2emeRIMA Posté(e) 12 novembre 2011 Signaler Posté(e) 12 novembre 2011 Bonjour a tous, actuellement en formation en fgi, je suis passé pour la deuxième fois dans ce qu'ils appellent le cahier de rapport hiérarchique, et a chaque fois cetais pour de la merde, des petites conneries quoi. Comme c'est la deuxième, je dois passer devantle capitaine du cfim, et la ue suis inquiet. Risquerais-je de me faire virer même pour des petites conneries (du style: mettez tous votre polaire, moi je la met pas, ou encore bouffe perso interdite et moi j'ai pis des barres céréalées etc)? Ce fameux cahier de rapport hiérarchique nous suit toute notre carrière ou bien est-ce seulement "pour nous faire peur" durant la fgi? Enfin, peut-on facilement se faire virer pendant les 6 mois, et pour quels types de raisons? Merci a ceux qui voudrons bien me répondre. Citer Sur tous les continents Au coeur de l'action
Choupette Posté(e) 12 novembre 2011 Signaler Posté(e) 12 novembre 2011 Reflexion àlacon : En même temps, quand les cadres disent quelque chose, c'est pas pour faire beau ....... Citer " Le Soldat n’est pas un homme de violence. Il porte les armes et risque sa vie pour des fautes qui ne sont pas les siennes. Son mérite est d’aller sans faillir au bout de sa parole tout en sachant qu’il est voué à l’oubli. " Antoine de Saint-Exupéry
2emeRIMA Posté(e) 12 novembre 2011 Auteur Signaler Posté(e) 12 novembre 2011 Oui je sais bien mais bon je suis pas parfait j'en fait aussi des conneries. Tu as déjà entendu parler du cahier de rapport hierarchique? Citer Sur tous les continents Au coeur de l'action
Choupette Posté(e) 12 novembre 2011 Signaler Posté(e) 12 novembre 2011 2ème RIMA, aucune idée. Je laisse les connaisseurs te répondre. Mais, tu devrais te ranger, et arrêter de jouer au con. Car à ce rythme, tu risque de perdre ta place. Et j'pense que tu pourrais le regretter longtemps. La vie militaire c'est pas je fais ce que j'veux. Dis toi bien que toute ta carrière tu obéira à quelqu'un, donc commence dés maintenant. Citer " Le Soldat n’est pas un homme de violence. Il porte les armes et risque sa vie pour des fautes qui ne sont pas les siennes. Son mérite est d’aller sans faillir au bout de sa parole tout en sachant qu’il est voué à l’oubli. " Antoine de Saint-Exupéry
BTX Posté(e) 12 novembre 2011 Signaler Posté(e) 12 novembre 2011 Extrait du "Guide à l'usage des cadres pour le commandement des EVAT". LE RAPPORT HIERARCHIQUE Référence : instruction n°000406/DEF/EMAT/BCP/CPC du 30 avril 2002 Dans une armée professionnelle, ce rapport hiérarchique doit être développé comme outil de concertation de proximité » Destiné à instaurer une concertation de proximité, cet outil, est mis en oeuvre autant dans les unités élémentaires que dans les organismes et états-majors. Aussi, le rapport hiérarchique est-il un outil de dialogue et de connaissance du personnel à privilégier par le commandant d’unité d’un régiment que par les responsables du suivi individuel du personnel militaires dans les autres organismes. Si plusieurs registres doivent être ouverts, il est souhaitable qu’ils soient présentés de façon uniforme, décidée par le commandement. Dans un état-major ou un organisme, il est préférable de n’ouvrir qu’un seul registre dont le niveau de détention est laissé à l’appréciation locale. Après un rappel des objectifs poursuivis par le rapport hiérarchique, les recommandations porteront sur : ??la forme qu’il doit prendre ; ??les modalités de mise en oeuvre à appliquer pour le faire fonctionner utilement. 