briand Posté(e) 26 février 2016 Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 (modifié) Bonjour à tous! Je viens d'être inapte définitif à 2 semaines de la fin de ma FGI. En 2 semaines j'ai fait 3 malaises. J'ai été 2 fois à l'hôpital. Ils ne savent pas vraiment ce que j'ai (maux de tête avec orra). Auparavant je n'avais jamais eu cela. Du coup je vais prendre RDV avec un neurologue. Quelqu'un pourrais me dire quelles sont les procédures pour faire une ''contre expertise'' et réintégrer (essayer) l'armée de terre? Merci Modifié 26 février 2016 par briand Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
milouf69 Posté(e) 26 février 2016 Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 39 minutes ago, briand said: Bonjour à tous! Je viens d'être inapte définitif à 2 semaines de la fin de ma FGI. En 2 semaines j'ai fait 3 malaises. J'ai été 2 fois à l'hôpital. Ils ne savent pas vraiment ce que j'ai (maux de tête avec orra). Auparavant je n'avais jamais eu cela. Du coup je vais prendre RDV avec un neurologue. Quelqu'un pourrais me dire quelles sont les procédures pour faire une ''contre expertise'' et réintégrer (essayer) l'armée de terre? Merci j'ai eût des mec il a eut un coup de chaleur a 2semaine du rallye et il la repassez seul quand les autre avait leur 10jours donc je pense que tu pourra reintegré 1 Citer Départ 1er RI 5 Avril 2016 On ne relève pas Picardie ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dani Posté(e) 26 février 2016 Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 il y a 5 minutes, milouf69 said: j'ai eût des mec il a eut un coup de chaleur a 2semaine du rallye et il la repassez seul quand les autre avait leur 10jours donc je pense que tu pourra reintegré il y a une différence entre un coup de chaleur, et avoir une inaptitude DÉFINITIF . 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sco Posté(e) 26 février 2016 Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 (modifié) Demande de surepxertise et encore c'est particlulier la, mais encore faut il déjà savoir ce que tu a. Contact ton ancien CeR. Modifié 26 février 2016 par Sco 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 26 février 2016 Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 (modifié) Pour BRIAND, Comme dit, aucun intérêt à faire appel à un praticien civil. Son avis rendu n'aura aucun poids. Rappel des textes en vigueur = " 4. MODALITÉS DE RECOURS EN CAS DE CONTESTATION DES CONCLUSIONS MÉDICALES. À l’occasion des expertises médicales de recrutement ou des examens médicaux dont bénéficient les militaires, les intéressés peuvent demander un réexamen tel que cela est précisé dans l'arrêté de première référence . 4.1. Sur-expertises. 4.1.1. Niveau de qualification du sur-expert. Si elle est accordée, la sur-expertise est obligatoirement réalisée par un praticien certifié des forces ou un professeur agrégé, d’un centre d’expertise médicale ou d’un hôpital d’instruction des armées, d’un niveau de qualification ou de responsabilité supérieur au praticien ayant effectué l’expertise contestée. La hiérarchie du niveau de sur-expertise est la suivante : praticien certifié (des forces ou des hôpitaux), professeur agrégé dans la discipline concernée ou chef de service hospitalier dans la discipline concernée et consultant national dans la spécialité en dernier recours. 4.1.2. Modalités de saisine du sur-expert et organisation de la sur-expertise. La sur-expertise médicale peut être demandée par l’intéressé, un médecin du service de santé des armées ou le commandement. La demande est formulée par courrier adressé au directeur régional du service de santé des armées compétent pour la zone géographique dont dépend le praticien qui a prononcé la décision contestée. L’autorité saisie du service de santé des armées est seule juge de la décision d’accorder ou non la sur-expertise et a la charge de désigner le sur-expert. Cette décision est un acte technique, imposant l’analyse de la situation médicale et administrative du militaire ou du candidat à l’engagement concerné. En cas de refus, l’autorité saisie informe le militaire ou le candidat à l’engagement concerné du motif de refus. En cas d’accord, l’autorité saisie a la charge de saisir le sur-expert (dans le respect du principe de hiérarchie du niveau de l’expert) et d’organiser la sur-expertise. La saisine des consultants nationaux est de la compétence exclusive de la direction centrale du service de santé des armées. L’autorité saisie informe avec un préavis suffisant le militaire ou le candidat à l’engagement concerné des modalités pratiques de la sur-expertise (nom du sur-expert, date, horaire et lieu de la sur-expertise, etc.). L’accord du militaire ou du candidat à l’engagement concerné est recherché. Dans l’attente des résultats de la sur-expertise, le militaire est employé en respectant les éventuelles limitations posées par le médecin militaire, sauf si l’intéressé est en période probatoire et que celle-ci ne peut être prolongée. Dans ce dernier cas, le militaire est déclaré inapte à servir et son contrat d’engagement dénoncé pour raison médicale. À l’issue de la sur-expertise médicale, un compte-rendu de sur-expertise est transmis à l’autorité du service de santé des armées ayant mandaté le sur-expert. L’autorité saisie informe l’intéressé, le médecin de l’antenne médicale soutenant celui-ci ainsi que le praticien dont la décision a été contestée, des résultats de la sur-expertise. Dans le cas où le commandement a demandé la sur-expertise, celui-ci est également informé des résultats de celle-ci en ne transmettant que des données à caractère médico-administratif. 4.1.3. Conséquences de la sur-expertise médicale. Les conclusions de la sur-expertise médicale doivent être appliquées, qu’elles confirment ou non le premier avis médical. Au-delà de la période probatoire, si la sur-expertise médicale confirme le premier avis médical, l’intéressé peut solliciter de son commandement une aptitude à servir par dérogation aux normes médicales. Une décision administrative basée sur le résultat d’une sur-expertise médicale peut faire l’objet d’une saisine de la commission des recours des militaires". BTX Modifié 26 février 2016 par BTX 1 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
briand Posté(e) 26 février 2016 Auteur Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 il y a 38 minutes, Dani said: il y a une différence entre un coup de chaleur, et avoir une inaptitude DÉFINITIF . Oui c'est bien une inaptitude définitif malheureusement. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 26 février 2016 Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 (modifié) Soigne toi déja, essaye de trouver ou se trouve le problème de le régler si possible ! Après tu te posera les bonnes questions, mais si inapte définitif :/ Bon courage en tout cas, soit doit pas être facile au moral ! Modifié 26 février 2016 par Jeanjean Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
briand Posté(e) 26 février 2016 Auteur Signaler Partager Posté(e) 26 février 2016 (modifié) Merci pour toutes vos réponses. Lundi je contact mon CER pour faire le point. Mais une chose est sûr c'est que je vais faire tout mon possible pour réintégrer l'armée de terre Modifié 26 février 2016 par briand Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Malina Posté(e) 10 mars 2016 Signaler Partager Posté(e) 10 mars 2016 Faudra déjà que tu découvres ce que tu as. 3 malaises en 2 semaines ce n'est pas normal du tout. Citer "La guerre n'est rien d'autre que la continuation de la politique par d'autres moyens." Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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