Viandox

Pas d'affolement, l'épreuve notée sera un 100 m... Si les séances montent jusqu'à 1000 m (et encore...), c'est parce que vous ferez différents exercices qui, en distance cumulée, atteindront peut-être (mais j'en doute) 1000 m à la fin de la séance. Ce n'est pas le cours de plongeur de bord, c'est juste une formation initiale pour matelot maintenance aéro. La mention "sait nager" n'existe plus depuis longtemps. Et inutile d'appeler le service des sports de Toulon pour l'école de Querqueville...

Les temps ont changé, Afsec... Les formations des matelots maintenant comportent beaucoup d'apprentissage en unité.

Dans les bases de l'aéronautique navale. (Lanvéoc, Hyères, Landivisiau et Lann-Bihoué). Pour l'O-M, la BAN Tontouta en Nouvelle-Calédonie a fermé... et il me semble bien que c'était la dernière BAN en outre-mer. Donc, je ne pense pas qu'il soit encore possible de partir outre-mer en tant que CONTA

Pour les postes embarqués, à part sur le porte-avions (et encore, je ne suis pas certain), le reste est à terre.

Non, pas de "stage commando", ça sera indolore.

Bonjour, Si je puis me permettre d'apporter ma contribution sur le sujet, en tant que personnel issu de l'école de Maistrance, je ne porterais pas ce type de chevalière. Les raisons sont les suivantes : - Je ne porte pas de bijou hormis une montre (choix personnel mais qui peux être un choix de sécurité HSCT pour certaines spés techniques) - Dans l'éventualité où je voudrais porter des bijoux, je ne me tournerais pas vers une chevalière, bijou qui porte une connotation un peu désuette (à l'instar des gourmettes) - Cette école, bien que représentant un bon moment dans ma carrière, n'est en revanche pas un évènement suffisamment important pour que je porte au quotidien un bijou commémoratif, surtout à ce prix. En espérant que mes remarques ont été constructives...

Félicitations !

Bonjour, "changement de spécialité" semble plus approprié, le métier étant militaire. C'est possible mais exceptionnel, surtout pour ces spés. Les changements de spé font généralement suite à une inaptitude ou pour combler un besoin particulier. La demande est possible sans être en fin de contrat mais je crois me souvenir que ce n'est plus possible lorsqu'on est titulaire du brevet supérieur. Si je puis me permettre de déborder un peu, vous êtes très jeune, et avez encore quelques années pour arrêter un choix ferme de spécialité. Autant vous engager en ayant murement réfléchi à votre choix.

En même temps, ce qui est vrai (et encore...) pour les 4 épreuves du ccpm ne l'est pas forcément pour Maistrance. Il ne s'agira pas d'avoir seulement 26 points mais de faire du mieux possible pour avoir une bonne note qui influera favorablement sur la moyenne générale, ce qui, vu votre assurance, ne devrait poser absolument aucune difficulté.

37 Bca ?

Si vous voulez travailler en milieu international en sous-off, à part les postes OTAN, je ne vois pas... (Anticipant une éventuelle question, non, il n'y a pas de cursus spécifique pour ces postes, et oui, il faut un heureux concours de circonstances pour y accéder)

Pour ce que j'en sais, le SEA, c'est un petit service (2500 personnes, civils inclus) de logistique spécialisée, présent sur toutes les opex... donc ça tourne pas mal à l'extérieur. Beaucoup d'autonomie et de responsabilités. Culture interarmées, car, en plus du recrutement direct, beaucoup de ses membres sont recrutés en interne dans l'AdT, mais aussi dans l'AA et dans la MN. Après, ce n'est pas un service de commandos ninjas de la mort qui sautent en parachute et boivent du sang, mais ce n'est pas leur vocation. En revanche, ils ont une très bonne réputation, notamment internationale, dans leur domaine de prédilection, la log pétrolière.

