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vinolien

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Tout ce qui a été posté par vinolien

  1. Je reconnais volontiers que cet article ne semble pas sérieux, et que la SNCF soit responsable d'une "amputation" de deux missiles a peine croyable, et pourtant c'est vrai....
  2. image: http://www.opex360.com/images/harpie-20100709.jpg Le 21 avril, un convoi composé de 14 militaires (dont 5 gendarmes) ramenant à Maripasoula six pirogues saisies lors d’une opération contre l’orpaillage illégal, ont été attaqué par une vingtaine d’assaillants, pour la plupart cagoulés, au confluent de la rivière Inini et du fleuve Maroni, qui marque la frontière avec le Surinam. Bien que révélée par le site Guyaweb, cette attaque a fait l’objet d’une communication officielle une semaine après avoir eu lieu. « Il n’y a pas la volonté de cacher quoi que ce soit. Simplement lorsque des faits concernent ce genre d’endroit isolé en forêt, on évite de se précipiter pour communiquer », a justifié Martin Jaeger, le préfet de Guyane. Les assaillants, qui se trouvaient à bord de trois pirogues, ont attendu le passage du convoi des militaires avant de le rattraper alors qu’il naviguait sur le fleuve Maroni. Ils ont commencé par éperonner l’une des pirogue saisie lors de l’opération anti-orpaillage a alors été éperonnée. Le militaire qui la conduisait a été roué de coups de bâtons. Par la suite, explique le colonel Pierre Poty, le numéro deux de la Gendarmerie en Guyane, les deux militaires de la pirogue attaquée ont fait « usage de leur arme à feu en riposte ». Deux assaillants auraient ainsi été touchés, « l’un à la main, l’autre à la fesse ». Le conditionnel est de mise car les deux hommes sont allés se faire soigner au Surinam. Car c’est dans ce pays que les assaillants, mis en fuite par les militaires, sont allés trouver refuge. A priori, il s’agirait de « Français du secteur de Maripasoula ayant des intérêts dans le domaine de l’approvisionnement des sites aurifères clandestins. » Au final, le militaire frappé lors de l’attaque souffre de contusions. Un de ses camarades gendarme a aussi été légèrement blessé. En savoir plus sur http://www.opex360.com/2016/04/29/des-militaires-attaques-en-guyane/#0Df6T0487bwTjKcI.99
  3. Mille excuses votre honneur, j'ai effectivement oublié de citer ma source, et j'en suis confus.... Cet article a été publié sur un blog qui s'appelle " Le mammouth " et ce blog est tenu par un journaliste, Jean Marc TANGUY pour ne pas le nommer, qui travaille habituellement pour les revues RAID, POLICE PRO et AIR et COSMOS...... Voilà, pas de soucis l'Amiral, détend toi, pas de stress.........
  4. Le Jaguar n'a que 2 MMP : la faute à la... SNCF Avec quelques enjeux budgétaires en vue, la communication sur le Jaguar et le Griffon, deux des futurs piliers de l'armée de terre, se densifie. Quelques journalistes ont même pu, lundi, à l'invitation du GICAT, découvrir les dernières évolutions de configurations. Même si au moins une maquette roulante trace déjà le bitume -je crois même l'avoir vue-, ces véhicules sont encore pour l'instant une histoire d'hologrammes. Rien n'est néanmoins montrable, ces images 3D sont sous embargo de la DGA, jusqu'au début du salon Eurosatory, en juin, expliquaient lundi les industriels : on peut les montrer, mais pas les diffuser. Parmi les quelques surprises notables, la tourelle T40 du Jaguar, qui héberge deux missiles MMP sous blindage, dans un lanceur rétractable, avec deux autres munitions disponibles en soute (1). L'explication de cette configuration, alors que la T40 export a deux lanceurs externes à deux missiles (un de chaque côté, accolés à la tourelle) réside, de source industrielle, dans les gabarits SNCF. Avant que le Jaguar ne puisse arriver jusqu'à l'Atlas qui l'amènera d'Istres jusqu'à ses opex (vers 2021), il aura la joie de découvrir la France à bord de convois militaires ferroviaires. Et là, les ingénieurs et les généraux doivent s'écraser : c'est le poids de l'histoire, diront les uns, c'est la France, diront les autres ! (1) il faut s'exposer pour recharger, ca se tire à la courte paille entre les trois membres d'équipage mais je dirais plutôt le chef d'engin, car le pilote est le plus à même de déplacer l'engin en cas de tir adverse, et le tireur, de riposter au 40 mm ou avec le tourelleau téléopéré.
