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  1. Dernière heure
  2. Bonsoir merci pour votre réponse, et bien mon sujet : mon post a disparu est un autre topic .....non......😅 Je ne connais pas trop bien le fonctionnement de ce forum ni dans quel domaine il faut poster tel ou tel sujet, J avais créer un post avant, celui qui a été supprimé , et il marchait plutôt bien mais bon je ne sais pas ce qui s est passé......🙂
  3. Peut-être devriez-vous créer un nouveau sujet/topic afin d’obtenir les réponses qui vous intéressent ?
  4. Quand les BCC sont en dehors des bataillons, et si vous tendez bien l'oreille le vendredi matin, vous pouvez parfois entendre des talons qui résonnent sur le carrelage... (fonctionne aussi en compagnie de combat )
  5. Aujourd’hui
  6. Ils auront aussi le droit d'avoir leur uniforme gratuitement ?
  7. Bonsoir Monsieur, Oui ça fait plus d un an que je viens sur ce forum et oui j ai créé un post que pour mes questions mais ça faisait plus d 1 an qu il était actif, j essayais de l alimenter de temps en temps sur l évolution de mon fils. Mais jamais je n ai mentionné son régiment. Je vous remercie d avoir pris le temps de me répondre, j ai bcp de questions car je ne connais pas le monde militaire et personne dans ma famille ne peut me renseigner. Merci
  8. Pour bien comprendre le problème : ce T-62M russe a participé à l’assaut, a reçu au moins 25 frappes par des FPV ukrainiens (avec une très grande diversité d’ogives/charges militaires), mais a quand même réussi à débarquer l’infanterie. Petite question arithmétique — si les pilotes ukrainiens, en utilisant 25 véritables FPV, n’ont pas réussi à le consumer, combien de centaines (ou de milliers) de « munitions téléopérées Damoclès », avec une charge explosive comparable à celle d’une grenade à main, faudra-t-il pour arrêter cette tortue folle ?! Au lieu d’utiliser, comme certains autres pays, l’expérience avancée de l’Ukraine et de produire de vraies munitions FPV de combat, nous nous livrons à des gesticulations vaines — et tout cela aux frais des contribuables. Quel malheur, vraiment.
  9. Une compagnie de drones antichars au sein d’un régiment d’infanterie — c’est excellent, formidable. Tout cela sonne assez optimiste, mais derrière les déclarations tapageuses se cache une incompréhension totale du concept même du FPV. Le principe du FPV qui domine le champ de bataille en Ukraine, c’est une munition bon marché et massive, c’est une adaptation permanente, ce sont des tetes de combat extrêmement variées — charge creuse, charge creuse tandem, brisante, à fragmentation, incendiaire, thermobarique, combinée... Le choix de charge pour un FPV (et la fréquence de commande ou d’utilisation de la bobine de câble à fibre optique) est entre les mains du pilote du drone, qui les change pour obtenir un maximum d’efficacité. Utiliser les soi-disant « munition téléopérée de courte portée Damoclès » en quantités microscopiques n’a rien à voir avec le progrès ni avec l’efficacité. Au fait, combien elles coûtent ? Quelle ogive y est installée, quelle efficacité pour 500 grammes contre l’infanterie et contre les véhicules légers ? Et où est la capacité « antichar » ? Et au fait, combien d’explosif peut-on loger dans une tete militaire de 500 grammes ? Ils ont accroché au drone une grenade à main , ces « inventeurs », ces charlatans ! Tout cela, mes chers amis, n’est qu’une imitation d’activité, rien de plus. Si l’armée française était au minimum intéressée par la modernisation et l’utilisation du FPV, la première étape serait de créer une tete militaire modulaire et variable, et d’utiliser une base (peu couteuse) FPV bon marché pour la livrer jusqu’à l’ennemi. Simple, peu coûteux, mortel ! À la place, nos cheres généraux ont inventé une sorte de « munition téléopérée » et la présentent sans honte comme une technologie révolutionnaire. Rien de nouveau sous le soleil. "Avaritia et ignavia rem publicam perdiderunt." Sallustius
