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Aumilitaire

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Posté(e)

Suicide ? NON impossible, le suicide n'est pas autorisé dans la religion musulmane donc c'est pas possible.

Il faut tuer le maximum de personnes et mourrir les armes à la main c'est la "tradition" des soldats talibans pour aller directement au paradis.

Posté(e)

Il a beau être un "taré djihadiste salafiste" (je suis d'accord avec toi) la thèse du suicide n'est en aucun cas possible car même si il n'est pas musulman (ce que tu dis) il fait ses 5 prières de la journée et ne croit pas au suicide.

Ils ont vu qu'ils ne pourraient rien faire contre lui, ils ont donc décider de l'éliminer sinon il se serait rendu il y'a longtemps.

Bref, tout ça est terminé et tant mieux..

Posté(e)

Vous êtes fort quand même , vous osez critiquez les mecs du RAID ..

Faites un quart de ce qu'ils font après vous pourrez portez un jugement sur leurs boulots .

Respectez les un minimum les gars même si vous ne portez pas le Police Nationale dans vos cœurs .

Citation

Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts

 

Posté(e)

Bonsoir,

Je trouve que vous critiquez beaucoup mais en attendant vous n'y étiez pas et si les ordres du commissaires du RAID était d'agir ainsi ils n'ont fait que écouter les directives.

Comme nous le faisons tous avec nos supérieur hiérarchique vous comme moi, les ordres sont les ordres qu'ils soit bon ou mauvais on applique et l'on ce tait, donc je trouve sa un peu gros de mettre une faute entière sur tous dos du RAID en général.

De plus le GIGN n'a pas intervenu pour la simple et bonne raison que je cite :

"Pour les actes de terrorisme n'entrant pas dans ces catégories (prise d'otage, etc.), la répartition des missions entre le GIGN et le RAID se fait selon le lieu où l'alerte se produit : le milieu rural ainsi que les aéroports sont le domaine d'intervention du GIGN, le milieu urbain et les gares celui du RAID."

Je suis tout a fait d'accord qu'une bonne grenade flashbang plus une intervention éclair aurait été beaucoup plus intelligent et réfléchis pour l'arrêter en vie. Mais vu que ça ne s'est pas passer comme sa je suis d'accord avec le fait que le RAID l'ai tuer car imaginer un fou furieux comme lui excusez moi l'expression qui sorte de chez lui et qu'il tire sur les pompiers et les forces de l'ordre.

Je pense qu'il y aurait eu bien plus de mort après si on doit attendre qu'il soit sortit qu'il est vider son chargeur pour le chopper en vie c'est un point de vue comme un autre mais le nombre de victime n'aurait été en aucun cas le même.

Je ne fais critique en aucun cas vos avis bien entendu mais je vous expose juste le miens.

Posté(e)

C'est dommage qu'ils n'aient pas réussi à le chopper vivant...

J'aurai bien vu la bonne vieille méthode de : je te gaz l'appartement à la lacrimo, et on attend qu'il sorte, ou alors on va le cherché et on le ramasse pendant qu'il est par-terre en train de cracher ses poumons.

Bref l'histoire est fini, et c'est temps tant mieux.

"Never in the field of human conflict was so much owed by so many to so few" Winston Churchill.

Posté(e)

"Toulouse : interrogations sur l'intervention du RAID"

"Quelque chose s'est mal passé : Mohammed Merah est mort au cours de l'intervention du RAID, alors que la mission des policiers était de l'arrêter pour le remettre à la Justice. Deux policiers du RAID ont d'ailleurs été blessés au cours de la vive fusillade qui a duré plusieurs minutes.

D'un point de vue purement technique, cette opération — qui a duré 32 heures — s'apparente à un échec. Un peu comme lors de l'affaire de la prise d'otage à la maternelle de Neuilly (1993) lorsque « Human Bomb » avait été tué lors de l'action du RAID. On sait que c'est à ce moment là que des liens étroits se sont noués entre Nicolas Sarkozy et les policiers du RAID.

Des spécialistes du contre-terrorisme s'interrogent, alors qu'il s'agissait, selon eux, d'une opération assez simple, qui s'apparente à la maîtrise d'un forcené, certes très armé et déterminé. Merah était seul et n'avait aucun otage. Nous n'étions donc pas dans le contexte d'une prise d'otage massive par un groupe de terroriste dans un lieu complexe (bateau, théâtre, hotel...).

L'erreur la plus souvent pointée porte sur la manière de pénétrer dans l'appartement, mercredi à 3 heures du matin. Les policiers ont utilisé un bélier pour défoncer la porte d'entrée, derrière laquelle Merah semble avoir placé un refrigateur. Cela donne le temps à Merah d'ouvrir le feu et de repousser le premier assaut. « Dans un cas comme ça, on ne frappe pas à la porte, même avec un bélier » assure un spécialiste. Car il existe d'autres moyens d' « effraction » : en clair des explosifs. La technique (qui permet de faire sauter des murs de béton même armé) consiste à déposer, de manière dynamique, des charges soigneusement dosées au bon endroit, jusque avant l'assaut. C'est une technique complexe... que le RAID ne maitrise peu ou mal — ou en tout cas n'emploie pas. Sans doute est-elle jugée trop militaire, bonne pour les gendarmes ou les commandos.

Lorsque le RAID donne l'assaut, il lui manque un élément essentiel : le renseignement fiable. Les policiers ignorent où est exactement Merah dans cet appartement d'une trentaine de m2, et même s'il est encore vivant.

Autre interrogation, la durée de la fusillade - près de cinq minutes. 300 munitions ont été tirés par la police. Or, le succès d'un assaut se mesure à sa rapidité, moins d'une minute en principe. Ce matin, quelque chose a donc mal tourné. Même si Merah, retranché dans sa salle de bains, portait peut-être des bouchons anti-bruit (BAB) et un casque, les grenades incapacitantes ou des gaz peuvent être employés. Un autre s'interroge sur le fait que l'homme ait pu sortir de sa salle de bains — et en réalité, c'est lui qui a assailli les policiers — puis passer par la fenêtre au cours de l'assaut. En posture offensive, le RAID s'est retrouvé en posture défensive : en clair, il a perdu l'initiative et se retrouve en difficultés.

Dans une situation tactique sans comparaison au niveau de sa complexité (l'Airbus de Marignane en 1994), la fusillade avait duré quinze minutes : il y avait quatre terroristes, des dizaines de passagers otages dans la cabine d'un avion.

Enfin, la question se pose du choix du lieu pour l'interpellation du suspect. « On lui a laissé le choix du terrain, c'est-à-dire son appartement. Or, on savait qu'il allait en resortir et il était possible de l'appréhender à ce moment là », même si cela présentait d'autres risques, estiment des praticiens de ce genre d'activités.

Bref, l'heure est déjà aux critiques dans le tout petit monde du contre-terrorisme."

http://marianne2.fr/blogsecretdefense/Toulouse-interrogations-sur-l-intervention-du-RAID-actualise_a552.html

"Mourir pour libérer les hommes..."

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