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  3. j'y vois un futur ball-trap pour les pax en tranchées ...Pool !
  4. https://www.opex360.com/2025/10/28/apres-les-f-16-et-les-gripen-lukraine-envisage-de-se-procurer-des-rafale/ Après les F-16 et les Gripen, l’Ukraine envisage de se procurer des Rafale Selon la dernière édition des Chiffres clés de la Défense, au 31 décembre 2024, l’armée de l’Air & de l’Espace comptait cinq Mirage 2000-5F de moins par rapport à l’année précédente. Et l’on sait que trois appareils ont été cédés à l’Ukraine, suite à l’annonce faite par le président Macron en marge du 80e anniversaire du Débarquement en Normandie. L’un d’eux a été perdu en juillet dernier. D’autres pourraient suivre prochainement. « Nous livrerons dans les prochains jours des missiles [de défense aérienne] Aster [30] additionnels, de nouveaux programmes de formation et de nouveaux Mirage », a en effet annoncé, en visioconférence, M. Macron, lors de la réunion de la « Coalition des volontaires » organisée le 24 octobre. Mais il n’a pas donné plus de détails. Cela étant, l’an passé, dans un portrait consacré à Sébastien Lecornu, alors ministre des Armées, le quotidien Le Monde avança que la cellule diplomatique de l’Élysée avait émis « un jour l’idée de déposséder l’armée de l’Air de ses précieux Rafale pour les envoyer à Kiev »… Idée qui fut écartée par l’État-major des armées [EMA]. D’où la cession de Mirage 2000-5F à Kiev. Pour autant, il n’est pas exclu que le Rafale vole un jour sous les couleurs ukrainiennes. En 2020, l’Ukraine adopta le plan « Air Force Vision 2035 » afin de moderniser son aviation de combat en la portant aux standards occidentaux, dans le cadre d’un investissement de 7,5 milliards d’euros. À l’époque, la presse ukrainienne avait affirmé que quatre modèles d’avions de chasse étaient considérés : le F-16 Viper, le F/A-18 Super Hornet, le JAS-39 Gripen et le Rafale. Seulement, ce plan vola en éclats avec la guerre lancée par la Russie. Depuis, et outre les Mirage 2000-5, qui ne figuraient pourtant pas parmi ses priorités, Kiev a reçu des F-16 d’occasion. Au total, selon les promesses faites par les Pays-Bas, le Danemark, la Belgique et la Norvège, les forces aériennes ukrainiennes devraient recevoir un total de 85 appareils de ce type. Mais il est question d’aller plus loin. En effet, la semaine passée, et sous réserve que les financements suivent, l’Ukraine a trouvé un accord avec la Suède pour se procurer entre 100 et 150 JAS-39 Gripen E/F [soit la dernière version de l’avion de combat développé par Saab]. Le 27 octobre, devant la presse, rapporte l’agence Ukrinform, le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a justifié le choix du Gripen E/F. « Sa maintenance est la moins coûteuse car elle nécessite un nombre réduit de techniciens. Pour un pilote expérimenté, la formation ne dure pas un an et demi, comme avec le F-16, par exemple, mais six mois. Il peut aussi décoller et atterrir sur des pistes » sommairement aménagées, a-t-il détaillé. En outre, cet appareil « peut probablement » emporter « presque toutes les armes que nous avons », a-t-il ajouté. Qui plus est, le PDG de Saab, Micael Johansson, a confié au Financial Times qu’une usine pour l’assemblage final des Gripen pourrait être implantée en Ukraine. « Ce n’est pas si facile en temps de guerre, mais ce serait formidable de mettre en place en Ukraine une capacité pour au moins l’assemblage final et les tests, voire peut-être la production de pièces », a-t-il en effet affirmé. Cependant, l’Ukraine ne tient pas à en rester là étant donné qu’elle estime avoir besoin de 250 nouveaux avions de combat au total. « Je mène trois discussions parallèles concernant les avions : avec les Suédois, les Français et les Américains », a en effet déclaré M. Zelensky. Et de préciser que trois modèles ont été sélectionnés pour moderniser les capacités des forces aériennes ukrainiennes, à savoir le Gripen, le F-16 et… le Rafale. Reste à voir le nombre d’appareils que Kiev est susceptible de commander auprès de Dassault Aviation, un prélèvement dans la dotation de l’armée de l’Air & de l’Espace étant a priori exclu, puisqu’elle est en quête d’une solution pour pallier la cession des Mirage 2000-5F, comme l’avait indiqué le général Jérôme Bellanger, son chef d’état-major, dans un entretien publié par Les Échos en novembre 2024. Si une commande pour 150 Gripen E/F est effectivement passée, et si l’on tient compte des 85 F-16 qui lui ont été promis, Kiev pourrait acquérir au moins une quinzaine de Rafale pour arriver au format de 250 avions de combat.