  10. https://www.opex360.com/2025/10/26/la-russie-annonce-avoir-termine-les-essais-de-son-missile-a-propulsion-nucleaire-9m730-bouresvestnik/ En mars 2018, le président russe, Vladimir Poutine, dévoila six projets de nouvelles armes censées être « invincibles ». Depuis, certaines ont été mises en service, comme la torpille « dronisée » à propulsion nucléaire Poséidon ou encore comme le missile aérobalistique hypersonique Kinjal, lequel n’a produit d’effet décisif sur le cours de la guerre en Ukraine (ci-dessous). Cela étant, l’un des projets évoqué par le Kremlin, sans doute le plus ambitieux, vient de terminer sa phase de tests. En effet, ce 26 octobre, lors d’une réunion avec les principaux chefs militaires russes, M. Poutine s’est félicité du succès de l’essai « final » du 9M730 Bourevestnik [code Otan : SSC-X-9 Skyfall], un missile de croisière à propulsion nucléaire. Au cours de cet essai, qui, a priori, aurait été effectué le 21 octobre, un 9M730 Bourevestnik [Pétrel tempétueux] a « parcouru 14 000 km » en restant en vol « pendant environ 15 heures », a indiqué le général Valery Gerasimov, chef d’état-major général des forces armées russes. « Les caractéristiques techniques du Bourevestnik permettent de l’utiliser avec une précision garantie contre des sites hautement protégés situés à n’importe quelle distance », a-t-il ajouté. « Les tests décisifs sont désormais achevés », a ensuite commenté le chef du Kremlin qui, pour l’occasion, avait revêtu une tenue militaire. « C’est une création unique que personne d’autre dans le monde ne possède », a-t-il ajouté, avant de donner l’ordre de « préparer les infrastructures pour mettre en service cet armement dans les forces armées ». Le développement du 9M730 Bourevestnik n’a pas été sans accroc. D’après, les premiers essais de ce missile ne furent guère concluants et il fut même avancé qu’un exemplaire avait été perdu en mer de Barents, plus précisément dans les environs de l’île Ioujny, en 2018. Du moins, le déploiement inhabituel du navire-grue KIL-143, parmi sept autres navires, avait alimenté les spéculations à ce sujet. Puis, un an plus tard, une explosion survenue à la base de Nyonoksa [oblast d’Arkhangelsk], connue pour abriter un centre d’essais dédié aux missiles destinés aux sous-marins russes, engendra un pic de radioctivité, suggèrant qu’un essai du moteur du 9M730 Bourevestnik avait mal tourné. D’ailleurs, en 2020, M. Poutine affirma que les cinq employés de Rosatom tués lors de cet incident travaillaient au « développement d’une nouvelle arme reposant sur la technologie sans précédent ». Théoriquement, subsonique, le 9M730 Bourevestnik a une porté illimitée [ou rester en vol pendant plusieurs jours] grâce à son mode de propulsion, lequel reposerait sur un « statoréacteur nucléaire » combinant un moteur-fusée à ergols liquides pour la phase de lancement et un réacteur nucléaire. S’appuyant sur le journal russe « Courrier militaro-industriel » [VPK], l’Institut international d’études stratégiques [IISS] avait avancé, en 2021, que l’altitude de vol théorique du 9M730 Bourevestnik, « comprise entre 50 et 100 mètres », allait rendre compliqué sa détection par les radars de défense aérienne. Cela étant, son « inviciblité » est relative : plus un missile subsonique vole longtemps, plus il risque d’être détecté. La Russie n’est pas la seule à s’être intéressée aux missiles à propulsion nucléaire. En effet, dans les années 1950, via le programme Pluton, les États-Unis avaient tenté de mettre au point une arme similaire qui, appelée SLAM [Supersonic Low Altitude Missile]. Deux prototypes – Tory-IIA et Tory-IIC – furent testés dans le désert du Nevada. Finalement, le projet fut officiellement abandonné en 1964, après avoir coûté 2 milliards de dollars.
