prise d’otage a Marignane du vol air France en 1994 . A mon époque le mode d’action terroriste était différent et nous nous occupions pus des bagages abandonnés , on nous faisait aucuns reproches a faire arrêter un TGV en pleine campagne, de faire venir un hélico avec les démineurs, même si cela coutait très cher. Aujourd’hui c’est différents, on est face a des individus armés et déterminés et sanguinaires. Ce que j’espère c’est que ce ne sera pas un effet d’annonce , une arnaque. On nous annonce le GIGN et on se retrouvera avec au mieux le PI d’un escadron (je dis cela sans dénigrer les compétences des moblos que je respecte )
  15. Du moment que tu satisfait au conditions d'aptitude physique particulières, déterminées par le SIGYCOP, et également l'aptitude au port et à l'usage des armes, il n’y a aucuns problèmes . A mon époque pour la titularisation on devait nager 50 mètres , mais cela n’est plus obligatoire . En école de police , c’est l’internat ,mais en général c’est des chambres de deux, c’est assez gérable Mais il faut être assez blindé , dans la profession malheureusement le "taillage" de collègue est dans certains service une institution .
  16. Bonjour à toi . Tu veux intégrer la Marine Nationale, et faire la meilleure spécialité de la Marine qui est : commis aux vivres ?
  17. https://www.midilibre.fr/2018/06/28/syrie-lafarge-mis-en-examen-notamment-pour-complicite-de-crimes-contre-lhumanite,4639994.php
  18. La société française Lafarge mise en examen pour «complicité de crimes contre l’humanité» en Syrie. ► 28 juin 2018 ● 14h21 par C. Laudercq et R. Lefras La société Lafarge est passée devant les juges ce jeudi et a été mise en examen pour « complicité de crimes contre l’humanité », « financement d’une entreprise terroriste », et « mise en danger délibérée de la vie de salariés ». Le cimentier français est soupçonné d’avoir financé des groupes djihadistes dont l’EI, pour maintenir son activité en Syrie. Il s’agit de l’usine du groupe à Jalabiya en 2013-2014, dans une région du nord de la Syrie sous contrôle de l’EI à cette époque. L’entreprise sera également soumise à un contrôle judiciaire comprenant une caution de 30 millions d’euros. En décembre 2017, trois responsables avaient déjà été mis en examen pour « financement d’une entreprise terroriste » et « mise en danger de la vie d’autrui ». Les juges d’instruction ont également retenu contre la holding les chefs de violation d’un embargo et de mise en danger de la vie d’autrui. Actu17.
  19. http://www.opex360.com/2017/09/02/lencadrement-du-nouveau-service-national-reposera-t-il-sur-les-seuls-militaires/ Lors de son discours de politique générale prononcé en juillet devant le Parlement, le Premier ministre, Édouard Philippe, avait confirmé la mise en place d’un nouveau service national, avec des modalités définies d’ici la fin de cette année. Or, durant la campagne présidentielle, M. Macron avait bel et bien parlé de remettre au goût du jour un « service militaire universel » d’une durée de seulement un mois, alors que ceux qui s’étaient proposés de le conseiller à cette époque préconisaient une « période citoyenne » deux fois plus longue. Cela étant, les questions sur l’hébergement et l’encadrement des 600.000 conscrits se posent. De même que celle concernant le financement d’une telle mesure. Dans l’entretien qu’il a donné à l’hebdomadaire Le Point, cette semaine, le président Macron a donné une petite indication sur le rôle qu’auront à jouer les militaires dans cette affaire. « Nous devons devrons engager une réflexion profonde sur la condition militaire. C’est d’autant plus nécessaire qu’ils ont collectivement un rôle à tenir, au-delà même de l’action opérationnelle. Un rôle d’exemple. Un rôle d’encadrement aussi, lorsque nous aurons mis au point le nouveau système de service national », a en effet affirmé M. Macron. Voilà des propos qui mériteraient d’être précisés… Les militaires (d’active ou réservistes) seront-ils les seuls à être sollicités pour encadrer ce service national ou bien sera-t-il fait appel à d’autres acteurs? Si, durant la campagne, M. Macron a assuré que les Armées n’auront pas à supporter les coûts de ce retour de la conscription, il n’en demeure pas moins qu’elles seront « impactées » si elles doivent encadrer les conscrits. Dans leur rapport publié en juin dernier, les sénateurs Jean-Pierre Raffarin et Daniel Reiner avaient estimé qu’il fallait mobiliser, au minimum, 16.000 à 18.000 personnels pour encadrer 600.000 jeunes. Le le général Jean-Pierre Bosser, le chef d’état-major de l’armée de Terre (CEMAT), n’est visiblement pas chaud à cette idée. « C’est 10 fois la force opérationnelle terrestre! Que se passe-t-il lorsque l’on est percuté par dix fois son poids? », avait-il demandé lors de son dernier passage devant la commission de la Défense, à l’Assemblée nationale. Et d’ajouter : « Déterminer la finalité du dispositif envisagé permettra ensuite de savoir qui fait quoi et donc de connaître la part dévolue aux militaires. En fonction de cette définition, nous serons en mesure de vous répondre si nous savons faire ou non et si oui, ce que nous ne pourrons plus faire. »
  20. Loin de cautionner la xénophobie, car on est tous l'étranger de l'autre, j'habite dans un village a quinze kilomètres d’où j'ai passé mon enfance, depuis vingt ans , et je ne suis toujours pas "d’ici " . Mais, seul Mayotte dans l'archipel a voulu rester Français, je peux comprendre le ressentiment des personnes originaires de l’île au vue de cette immigration massive . (je suis moins indulgent pour les entrepreneurs et restaurateurs qui emploient les clandos au black ) A première vue ,dans ce cas précis , il s'agirait de faits de délinquance . Bon courage et bon rétablissement aux gendarmes .
  21. Je ne peux pas te répondre, mais, je trouve cette mesure quelque peu stupide, car dans le privé, les assurances font payer un surcout aux jeunes conducteurs , alors que touts les véhicules du ministère de l'intérieur sont assurés par le ministère lui même .
  22. Sans le BAC, c'est la seule voie pour rentrer dans la Police actuellement. C'est vrai que les ADS , dans beaucoup de service sont considérés comme des arpettes , et font les taches que les titulaires ne font pas . Dans des petites structures , ils font souvent le travail des titulaires . Le problème vient qu'ils n'ont pas la même compétence judiciaire,et je me souvient dans mon ancien service ,ils ne pouvaient conduire un véhicule police qu'avec plus de trois ans de permis, alors qu'une des conditions de titularisation est le permis de conduire et donc sur certaines missions c'est le titulaire qui faisait tout le boulot. Ce n'est pas la faute de l'ADS, mais du système . Mais c'est a l'individu de s'imposer,plus on le sentira motivé ,plus on lui confira des travaux intéressants, et surtout ne pas avoir peur de réclamer le crédit d'heures de formation auquel l'ADS à droit . La "raison de service" si souvent invoquée n'est pas au dessus des lois .

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