  5. C'est Vlad qui jubile du coup il nous sort l'armageddon marin. https://www.lefigaro.fr/international/il-n-existe-aucun-moyen-de-l-intercepter-vladimir-poutine-affirme-que-la-russie-a-teste-un-drone-sous-marin-a-capacite-nucleaire-20251029
  6. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/les-etats-unis-vont-reduire-leur-presence-militaire-en-europe-selon-la-roumanie/ Est-ce la même (vieille) rumeur qui revient ? Ou bien une décision mûrie et arrêtée de la part de la Maison Blanche ? En attendant une déclaration officielle et détaillée, la prudence s’impose. En tout cas, les Etats-Unis auraient informé la Roumanie et ses alliés qu’ils allaient réduire une partie de leurs contingents déployées sur le front oriental de l’Europe. C’est ce qu’a annoncé, ce mercredi, le ministère roumain de la Défense dans un communiqué. « La décision des Etats-Unis est de suspendre la rotation en Europe d’une brigade qui avait des éléments dans plusieurs pays de l’Otan », a précisé le ministère, soulignant que quelque 1000 soldats américains resteraient déployés sur son territoire après cette réévaluation (ils sont actuellement 1800 appartenant à la 3e division d’infanterie). La Roumanie n’est pas le seul pays concerné par le déploiement de troupes US en Europe. La Pologne, l’Allemagne, les pays Baltes, la Slovaquie…, sont aussi concernés. Si l’on en croit le communiqué roumain, les unités américaines concernées sont celles d’une des deux brigades (l’une blindée, l’autre aéromobile) qui se déploient en Europe dans le cadre des rotations de l’opération « Atlantic Resolve » lancée en 2014 pour renforcer les moyens otaniens à l’est de l’Europe. La première rotation date de 2017 (voir mon post d’alors). Ces rotations avaient été l’occasion pour le Pentagone de tester les voies d’accès portuaires au théâtre européen. Les ports français de Dunkerque et La Rochelle avaient ainsi été le théâtre du débarquement de brigades US. Précision US Le retrait d’une brigade américaine de Roumanie ne signifie pas « un retrait » du continent européen, a affirmé mercredi le commandement des forces américaines basées en Europe. « Ce n’est pas un retrait américain d’Europe ni un signe d’un engagement réduit envers l’Otan et l’article 5 » de son traité, qui prévoit que chacun des 32 pays de l’Alliance vienne en aide à un pays membre en cas d’attaque, a indiqué l’armée américaine dans un communiqué du 29 octobre. Dans ce communiqué publié ce mercredi après-midi, l’armée américaine en Europe et en Afrique a déclaré que le groupement tactique de la 2e brigade de combat d’infanterie de la 101e division aéroportée retournerait à sa base du Kentucky comme prévu, mais qu’aucune autre troupe américaine ne serait déployée en Europe pour la remplacer.
  7. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/dans-raids-les-10-ans-du-commando-ponchardier/ Dans rubrique « Forces spéciales du numéro 472 de la revue Raids (100 pages, 8,8O€) est publié un sujet d’Alexandre Alati consacré au Commando Ponchardier et à ses « 10 ans d’excellence opérationnelle ». Ce Commando fort de 200 hommes et femmes est basé à Lanester (près de Lorient) et il assure l’appui dans la mobilité et le MCO des vecteurs des six autres Commandos Marine et de la FORFUSCO plus largement. Egalement au sommaire: – un sujet qui relate la plus récente parade militaire à Pékin: « La Chine montre ses muscles »; – pour l’équilibre, un reportage portant sur le Republic of China Marine Corps (les Marines taïwanais). Je signal aussi l’article intitulé « Wojska Ladowe » qui dresse un état des lieux de l’armée de Terre polonaise. Enfin, suite au salon IDEF 2025, Marc Chassillan revient sur le « spectaculaire montée en puissance de la Turquie » (1re partie).