  11. https://www.forcesoperations.com/des-gaillards-a-lavant-garde-dans-lappropriation-des-munitions-teleoperees-damocles/ Après le VBCI 32T et le radar MURIN, le 35e régiment d’infanterie a été désigné pour expérimenter la munition téléopérée de courte portée Damoclès. Atterrissage prévu à Belfort dans les premiers jours de 2026, le temps de former les premiers télépilotes. Une formation à écrire « Demain, nous pourrons réaliser une mission MTO au coup de sifflet », estime ce commandant d’unité du 35e RI en marge d’une démonstration de savoir-faire organisée le mois dernier à Draguignan lors des Journées nationales de l’infanterie. Ne manque, aux Gaillards de Belfort, que la solution Damoclès pour passer de la promesse aux actes. Celle-ci arrivera bientôt, point d’orgue d’un processus d’appropriation en trois actes. Il s’agira tout d’abord de qualifier un « primo-formateur » apte ensuite à former d’autres formateurs en régiment. Cette avant-garde contribuera ensuite à la création et à la validation de modules d’entraînement suivis, une fois la maîtrise technique acquise, d’expérimentations tactiques. Les scénarios potentiels ne manquent pas pour déterminer tout le potentiel de ces MTO au profit de l’infanterie, de l’infiltration à la coordination avec d’autres drones et véhicules en service. Conçue par Delair et KNDS France, Damoclès est la première MTO courte portée adoptée par l’armée de Terre. La Direction générale de l’armement en a commandé 460 exemplaires l’an dernier au travers du programme « Drones de contact ». Les premières ont théoriquement dû être livrées cet été. La moitié de la cible devrait être atteinte d’ici fin 2025, le reste étant attendu l’an prochain. Ses performances principales sont connues : une portée de 10 km, une autonomie de 40 minutes et une tête militaire d’environ 500 grammes anti-personnel et anti-véhicule léger. Sur cette MTO ou sur son successeur, cette charge devra par la suite être adaptée pour neutraliser les chars, principal adversaire de ce régiment appartenant à l’une des deux brigades de décision de l’armée de Terre, la 7e brigade blindée. Une maquette de la MTO Damoclès présentée en juin dernier au salon du Bourget Vers des unités adaptées L’arrivée de la MTO Damoclès n’est qu’un jalon dans une dynamique d’ensemble engagée depuis un moment à Belfort. Le sujet des drones, le régiment le défriche depuis 2020. La montée en gamme accélère depuis un an, notamment illustrée par la quinzaine de Gaillards désormais aptes au pilotage immersif (FPV). S’y ajoute un esprit « incubateur » propre à la compagnie d’appui et à ses quelques touche-à-tout capables d’assembler un drone rustique et à bas coût à partir de composants acquis sur le marché. Ces avancées, le 35e RI est venu les démontrer lors des JNI. En attendant Damoclès, un autre drone d’attaque y était cette fois employé aux côtés du missile antichar Akeron MP et d’un drone de reconnaissance Anafi USA. Le tout devient un système d’armes unique opéré par un groupe composé d’un chef référent-instructeur drone et bientôt « formateur de formateurs MTO », d’un chef de pièce Akeron MP, d’un tireur Akeron MP et de son aide tireur, d’un télépilote de drone d’observation et de deux télépilotes de drones d’attaque. Les principaux atouts de cette nouvelle structure ? L’accélération de la boucle renseignement-feu, la réduction de l’exposition et l’augmentation de la probabilité de neutralisation en misant sur une capacité évolutive de tir au-delà des vues directes. Au chef de définir la munition à mobiliser selon la ou les menaces rencontrées, économie des moyens à la clef. La compagnie d’appui du 35e RI a mis les bouchées doubles pour transformer, en un mois, ses groupes antichars vers des groupes à dualité Akeron MP-MTO dans la perspective de premières formations sur Damoclès programmées trois semaines après les JNI. Ces groupes amèneront, par extension, à déboucher sur une section antichar de nouvelle génération (SAC NG). L’évolution est progressivement confrontée au terrain. Ainsi, le groupe présenté aux JNI rejoignait l’Aube une semaine plus tard pour une rotation au Centre d’entraînement au combat (CENTAC) de Mailly-le-Camp. Cette nouvelle configuration devrait par ailleurs être engagée dans la dernière phase de l’exercice Dacian Fall 2025 conduit depuis le 20 octobre par l’OTAN en Roumanie. Deux étapes avant de basculer sur ORION, cet exercice interarmées et interalliés programmé par les armées françaises au premier semestre de 2026. Derrière l’émergence de cette section « dronisée », le 35e RI progresse dans la mise sur pied d’une compagnie de drones d’attaque antichars. Envisagée à titre exploratoire, celle-ci pourrait devenir l’un des pions d’un futur bataillon d’infanterie blindé que le 35e RI entend créer en parallèle à un bataillon dit « de garnison de combat ». Autant de structures expérimentales qui viennent s’ajouter aux nouvelles capacités que la 7e brigade blindée soumettra aux aléas du terrain à compter du 1er janvier prochain dans le cadre d’un mandat de « brigade de combat du futur » confié par le Commandement du combat futur. Crédit image : 7e BB
  12. https://www.ouest-france.fr/europe/russie/le-chef-detat-major-de-larmee-russe-age-de-70-ans-a-atteint-lage-limite-pour-sa-fonction-70c9c312-8cb2-11f0-a86a-c405a2987708 Il prend pas sa retraite apparemment , il a rigolé en 1983 selon les spécialistes .😁
  13. VAL94, Deux questions : 1. Etiez vous initialement passée par la rubrique PRESENTATION des MEMBRES comme le veut la coutume dans ce forum ? 2. Il y a de forte chance que vous vous soyez "adossée" à une discussion dans laquelle un des participants a souhaité pour garantir son anonymat que le contenu soit effacé. Recommandation = dans la mesure du possible il faut éviter de jouer les "coucous" et créer une discussion propre à son cas. BTX
