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vittorio venturi

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Tout ce qui a été posté par vittorio venturi

  1. Bonjour, c’est toujours la même vielle sauce: se servir des instruments de propagande “disinformacija” pour reprocher à quelqu’un de violer certains droits que chez eux sont inconnus. Et ça compte aussi pour son maître-chien.
  2. Bonjour, une certaine hoplologie soutien que l’Armée Française a été toujour équipé pour la guerre précédente, laisson à coté cette polémique et allons lire ce que ecrit Todd Neikirk (que n’est pas français) sur WAR HISTORY ONLINE Oct 14, 2022 Todd Neikirk, Guest Author : LRAC-50 73 mm Bazooka: The Incredibly Effective French Anti-Tank Weapon. Tout ça a réveillé ma mémoire de tireur et chargeur de cet engine avec lequel on s’acharnait contre une épave de AML; je me souvien les efforts de l’instructeur pour expliquer, entre autre, le fonctionnement de l’amorçage de cette arme :” La poignée de mise de feu contient un générateur piézoéléctrique dont on discutera après”. Ça va sans dire que le nettoyage de cette merveille etait moins enthousiasmant du tir! J’ai trouvé aussi sur Monsieur Légionnaire un post de Alain Tomeï dont je vous report un extrait: “En 1942 les allemands mettent en place le Panzerfaust (poing blindé) à usage unique et peu efficace. En 1943 ils capturent des «bazooka’s»* américains qui leurs permettent d’en faire une modèle du nom de Panzerschreck RPzB 43 («tuyau de poêle» Ofenrohr en allemand) de 88 mm. Et nous arrivons enfin au développement du L.R.A.C. de 73mm modèle 1950, largement inspiré du Panzerschreck, et qui a été financé par le P.A.M. (Plan d'Aide Marshall).” Voici enfin quelque renseignement numérique: Classification : arme collective à chargement simple Longueur de l’arme : 1,20 m Calibre : 73 mm Poids : 6,3 kg Système de pointage : lunette coudée APX L 715-4 sur support assuré par trois portées Vitesse initiale (V°) : 160 m/s Flèche : 2,5 m pour une portée de 200 m Précision : 150 m sur cible mobile, 200 m sur cible fixe Portée maximum : 1180 m Vitesse pratique de tir : 4 à 5 c/mn Il est capable de percer 30 cm de blindage et 90 cm de béton. Il est utilisé pendant la guerre de Corée par le bataillon français de l'Organisation des Nations unies, car il transperce le blindage des chars T-341.
  3. Bonjour, semble-t-il que l’adjectif “militaire” soit un insulte, le syndicat est surpris « de voir l’obligation de nuitée et le cantonnement forcé dans une caserne du Ministère de la Défense. Cela ne correspond ni à nos obligations réglementaires de services, ni à nos obligations statutaires. Aucun professeur des écoles ne peut se voir contraindre des horaires de nuit ni peut se voir priver de sa liberté de circulation en dehors de ses heures de services. » Mais s’ils le veulent peuvent toujours faire le mur! La direction d’école se demande si pour l’IEN tout ça “signifie que la situation des écoles est à ce point dégradée..” pas vrai, la situation est bien pire. Dans la pluparte des ecoles les élèves sont des “achelelle” (hors la loi) et avec le méthode Montessori on n’arrive plus à les dresser; mes professeurs de gymnastique etaient des ex sportifs militaires et les autres professeurs se surprenaient que pendant leur leçons n’y avait jamais de dérapages! « Réponse attendue pour le 30 septembre délai de rigueur». Ton menaçant pour le syndicat mais je me demande si un ton plus poli signifie que : si vous voulez vous pouvez répondre quand bon vous semble.
