YA-K Posté(e) 11 décembre 2015 Signaler Posté(e) 11 décembre 2015 http://www.20minutes.fr/monde/1748739-20151211-manuel-valls-pense-faudra-combattre-daesh-doute-demain-libye 2011 : Libye 2013-auj. : Mali 2013-auj. : Centrafrique 2014-auj: Syrie ... 2016 : Libye ? Citer
Invité Posté(e) 11 décembre 2015 Signaler Posté(e) 11 décembre 2015 je vois pas le problème ... il y a pas 1 mais bien 2 soldats ! c'est pas rien ! C'est le double quand même ! Citer
BTX Posté(e) 15 décembre 2015 Signaler Posté(e) 15 décembre 2015 http://www.opex360.com/2015/12/14/m-le-drian-met-bemol-possible-intervention-militaire-en-libye/ M. Le Drian met un bémol à une possible intervention militaire en Libye ................/.............. « Heureusement, cette prise de conscience commence à se faire à la fois du côté de Tripoli et du côté de Tobrouk et on peut penser que les discussions qui sont en cours à la fois sous l’autorité de Martin Kobler, l’envoyé spécial des Nations unies, et dans les réunions de Rome, y compris ce week-end, vont aboutir à une solution politique », a-t-il ajouté. Alors que, le 11 décembre, le Premier ministre, Manuel Valls, a succintement évoqué une possible intervention en Libye pour « écraser » Daesh, M. Le Drian a écarté cette option, estimant qu’ »il n’y a pas de solution » autre qu’une « solution politique (…) entre les différents clans, les différentes factions qui aujourd’hui s’opposent en Libye ». Et d’ajouter que les Libyens ont « eux-mêmes les moyens militaires entre eux pour enrayer la progression de Daesh donc il faut qu’ils s’unissent politiquement. » Cela fait maintenant des mois que M. Le Drian a alerté sur les conséquences que pouvaient avoir la situation libyenne sur la menace terroriste. Outre l’EI, d’autres organisations jihadistes ont installé des camps d’entraînement dans le sud du pays, qu’il a avait qualifié de « nid de vipères ». Quant à savoir si les Libyens ont les moyens militaires de s’opposer à Daesh, rien n’est moins sûr. En effet, depuis mai 2014, le général Khalifa Haftar, soutien des autorités de Tobrouk, a lancé l’opération Dignité, afin de chasser les jihadistes de la région de Benghazi… Or, les résultats se font toujours attendre. Un autre problème pour les forces libyennes est l’embargo sur les armes qui frappe leur pays. Le gouvernement de Tobrouk en a demandé la levée à plusieurs reprises… Sans succès pour le moment. Et les moyens aériens sont très limités, dans la mesure où les appareils hérités de la période Kadhafi n’ont pas pu être entretenus. Ainsi, dans un récent rapport parlementaire, il est précisé que les forces placées sous l’autorité du gouvernement de Tobrouk disposent de deux appareils en état de vol…. « L’armée ne peut pas combattre le terrorisme sans des ressources suffisantes et des sources légales d’armes et de munitions », a encore plaidé, il y a quelques jours, Ibrahim Dabbashi, l’ambassadeur libyen auprès des Nations unies. Citer Ya Rab Yeshua.
vinolien Posté(e) 18 décembre 2015 Signaler Posté(e) 18 décembre 2015 d'accord, et on peut l'interpréter comment ce beau discours de Mr Le Drian....? Citer " Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".
YA-K Posté(e) 19 décembre 2015 Auteur Signaler Posté(e) 19 décembre 2015 Fin 2012, François Hollande martelait "il n'y aura pas d'intervention au Mali". Bilan : 3 semaines après Serval. Entre les enjeux et discours politiques et la réalité du terrain, où les terroristes progressent, il y a un monde. Citer
vinolien Posté(e) 20 décembre 2015 Signaler Posté(e) 20 décembre 2015 Le 19/12/2015 à 13:36, YA-K a dit : Fin 2012, François Hollande martelait "il n'y aura pas d'intervention au Mali". Bilan : 3 semaines après Serval. Entre les enjeux et discours politiques et la réalité du terrain, où les terroristes progressent, il y a un monde. Développer tout a fait, c'est pour cela ce genre de discours a tendance a m'interpeller.... Citer " Si tu fais trop confiance à tes yeux, tu risques de ne pas voir ce qui est vraiment important ".