  14. Engagé où ça ???
  15. Hier
  16. Bonjour à tous J avais posté il y a plus d a an un sujet sur l engagement de mon fils. Ce post a disparu. J aimerai en connaître les raisons, à aucun moment je n ai parlé de son régiment, seulement de ses classes. Je vous remercie pour vos réponses.
  17. https://www.opex360.com/2025/10/25/les-six-fregates-de-surveillance-de-type-floreal-resteront-en-service-bien-plus-longtemps-que-prevu/ Les six frégates de surveillance de type Floréal resteront en service bien plus longtemps que prévu Conçu il y a près de quarante ans et admise au service actif au début des années 1990, les six frégates de surveillance de type Floréal sillonnent les 11 millions de km² de la zone économique exclusive [ZEE] française depuis les outre-mer pour mener, notamment, des missions de police de pêche et de lutte contre le narcotrafic. Mais pas seulement puisqu’elles sont aussi susceptibles d’être engagées dans des opérations et des exercices multinationaux, comme cela a récemment été le cas pour le « Prairial », qui a pris part aux manœuvres « Annualex », au Japon. Selon la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30, le remplacement de ces six frégates de surveillance devrait commencer à partir de 2030, avec la livraison d’une première corvette, vraisemblablement issue du programme EPC [European Patrol Corvette], lancé en 2019 dans le cadre de la Coopération structurée permanente [CSP ou PESCO], sous la direction de l’Italie et avec la participation de la France, de l’Espagne et de la Grèce. Selon les attendus de ce programme, cette corvette européenne devra afficher un déplacement de 3 000 tonnes pour 110 mètres de long et être conçue selon une architecture ‘plug and play’ ouverte. En outre, elle se déclinera au moins en trois versions : une première optimisée pour la lutte anti-sous-marine, une seconde dédiée aux missions de longue durée avec une capacité de lutte anti-surface et une dernière plus axée sur la patrouille en haute mer. Il était récemment question qu’un « prototype » soit mis à l’eau en 2027. Seulement, la Marine nationale ne devrait pas disposer d’une première corvette européenne selon l’échéancier fixé par la LPM 2024-30. En effet, lors d’une audition parlementaire, le 23 octobre, son chef d’état-major [CEMM], l’amiral Nicolas Vaujour, a indiqué que les six frégates de surveillance de type Floréal seront prolongées, alors qu’elles arrivent presque à « bout de souffle ». « D’abord, on a plutôt une bonne nouvelle : nos frégates de surveillance tiennent encore à peu près la route. Donc, on est capable de les prolonger. Comme d’habitude, dans nos affaires d’actualisation de LPM, la question est de savoir où sont nos marges. Bon, là, c’est peut-être un peu une marge », a dit l’amiral Vaujour. « On a travaillé avec les Européens pour voir quelle serait la corvette du futur. On pense qu’on peut prolonger nos frégates de surveillance aujourd’hui même si elles arrivent à bout de souffle. Mais on a un besoin de navires de bonne qualité hauturière, endurants – c’est absolument essentiel – et d’un armement un peu durci. […] Donc, c’est un investissement important », a poursuivi le CEMM. En attendant, a-t-il ajouté, « on est dans le projet européen pour essayer de garder tout ce qu’il aura de bon. Mais c’est sûr qu’on va décaler un petit peu cette affaire vers la droite. Coup de bol : les frégates de surveillance permettent de le faire aujourd’hui ». Par ailleurs, l’amiral Vaujour a confirmé que la Marine nationale ne pourra pas disposer de trois frégates dites de premier rang dans un avenir proche, la question ayant été renvoyée à la prochaine LPM. Donc après 2030. C’est ce qu’avait annoncé, la veille, la ministre des Armées, Catherine Vautrin, aux députés. « Le ministre [Sébastien Lecornu] avait effectivement posé que le poids de la forme de la Marine était plutôt à dix-huit frégates. Aujourd’hui, on en a quinze. On les optimise au maximum, grâce à une disponibilité extrêmement bonne [80 % ndlr], et on a doublé les équipages sur certaines pour augmenter le nombre de jours à la mer. Mais on arrive au bout du curseur de ce que l’on est capable de faire avec quinze [bateaux] », a expliqué l’amiral Vaujour. Aussi, « si on devait aller au-delà en termes d’emploi opérationnel », comme assurer une permanence en mer Noire, « il en faudrait plus », a souligné le CEMM. « Une permanence dans une zone géographique, c’est trois