1 - NATURE ET BUTS DU RAPPORT HIERARCHIQUE. Principes de base : ??Le rapport hiérarchique est un acte de commandement dans lequel n’interfère aucune « chaîne Technique ». ??Le rapport hiérarchique est un outil de management de l’homme à l’usage du commandant d’unité ou du responsable du personnel militaire localement identifié.???Le rapport hiérarchique est un droit : tout militaire a le droit d’être reçu au rapport de son commandant d’unité ou son autorité de tutelle, éventuellement sans avoir à en exposer à l’avance les motifs. Le but principal du rapport est de mettre le commandant d’unité ou le chef de section à l’écoute directe (sans intermédiaire et sans délais) de son personnel sur toutes questions : ??d’ordre personnel (moral, familial, social, …) ; ??administratives (mutations, renouvellement de contrat…) ; ??professionnelles (qualification, avancement, orientation, notation) ; ???disciplinaires… 2 - FORME POSSIBLE DU RAPPORT HIERARCHIQUE. Le rapport hiérarchique doit prendre une forme à la fois bienveillante et solennelle : chacun doit savoir qu’il n’est pas extraordinaire ou incongru de demander le rapport ou d’y être convoqué. En revanche, le bureau du capitaine ou du chef de section ne doit pas devenir un guichet d’accueil et de renseignement. Il convient, localement, de définir le niveau des motifs justifiant une demande de rapport ou une convocation au rapport, sachant que toute personne peut demander le rapport pour des raisons personnelles dont il veut ne pas vouloir faire état à l’avance. Sont présentées au rapport : ??les personnes l’ayant demandé pour un motif entrant dans la catégorie définie par le commandement (dont motifs personnels) ; ???les personnes convoquées par l’autorité. Un chef de section peut décider de présenter un de ses subordonnés au rapport s’il estime que celui-ci se trouve dans une situation nécessitant cette procédure. Il le fait alors convoquer par le commandant d’unité. Pour ne pas être galvaudé, le rapport doit être entouré d’une certaine solennité : ??procédure d’inscription des candidats au rapport à effectuer par la voie hiérarchique, ??prescription d’une tenue. 3 - MODALITES PARTICULIERES DE MISE EN OEUVRE. 3.1 - Déroulement de la procédure du rapport : La demande de rapport hiérarchique peut être effectuée : ??soit par le militaire qui en fait la demande ; ??soit par le commandant d’unité qui signifie la convocation ; ??soit par le chef de section qui demande la convocation d’un de ses subordonnés ; Le supérieur hiérarchique inscrit le militaire sur le cahier de rapport, tenu par le secrétariat de l’unité (document confidentiel qui ne sort pas du secrétariat du commandant d’unité) ; À la date du rapport (dans la semaine), l’adjudant d’unité rassemble tous les militaires ayant demandé ou étant convoqués au rapport ; les militaires se présentent individuellement dans le bureau du commandant d’unité pour le traitement de leur cas ; ??selon les cas, l’adjudant d’unité et / ou le chef de section / le président de catégorie ou son représentant d’unité (à l’appréciation locale) assistent au rapport. ??Dans certains cas très personnels, aucun témoin n’est présent (il est d’ailleurs possible de faire sortir les éventuels témoins en cours d’entretien si les questions abordées deviennent confidentielles : à apprécier par le capitaine, si possible avant que le militaire n’en fasse la demande ; ???le capitaine ou “responsable local” consigne sur le cahier de rapport les principales conclusions de l’entretien (avec la discrétion adéquate pour les questions d’ordre personnel), le but étant de pouvoir ultérieurement s’y référer ; ??après la fin du rapport, les chefs de section visent le cahier (au secrétariat). 3.2 - Forme du cahier de rapport. Le cahier de rapport est un document qui doit pouvoir être utilisé par le commandant d’unité ou chef de section “responsable local”. Il doit donc contenir, même sommairement, les renseignements suivants : ??date du rapport ; ??nom, prénoms, grade du militaire ; ??demande ou convocation ; ???motif (notification de décision, punition, demande d’autorisation, demande de mutation interne, motif personnel etc.) ; ??contenu et conclusions (telle mesure à prendre, autorisation donnée de…, problème à examiner par…, en telle circonstance pour donner une réponse définitive avant telle date…) ; ??réponse ou suite données ultérieurement (éventuellement) ; ??visas du commandant d’unité et de l’intéressé. BTX Citer Ya Rab Yeshua.
Messages recommandés
Réagir à la dicussion
Vous pouvez poster maintenant et vous inscrire plus tard - Déja membre ? connectez vous pour poster avec votre compte