  5. A priori PAPILLON a bien décrit la situation, mon fils qui est au 2 ème RIMa vient de finir sa FTS, on lui dit tu seras Grenadier voltigeur, et puis suite a un concours de circonstance on lui propose pilote VBCI, il a accepté et puis voilà ça c'est fait comme cela......... Une fois le CFIM et la FTS terminée l'encadrement demande aux jeunes ce qu'ils veulent faire comme spécialité, en tenant compte aussi des inaptitudes médicales des uns et des autres ce qui n'est pas forcément facile a gérer (porteur de lunettes et autres).
  6. bonjour, Un Rima ne sera pas moins dur que le 2 ème Hussards.............
  7. Les Japonais étaient partis favoris, rapidement talonnés par l’allemand TKMS, et c’est finalement le français DCNS que l’Australie a retenu mardi 26 avril pour construire douze sous-marins océaniques. Le budget de ce programme de défense présenté comme le plus important de l’histoire du pays est estimé à 50 milliards de dollars australiens, soit 34,3 milliards d’euros, comprenant la conception, lestransferts de technologie, la production, le système de combat et la maintenance pendant vingt-cinq ans. « Les recommandations lors du processus d’évaluation des offres (…) ont été sans équivoque : l’offre française est la plus à même de répondre aux besoins uniques de l’Australie », a déclaré le premier ministre Malcolm Turnbull, devant les chantiers navals d’Adelaïde, en Australie-Méridionale. « Ces sous-marins seront les plus sophistiqués du monde, et ils seront construits ici, en Australie », a ajouté M. Turnbull. L’Elysée s’est aussitôt félicité dans un communiqué de ce choix « historique » : La France est « fière de l’excellence technologique » dont ses entreprises ont fait preuve pendant cette sélection, précise l’Elysée. « Ce nouveau succès sera créateur d’emplois et de développement en France comme en Australie. » Les négociations exclusives entre DCNS et le gouvernement australien vont commencer pour définir les modalités de ce programme. Elles devraient s’achever au début de l’année 2017 ; la mise en service du premier sous-marin est prévue pour 2030. Ces bâtiments remplaceront la flotte de six sous-marins Collins. Fabriqués à Adelaïde image: http://s1.lemde.fr/image/2016/04/26/534x0/4908509_3_9b4e_le-modele-de-sous-marin-shortfin-barracuda_93fd54a4adafa5e97aec48d53b1569a0.jpg Le processus de sélection avait démarré en février 2015. Le futur sous-marin, dérivé du Barracuda français mais qui aura une propulsion diesel et non nucléaire, sera fabriqué dans les chantiers navals d’Adelaïde, ce qui devrait permettre la création de 2 800 emplois. En France, cela mobilisera plus de 4 000 personnes pendant six ans chez DCNS et ses 200 sous-traitants, principalement pour le constructeur naval sur les sites de Cherbourg, Nantes et Lorient. La part revenant aux industriels français est estimée à 8 milliards d’euros. Les Allemands, qui proposaient aussi de construire en Australie, avaient pour handicap de ne jamais avoir conçu de sous-marins de la classe des 4 000 tonnes demandée par Canberra, double de la taille des bâtiments qu’ils produisent. Quant aux Japonais, les doutes portaient sur leur capacité à construire hors de leurs pays du matériel de défense, ce qu’ils n’ont jamais fait. Sur le plan stratégique, les Australiens cherchaient un partenaire ayant le même type de bâtiments pour parcourir de longues distances, ce que n’ont pas les Allemands, car leurs sous-marins servent plutôt à la protection des estuaires dans la Baltique et à l’embouchure de la mer du Nord. Il fallait aussi un partenariat dans la durée, ce que la France peut garantir, le dernier sous-marin de son programme actuel sera retiré du service en 2085. Enfin, confier ce programme de défense aux Japonais aurait pu indisposer la Chine, le premier partenaire commercial de l’Australie. Le choix de l’Etat australien devait être annoncé en juin, mais les délais ont été écourtés car des élections anticipées devraient avoir lieu au début de juillet dans le pays. M. Turnbull, chef du Parti libéral d’Australie, a en effet annoncé le 19 avril qu’il avait l’intention de dissoudre la Chambre des représentants et le Sénat après la présentation du budget qui aura lieu le 3 mai. L’annonce de la construction des sous-marins en Australie-Méridionale devrait servir son camp pendant la campagne électorale, car cet Etat est celui qui a le plus fort taux de chômage en Australie (7,7 % en février). La défense de l’industrie et surtout le thème de l’innovation sont chers à M. Turnbull, qui ne pouvait pas avoir meilleur exemple que les sous-marins pour montrer son engagement à concrétiser ses promesses. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/entreprises/article/2016/04/26/le-francais-dcns-remporte-un-megacontrat-de-sous-marins-a-34-milliards-d-euros-en-australie_4908510_1656994.html#ijZ61iEroDT7Ap15.99