frégates. Aujourd’hui, on a une permanence en Atlantique, une permanence en Méditerranée, une permanence dans l’océan Indien. Ce qui vous en fait neuf. Pour tenir une alerte, il en faut deux à Brest et deux à Toulon. Donc, ça vous en fait quatre supplémentaires. Vous en mettez deux en arrêt technique et vous les quinze », a détaillé l’amiral Vaujour. Aussi, a-t-il fait observer, cela « montre bien que, structurellement, on ne peut pas aller beaucoup plus loin. Et donc, à chaque fois que l’on veut faire quelque chose d’autre, il faut malaxer tout ça et faire des choix ». Et donc se résoudre à des renoncements. Quoi qu’il en soit, les « trois frégates supplémentaires ne sont pas posées. C’est une réalité. Donc, ce sera un travail pour la prochaine LPM, probablement. Il est vrai que le nombre de frégates est important. Aujourd’hui, on a tiré le maximum de ce que l’on est capable de faire »‘, a conclu l’amiral Vaujour.
  18. https://www.opex360.com/2025/10/25/lutte-contre-le-narcotrafic-les-etats-unis-deploient-le-porte-avions-uss-gerald-r-ford-dans-les-caraibes/ Lutte contre le narcotrafic : les États-Unis déploient le porte-avions USS Gerald R. Ford dans les Caraïbes Pour vaincre un adversaire, l’action militaire n’est pas forcément nécessaire : il suffit de l’affaiblir et le déstabiliser par différents moyens, comme en soutenant des mouvements politiques subversifs, voire des groupes terroristes, en instrumentalisant les flux migratoires [ce que la Russie est accusée de faire] ou encore, via des relais, en encourageant le trafic de drogue. Ainsi, aux États-Unis, les surdoses liées à la consommation de drogues causent, chaque année, plus de 100 000 décès. Les opioïdes, comme le fentanyl, sont impliqués dans 80 % des cas, la cocaïne l’étant dans les 20 % restants [27 569 décès en 2022, ndlr]. Au-delà des aspects sanitaires, évidemment préoccupants, notamment pour la jeunesse, cette situation nourrit la criminalité et, partant, pose un problème de sécurité intérieure. La consommation de drogues de synthèse, comme le fentanyl, a pratiquement décimé toute une génération aux États-Unis. Cinquante fois plus puissantes et moins chères que les opiacés d’origine végétale, elles font des ravages tant dans les grandes villes que dans les campagnes, comme l’a décrit le vice-président américain, J.D Vance, dans son livre Hillbilly Elegy. Or, parce qu’elle est le premier producteur mondial des précurseurs chimiques du fentanyl, la Chine est accusée par les États-Unis de jouer un rôle central dans la diffusion de cette drogue de synthèse, via les cartels sud-américains qui l’achemine vers l’Amérique du Nord. D’où la volonté de l’administration du président Trump d’y mettre un terme, en usant de la force militaire. Deux pays sont plus concernés que les autres : le Venezuela, dont le président, Nicolas Maduro, est accusé par Washington d’être de mèche avec le Cartel de Los Sols et Tren de Aragua, et la Colombie, à qui les États-Unis reprochent de ne pas en faire assez contre la production de cocaïne. Par ailleurs, le Venezuela cultive des liens étroits avec la Chine, la Russie et l’Iran, ce qui, aux yeux de Washington, est une circonstance aggravante. En outre, depuis qu’il est à la tête de la Colombie [il est le premier président issu de la gauche], Gustavo Petro plaide pour un rapprochement avec Caracas, l’une de ses premières décisions ayant d’ailleurs consisté à rétablir des relations diplomatiques qui avaient été rompues en 2019. Quoi qu’il en soit, lors de son premier mandat [2017-21], le président Trump avait l’intention de lancer une vaste opération antidrogue en Amérique du Sud. Opération qui ne put être menée puisqu’il dut quitter la Maison Blanche. Mais depuis qu’il a retrouvé le bureau ovale, il entend reprendre les affaires où il les avait laissées. En août, après avoir mis la tête du président Maduro à prix pour 50 millions de dollars, les États-Unis ont commencé à déployer une puissante force dans les caraïbes, avec pas moins de sept navires [dont l’USS Iwo Jima, susceptible de mettre en œuvre des chasseurs-bombardiers AV-8B Harrier], dix F-35B [basés à Porto Rico], des avions de patrouille maritime P-8A Poseidon et des drones. Au total, 10 000 militaires américains, appartenant essentiellement à l’US Marine Corps [USMC] sont engagés dans cette opération de lutte contre le « narcoterrorisme ». Mais ce n’est pas fini. Aux vols ponctuels de bombardiers