  8. https://www.forcesoperations.com/de-talos-a-syderal-un-premier-pas-vers-un-laser-de-forte-puissance-pour-les-armees-francaises/ Les grands travaux sont lancés concernant SYDERAL, ce démonstrateur d’arme laser de forte puissance destiné aux armées françaises et en partie alimenté par d’autres projets engagés de longue date à l’échelon européen. Notifié en août dernier, SYDERAL rassemble depuis lors Thales, CILAS, Safran Electronics & Defense et MBDA autour d’une mission : la conception d’un démonstrateur de laser de forte puissance d’ici à fin 2030. Un système destiné en priorité à lutter contre les roquettes et obus d’artillerie et de mortier (C-RAM), mais qui devra également participer à la protection contre les drones tactiques et autres munitions téléopérées. Structurés en groupement momentané d’entreprise, les membres de SYDERAL amènent chacun leur lot d’expertise. Pilote attitré du programme, MBDA n’a plus grand chose à prouver en matière de défense sol-air. Le groupe européen est d’ailleurs déjà mobilisé sur des efforts similaires en Allemagne avec Rheinmetall et au Royaume-Uni au travers du projet DragonFire. Au coeur de l’effort, CILAS évoluera dans son couloir de nage en assurant la maîtrise de tout ce qui touche au laser et à une partie de l’optique. Deux segments pour lesquels CILAS a démontré sa maîtrise grâce au laser HELMA-P, première solution de faible puissance mature d’emblée orientée vers la lutte anti-drones (LAD). (ci-dessous) Les défis ne manqueront pas pour basculer des 2 kW du HELMA-P à un démonstrateur SYDERAL de la classe des 50 kW. Quand le premier reposait sur une unique fibre optique, le second demandera d’en combiner plusieurs pour concentrer et maintenir la puissance nécessaire sur un point précis. SYDERAL permettra de vérifier un concept de combinaison parmi d’autres. Plusieurs points de passage sont identifiés dans la feuille de route pour attester de la montée en maturité des différentes sous-composants. « Ce démonstrateur est conçu pour être relativement compact au regard de la puissance visée », annonçait la Direction générale de l’armement (DGA) dans la foulée de la notification du contrat. SYDERAL serait plutôt fléché vers la Marine nationale dans un premier temps. Des applications terrestres sont néanmoins à l’étude, celles-ci supposant de plancher sur un porteur dédié. Le programme SYDERAL s’inscrit dans une dynamique globale dépassant les seules frontières françaises. Il bénéficie non seulement des résultats de plusieurs projets technologiques de défense (PTD), mais partage aussi un enjeu et un calendrier proches de ceux du programme européen TALOS (Tactical Advanced Laser Optical Systems). Tant MBDA que CILAS s’y sont investis dès 2019 lors d’une phase préparatoire. Thales montait à bord quatre ans plus tard. Engagé en décembre 2024 et crédité de 25 M€ par l’Union européenne, TALOS vise essentiellement à développer deux démonstrateurs de laser de très forte puissance dotés d’une longueur d’onde de 1µm et de conceptualiser de futurs systèmes adoptant une longueur d’onde de 2µm moins bien maîtrisée par l’industrie. D’ici à fin 2027, les 21 partenaires de TALOS 2 plancheront également sur une trajectoire de développement à suivre pour parvenir, à horizon 2030, à la qualification de deux effecteurs : l’un de 100 kW pour la longueur d’onde de 1µm et l’autre de 10 kW pour celle de 2µm. Au vu de l’horizon fixé, une troisième phase – TALOS 3 – est d’ores et déjà pressentie pour intégrer la prochaine vague de projets financés par le FED, en 2027. Le tout sans exclure d’alimenter les réflexions menées au travers de SYDERAL. Les avancées obtenues par quelques armées pionnières en amènent d’autres à revoir une position jusqu’alors frileuse vis-à-vis d’une technologie émergente. Après un temps de latence, plusieurs appels d’offres lancés dernièrement comprennent cette fois des systèmes laser en tranche ferme, observe CILAS. La France n’est sans doute pas étrangère à ce regain d’intérêt. Les investissements successifs auront participé à consolider un sujet aidé en cela par par le déploiement du système HELMA-P sur l’un des sites les plus sensibles des Jeux olympiques et paralympiques de