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vittorio venturi

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Tout ce qui a été posté par vittorio venturi

  1. Enquête «Libération» a enquêté sur le sexisme érigé en système au sein des classes préparatoires militaires par un puissant groupe d’élèves : les «tradis». Entre humiliations et harcèlement moral, tout est fait pour saper les ambitions des étudiantes. Harcèlement moral, intimidations, insultes, humiliations, marginalisation, coups bas : depuis son arrivée, en septembre 2016, Mathilde se sent «persécutée» par un groupe de garçons «prêts à tout» pour la voir abandonner le concours d'entrée à l'ESM. Quelques filles sont bien allées voir la direction du lycée pour protester contre ce sketch douteux. Selon elles, il avait été validé en amont par la direction du lycée qui ne pouvait plus changer son fusil d'épaule. Aurore, 20 ans, étudiante à bout de nerfs, se souvient : «Le commandement nous a répondu qu'il ne fallait pas que nous prenions la mouche pour une simple blague potache. «Youlez les grosses» signifie «scalpez les filles». Car dans le langage interne que les tradis se transmettent d'année en année, les «grosses», ce sont les jeunes femmes. Parce qu'elles «sont juste bonnes à être engrossées», explique à Libération Marie, qui a fait une première année de prépa à Saint-Cyr-l'Ecole avant de changer d'orientation. La «youle» ? «C'est le nom de la coiffure que les tradis arborent pour se différencier du reste des élèves», renchérit Marie. Très court sur les côtés, longue mèche sur le haut du crâne. Mathilde se souvient de cette soirée : «Les filles de l'assemblée sont restées abasourdies. On ne savait pas trop si cela signifiait que nous n'étions pas les bienvenues ou si c'était carrément une menace de mort. Dans tous les cas, c'était de la misogynie clairement exposée.» Au fond, le phénomène est simple : les prépas sont noyautées par le groupe des garçons ultras, beaucoup de filles et quelques garçons abandonnent. Les tradis, eux, parviennent à intégrer l'école puis à devenir officiers. Et se retrouvent ainsi dans la potentialité d'encadrer les formations des plus jeunes. Et sont portés, même inconsciemment, à fermer les yeux sur certaines pratiques qui leur rappellent leurs jeunes années. «Que des élèves fascistes me mènent la vie dure, je peux m'en remettre, soupire Marie, une ancienne élève de prépa littéraire. Que mes futurs chefs de régiment fassent la sourde oreille, c'est inadmissible. Le manque d'engagement des cadres encourage les éléments perturbateurs.» Et décourage les autres. Dans sa lettre, Mathilde lâche une terrible formule : «Ainsi, les fraternités se forment, c'est juste qu'il n'y a pas de sœurs.» Bonjour, ce vieux service de Libé me fait revenir sur le sujet de ce que c’est plus important dans la formation des futurs chefs de l’Armée entre une lente et soufferte croissance et une rapide carrière des fois pistonnée par des parents influents. Je sais d’être en désaccord avec Yann mais les deux façons de voir l’argument sont beaucoup plus vielles de nous; bien sûr mon experience est limité à la Légion ou les jeunes lieutenants se confrontaient avec les adj/chefs ou avec les vieux sous-lieutenants survécus aux ruines d’Algérie, mais la plupart des fois les Saint-Cyriens ( tout en gardant leur aplomb) avaient une véritable déférence pour ces drôles de militaires sortis du rang. À l’egard de ça je peux citer les cas des lieutenants Manivet et Dupuy qui demandaient souvent des conseils aux susdits subordonnés ( qui n’avaient nullement frequenté des cours de GRH) sur le maniement des hommes, en mettant à coté l’orgueil de caste. Pour retourner à l’article de Libération, sur le quel je garde une certaine réserve, «Il n'y avait que six tradis sur une classe de 30 élèves» je peux dire que les “tradis” sont des jeunes pas trop mûrs pour ne pas comprendre que la concurrence entre les genres se joue sur le terrain: devoirs, examens, exercises, pas dans les couloirs ou dans les chambrées, et je me souhaite que ces jeunes désemparés sortent vite des culottes de leur papà. P.S. J’aimerais connaître l’avis de le coach.