stratégiques B-52H Stratofortress et B-1 Lancer au large du Venezuela viendra s’ajouter ceux des aéronefs embarqués à bord du porte-avions USS Gerald R. Ford, lequel sera mis à disposition du commandement Sud des États-Unis [USSOUTHCOM] après son départ de la Méditerranée, où il se trouve actuellement avec son groupe aéronaval. C’est en effet ce qu’a annoncé Sean Parnell, un porte-parole du Pentagone, le 24 octobre. « Pour appuyer la directive du Président visant à démanteler les organisations criminelles transnationales [OCT] et à lutter contre le narcoterrorisme […], le secrétaire à la Guerre a dirigé le groupe aéronaval Gerald R. Ford et son escadre aérienne embarquée vers la zone de responsabilité du Commandement Sud des États-Unis », a-t-il dit. L’USS Gerald R. Ford « renforcera notre capacité à détecter, surveiller et perturber les acteurs et activités illicites qui compromettent la sécurité et la prospérité des États-Unis », a-t-il fait valoir. Ce porte-avions a appareillé de la base navale de Norfolk, en juin dernier. Son groupe aéronaval se compose notamment des destroyers USS Winston S. Churchill, USS Bainbridge, USS Mahan, USS Mitscher et USS Forrest Sherman, les deux derniers étant respectivement déployés en mer d’Arabie et en mer Rouge. Aussi, il n’est pas certain qu’ils soient envoyés aux Caraïbes, où l’USS Gerald Ford devrait se trouver d’ici une bonne semaine.
  19. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/en-israel-le-centre-de-coordination-militaro-civile-cmcc-accueille-des-officiers-francais-britanniques-allemands/ Une info France Info: « Trois militaires français sont intégrés au Centre de coordination militaro-civile (CMCC) installé par les Américains en Israël, a appris de sources diplomatiques européennes et auprès de l’Etat-major français le correspondant de Radio France à Jérusalem. Le Centre de coordination militaro-civile (CMCC) installé en Israël, à une trentaine de kilomètres de Gaza, mène une mission de surveillance du cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne, sous l’égide des États-Unis. Selon une source diplomatique européenne, ils sont arrivés très récemment et n’ont pas encore de fonction précise au sein des cinq groupes de travail coordonnés par les États-Unis. Ils rejoignent des équipes britanniques et canadiennes. Des équipes provenant d’autres pays européens et des représentants de l’Union européenne doivent aussi participer prochainement. » En outre, « le correspondant de Radio France à Jérusalem a pu consulter un document confidentiel, un échange entre deux acteurs concernés, qui permet d’en savoir plus sur le fonctionnement du CMCC. Il s’agit de directives, en 11 points, qui permettent d’y voir plus clair sur la gestion à court terme de la bande de Gaza. Dans ce document, on apprend que le QG de la force de stabilisation devrait être installé à Rafah, au sud de l’enclave, d’ici deux ou trois semaines. » L’EMA français a confirmé cette information, précisant que « nous n’en sommes qu’à la phase de planification. Le mandat, les modalités de sa mise en oeuvre et les moyens mis à disposition par les nations contributrices n’ont pas été déterminés ». Photo prise le 23 octobre au sein du Civil-Military Coordination Center (CMCC). Photo U.S. Army photos Sgt. 1st Class Malcolm Cohens-Ashley. La mission du CMCC Dans un communiqué du 21 octobre, le CENTCOM, le commandement central américain, a annoncé avoir ouvert un Centre de coordination civilo-militaire (CMCC) en Israël, le 17 octobre. Environ 200 militaires américains possédant une expertise en transport, planification, sécurité, logistique et ingénierie ont mis en place ce CMCC sous la direction du lieutenant-général Patrick Frank, commandant de l’US Army Central (ARCENT). « Le CMCC est conçu pour soutenir les efforts de stabilisation. Le personnel militaire américain ne sera pas déployé à Gaza, mais contribuera à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire, logistique et sécuritaire des partenaires internationaux vers Gaza. Le CMCC assurera également le suivi de la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu, grâce à un espace opérationnel permettant au personnel d’évaluer en temps réel l’évolution de la situation à Gaza. De plus, des bureaux et des espaces de réunion sont aménagés pour favoriser la planification collaborative entre les dirigeants, les représentants et le personnel », ont expliqué les Américains. D’autres