Paris de 2024. Bien que non utilisé car uniquement mobilisé « en cas d’ultime recours », l’effecteur aura réalisé, en amont des olympiades, un tir de vérification en conditions réelles contre un micro-drone quadcoptère. Une première mondiale en environnement urbain. Pour les armées françaises, il s’agit désormais de transformer l’essai. Trois systèmes HELMA-P leur seront livrés courant 2026 après réception par la DGA, résultat d’une commande passée l’an dernier dans le cadre du programme à effet majeur « LAD ». À chacun d’ensuite l’intégrer sur la plateforme idoine puis dans les systèmes de commandement et de contrôle (C2). HELMA-P pourrait par exemple tenir sur un porteur tactique de l’armée de Terre, le système pouvant être réparti dans trois boîtiers pour une mise en oeuvre plus facile et plus rapide. S’approprier une solution opérationnelle contribuera enfin à une doctrine d’emploi dont l’écriture semble déjà engagée. Crédits image : ministère des Armées
      • 1
      • Thanks
  9. https://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2025/10/lambassade-americaine-bamako-demande.html L’alerte a été publiée aujourd’hui par l’ambassade américaine à Bamako. En raison de la situation sécuritaire, les citoyens américains doivent quitter le Mali « immédiatement » et « par avion commercial, car les routes terrestres vers les pays voisins peuvent être dangereuses en raison d’attaques terroristes sur les routes nationales » précise le communiqué mis en ligne, notamment, sur Facebook. Depuis plusieurs semaines, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (JNIM), affilié à Al-Qaïda, s’attaque aux camions-citernes transportant le carburant venus de pays voisins. Bamako que le JNIM cherche à isoler est donc particulièrement touchée et l’économie tourne au ralenti. Les cours sont, également, suspendus dans les écoles et les prix des denrées explosent. « Ces derniers jours, la situation a franchi un seuil critique » raconte le site MaliWeb. Ce qui révèle « l’extrême vulnérabilité des circuits logistiques du pays ». La junte au pouvoir qui a choisi de s’entourer de mercenaires russes (Wagner puis Africa Corps) depuis son double coup d'Etat en 2020 et 2021, n’est jamais parvenue à sécuriser le pays et encore moins à en reprendre le contrôle.
  10. La cérémonie était très belle, même devant les Invalides au lieu de la cours d'honneur en rénovation. Longtemps nous ne savions pas si le modèle "24" serait conservé. Chaque année etait une nouvelle piece dans la machine. La création d'unités "a son image" est la preuve du chemin parcouru (et de la situation geo-strategique actuelle) : mais attention, le chemin a ete long avant que le modèle "fasse le job" comme dirait notre chef.
  11. Hâte de voir Dédé le bon GV en manœuvre dans la ville de garnison… espérons qu’il atterrisse avant la fin de l’exercice !
  12. Bonjour En soit , pour apporter du matériel/rations/munitions, cela peut être une bonne idée. Là ou il faudrait un convoi complet pour aller amener des munitions (ou juste des vives) en pleine jungle ou sur 15km de désert, un drone Aladin (😁) pourrait le faire d'une manière plus discrète et rapidement (au détriment de la quantité certes). Cela permettrait notamment au avants postes/ sections avancées sur la ligne de front d'avoir peut être plus de matos rapidement. Mais il est vrai que le TAS (NDLR : Tapis d'Aladin pour Soldats ) n'est pas la meilleure idée, cela me rappelle même les observateurs via des ballons durant la Guerre d'Indépendance des Etats-Unis. Pour ceux qui l'ont lu Respectueusement
  13. <iframe src="https://www.facebook.com/plugins/post.php?href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2Fenergiearmees%2Fposts%2Fpfbid09u24myvXcM3d1thDkEzQnsosx7x9hYWT4ALZwwXavTfsRMenTkNQPZiEFjwPx3y1l&show_text=true&width=500" width="500" height="468" style="border:none;overflow:hidden" scrolling="no" frameborder="0" allowfullscreen="true" allow="autoplay; clipboard-write; encrypted-media; picture-in-picture; web-share"></iframe> Évidemment le lien marche pas mais c'est une spécialité indispensable et j'ai vu des militaires qui ont fait tous les théâtres d'opération vu que que sans carburant rien ne va ...