BTX Posté(e) 10 janvier 2016 Signaler Posté(e) 10 janvier 2016 Selon l’hebdomadaire allemand Der Spiegel, toujours très au fait des questions de défense, Berlin envisagerait d’envoyer une centaine de militaires en Tunisie afin d’y former les forces armées libyennes. « Selon des projets internes (au gouvernement), des soldats allemands pourraient aux côtés de collègues italiens dans quelques mois commencer à former les forces armées libyennes », a ainsi avancé Der Spiegel, le 9 janvier. « Cela pourrait concerner 150 à 200 soldats de la Bundeswehr », a encore précisé l’hebdomadaire. De son côté, le ministère allemand de la Défense n’a pas souhaité faire de commentaire, ce qui laisse à penser qu’une telle option est vraiment envisagée. La formation des forces armées libyennes se ferait ainsi en Tunisie pour des « raisons de sécurité », l’idée étant de reprendre le modèle qui a été appliqué aux profit des combattants kurdes irakiens. Une telle option ne peut être envisageable que si un gouvernement d’union nationale voit le jour en Libye. Un accord politique, soutenu par les Nations unies, a été signé à cette fin en décembre par des représentants des deux factions rivales qui se disputent le pouvoir en Libye. La composition de ce futur gouvernement d’union national, dirigé par Fayez el-Serraj, devrait en principe être connue le 17 janvier prochain. Ce processus est indispensable avant d’envisager des actions visant à combattre la branche libyenne de Daesh (État islamique ou EI), laquelle a revendiqué les deux attaques suicides commises à Zliten et à Ras Lanouf ces derniers jours (plus de 50 tués). L’EI et d’autres organisations jihadistes profitent des rivalités politiques internes à la Libye pour y étendre leur influence, ce qui, à terme, peut déstabiliser les pays frontaliers, dont l’Algérie, la Tunisie, le Tchad, l’Égypte et le Niger. Cela étant, l’Union européenne (UE) a promis, le 8 janvier, une aide de 100 millions d’euros au futur gouvernement libyen d’union nationale. En outre, Mme le Haut représentant de l’UE pour les Affaires étrangères et politique de sécurité, Federica Mogherini, a écarté toute idée d’offensive armée contre Daesh menée par les Européens. « La meilleure réponse au terrorisme, et en particulier à Daesh, et nous sommes d’accord là-dessus, est une réponse libyenne fondée sur l’unité libyenne, qui sera soutenue, de la façon dont les Libyens le souhaiteront, par la communauté internationale et l’Union européenne », a en effet affirmé Mme Mogherini. Quoi qu’il en soit, la Bundeswehr va être davantage sollicitée dans les mois à venir. Outre l’option d’envoyer des instructeurs en Tunisie, Berlin a décidé de relever le niveau de ses effectifs militaires déployés au Mali et en Irak. Ainsi, 500 militaires de la Bundeswehr de plus pourront être engagés au sein de la Mission des Nations unies au Mali (MINUSMA), ce qui portera leur effectif théorique à 650 (seulement une petite dizaine y sont actuellement affectés). S’agissant de l’Irak, Berlin compte faire passer le nombre d’instructeurs présents aux côtés des combattants kurdes de 50 à 150. Ces décisions doivent encore être approuvées par le Bundestag, la chambre basse du Parlement allemand. En savoir plus sur http://www.opex360.com/2016/01/10/des-militaires-allemands-pour-former-les-forces-libyennes-en-tunisie/#2GCrv86vahVI2ZRD.99 PS. Bonne chance aux Allemands et aux Italiens en espérant que cette "armée de libération nationale libyenne" ne suive pas l'exemple de son homologue irakienne, formée et équipée à coup de millions de dollars par les Américains, et qui s'est débandée devant DAESCH. BTX Citer Ya Rab Yeshua.
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