  4. Bonjour, au regiment y avait plus le ramassage (la tâche etait passé aux punis), mais avant la sortie en ville tout le monde se réjouissait avec la pluche des pommes de terre, que etaient déjà à moitié épluchés par la machine. (La Légion etait déjà à l’avant-garde) “la cohésion de l'unité” n’etait pas dans notre propos mais les frites de l’ordinaire etaient plus bonnes de celles d’en ville.
  5. Bonjour, la bienvenue, les RI sont durs (pas seulement pour une jeune fille) mais permettez-moi d’apprecier votre courage, si vous reussiréz bien, si non vous auriez essayé; à la Légion m’ont appris que tenir jusq’au bout ne suffit pas, y a toujours un delà.
  6. Bonjour, cantine? Et nous pauvres MDR que traînions partout 2 sacs marin et un sac à dos “comme un frigidaire” ? (Dragunov)
  7. Bonjour, c’est bien que quelque chose survive à mes temps; l’alternative peut vite conduire à ça: “Il semble que ce soit les légionnaires qui, engagés dans un conflit sur le sol national métropolitain pour la première fois en 1870, et découvrant une armée française métropolitaine encore plus démunie qu'eux, auraient inventé l'expression suivante, destinée à un autre légionnaire mal accoutré : « T'es pas dans l'armée à Bourbaki “. (v. post)
  8. Bonjour, nos anciens se plaignaient des pataugas, s’ils aient su!
  9. Bonjour, lorsque j’ai entendu cette expression, moi et mes camarades, nous comprenions ce que voulait signifier (y avait toujours le “ compte rendu pour malpropreté corporelle”) mais personne , même pas les gauloises, ne connaissait sa portée historique. Voici quelque rencard sur ces malheureux camarades. “De nos jours dans l'armée française (mais aussi dans la Police nationale ou les sapeurs-pompiers), l'expression « l'armée de Bourbaki » désigne de façon péjorative un groupe hétérogène mal équipé, comme lorsque le port de l'uniforme n'est pas règlementaire ; ceci est sans doute une référence aux troupes mal équipées de l'armée de l'Est qui furent placées sous le commandement de Bourbaki. Il semble que ce soit les légionnaires qui, engagés dans un conflit sur le sol national métropolitain pour la première fois en 1870, et découvrant une armée française métropolitaine encore plus démunie qu'eux, auraient inventé l'expression suivante, destinée à un autre légionnaire mal accoutré : « T'es pas dans l'armée à Bourbaki ». “ (Tiré de wikipedia) Ambassade de France en Suisse et au Liechtenstein Sur les traces de l’armée de Bourbaki imprimer Facebook Twitter Les Verrières - En 1871, pas moins de 87 000 soldats Français sont accueillis dans de nombreuses communes et cantons de Suisse alors que l’armée de l’Est est en déroute et exsangue. Dans ce même relief jurassien toute l’équipe de l’ambassade de France a retracé l’histoire des soldats de l’armée de Bourbaki, plus de 150 ans après cet épisode franco suisse marquant. L’épisode de l’armée Bourbaki A la fin de la guerre franco-prussienne de 1870-1871, les soldats Français sont encerclés dans le Jura français par les troupes allemandes. La Suisse accueille l’armée de l’Est conduite par le général Bourbaki en février 1871. Soldat de l’armée de Bourbaki Une convention signée avec le général Hans Herzog le 1er février définit les condi­tions de "l’internement" de l’Armée de l’Est : en trois jours, quelque 87 000 soldats franchissent la fron­tière suisse. Les jeunes français blessés et malades sont désarmés par les militaires suisses, secourus par les civils et pris médicalement en charge par la Croix­-Rouge. Ils sont ensuite hébergés dans 188 communes suisses. La plupart des « Bourbakis » regagneront la France en mars 1871 après l’armistice. Par la suite, un lit Français est resté réservé a l’hôpital de Fribourg. https://www.bourbakipanorama.ch/fr/musee/histoire/ Les faits 19.07.1870 La France déclare la guerre à la Prusse 10.05.1871 Fin de la guerre 01.02.1871 Internement de l'Armée de Bourbaki en CH 87'847 Nombre de soldats français internés en CH DÉSARMEMENT 284 Pièces d'artillerie lourde et mitrailleuses 1'158 Carosses de guerre 64'800 Armes blanches 63'400 Fusils Le Conseil fédéral répartit les Internés entre tous les cantons, sauf le Tessin; ce tout premier internement massif en Suisse ne va pas sans difficulté (le 9 mars, l'émeute de la Tonhalle à Zurich oppose des Suisses et des officiers français à des Allemands fêtant la victoire).