  14. Hier
  15. bonjour à toutes et à tous, le dernier stage avant les écrits s'est déroulé au 6°RMAT/WOIPPY la semaine dernière avec 34 candidats(dates) .tous sont affutés (ées) pour mardi prochain au centrex. les stages pour préparer les oraux auront lieu du 1 au 5/12 et du 15 au 19/12 (ce dernier uniquement réservé aux admissibles) bonne chance à toutes et à tous .cordialement
  16. Que Mr Zappata, outre d'être un athlète, soit un innovateur de grand talent, est une certitude. Que ses différentes plateformes, autonomes ou liées à un cordon hydraulique, soient extraordinaires, en est encore une autre. Il n'en demeure pas moins qu'imaginer des "commandos de l'espace", prendre d'assaut par les airs n'importe quel objectif, précédé de 120 dB de bourdonnements, en équilibre très instable, sans capacité d'auto-défense... (En bref : une parfaite cible d'entraînement LAATA...). Est un non-sens absolu, au vu de l'évolution récente des champs de bataille... Mr Zappatta mérite d'être soutenu, et a sans nul doute un vaste champ de développement dans le domaine des loisirs, voire des secours d'urgence ou en situation de catastrophe à très basse altitude. (Franchissement de coupures rocheuses, glaciaires, humides...). Mais certainement pas dans le transport de combattants "humains" : trop exposés, et devant à la fois gérer : navigation, stabilité en vol, auto-protection, liaisons opérationnelles, renseignement, objectif tactique... Chose que des drones de quelques grammes assurent déjà , dans la même échelle d'autonomie... §§ Reste l'hypothèse, (quasi certaine), de bataillons "drony-portés" de cyborgs (humanoïdes ou non), déjà produits en masse tant en Chine qu'aux Etats-Unis, aux performances...époustouflantes. Contrôle total à distance. Prévisibilité absolue. Pas d'états d'âme. Pas de moralité. Inhumanité.. §§ Triste perspective... 😑
  17. Moi je verrais bien une SC2 dessus pour entrainer les GV au LATTA...
  18. Bonsoir Le SIGYCOP pour monter sur ces planches de surf volantes doit être assez rigoureux 😄 Comme dit au dessus, un drone fait tout en mieux tout en étant plus petit et moins cher à utiliser Cordialement.
  19. domino2801

    BM4

    Bonjour le coach, Pas de soucis,je reviendrai vers vous. Respectueusement
  20. C'est pratique pour combattre, d'autant que si l'on a une panne ou un éclat on peut tomber comme un chat sur ses pattes 100m plus bas. Simple, efficace... Qu'ils forment plutôt avec des vélos électriques ou motos, plus rapide et plus silencieux et si on se tape une merde, il y a juste des bleus et un peu de terre comme quand on était petit. Je ne vois pas l'intérêt de ce truc, à part s'écraser comme une merde par terre. D'autant que ouvrir le feu, un drone peut le faire aussi, utiliser des optiques, idem, en fait pourquoi vouloir mettre un homme là-haut qui aura aucune plus value qu’un drone. Pour les assauts, c'est plus pratique que la corde, pourquoi pas, mais dans ce cas c'est vraiment pour du combat urbain, je ne vois pas l'utilité dans un champ de bataille type tranchée ou bastion fortifié.