  2. Bonjour, c’est vrai plus du vrai, je ne sais pas grand chose de ce qui se passe aujourd’hui, sauf que le sport et les tests sont de meilleure qualité de celle de mon temps, mais compte tenu qu’il est passé un demi-siècle, l’entrainement sportif dans l’armée d’autrefois etait bien en vedette. Soit claire que le sport aussi etait debité à la manière Legion, néanmoins on trouvait du plaisir dans cettes activités; demi-fond, volley, handball, un peu moins le football ( le CDS avait du mal à rassembler les volontaires). Les jeunes auront du mal à comprendre que les chonomètres etaient analogiques mais je vous assure que faisaient leur boulot comme les numeriques d’aujourd’hui, surtout dans les mains des moniteurs Légion. Pour conclure ne manquait pas non plus le coté rigolo: en jouant sur l’homophonie le chef recrutait ainsi l’équipe de volley: les “grandes tailles” sortez des rangs, les grands détails restent à leur place! Pour un légionnaire non francophone c’etait le panique.
  3. Bonjour, c’est une vieille question: parmi les conscrits y avait de tout, c’est à l’encadrement savoir détecter les individus susceptibles d’aimer et d’accepter la vie militaire. Pour le reste serait toujours une expérience à s’en souvenir.
  4. Bonjour, c’est ça, sauf des anciens qui retournaient à la mamelle, mais eux aussi en avaient à baver; vrai que l’expérience aide beaucoup, toutefois le phisyque des 20 ans est un bon passepartout. Dans le film Apocalypse now le capitaine Willard dit, avec merveille, que le colonel Kurtz à rejoint le Forces spéciales à l’age de 38 ans et lui avec ses 22 ans en etait presque crevé; je crois que la Légion n’a pas rien moins des Forces spéciales des États-Unis.
  5. Bonjour, ni plus ni moins de ce que se donne à l’epouse de l’homme militaire (drôle d’homme), et ne s’agit-il pas forcement de tromperie: tout simplement le (la) militaire n’est pas un employé du cadastre! J’espère qu’aucune des nôtres camarades ne simplifie pas la question avec cette paraphrase:rendre la pareille.
  6. Bonjour, hier soir j’ai regardé un service sur France 24 dedié à l’entrainement du ( je crois) 2eme REG au camp de Canjuers, finalisé à la recherche et au déminage en prevision des Jeux Olimpiques. J’ai apprecié le ton bienveillant du journaliste à l’égard de l’armée et proprement à l’égard de la Légion; même le berger allemand etait discipliné. Seule remarque que je pourrais faire regarde le cadrage sur les HK 416 délaissées sans-façon, mais on le sait: toujours la presse!
  7. Bonjour, cet acteur etait plus connu en Italie, ou il a vecu la pluparte de sa vie, qu’en France et il a suscité ma curiosité parce que dans sa biographie est cité son service militaire comme jeune officier dans le 2 eme REP. Vrai ou faux je ne le sais pas, toutefois il etait très vraisembable dans le rôle du commandant Lecoq (parachutiste) dans le vieux film R.A.S. « Le commandant Lecoq a les co**lles» dit de lui le soldat Girot. Repose en paix.
  8. Bonjour, je suis toujours prêt à me presenter comme je l’était dans le temps, et, merci à Lion, j’essaie d’être un peu plus exhaustif d’avant. Je suis un ancien légionnaire de nationalité italienne, matricule 155613 engagé à l’age de 21 ans dans le septembre1975 à Corté, directement à la CCS du 2 eme RE. Envoyé à Aubagne via le Bas Fort Saint-Nicolas de Marseille et renvoyé en Corse pour l’instruction chez la 1ere Compagnie, installé avec la CIC et la CIS, dans le quartier de Chabriére. Finie l’instruction j’ai été affecté à la CCS , ou j’ai reçu la distinction de 1ere classe, et ou je suis resté jusqu’à l’été 1978, en suite nouvelle croisière pour le continent à destination le REC de Orange, toujours via Aubagne, et aprés, à la moitié du 1980 encore Aubagne pour être certifié “legionnaire liberé” avec CBC. J’avais d’abord adheré au Forum pour retrouver des anciens qui ont veçu les mêmes expériences, comme par exemple Tavignano, mais par la suite j’ai apprecié d’avoir trouvé un’ambiance de camaraderie et de cavalerie très rare dans les forums. P.S. dans le carré de mon profil y avait pas trop de superfice pour completer la presentation.