  10. Bonjour, un example de l’ennième bavure d’une sale guerre; mais existe-t-elle une guerre propre? Les bushmen sont-ils des tortionnaires et des tueurs vis-à-vis à des peuples que pratiquent l’infibulation et des autres amusements, ou simplement ont du jouer un match truqué? À lire le dossier du 2023 de Amnesty International sur l’Afghanistan: “Your sons are in the Mountains”: The collective punishment of civilians In Panshir by the Taliban”. Ce dossier documente les violations des droits humaines ed du droit international commis par les Talibans, entre autres : exécutions extrajudiciarie, tortures, incarcérations arbitraires en masse. Est-ce que le ministre taliban de la justice mènera une enquête judiciaire? Comme toujour le politicien prend du recul des militaires que lui-même a jeté dans le cafouillage.
  11. Bonjour, j’ai lu un des nombreux romans historiques de Simon Scarrow titré “Les aigles de l’Empire: Britannia”, et dans le préambule l’auteur donne quelque renseignement sur la hiérarchie de l’armée romaine et sur sa composition: legion, coorte, centurie, escadron, chevaliers, fantassins. Évidemment j’ai été appâté par cette ligne: “ Au dessous des optiones y avait le légionnaires, des hommes que s’engageaient et servaient pour 25 ans. Théoriquement, seulement le citoyens romains pouvaient s’enscrire dans les listes d’engagement, mais les peuples locals fournissaient à l’armée un nombre toujours croissant de recrues, que, au moment même de l’engagement, recevaient automatiquement la citoyenneté romaine. Les légionnaires avaient une bonne solde, et de temps en temps recevaient des spéciales récompenses. (Pour consolider leur loyauté) Le grade plus bas, en dessous des légionnaires, etait représenté par les coortes auxiliaires. cettes-ci étaient recrutés dans les provinces et fournissaient à l’empire romain cavalerie, infanterie légère et des autres spécialistes. Après 25 ans de service recevaient la citoyenneté.” Dejà dans les années 50 du premier millénium les citoyens romains ne voulaient plus servir dans l’armée en anticipant ainsi ce que a dit le général Schill “«... l’écart sans doute croissant entre le style de vie de notre société et les impératifs des armées ».
  12. Bonjour, partons de cette reflexion de Radu: " Doucement mais surement on arrive à ces sections d'éclopés qui désertent vite-fait au contact de choses qui autrefois faisaient le quotidien du légionnaire…" Malheureusement ne s’agissait seulement de désertions, y avait aussi des suicides et des automutilations que soulignaient la découverte, pour le légionnaire, de la différence entre le mythe et la réalité. Ici on parle de plus de 40 ans en arrière, donc le tableau comparatif n’est pas une tâche difficile, tout simplement c’est impossible; toutefois c’est bien d’en discuter entre nous pour faire connaître comment la Légion s’est adaptée au nouveau siècle tout en regardant la tradition. La formation du légionnaire est sans doute plus technologique si on pense que nous avions les tourniquets didactiques que aujourd’hui feraient rire mais je vous assure que faisaient leur boulot; pour le traitement je ne peux pas dire que etait mauvais ou bon, simplement etait rude mais correcte avec le bout de transformer des gens en hommes. Si la Légion du video rassemble à la regulière c’est aussi pour le fait que la regulière de nos jours (volontaire) cherche à rassembler à la Légion.