  8. Benoit PUGA ancien du 2 ème Rep, a sauté sur KOLWEZI en 1978, BTX l'a peut étre connu....
  9. Bloquée depuis plusieurs années, la strate supérieure des chefs militaires français devrait bouger rapidement. Ce mouvement est lié au départ, annoncé pour le 9 juin prochain six ans jour pour jour après sa prise de fonction, du grand chancelier de la Légion d'honneur, le général Jean-Louis Georgelin. Pour lui succéder, le seul nom entendu ces dernières semaines est celui du très puissant général d'armée Benoît Puga, chef de l'état-major particulier (CEMP) du président de la République. Son poste est, avec celui du chef d'état-major des armées, l'une des deux clés de voûte de l'institution militaire. Le choix de son remplaçant – actuellement en pleine discussion avec le chef de l'État – fera bouger profondément les différents étages de la haute hiérarchie. Dans les états-majors, cette situation provoque d'incessantes spéculations, chacune des écuries misant sur son poulain. Une fois n'est pas coutume, nous avons choisi de présenter les options s'offrant au président, telles que nous en avons délimité les contours en traînant nos oreilles. Cette analyse est donc à prendre pour ce qu'elle est : une photographie à l'instant t d'une compétition dont le terme officiel ne se produira que dans plusieurs semaines. Mission : remplacer Puga Pour remplacer Benoît Puga, plusieurs noms sont en circulation. Le premier est celui de l'amiral Bernard Rogel, chef d'état-major de la marine nationale. Il avait été prolongé l'an dernier à son poste pour un an, et ferait, disent les pythies, un bon CEMP « de transition », jusqu'à la fin du mandat de François Hollande. Ce choix se porterait sur un homme en fin de carrière, qui a déjà été en poste à l'Élysée, où il était notamment responsable des forces nucléaires. Les autres noms qui circulent sont ceux du vice-amiral d'escadre (VAE) Denis Béraud, actuel commandant de la Force d'action navaleet ancien commandant du Charles de Gaulle. Troisième nom entendu, celui du général de division aérienne Olivier Taprest. Pilote de chasse, il est actuellement le chef du cabinet militaire de Manuel Valls. Autre nom d'aviateur entendu, celui d'André Lanata, depuis peu chef d'état-major de l'armée de l'air. Pour cette simple raison, sa présence dans ce concours de grosses têtes paraît étonnante. Nous n'avons à ce stade cité que des marins et des aviateurs, signe que, dans les sphères pensantes des armées, la double présence d'un « terrien » à l'EMP (Puga) et à l'état-major des armées (Pierre de Villiers) est vécue comme un déséquilibre en faveur de l'armée de terre. Pourtant, deux noms d'officiers généraux de l'armée de terre sont avancés : celui d'Éric Bucquet, actuel directeur des opérations de la DGSE, et celui de Christophe Gomart, actuel directeur du renseignement militaire. Ce sont deux bolides de compétition, tous deux appréciés de Benoît Puga, dont ils furent les subordonnés. Valse des « grands subordonnés » Le choix du futur chef de l'état-major particulier de François Hollande n'appartient qu'à ce dernier. En ce sens, il n'est pas le produit d'un processus formel, mais plutôt, dans l'idéal, celui d'un consensus entre le chef de l'État, le chef d'état-major des armées et le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Il n'en va pas de même pour la valse des « grands subordonnés » en cours de préparation. Chaque hypothèse de nomination à l'EMP déclenche la procédure du remplacement de l'intéressé. Si Bernard Rogel était choisi, qui le remplacerait alors à l'état-major de la marine ? Dans cette hypothèse, le nom le plus souvent entendu est celui du directeur du personnel militaire de la marine, le VAE Christophe Prazuck, suivi de celui du major général de la marine Arnaud de Tarlé. Et enfin celui de Jean Casabianca, chef du cabinet militaire de Jean-Yves Le Drian, qui n'a aucune intention de le lâcher… Mais, dans la valse qui se prépare, un autre poste essentiel va devoir être pourvu : celui du très efficace général de corps d'armée Didier Castres, sous-chef d'état-major « opérations » de l'état-major des armées, qui conduit au jour le jour toutes les opérations militaires en cours. Promis à la fonction moins nerveuse d'inspecteur général de l'armée de terre, il devrait être remplacé par l'actuel chef du commandement des opérations spéciales, Grégoire de Saint-Quentin. Mais Éric Bucquet serait aussi sur les rangs. Procédure régulière La liste des futurs grands chefs fait actuellement l'objet d'études et de mises au point minutieuses par le chef d'état-major des armées Pierre de Villiers. Le fragile équilibre des armées tient parfois du château de cartes, tant les incidences d'une promotion ont des répercussions profondes. La bonne nouvelle en la matière étant que le départ du général Puga aura un effet d'ascenseur pour nombre de généraux. La procédure régulière consistera donc pour Pierre de Villers à remettre sa liste de nominés au ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, lequel l'amendera, ou pas, pour y insérer ses propres choix avant de la transmettre à François Hollande. Qui, durant cette période, consulte et reçoit. Mais il n'a quand même pas trop de souci à se faire : la machine militaire est si bien rodée que les candidats sont tous de bonne qualité. Donc tous à même d'établir avec le président une relation efficace, même si elle sera nécessairement différente de celle – particulièrement atypique – qu'il a établie avec Benoît Puga.