annonces européennes L’info des confrères de France Info intervient après plusieurs autres annonces d’armées étrangères prêtes à déployer des représentants au sein du CMCC. Ainsi, l’amiral Brad Cooper, commandant du CENTCOM, avait annoncé, le 17 octobre, qu’au cours des deux prochaines semaines, « le personnel américain intégrera des représentants de pays partenaires, d’organisations non gouvernementales, d’institutions internationales et du secteur privé dès leur arrivée au centre de coordination. » Parmi ces petits contingents, outre celui de la France, signalons celui de la Bundeswehr qui a envoyé trois officiers dont un général. Selon le ministère allemand de la Défense, « ils serviront en uniforme national et sans armes ». Il faut aussi signaler celui du Royaume-Uni. Le mardi 21 octobre, les autorités britanniques avait confirmé la participation de quelques militaires britanniques à la mission menée par les Etats-Unis de surveillance du cessez-le-feu à Gaza: « Un petit nombre d’officiers britanniques chargés de la planification ont été intégrés au Centre de coordination militaro-civile (CMCC) dirigé par les Etats-Unis », a indiqué le ministère de la Défense. Lundi, le ministre britannique de la Défense, John Healey, avait déclaré que la Grande-Bretagne jouerait un « rôle central » dans les efforts déployés à la demande de Washington.
  20. Skyrock Pour Les Militaires – Skyrock PLM, la seule radio en France dédiée à la communauté militaire et ouverte à tous – franchit une nouvelle étape éditoriale. À partir de mercredi prochain, en équipe avec Unéo, elle lance Calibre, une émission mensuelle qui donne la parole aux dirigeants de l’industrie de défense française. Proposée sur YouTube, LinkedIn, Instagram, TikTok et l’application de la radio Skyrock FM, Calibre explore les enjeux de souveraineté, d’innovation, d’emploi et de responsabilité sociale au cœur de la Base industrielle et technologique de défense (BITD). Chaque mois, Calibre accueille un dirigeant d’une grande entreprise de défense française pour un entretien exclusif. Au cœur des échanges : la souveraineté, l’innovation, l’emploi, la formation, mais aussi l’engagement social et territorial de ces entreprises Ce lancement marque un élargissement éditorial majeur pour Skyrock PLM, qui, en partenariat avec la mutuelle Unéo, poursuit sa mission de valoriser toutes les formes d’engagement au service de la Nation. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/skyrock-pour-les-militaires-lance-calibre-emission-mensuelle-qui-donne-la-parole-aux-dirigeants-de-lindustrie-de-defense/
  21. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/missiles-et-mirage-paris-renforce-mollement-la-panoplie-ukrainienne/ Missiles et Mirage: Paris renforce mollement la panoplie ukrainienne Devant les alliés de l’Ukraine réunis ce vendredi en visioconférence, le président Emmanuel Macron a annoncé de nouvelles livraisons d’armes françaises aux forces armées d’Ukraine. La Coalition des volontaires réunit 26 pays, essentiellement européens. « Nous livrerons dans les prochains jours des missiles Aster additionnels, de nouveaux programmes de formation et de nouveaux Mirage », a-t-il dit depuis Paris, sans plus de précisions. À ce stade, la France n’a livré que trois Mirage 2000 à l’Ukraine sur les six promis, en raison notamment des besoins de formation des pilotes ukrainiens. L’un des appareils a été abattu en juillet. Les missiles Aster 15 et 30, produits en coopération entre Paris et Rome et destinés à la destruction des aéronefs ennemis, fonctionnent avec le dispositif SAMP/T MAMBA, un système de défense antiaérienne franco-italien équivalent au Patriot américain. Le président français répond ainsi favorablement à la demande de Kiev dont les forces manquent de moyens de défense contre les missiles, drones et avions russes qui frappent les infrastructures ukrainiennes et affaiblissent la résilience de la population. En revanche, le chef de l’Etat français n’a pas suivi le Premier ministre britannique Keir Starmer qui a appelé la Coalition à accroître les livraisons d’armes de longue portée. L’Ukraine produit certains missiles de type longue portée (Flamingo, Neptune) et reçoit des Européens des Scalp français et des Storm Shadow britanniques, mais en petites quantités. Elle a réclamé, sans succès, des missiles allemands Taurus. Et les Américains ont refusé jusqu’ici de livrer les missiles Tomahawk.