  13. Bonjour, c’est une des missions de la Légion: connu l’objectif si on reçoit des ordres bien, sinon chaque légionnaire sait obéir à soi même.
  14. Bonjour, c’est vrai que la tenue n’efface pas le différences sociales, comme à la Légion n’efface pas le préjugés racials, mais “le moment venu”, soit un challenge sportif, soit une embuscade subie par une patrouille, on est “nous” contre les “autres”.
  15. Bonjour, le sujet est suffisamment épineux: si le soldat mâle s’exprime sur l’habillement féminin péche pour une manque d’objectivité, c’est à dire que on voudrait vêtir les femmes comme nous plaît, mais on sait bien que le “gentil sesso” choisit de s’habiller premièrement pour se plaire et, beaucoup plus loin de cette borne, pour plaire à un nombre limité de garçons. Dans la vie militaire ça ne change pas trop, sauf que l’uniforme ne laisse pas trop d’espace à la créativité, donc je crois que pouvoir choisir le couvre-chef soit dejà un bon pas en avant; les menus détails sur la question si est plus laid le tricorne ou le kepì, si est plus joli le bonnet ou la tarte on peut bien les laisser aux jugement des intéressées.
  16. Bonjour, soit Sodexo ou cantine, soit restaurant ou kitchenette, soit verte ou bleu, soit la Mobile ou la Départementale, là haut le vrai danger est le «trou normand» que est capable d’engloutir aussi un vieux militaire et peut-être même un légionnaire!
  17. Bonjour, ça se donne aussi dans les écoles britanniques, très connues par leur snobisme, mais il faut apprécier le coup d’oeil sur les écoliers en tenue uniforme que gagnent leur classe.
  18. Bonjour, vieux problème qui j’ai bien connu de l’autre coté, même si les militaires du SMO avaient un certain dédain envers nous, le légionnaire etait tout au plus condescendant à l’égard de ces jeunes que, après un court service plus au moins ennuyant, retournaient à leur faubourg; avec le service volontaire les choses ont pris un autre pas, puisque le nouvel militaire se juge en égal avec n’importe quel corp. Etait singulière non plus que, à mes souvenirs, les gaulois etaient plus méfiants que nous étrangèrs vers les schlabords.
  19. Bonjour, mais si on tire sur un français il est certainement un voyou, si on tire sur le détenteur d’une carte de séjour il est sûrement une victime de la brutalité policière.
  20. Bonjour, le Dauphiné libéré lance ce sondage dessus: les forumeurs de Aumilitaire qu’en disent-ils?
  21. Bonjour, avec le temps la vocation s’affaiblit et le désir de chercher autre chose dehors est bien connu par l’Armée et surtout par la Légion; pour ça on flatte le mécontant avec toute sorte de promesses, et on essaye de ne le faire pas glisser trop facilement vers le civil pour ne pas dilapider l’investissement.
  22. Bonjour, dans les régiments de cavalerie le caporal était et est dit brigadier.
  23. Bonjour, "...bref ... cheh..." bref ...shit!
  24. Bonjour, exact, la punition constructive c’était la régle, y avait pas des punis que croupissaient en taule, mais des soldats que rendaient un service util/nécessaire à leur régiment.
  25. Bonjour, les trous du légionnaire chez le 2éme RE à Corté consistaient en une tente situé à la minoterie pour les arrêts simples, des cellules situés à Grossetti pour les arrêts de rigueur: jusque-là c’est presque comme à Saarburg, la différence etait que les punis etaient affublés en tenue, je crois, M59, rangers sans lacets, dèplacements au pas gymnastique pour toute sorte de corvée, encadrés par un PM qui se déplaçait sans cadence ( les punis devaient lui tourner en ronde), pas de messe, pas de promenade, pas de cigarettes. pompes à choisir. T’a fait l’c*n? À toi réfléchir!

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