  10. j'espère qu'il ne sera pas sanctionné, tout ce qu'il a dit est vrai, son intervention est sur youtube......
  11. Un soldat français, membre du 511e régiment du train d'Auxonne, a été tué ce matin au cours d'une opération dans le nord du Mali par l'explosion d'une mine contre son véhicule blindé, a indiqué l'Elysée dans un communiqué.Le président de la République "exprime son profond respect pour le sacrifice de ce jeune soldat au service de notre pays", poursuit le communiqué. D'après le texte, plusieurs soldats ont également été blessé dans cette explosion. "Le chef de l'Etat salue le courage et la tenacité des soldats français qui poursuivent leur mission aux côtés de l'armée malienne (...) pour conforter la souveraineté du Mali et réduire les groupes armées terroristes dont la menace pèse sur l'ensemble des pays du Sahel", conclut le communiqué de la présidence.
  12. Le dossier était en souffrance depuis plusieurs mois. Les marins et les aviateurs tenaient en effet que leur participation à la protection militaire du territoire soit reconnue au même titre que l’engagement de l’armée de terre dans Sentinelle. Rien de mieux pour cela qu’une médaille avec des « agrafes » particulières. L’affaire vient d’être réglée avec la création de trois agrafes interarmées : Egide (une arme mythique de la mythologie grecque) pour la protection des emprises militaires, Jupiter pour la dissuasion et Trident pour la surveillance et la protection des espaces autour du territoire national. Les noms proposés par la marine était Poséidon, Épaulard et Vigie. Mais finalement, il a été décidé d’ « interarmiser » tout cela.
  13. Les courses poursuites a moto, c'est ce qu'il y a de plus dangereux, des fois il vaut mieux laisser filer " le contrevenant ", que de perdre la vie......
  14. Tu as raison BTX un éléphant ça trompe énormément, et cela sonne moins bien que les chameaux ou les scorpions, mais bon, souhaitons leur bonne chance a ces gamins, d'autant que le dernier de mes fils en fait partie..............
  15. Par RFI Publié le 02-04-2016 Modifié le 02-04-2016 à 01:42 Les nouvelles allégations d'abus sexuels portées à l'encontre des soldats de maintien de la paix en Centrafrique ont suscité des réactions d'indignation jeudi de la part de la communauté internationale et notamment de la France, qui fait partie des pays concernés. « L'honneur de la France serait engagé », a déclaré François Hollande, si elles été avérées. A Paris cependant, des fonctionnaires de la Défense s'interrogent sur ces éventuels nouveaux cas. Mercredi, l'ONG AIDS-Free World a publié un communiqué reprenant des informations émanant de l'ONU faisant état de « jeunes forcées à avoir une relation sexuelle avec un chien » devant des militaires français. Les faits porteraient sur la période 2013-2015, dans la région de Dékoa. Les réactions n'ont pas manqué. → De nouveaux soupçons de viols en RCA L'ambassadeur de France aux Nations unies, François Delattre, a parlé d'accusations « révoltantes et odieuses ». « Les autorités françaises sont déterminées à faire toute la lumière sur ces graves accusations », a-t-il ajouté. Le président de la République François Hollande a assuré vendredi soir 1er avril sa volonté d'« établir la vérité », sans « impunité ». « On ne peut pas et je ne peux pas accepter qu'il y ait la moindre tache sur la réputation de nos armées, c'est-à-dire de la France » ; « ce serait l'honneur de la France qui serait engagé et c'est pourquoi la plus grande exigence de vérité et la plus grande affirmation du refus de toute impunité doivent être exprimées aujourd'hui par la voix du chef de l'Etat. » Les militaires de leur côté s'interrogent, après ces nouvelles accusations. A Paris, au sein de l'armée française, on a du mal à croire à cette nouvelle affaire. « Autant les allégations de pédophilie, révélées l'an dernier, méritent que l'enquête aille à son terme, autant les dernières accusations proférées à l'encontre la force Sangaris ne semblent pas crédibles », confient certains militaires, contactés par RFI. Des militaires qui, par ailleurs, ne cachent pas leur colère, certains laissant même entendre une