  21. Je n’ai pas de mots. Aucun mot. Au sens propre du mot « mot ».
  22. Ce sourire moqueur en dit long. J'attends la réaction de notre camarade PIRANHA. BTX
  23. https://www.opex360.com/2025/10/28/dissuasion-le-missile-strategique-mer-sol-m51-3-a-officiellement-ete-mis-en-service/ Deux ans après le succès d’un tir de qualification effectué depuis le le site des Landes de DGA Essais de missiles [Biscarrosse], le missile balistique mer-sol à capacité nucléaire M51.3 peut désormais être mis en œuvre par les quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins [SNLE] de la Force océanique stratégique [Fost] de la Marine nationale. C’est en effet ce que vient d’annoncer Catherine Vautrin, la ministre des Armées, via le réseau social X. « Ce vendredi 24 octobre, j’ai signé la mise en service opérationnel du missile M51.3, troisième version du missile stratégique M51 », a indiqué la ministre. « Fruit d’un travail mené par la Direction générale de l’armement [DGA] avec l’État-major des armées, la Marine nationale, le Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives [CEA] et ArianeGroup, le M51.3 illustre l’excellence de la haute technologie développée par les acteurs étatiques et industriels français dans le domaine du nucléaire de défense », a-t-elle souligné. Et d’ajouter : « Cet aboutissement incarne une ambition majeure de la Loi de programmation militaire 2024-2030 : accélérer la modernisation de nos capacités et pérenniser la crédibilité de notre dissuasion, pilier souverain de notre sécurité. » Pour le ministère des Armées, l’entrée en service opérationnel du M51.3 marque « une étape majeure dans la modernisation de la composante océanique de la dissuasion nucléaire française ». Fruit de travaux lancés en 2014, le M51.3 affiche une portée supérieure de plusieurs centaines de kilomètres par rapport à ses prédécesseurs, les M51.1 et M51.2. En outre, sa capacité à déjouer les capacités de défense antimissile adverse a été améliorée. « Développé par ArianeGroup [maître d’œuvre] sous la maîtrise d’ouvrage de la DGA, le M51.3 est plus performant en termes de portée, de précision et de capacité de pénétration et pérennise la crédibilité de la composante océanique face à l’évolution des défenses antimissiles adverses », a ainsi fait valoir le ministère des Armées. Par ailleurs, le M51.3 emporte la nouvelle tête nucléaire océanique TNO-2, développée depuis 2013 et dont le fonctionnement est garanti grâce au programme Simulation de la Direction des applications militaires [DAM] du CEA. Les différentes versions du M51 sont développées selon une approche incrémentale, ce qui permet de leur intégrer les dernières innovations technologiques et d’anticiper l’évolution des défenses aériennes « à l’horizon de vingt ou trente ans ». C’est pour cela que, en septembre, le ministère des Armées a annoncé le lancement en réalisation du M51.4, lequel aura des performances encore accrues, « notamment en termes de portée, de précision et de capacités de pénétration des défenses adverses », a précisé ArianeGroup. Il devrait être mis en service en 2035, soit au moment où le premier des quatre sous-marin nucléaires lanceurs d’engins de 3e génération [SNLE 3G] effectuera sa première patrouille. « Cette mise en service opérationnel est le résultat de dix années de développement mené dans le respect du calendrier, des coûts établis et de la qualité exigée. Elle intervient quelques semaines après la notification de développement du M51.4 et illustre par son exemplarité toute l’étendue du savoir-faire industriel d’ArianeGroup et de ses partenaires industriels en matière de systèmes balistiques et spatiaux », a commenté Vincent Pery, Directeur des programmes Défense chez ArianeGroup. « Je tiens à remercier la DGA et les autorités françaises pour leur confiance en l’expertise et la maîtrise d’œuvre d’ArianeGroup. Dans un contexte géopolitique en pleine évolution, le déploiement du M51.3 contribue à garantir la crédibilité de la dissuasion océanique française pour la décennie à venir », a-t-il conclu. Photo : Tir de qualification du M51.3 en novembre 2023 – DGA