  22. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/la-croatie-reintroduit-le-service-militaire-pour-18000-jeunes/ Une séance d’information pour des jeunes Coates (Photo HRZ/ L. Parlov) Le parlement croate a voté ce vendredi la réintroduction du service militaire obligatoire, le projet de loi ayant été présenté en juin dernier. La Croatie rejoint ainsi un groupe d’une dizaine d’Etats européens qui maintiennent un service militaire obligatoire, sous des formes diverses (Finlande, Suède, Danemark, Lituanie, Lettonie, Estonie, Autriche, Grèce et Chypre). L’objectif est de renforcer les capacités défensives du pays, dans un contexte marqué par la montée des menaces dans le monde et la guerre en Ukraine. Un total de 84 députés (sur 151 sièges au parlement) ont approuvé les amendements à la loi sur la défense, tandis que 110 ont amendé la loi sur le service dans les forces armées. Zagreb avait aboli le service militaire obligatoire en 2008, un an avant de rejoindre l’Otan, misant sur la professionnalisation de l’armée. Mais les dirigeants croates ont estimé que la situation géopolitique actuelle nécessitait le rétablissement d’une formation militaire de base pour renforcer les capacités de défense du pays. « Nous assistons à une montée de différents types de menaces… qui exigent réactivité et efficacité de la part de la communauté dans son ensemble », a déclaré cette semaine devant les députés le ministre de la Défense, Ivan Anusic, du parti conservateur au pouvoir HDZ. « Face à toute menace, la défense du pays est cruciale », a-t-il dit. On se souviendra que Zagreb a acheté douze chasseurs Rafale et des chars Leopard. L’armée croate s’intéresse aussi au Caesar. Quelque 18 000 jeunes gens seront appelés chaque année pour suivre dès l’âge de 18 ans une formation de deux mois, à partir du début de l’année 2026. Les femmes seront exemptées, alors que les objecteurs de conscience auront la possibilité d’accomplir un service civil de trois ou quatre mois, y compris au sein d’équipes mobilisées pour faire face aux catastrophes naturelles. Les conscrits recevront 1100 euros par mois, le montant pour ceux qui opteront pour le service civil alternatif n’ayant pas été précisé. Ceux ayant accompli leur service militaire seront avantagés lorsqu’ils postuleront à des emplois dans la fonction publique.
  23. https://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2025/10/les-photos-de-victor-ferreira-au-modern.html Quel est le lien entre le Modern Art Fair, rendez-vous de l’art moderne et la Légion ? Ce n’est ni un peintre, ni un sculpteur, ni un designer dont les œuvres sont exposées depuis jeudi et jusqu’à demain place de la Concorde à Paris. Vous donnez « votre langue au chat ? ». Il s’agit de Victor Ferreira, photographe, ex-adjudant-chef de la Légion qui expose 23 photos dans un stand offert par l’organisation afin de soutenir une cause généreuse. A profit de l’IILE Les œuvres présentées* sont, en effet, mises en vente au profit de la solidarité légionnaire. Plus précisément afin de participer au financement de l’agrandissement de l’infirmerie de l’Institution des invalides de la Légion étrangère (IILE) à Puyloubier (Bouches-du-Rhône). Comme le rappelle l’ancien sous-officier « la solidarité n’existe que par des actes ». Dire que Victor Ferreira a la Légion dans la peau, titre de son premier livre de photos de tatouages et de l’exposition parisienne, est quasiment une tautologie. Tant cet homme généreux participe effectivement à faire vivre la fraternité légionnaire. Photographe de l’intime « Chaque photographie révèle une histoire personnelle, entre loyauté, solitude et fierté » avertit un panneau à l’entrée de l’exposition. « Parce qu’il était leur frère d’arme, il a reçu l’intime » expliquait, jeudi soir, le général Cyrille Youchtchenko, commandant de la Légion étrangère. Ce projet a pu exister grâce à une rencontre entre Victor Ferreira et Vincent Courcelle-Labrousse, avocat, écrivain et petit-fils d’un ancien chef de corps du 2e REI. *Stand 223B Photo : @DR
  24. Tous appelés , pas de chichi .La bonne époque ..les missions étaient remplies .
  25. C'est dans les tubes, mais la copie n'est guère reluisante.
  26. Par chez nous c'est plutôt les chasseurs qui ont la gâchette facile (et bien équipés, drones thermiques etc). 🫠
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