manipulation destinée à discréditer l'action de la France. Pour sa part, le ministère de la Défense précise simplement avoir reçu, mercredi 30 mars, un courrier du Haut Commissariat de l'ONU pour les droits de l'homme, faisant étant de nouveaux abus sexuels. Coïncidence, c'était le jour de la visite à Bangui du ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault à l'occasion de la prestation de serment du nouveau président Touadéra. Le dossier a été immédiatement transmis au parquet. « Ces histoires de vidéos, on en avait entendu parler depuis des mois », confie à RFI, un gradé français. « Une enquête interne a même été menée, sur place en RCA. Des films ont été retrouvés, mais il s'agit de vidéos zoophiles-pornograhiques, circulant sous le manteau. En aucun cas, elles ne mettent en scène des militaires français », assure-t-il. L'ONU réfléchit à de nouvelles mesures A présent, l'affaire est entre les mains de la justice. « Si les faits sont établis, des sanctions disciplinaires exemplaires seront prises, en complément de la réponse pénale », assure-t-on au ministère de la Défense. Plus de quarante jeunes filles affirment être tombées enceintes à la suite d'abus sexuels. En tout, ce sont plus d'une centaine de nouveaux cas qui ont été rendus publics par les Nations unies. Hervé Ladsous, le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix veut de nouvelles mesures pour pouvoir lutter contre ce fléau : « ce serait tout simplement, lorsqu'un casque bleu arrive en mission de recueillir un échantillon d'ADN qui serait ensuite stocké de manière à ce que, si une accusation est formulée, si un cas se précise, on puisse sortir cet échantillon, fait les comparaisons nécessaires. Cela répondrait en particulier aux demandes de reconnaissance de paternité parce qu'il y en a aussi des cas comme ça. » Dans sa lutte contre les abus sexuels, l'ONU a déjà renvoyé de Centrafrique des contingents entiers de casques bleus. Mais cette nouvelle mesure des tests ADN ne pourra être mise en place qu'avec l'accord des pays contributeurs de troupes. Ces mêmes pays qui rechignent le plus souvent à mener les enquêtes qui visent leurs soldats.
  16. BTX, il fait peur ton copain ci dessus.......
  17. bonjour, Pour les EVAT choisissant la spécialité de circulateur motocycliste, sont ils tenus d'effectuer un stage pratique moto comme il en existe pour la Gendarmerie, la Police ou les Douanes ?
  18. Absolument pas, la polémique c'est toi qui l'a crée parce Ce que cet article ne te convient pas, moi je m'en fou je ne fais pas de politique, et de citer un article écrit par des gens de gauche, de droite, d'obédience socialiste, communiste ou autre ne me pose aucun problème ........et puis ne parle pas de crédibilité avec bfm tv, tu vas finir par faire rire tout le monde.........maintenant si cela te " gratte " tant que cela, fait appel à un modo en disant En toute " neutralité " que cet article est polémique, voire même je le sens bien venir, attise la haine, ou une connerie du genre, pour moi aucun problème. Ce qui fait la qualite d'un forum, ou d'un journal c'est la pluralité des opinions, et que tout le monde tous les courants puissent s'exprimer dans la limite de la correction et du respect de chacun, tu vois ce que je veux dire ?
  19. Bien sûr, la presse écrite, la télévision, internet, et même chacun d'entre nous décrit les choses d'une manière différente suivant sa sensibilité politique, religieuse, sa culture générale, son âge, son vécu, et l'on peut aussi rajouter le "léchage de culs" devenu un sport national, j'en connaît même un beau spécimen sur ce forum, d'ailleurs il se reconnaîtra ......je ne parle pas de toi Zante. Voila toujours est il que les hauts gradés montent de plus en plus au créneaux maintenant est ce une bonne chose? L'avenir nous le dira.
  20. Alors définit moi une source fiable........? BFM TV peut être ? .et tout ce qui est mentionné dans cet article est " bidon " ? L'intervention du Général Bertrand Soubelet, numéro 3 de la Gendarmerie, est visible sur YouTube je vous le recommande vous comprendrez pourquoi notre pays s'enfonce un peu plus, dans le chaos jour après jour......