  24. https://www.opex360.com/2025/10/27/larmee-de-terre-sinteresse-de-nouveau-au-flyboard-air/ Vedette de l’édition 2018 du Forum innovation défense [FID] puis du défilé du 14 juillet 2019, le Flyboard Air [ou Flyboard-R] avait très vite suscité l’intérêt de l’Agence de l’innovation de défense [AID] de par les applications militaires que l’on pouvait en tirer. Celle-ci accorda une subvention de 1,3 millions d’euros à son concepteur, Zapata Industries, afin de le rendre compatible aux exigences que les forces armées étaient susceptibles de formuler. Et cela, avec l’appui de l’Office national d’études et de recherches aérospatiales [ONERA]. Pour rappel, le Flyboard-R est, en quelque sorte, une planche de surf « volante » pouvant évoluer à une altitude de 10 000 pieds grâce à un algorithme développé pour ajuster en permanence l’inclinaison de ses six moteurs [dont quatre d’une puissance de 250 chevaux] et la vitesse de ses turbines latérales. Alors ministre des Armées, Florence Parly annonça, en 2021, que les forces spéciales allaient tester une « plateforme volante individuelle, pilotée, dérivée du Flyboard-R ». Et puis, les choses en restèrent là… Du moins, plus aucune communication ne fut faite au sujet de cette innovation, après un accident survenu lors d’une démonstration au-dessus du lac de Biscarrosse, en mai 2022. Mais il se pourrait bien que le Flyboard-R fasse son retour. C’est en effet ce qu’a suggéré le général Bruno Baratz, le « patron » du Commandement du combat futur [CCF] de l’armée de Terre, lors d’un entretien accordé à l’influenceur Romain Lanéry. Interrogé sur l’intérêt qu’il y aurait à permettre aux combattants de se déplacer de bâtiment en bâtiment à l’image d’Iron Man [et comme le permet le Jetpack], le général Baratz a dit regretter l’abandon du Flyboard-R. « Ce que je trouve dommage, c’est qu’on a une pépite en France, Zapata Industries, qui le fait depuis des années. On n’a jamais réussi à l’aider et à progresser dans ce domaine-là, ou, en tout cas, à lui passer la commande nécessaire pour sécuriser son objet, alors que j’y crois beaucoup », a en effet déclaré le général Baratz. Et le CCF y croit d’autant plus que, selon lui, le champ de bataille d’aujourd’hui, comme celui de demain, est « devenu tellement transparent et violent que la vitesse est une priorité ». D’ailleurs, en Ukraine, a souligné le général Baratz, « on voit bien que des deux côtés, que ce soit les Ukrainiens ou les Russes, on revient à des choses très mobiles et les unités d’assaut sont d’ailleurs sur des motos et des quads pour aller vite ». Aussi, cette nécessité « d’aller vite » est de nature à rendre pertinent le Flyboard-R, ou, du moins, un équipement similaire. « Des objets comme ça, effectivement, je pense qu’on les verra assez rapidement sur les champs de bataille », a conclu le général Baratz.
  25. https://www.opex360.com/2025/10/27/larmee-de-lair-va-retirer-ses-avions-c-130h-hercules-du-service-faute-de-pouvoir-assurer-leur-entretien/ Si, aux États-Unis, il est possible de connaître le « taux de capacité à effectuer des missions » de chaque flotte d’avions militaires, ce n’est plus le cas en France où, en 2020, le ministère des Armées a décidé de ne plus publier les chiffres de la disponibilité technique [DT] de ses aéronefs en faisant valoir des « impératifs renforcés de confidentialité ». Cette mesure a ensuite été étendue à l’ensemble des équipements mis en œuvre par les forces armées et concerne désormais aussi les données relatives à la disponibilité technique opérationnelle [DTO]. Des esprits taquins pourraient penser qu’il n’y aurait aucun problème à permettre au public de prendre connaissance de ces chiffres s’ils étaient excellents… Toujours est-il que leur classification en « diffusion restreinte » complique le travail des rapporteurs budgétaires, dont l’une des missions est de veiller à ce que l’argent du contribuable soit efficacement dépensé. Or, comme l’a une nouvelle fois déploré le député Frank Giletti [mais il n’est pas le seul] lors de l’audition de Catherine Vautrin, la ministre des Armées, ces données ne leur avaient toujours pas été communiquées après la publication du projet de loi de finances 2026 [PLF 26]. Or, connaître la DT et/ou la DTO des aéronefs permettrait de vérifier si la réforme du Maintien en condition opérationnelle [MCO] aéronautique porte ou non ses fruits. D’autant plus que les sommes engagées sont souvent conséquentes. Pour rappel, lancée en 2018, celle-ci s’est concrétisée par la création de la Direction de la maintenance aéronautique [DMAé] et la généralisation des contrats dits verticalisés, lesquels consistent à confier à un prestataire unique l’ensemble des marchés relatifs au MCO d’une flotte d’aéronefs tout en lui assignant des objectifs de performance. Quoi qu’il en soit, lors d’une audition à l’Assemblée nationale, la