Je crois savoir que les syndicats auraient une influence dans l'avancement et les mutations (notamment dans la police mais pas uniquement). Les gendarmes et EVAT représentent une minorité face aux officiers, sous-off, marins et j'en passe. La mobilité est bien une spécificité du militaire. Le CSFM porte la parole des militaires, mais n'est pas écouté. Une usine à gaz car si syndicat il doit y avoir, c'est au niveau national à des fins d'équité... Donc organiser des élections avec le personnel muté régulièrement (on y revient), en déploiement, en manoeuvre, en perms, en affectation outre-mer, à l'étranger, il y a plus simple. Si ça se passe "partout ailleurs", c'est que cet ailleurs n'a pas les contraintes et les spécificités du métier de militaire. Les armées ont des moyens de concertation et de représentation qui leur sont propres, et c'est sur cette piste qu'il faut avancer, au lieu de faire appel à un produit civil. On a vu ce que ça a donné avec Louvois... (cette dernière phrase est une boutade, histoire d'achever mon message avec un point Godwin )

Les mutations interviennent plus souvent pour des militaires que pour les civils, voilà la différence... Si je prends mon cas perso, j'en suis à ma 4ème (5ème cet été) garnison d'affectation (je ne compte pas les passages en école), et je n'ai pas 2 000 ans de service. Le fait d'être syndiqué ne conduirait-il pas à avoir des représentants oeuvrant de bonne foi pour le bien-être de l'élément syndiqué Viandox, auprès des instances compétentes, mais fatalement au détriment de mon camarade non-syndiqué qui postule pour le même poste ? Si l'idée est d'avoir un syndicat pour ne pas avoir de moyen d'action, maintenons les choses telles qu'elles sont à l'heure actuelle... Pour rappel, les membres du CFM sont tirés au sort, et les membres du CSFM sont élus par et parmi les membres des CFM ( sauf les retraités, me semble-t-il). Etendre la possibilité de voter à l'ensemble des militaires relève de l'usine à gaz niveau organisation et moyens. De mon point de vue, pourquoi réformer un système qui semble correct ? C'est surtout le manque d'écoute, voire le mépris affiché pour nos instances de concertation qu'il faut changer au plus vite.

Mon idée des syndicats est peut-être faussée (Merci de me corriger si je suis dans l'erreur), mais ce système est, selon moi, inadapté à l'institution militaire. Les syndicats sont certainement adaptés au civil (La notion de civil désigne ici le privé, mais aussi les fonctionnaires, dont la police) car nécessaires vu les caractéristiques des différents métiers. En revanche, si l'on introduit un tel élément dans l'armée, je me pose plusieurs questions : - Nous aurons encore un intervenant RH (comprendre piston ou levier) supplémentaire et plus ou moins occulte avec une éventuelle différence de traitement entre syndiqués et non-syndiqués pour les propositions d'avancement, les mutations... ? - A qui confier les rênes du ou des syndicats ? A des représentants civils ayant une sensibilité politique particulière ? - Quels seraient les moyens d'action ? La grêve ? Même pendant une opération ? - Si le métier de militaire tend à trop se rapprocher du civil pour beaucoup d'aspects, ne risque-t-on pas une profonde crise de la fidélisation et du recrutement, qui pourrait d'ailleurs se produire si la situation n'évolue pas vers une solution alternative (en clair, que le CSFM et le commandement soient pris au sérieux) ?

Pas de fourragère car pas suffisamment de citations à l'ordre de l'armée, tout simplement... Quel est le rapport avec sa réorganisation ?

C'est la même chose.

Vers la marine ? Gros changement en perspective...

Gestionnaire rh, comptable logisticien, assistant de commandement, fusilier, timonier, manoeuvrier... et certainement d'autres, qui, bien que comportant une dimension technique, doivent être accessibles à un non-scientifique.

Chez les Marines ? Bienvenue

Le recrutement des Octam est fermé, en vue de l'extinction du corps en 2016 (ils vont devenir soit commissaires, soit officiers spécialisés). En plus de ce qu'écrit Hatonjan, on peut ajouter la possibilité de devenir officier spécialisé lorsqu'on a au moins 28 ans et le brevet supérieur depuis + de 2 ans. Mais cette voie ne fait pas devenir officier de marine, mais officier spécialisé dans une branche (administration, opérations, fusilier, ...), contrairement à l'ENI.

Bienvenue ! Une armée en particulier ?

Je pensais me souvenir d'un camarade Mearm muté sur un petit bâtiment (type RHM ou CMT, j'ai oublié) pour justement gérer les 12.7 du bord... Ma mémoire m'a certainement trompé (trop d'interarmées tue le marin). En revanche, dans les armureries des grosses unités à terre, type CIN ou base fusco, c'est une équipe de Mearm qui gère la sauce.

Tout l'entretien en unité est fait par les Mearm, je crois bien, même dans les petites unités qui ont généralement au moins un SM Bat pour ça. Après, pour ce qui est des grosses réparations, ça doit relever d'un soutien centralisé de type AMF

La maintenance des armes d'infanterie est effectuée par le Mearm.