  21. La grande muette de moins en moins muette. Armée : après la grogne, le temps de la fronde chez les hauts-gradés ? Depuis plusieurs mois, l’Armée grogne et s’interroge. Quid de l’efficacité de la lutte contre le terrorisme ? De la sécurité ? Telles sont les raisons principales de ce mécontentement. A cela s’est ajoutée récemment la mise en garde à vue du général Piquemal qui était allé manifester à Calais aux côtés du mouvement Pegida. Certains officiers généraux ne se privent plus de parler haut et fort. Dans leur ligne de mire, essentiellement le président de la République, chef des Armées. Quant à Jean-Yves Le Drian, le ministre de la Défense, très apprécié par les militaires, il est épargné. •Depuis quelques mois, plusieurs officiers généraux ne se privent pas de faire savoir que le pays va mal. Et que la sécurité n’y est plus assurée à la hauteur de ce qu’elle devrait être •Certains hauts gradés pensent que si la France était à nouveau la cible d’attentats, l’instauration de l’état de siège serait nécessaire •Cette grogne (qui sait si elle ne transformera pas en fronde ?) vise essentiellement François Hollande et non le ministre de la Défense, très aimé des militaires •Ce desamour avec le pouvoir socialiste démarre surtout en décembre 2013 lorsque le général Soubelet, numéro 3 de la gendarmerie, dénonce implicitement la politique pénale laxiste du Gouvernement Attention ! Vent de force 7 dans l’armée. Depuis quelque temps, ici et là, quelques officiers généraux s’impatientent. Grognent. Et le font savoir. Un général, qui souhaite conserver l’anonymat, le dit clairement : "La situation nous inquiète. La France connait une grande insécurité. Et si demain, d’autres attentats survenaient sur le territoire, ce n’est plus l’état d’urgence qui devrait être mis en branle, mais l’état de siège… Ce qui signifierait que l’autorité politique devrait transmettre le pouvoir à l’autorité militaire"… Cet officier général n’est pas le seul à avoir cette analyse. Sur les 663 généraux actuellement en activité, une large majorité, sous le sceau de la confidence – devoir de réserve oblige – la partagent. "La grande Muette retrouverait-elle une partie de sa voix ?", interroge Jean-Claude Fabre-Bernadac, ancien officier de gendarmerie et fin observateur de la vie militaire. En tout cas, la lettre que viennent d’adresser trois officiers généraux au président de la République est sans ambiguïté. Ces hauts gradés ne sont pas n’importe qui, puisqu’il s’agit du général de corps d’armée Pierre Coursier, ancien gouverneur militaire de Lille et des généraux Antoine Martinez et de Jean du Verdier, tous deux de l’armée de l’Air. Qu’écrit ce trio rebelle, dont la missive a été révélée par Le Figaro ?"Calais et le Calaisis sont abandonnés de facto par les autorités de la République". Et d’interpeller François Hollande : "Vous ne pouvez pas vous dérober à vos devoirs". Et le groupe des trois de "s’indigner de la situation désastreuse qui est faite aux habitants de cette région, qui vivent dans la terreur des bandes mafieuses". Derrière cette rébellion verbale se cache une autre indignation : la garde à vue infligée le 6 février au général Christian Piquemal, interpellé à Calais pour avoir manifesté aux côtés du mouvement Pegida. "Vous savez depuis quand un général n’a pas été placé en garde à vue ?", nous interroge, à titre de devinette. Depuis plus de cinquante ans. C’était lors du putsch d’avril 1961. Le général s’appelait Maurice Challe et ne faisait pas mystère de ses sympathies socialistes. C’était l’un des quatre putschistes aux côtés de Jouhaud, Zeller et Salan. L’incident Piquemal risque de laisser des traces indélébiles, nous confie un officier. Notamment du côté de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense très estimé à la fois des militaires et de la population. Or, il a décidé de mettre à la retraite le général. Du coup, la température ne cesse de monter chez les officiers généraux. Une température déjà montée d’un cran avec l’opération Sentinelle qui mobilise à tour de rôle 10 000 soldats, soit 10% de l’effectif total. Or, tous ces militaires qui se baladent dans les zones dites sensibles, les banlieues promptes à s’embraser, ont découvert que nos territoires n’étaient pas, à leurs yeux suffisamment sécurisés. Ils ont découvert aussi "la jungle" de Calais. Bref, ils ont le sentiment que l’ordre fait place au désordre. Ils sont inquiets. Très inquiets. Certes, de façon prémonitoire, ils n’ont pas attendu les attentats contre Charlie Hebdo et l’Hyper-Cacher de la porte de Vincennes en janvier 2015 ou encore le bain de sang du 13 novembre suivant (130 morts) dans le XIème arrondissement de Paris pour dresser un tel constat. Dès le mois de décembre 2013, le général Bertrand Soubelet, numéro de 3 de la Gendarmerie, entendu devant la commission d’enquête de lutte contre la sécurité à l’Assemblée nationale