L'Artilleur Posté(e) 8 mars 2014 Signaler Partager Posté(e) 8 mars 2014 Bonjour, 8 mars : pourquoi, pour qui ? Chaque année, nous célébrons la journée de la femme. Au-delà des stéréotypes et des préjugés, retour sur son origine et son histoire. La première journée nationale de la femme s’est déroulée aux États-Unis en 1909, à l’initiative du parti socialiste américain. Une naissance revendicatrice qui s’étend en Europe, en 1910, au droit de vote, au droit au travail et à la formation professionnelle et à la fin de la discrimination. La journée du 8 mars est choisie en 1921, par Lénine, comme journée internationale de la femme, en mémoire de ce dimanche de mars 1917, au cours duquel des milliers de femmes manifestèrent pour réclamer du pain et la paix. Dès le début, ce mouvement féministe et socialiste, prend un essor mondial. En 1977, l’ONU adopte une résolution, enjoignant ses pays membres à célébrer « La journée des Nations unies pour les droits de la femme et la paix internationale ». En France c’est en 1992 que le gouvernement donne un statut officiel au 8 mars. Un jour en mémoire des luttes de plus d’un siècle pour que les femmes accèdent aux droits civiques et à ceux du travail. L’occasion, aussi, de faire le point sur le statut des femmes dans le monde. Source : https://www.facebook.com/armee2terre Citer "Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte). - Civil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
L'Artilleur Posté(e) 8 mars 2014 Auteur Signaler Partager Posté(e) 8 mars 2014 "Je sais que j'appartiens à une minorité, c'est un fait, mais ça ne suffit pas à me définir ou à me différencier". Colonel Ortemann « je souhaite que mon engagement dans l'opération Sangaris participe à rétablir le calme dans le pays. J’attends de cette mission un engagement opérationnel fort, que ce soit lors des EVASAN ou au profit des troupes au sol, pour qui nous sommes un soutien ». Lieutenant Angela Le brigadier Stracy V. est chargée du soutien pétrolier. La fonction de ravitailleur est indispensable sur les théâtres d’opérations extérieures. Elle permet d’approvisionner quotidiennement tous les groupes électrogènes du camp et les véhicules de convois. Cette distribution de carburant permet l’arrivée de l’eau (chaude) ou encore le fonctionnement des ordinateurs. Ce soutien pétrolier est donc primordial. Citer "Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte). - Civil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 8 mars 2014 Signaler Partager Posté(e) 8 mars 2014 Hey Angela ! :) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
L'Artilleur Posté(e) 9 mars 2014 Auteur Signaler Partager Posté(e) 9 mars 2014 Bonjour, Voici le capitaine Emilie D., une femme de l’ombre qu’il faut connaître… Projetée au Mali, cette jeune femme gère près de 500 machines informatiques. Elle permet ainsi aux militaires de communiquer avec leur famille, et de recevoir les ordres de missions. Citer "Savoir pour prévoir afin de pouvoir" (Auguste Comte). - Civil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
brucine Posté(e) 11 mars 2014 Signaler Partager Posté(e) 11 mars 2014 Ce (joli) diaporama souligne l'émergence des femmes dans nos armées qui, si elles représentent environ 14% des effectifs globaux (plus haut taux en Europe de l'Ouest), n'émargent qu'à moins de 5% des officiers supérieurs ou généraux (ne serait-ce que, en dehors du machisme, parce qu'il faut quand même un bon moment avant qu'un jeune officier parvienne à ces grades). Et il passe complètement sous silence l'existence d'officiers généraux féminins. Sans remonter jusqu'à la première (Valérie André, 1976, qui était en fait non pas "général de brigade" mais "médecin chef des services de classe normale"), nos armées comptent aujourd'hui une vingtaine d'officiers généraux féminins dont la plupart "techniques" (santé, commissaires, DGA...), mais dont au moins 3 ont un commandement opérationnel: 2 amiraux (CA Chantal Desbordes et Anne Cullère) et une gendarme (général de brigade Isabelle Guion de Méritens). La hiérarchie reste cependant sûrement difficile à gravir, puisque à ma connaissance c'est toujours Valérie André (1981) qui est la seule femme à avoir été promue médecin général inspecteur, donc avec rang de général de division. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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