  9. Bonjour, aujourd’hui c’est ça, mais je vous’assure que demain vous regretterez ce pas; si vous vous êtes engagé quelque chose dans cet etrange métier doit vous avoir attiré, c’est à vous de laisser à coté le mauvais et de partager avec vos camarades les bons moments que la Royale vous réserve. Partez donc en mission et prenez vôtre decision après. Faites une présentation en régle pour nous permettre d’en savoir plus sur le mobile de vôtre choix.
  10. Bonjour, je vous conseille deux bons livres sur l’opération Bonite (Leopard pour les belges),une page d’histoire pour la Légion. . SERGENT (Pierre), La Légion saute sur Kolwezi, Paris, Presse de la Cité, 1978 Au coeur des opérations française et belge au Zaïre. Pierre Brassart Mardaga, 28 mag 2018 - 192 pag.
  11. Bonjour, les amerloques sont passé par là avant que nous, et, même avec la simplification que un film peut donner, abordent le problème. Dans “La fille du général” la capitaine Campbell, plus valable que beaucoup de ses camarades de West Point, subit la violence de ces militaires “officiers et gentilhommes” et pourtant incapables d’accepter la supériorité d’une femme. Que dire, l’univers militaire est plus résilient aux bouleversements des coutumes.
  12. https://www.troupesdemarine-ancredor.org/documents_de_memoire/insignes-des-troupes-de-marine/insignes-de-la-coloniale-en-indo/ Bonjour, pardon, le lien s'est enrayé.
  13. https://www.troupesdemarine-ancredor.org/wp-content/plugins/pdf-viewer-for-elementor/assets/pdfjs/web/images/texture.png Bonjour, dans ce lien il y a le texte de la note ci dessus et de la reponse volumineuse du tojun. Et après on dit que les militaires manquent de fantaisie!
  14. Bonjour, très interessant sur l’argument dragons et similia. Publié par la Fédération nationale des anciens d’outre-mer et anciens combattants des Troupes de marine «En 1951, compte tenu de l’anarchie régnant en matière d’insignes, le Ministère de la Défense Nationale entreprit de faire réaliser un inventaire de tous les insignes militaires en service. En date du 15 mars, le Cabinet du ministre envoya aux trois Armées la note N° 1531 bis-CAB/DN/RR. »
  15. Bonjour, le dragon a séduit la majorité des régiments présents en Extrême Orient et, je suppose, cette faiblesse n’a pas épargné la Légion non plus; qui sait si les légionnaires là-bas se fabriquaient et arboraient des insignes avec des épouvantables dragons. insigne 8ème BPC
  16. Bonjour, si le chien peut choisir son patron et choisit celui qui n’est pas encore sorti du moyen age au lieu de celui que a produit l’”encyclopédie” c’est seulement sa faute.
  17. ne peuvent tuer que pour la France. Bonjour, ou mourir pour elle.