ne s’était pas privé, au nom de la liberté de parole, de dire tout le bien qu’il pensait de la politique sécuritaire du Gouvernement. Extraits : "Les gendarmes sont inquiets car on prend plus soin des auteurs que des victimes". Et le général d’envoyer implicitement une grenade dans le jardin de la garde des Sceaux d’alors, Christiane Taubira : "En 2013, il y a eu une hausse de 4% de personnes mises en cause par ses services tandis que le nombre des placements sous écrou a diminué de 33%". Puis, critiquant de front la politique pénale du Gouvernement, le général Soubelet affirme : "Les auteurs d’atteinte aux biens (cambriolages, vols…), les plus importantes numériquement, bénéficient d’un traitement pénal qui leur permet de continuer à exercer leurs activités". Peu adepte de la langue de bois, le général Soubelet, à ceux des députés qui seraient sceptiques, évoque quelques statistiques qui font mal. Ainsi, il révèle que "65% des cambrioleurs" interpellés dans les Bouches-du-Rhône sont "à nouveau dans la nature". Et de s’interroger : "Quand vous lâchez 65% de ceux qui se sont rendus coupables d’un certain nombre d’exactions, comment voulez-vous que les chiffres baissent ?" Un tel constat interpelle les élus du peuple. D’autant que le général Soubelet, unanimement respecté dans la gendarmerie, a la réputation de ne pas parler à la légère. Ce qu’il a fait en ce mois de décembre 2013 Les mois suivants son intervention, rien ne se passe. Jusqu’à ce que comme un coup de théâtre, on apprenne au début de l’été 2014 que le général Soubelet était promu à la tête de la gendarmerie Outre-mer… Comme promotion, il y a beaucoup mieux ! Cette sanction fait des vagues, jusqu’au niveau de la hiérarchie de la gendarmerie. Car enfin, Bertrand Soubelet n’a fait que dresser un constat. Comme avant lui, le général Christophe Metais, qui lorsqu’il était colonel, chef du bureau de police judiciaire à la sous-direction de l’emploi de la gendarmerie, dressait un constat similaire au sujet de la délinquance des mineurs, lors de son audition, le 17 avril 2002, devant une commission d’enquête sénatoriale. C’est ainsi que le colonel Metais livrait un chiffre ahurissant sur la délinquance des mineurs en milieu scolaire : 15 970 faits de violence en 2001, contre 6751 en 2000 et 1563 faits en 1999… Bref, à près de douze ans d’intervalle, les analyses, fondées sur des statistiques, sur leur connaissance du terrain, le colonel Metais - à l’époque - et le général Soubelet se rejoignent. La promotion-sanction infligée au général Soubelet marque-t-elle un tournant dans les relations entre le ministre de la Défense et les officiers généraux ? Pas forcément. Encore que l’affaire Piquemal a considérablement énervé une grande partie des officiers généraux. Aussi, n’est-ce pas un hasard si le général Antoine Martinez n’en finit pas de dénoncer les errements du Gouvernement en matière de lutte contre l’insécurité. Ce n’est pas davantage un hasard si un officier général comme Didier Tauzin, qui ne cesse de pourfendre le régime actuel, envisage de se lancer en politique en se présentant à la présidentielle de 2017. Reste à savoir s’il parviendrait à obtenir les 500 signatures, sésame obligatoire pour concourir. Pour l’heure, c’est une rébellion en catimini à laquelle Jean-Yves Le Drian doit faire face. Pour l’heure, le ministre de la Défense, très apprécié, n’est visé que de loin par cette fronde. Car au ministère de la Défense, on lui sait gré d’avoir redonné un sens aux missions de l’armée. Et de l’avoir sollicitée pour lutter contre les mouvements terroristes sévissant à l’étranger. Que ce soit lorsque l’armée française s’est engagée au Mali pour y combattre les groupes armés terroristes de Daesh qui sévissaient dans la bande sahélo-saharienne, ou encore lors de l’opération Sangaris en République centrafricaine. Dans ces opérations et dans d’autres, le ministre de la Défense a tout fait pour que l’armée ne souffre pas de manque de moyens. C’est Le Drian encore qui s’est investi au sens propre comme au sens figuré pour que les troupes françaises ne portent plus de rangers fatiguées et ne montent plus dans des véhicules à bout de souffle. Aujourd’hui, devant une France, qui selon bon nombre d’officiers généraux, "va à vau-l'eau", c’est surtout François Hollande, le chef des Armées selon la Constitution, qui est visé. Un général nous a même confié : "On ne laissera pas le pays s’écrouler. Il est temps de faire quelque chose".
  22. Tout à fait, et si l'on prend le coût de l'heure de vol entre un Rafale et un Tucano par exemple, il y a pas photo et sans pour autant que celui ci soit ridicule. Apres ce genre d'avions moins rapides sont peut être plus vulnérables face aux missiles sol air, mais je crois qu'il y aurait effectivement une place pour ce type d'avions dans l'armée de l'air actuelle, surtout en cette période de restrictions budgétaires .