semaine passée, le chef d’état-major de l’armée de l’Air & de l’Espace [CEMAAE], le général Jérôme Bellanger, s’est félicité des résultats produits par la réforme du MCO aéronautique… même si la situation demeure contrastée pour certaines flottes. « Le MCO est un point sur lequel on est extrêmement attentif car il représente pratiquement 70 % du BOP Air [Budget opérationnel du programme Air]. Autant dire qu’on le scrute avec la DMAé », a d’abord souligné le général Bellanger. « On a des résultats et une disponibilité disparate mais qui est en nette amélioration. On y met quand même de l’argent mais les contrats verticalisés ont été bien pensés », a-t-il ajouté. Sans point de référence, il est difficile de mesurer les résultats de la réforme du MCO Aéro. Toujours est-il que le CEMAAE a fait état d’une disponibilité en hausse de 6 % pour les Rafale, de 5 % pour les Mirage 2000 et de plus de 6 % pour la flotte d’avions de transport [A400M, C-130J, C-130H, Casa CN-235, A330 MRTT]. En revanche, la disponibilité des hélicoptères a baissé de 7 %, probablement à cause des flottes les plus anciennes, comme celle des Puma/Super Puma. « Globalement, on a une disponibilité qui reste satisfaisante », a dit le général Bellanger… qui s’est toutefois inquiété pour celle des avions de facture américaine. Ainsi, si les avions de transport affichent une disponibilité en hausse, ce n’est pas le cas des quatorze C-130H de l’AAE, lesquels ont été partiellement modernisés, dans le cadre d’un marché notifié à Collins Aerospace en… 2017 pour 164 millions d’euros. Cette opération visait à prolonger leur durée de vie opérationnelle au moins jusqu’en 2035, avec l’intégration d’une nouvelle avionique [avec la suite Flight 2] et des capacités supplémentaires. Seulement, le Plan annuel de performances [PAP] du programme 146 « Équipement des forces » mis en annexe du PLF 2026 indique que « l’échéancier commandes-livraisons de l’opération C130 Modernisation prend en compte la fin des C130H sur le projet modernisation [uniquement six avions rénovés OACI et pas de rénovation COS au-delà du premier appareil commandé] »… Et que l’État-major des armées a décidé d’anticiper leur retrait du service, sans en préciser la raison. Raison que le général Bellanger a donnée aux députés. « On a un [coût de] MCO qui explose sur certaines flottes, notamment américaines, comme le C-130H. C’est bien pour ça qu’on va y mettre un terme parce que, derrière, on ne peut plus assurer » leur entretien, a-t-il dit. Par ailleurs, le CEMAAE a aussi insisté sur la nécessité de passer d’un « MCO de contrat à un MCO de combat ». En clair, « cela veut tout simplement dire que nous, opérationnels, devons avoir cette liberté de pouvoir utiliser un matériel en mode dégradé si nous estimons que le risque est maîtrisé ». Photo : C-130H
  26. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/les-editions-lescadron-annoncent-la-sortie-de-nouveaux-ouvrages/ Lancée un 2024, la maison d’édition L’Escadron annonce la sortie de nouveaux ouvrages. En juillet, Camille Vargas, fondatrice de L’Escadron et auteure a publié A bord du Renault FT, un livre dédié à son « char favori », retraçant l’histoire du char emblématique de la conception jusqu’à sa place dans les musées aujourd’hui. Illustré avec des photos, dessins, planches techniques… Pour la rentrée, a été publié un bel album historique signé par Didier Laugier, ancien gendarme et spécialiste des archives allemandes. Ce livre intitulé La 21e Panzer Division, de la Libye à la Tunisie, retrace l’épopée de cette division du célèbre Afrika Korps de Rommel, avec de nombreuses cartes, photographies, archives… L’auteur a déjà signé plusieurs livres chez Heimdall ou Caraktère. Pour la fin de l’année, L’Escadron a deux titres en prévision : – un livre (voir la couverture ci-dessus) qui sort à la fin de ce mois d’octobre, écrit par un collectionneur passionné, racontant l’histoire de la Grande Guerre à travers des objets (casques, uniformes, cahiers, etc…). Benoît Chalhoub, l’auteur, prépare déjà un tome 2 sur la Seconde Guerre mondiale; – un nouveau témoignage sur 1940 : Chef de char en 40. Celui-ci est présenté par Stéphane Bonnaud, déjà auteur de plusieurs ouvrages sur les chars chez Histoires & Collections. Voir la couverture en tête de ce post. Des projets? Oui, bien sûr: « Un peu de Légion étrangère, toujours du 1940, des chars et même un peu de campagne napoléonienne ».
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