  18. Bonjour, le cheval peut vieillir mais Papamili est "toujours pareil"
  19. Une volonté d'aider le peuple ukrainien, une déception vécue au sein de l'armée française, un souhait de recommencer sa vie à zéro... Des volontaires français qui ont rejoint les rangs de l'armée ukrainienne ont expliqué à BFMTV leurs motivations.Deux drapeaux ornent leur tenue militaire aux classiques couleurs de camouflage, kaki, vert et beige: le drapeau tricolore et le drapeau ukrainien. Maxime, Jules, Tom et Charlie font partie de ces centaines de Français partis combattre dans les rangs de l'armée ukrainienne pour faire face à l'invasion russe. Quatre hommes que l'équipe de "Ligne Rouge" - un documentaire de BFMTV diffusé ce lundi 22 avril à 21 heures - a pu rencontrer.Leur motivation première: aider le peuple ukrainien. "Je suis venu en Ukraine pour toutes ces images d'enfants que j'ai pu voir, soit martyrisés, soit évacués tout seul sans leurs parents", explique depuis Karkhiv, Maxime, 33 ans. "Des images qui m'ont un peu fait trembler". Il ajoute: "Quand je vois encore Irpin et Butcha, quand on voit tous ces corps de civils au milieu de la route, on se dit qu’on a raison d'être là et d’aider ce peuple". "Si on perd l'Ukraine, pour moi, la Russie voudra plus" Maxime s'est engagé en mai 2022 dans une milice après l'appel du président ukrainien Volodymyr Zelensky aux étrangers "qui savaient se battre". Ce père d'un enfant a ensuite combattu pour "le troisième bataillon", jusqu'à ce qu'il perde une partie de sa jambe gauche en novembre 2023, lors d'une "petite mission de reconnaissance" sur une "ligne de forêts". Il a explosé sur une mine. En visionnant les images de ce moment, s'il se "demande comment il a fait pour survivre", il n'a qu'une "envie", c'est d'y "retourner". Après quatre opérations, et une évacuation en France, Maxime récolte depuis un bureau, à la localisation tenue secrète, de l'argent et du matériel pour son bataillon, en attendant de pouvoir retourner combattre malgré sa prothèse. "J'étais un petit peu réticent au départ, puis, je me dis quand même que j'aide les mecs qui bossent, ma place n'est pas minime quoi", réfléchit celui pour qui le drapeau bleu et jaune fait désormais "partie de son sang". Jules, 21 ans, a aussi décidé de venir en Ukraine il y a quelques mois car "depuis 2014, les Ukrainiens vivent un enfer". "Je suis venu principalement pour les civils. Et puis, je pense que c'est important de rétablir la paix ici. Si on perd l'Ukraine, pour moi, la Russie voudra plus", souligne ce dernier.Interviewé avant une mission classée secret défense menée par les forces spéciales ukrainiennes, il apparaît le visage en partie caché à l'écran pour préserver son anonymat. Avec Tom, un autre Français de 25 ans, ainsi que d'autres membres de leur unité avec qui ils partagent un appartement, ils ont pour mission de reprendre le contrôle d’un bâtiment tenu par des dizaines de soldats russes. Déçus par l'armée française Tom, en Ukraine depuis neuf mois, est un ancien soldat de l’infanterie de marine de l’armée française. Comme lui, Maxime et Jules ont aussi servi la France avant leur départ. Mais ils ont été déçus par cette expérience. Pour Jules, il y avait trop de contraintes et pas assez d'actions. "J'ai fait quelque temps dans l'armée française… Ensuite, j'ai été chauffeur livreur en France pendant une petite année. C'est pendant cette petite année que je me suis décidé à partir ici", explique Jules. Maxime, originaire de Metz, explique aussi rechercher dans son enrôlement dans les rangs de l'armée de Kiev de l'adrénaline ainsi qu'une expérience forte. Charly, qui fait partie d’une unité de l’armée régulière ukrainienne, a vu quant à lui la guerre en Ukraine comme "le moyen de tout recommencer", comme une "case départ". Après une courte formation dans l'armée française au collège, son retour à la vie civile a été un "désastre". "J'étais perdu. Je traînais tout le temps dehors, je traînais avec les mauvaises personnes... Mes parents se faisaient énormément de soucis. J'avais beaucoup de rendez-vous avec la gendarmerie, tellement que j'étais un idiot. Puis je pense que je prenais la route de la délinquance", détaille le soldat, qui arbore le tatouage d'un heaume de chevalier sur la joue. Une paye de 1.500 euros par mois Charly se bat depuis un an et demi en Ukraine et a tenu pendant trois mois une tranchée à 400 mètres d'une position russe avant que son unité