  23. 11-03-2016 Les États-Unis ont engagé de vieux avions OV-10 Bronco contre Daesh en Irak et en Syrie Posté dans Forces aériennes, Moyen-Orient, Opérations par Laurent Lagneau Le 11-03-2016 inShare image: http://www.opex360.com/images/bronco-20090911.JPG Si le combat contre Daesh (État islamique ou EI) a été l’occasion du premier engagement opérationnel de l’avion le plus moderne de l’US Air Force, en l’occurrence le F-22 Raptor, il aura aussi permis à des appareils nettement plus anciens et surtout rustiques, comme l’OV-10 Bronco, mis en service lors de la guerre du… Vietnam. Ainsi, nous apprend le site The Daily Beast, sur la foi d’un compte-rendu de l’US Centcom, le commandement militaire américain pour l’Asie centrale et le Moyen-Orient, deux OV-10 Bronco, avec des pilotes de l’aéronavale aux commandes, ont été engagés contre Daesh à partir du printemps 2015. Et cela pendant 82 jours, au cours desquels ils ont effectué 134 sorties dont 120 missions de combat. Le tout avec un taux de disponibilité de 99%. Mais on n’en saura pas davantage, l’US Centcom étant avare de détails sur le déploiement de ces deux OV-10 Bronco. Ce qui, pour The Daily Beast, indiquerait qu’ils ont été engagés pour fournir un appui aérien aux forces spéciales américaines. Toutefois, un porte-parole de l’US Centcom a expliqué que l’objectif était surtout de vérifier si l’emploi de turbo-propulseurs comme ces OV-10 Bronco pouvait augmenter la « synergie » et améliorer la coordination entre le personnel navigant et les troupes au sol. En clair, il s’est agi de déterminer si de tels appareils sont en mesure d’effectuer des frappes aériennes aussi efficacement que des avions de chasse modernes (F-16, F-15 ou F-18), dont l’heure de vol peut atteindre les 40.000 dollars. Pour comparer, une heure de vol avec un Bronco ne coûte que 1.000 dollars… L’explication donnée par le porte-parole de l’US Centcom se tient. Car, en effet, l’aviation américaine songe depuis longtemps à engager des avions légers pour faire de la lutte anti-guérilla, comme cela avait été le cas au moment de la guerre du Vietnam, avec les A4 Skyraider et… l’OV-10 Bronco. En 2008, l’Irregular Warfare Office de l’US Navy avait pris l’initiative de lancer le programme « Imminent Fury » pour, justement, faire des essais allant de ce sens. Pour cela, il avait loué un Embraer 314 Super Tucano, bardé de capteurs et d’armements fournis par L-3 Com et Rockwell Collins. Même chose pour l’US Air Force, avec son programme LAAR (Light Atack/Armed Reconnaissance), qui prévoyait l’acquisition d’une centaine d’avions légers. À l’époque, Boeing avait même proposé un « Super Bronco OV-10X ». Seulement, tous ces programmes n’eurent pas de suite, les élus du Congrès n’ayant pas été convaincus du bien-fondé de ces initiatives. Toutefois, l’US Centcom reprit à son compte le programme Imminent Fury, sous le nom de « Combat Dragon II ». Pour rappel, l’OV-10 Bronco a été conçu par North American pour l’US Navy, qui cherchait alors un appareil anti-guérilla. Doté de deux turbopropulseurs AiResearch T-76, il peut emporter jusqu’à 1.600 kg de munitions. Armé par 4 mitrailleuses de 7,62 mm, il peut voler à la vitesse maximale de 452 k/h, à une altitude de 9.000 mètres. Il peut tout aussi bien effectuer des frappes au sol comme des missions de reconnaissance, de surveillance ou encore de guidage d’artillerie. En tout, 370 exemplaires furent construits, y compris pour les besoins de l’US Air Force et de l’US Marine Corps. En savoir plus sur http://www.opex360.com/2016/03/11/les-etats-unis-ont-engage-de-vieux-avions-ov-10-bronco-daesh-en-irak-en-syrie/#tyQGPtYZFzRcMqAC.99 bonjour, Je ne suis pas un spécialiste en aviation, ni en combat aérien, néanmoins je me demandais si des avions comme celui ci ne nous serais pas utiles en terme d'appui feu au sol, et surtout moins couteux que de déplacer des rafales a chaque fois..... Mais je pense que d'autres que moi ont du se poser la même question.....
  24. Je viens de relire tout ces messages presque 2 ans après , c'est rigolo je ne me souvenais plus d'avoir écrit tout cela, ceci dit entre temps mon fils Thomas est rentré au 2 ème Rima, et au vu de tout ce qu'il me raconte, et que j'entends, la guéguérre Rima contre RI est loin d'être terminée..............et des jeunes qui viennent d'un RI, faire leur FTS dans un Rima pour des raisons X ou Y, se rendent bien compte aussi de la différence, le " style de commandement " on va dire n'est pas du tout le même, voilà pour la petite histoire. Maintenant Thomas est un "Marsouin" a part entière, sa FTS est finie, il est bien classé, et son premier départ sera pour TAHITI........alors pour ceux qui ont encore des hésitations, Go pour les Rima............

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