ne soit obligée de reculer. Il a transmis à BFMTV de nombreuses vidéos qu'il tourne lui-même à l'aide de son portable. Souvent avec le sourire, sur le ton de l'humour, détaché, il témoigne dans ces vidéos de son quotidien, de l'intérieur des tranchées au champ de bataille. Un sourire qu'il perd lorsqu'il évoque la bataille de Bakhmout, particulièrement meurtrière pour les deux armées, où il a vécu pendant six mois les pires moments de sa vie de soldat. Contrairement à ceux qui se noient dans l'alcool, il se change les idées grâce à Dorota, sa compagne polonaise, également membre de son unité. Il la considère "un peu" comme sa "psychologue", celle à qui il peut parler et qui le "réconforte". "Si vraiment je ne voulais pas risquer ma vie mais rentrer à métro boulot dodo, rien ne m'empêche de rentrer chez moi, mais qu'est ce qu'ils feraient les copains sans moi et moi qu'est ce que je ferais sans eux, donc non je ne les laisse pas", précise-t-il, conscient qu'il "pourrait y rester". Si Charly risque sa vie en Ukraine, ce n'est en tout cas pas pour l'argent. Contrairement à des mercenaires qui s'engagent pour une entreprise privée, ces soldats sont enrôlés par l'armée ukrainienne, et de facto par le gouvernement ukrainien. Comme n'importe quel soldat de ce pays, ils sont payés 1.500 euros par mois. Une somme de laquelle ils déduisent l'achat de certains équipements. "Ils [l'armée ukrainienne, NDLR) n'ont pas forcément tous les moyens nécessaires. Le plus gros de la paye passe dans l’équipement. J’ai investi 1.500, 2.000 euros de ma poche", nous explique Jules. Bonjour, dans ce documentaire de BFMTV, vrai ou faux qu’il soit, je retrouve les motivations de nombreux jeunes engagés à la Légion d’un temps: Maxime qui. même s’il a payé avec sa jambe, soutient toujour sa recherche initiale d’adrénaline, Jules avec l’idealisme de ses 21 ans et une expérience dans l’armée témoigne l’inquiétude des jeunes, Tom, qui a servi dans un Rima, etait déçu soit de l’armée traditionelle soit de la vie civile. Charlie par contre avec son heaume sur la joue veut repartir “à zéro” après le college et le refus de tomber dans la délinquance. Sûrement ne sont pas les 1500 euro qui les poussent vers l’Ukraine, vu qu’il pourraient les gagner dans un régiment tout près de mama et papa, mais quelque chose qui est caché dans le profond de l’âme des jeunes de nos temps.
  20. Bonjour, j’essaie quand même, je trouve très élégante la gendarme sur la gauche de la première foto avec son postillon; et l’ecusson sur la troisième a appartenu à un légionnaire plus malchanceux que moi: + de 15 ans et deuxième pompe; mais c’est la Légion!
  21. Bonjour, je reviens sur ce post parce que je me suis aperçu que ma plaisanterie sur les monegasques légionnaires pourrait n’être pas comprise par les visiteurs du Forum que s’approchent pour la première fois à cette secte qui est le monde militaire et davantage le monde Légion. Retournons donc sur les nationalités des engagés français à la Légion: BTX a maintes fois expliqué que l’engagé de nationalité française sert à la Légion à titre étranger et pour ça il emprunte, jusqu’à la rectification, parellèlement au nom Légion la nationalité d’un pays francophone- Suisse, Belge, Canadienne,et Monegasque- . Les effets de ça n’etaient pas dépourvus d’un coté rigolard, comme quand un “suisse” articulait le mot “bilout” révélant ainsi sa provenance chti, ou quand un “belge” ne voulant pas être censé comme un “tireur au cul” (couplet du chant Légion le boudin) nous affirmait “je ne dis pas huitante je dis quatre-vingt!” et encore c’était amusant ecouter un “canadien” qui s’exprimait avec un accent très marqué du midi. Bonjour, pour bien l’enrouler et la fixer au tour de la taille (pas comme celle du caporal) on montait sur un tabouret et on se faisait aider par un camarade et croyez-moi avec la tenue de parade d’une fois n’etait pas trop facile.
  22. Bonjour, aussi dans la vieille armée y avait des Sous/off coriaces. «Le lendemain, l’adjudant-chef Métayer, dit Poliphème, fit à son tour son apparition. Il avait sa légende parmi les parachutistes, comme Raspéguy, comme Esclavier: officier de la Légion d’honneur, dix-sept citations, quatre blessures; il refusait obstinément de passer officier.» Les centurions Jean Larteguy
  23. Bonjour, et l’engueulade plus fréquente etait: c’est un ceinturon pas un porte c*uilles!

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