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Posté(e)

bonjour j'aimerai avoir des renseignement sur l'integration de ces deux groupes

quelle est la specialité evat qui permet d'intergrer ces groupes?

ces deux groupes sont-ils differents ? si oui en quoi sont-ils differents?

dans quelles regiments d'artillerie y a t il des équipes jtac et eop

merci de vos futures reponses

mes salutations distinguées

Posté(e)

Je vous rassure le JTAC n'est pas l'apanage du seul Artilleur. Car l'Artillerie, réfléchissons, n'est pas présente sur tous les théâtres. Alors, comment ferait-on ?

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

bonjour j'ai trouver une spe coordination appuis feux qui permet donc d'integrer les equipe d'observation.

quelqu'un a des information supplémentaire autre que celle du site officiel de recrutement de l'armée de terre

voici les information que je connais déja sur cette spe si quelqu'un connait bien cette spe ou si il a des temoignages de personnes effectuants cette spe se serait le bien venu merci

Opérateur coordination appuis feux

Mission

L'opérateur coordination appuis feux participe à la mise en œuvre d'un véhicule d'observation de l'avant ou d'un radar. Il travaille au sein d'une "équipe d'observation" au sein d'une section qui comprend également une équipe de guidage d'attaque aérienne. Son but est de détecter et de localiser en vue de leur neutralisation des objectifs. Il peut aussi servir dans une section équipée de radars de trajectoire de tir d'artillerie (COBRA).

  • 10 mois plus tard...
Posté(e) (modifié)

Le mieux ce sera là ou tu y sera.

Le "joint" du JTAC signifie "commun" : il y a missions et missions,et tout dépend de l'emploi sur un théâtre où un autre. Le job n'est pas simple ni dans l'AA ni dans l'ADT : dans l'AA ce sont des cdos qui font ça et le font bien et dans l'artillerie il ne sont pas mal non plus. Si tu veux fait contrôleur de guidage je dirai d'aller plutôt vers les commandos de l'air.

Regarde par là et fais-toi une idée : http://www.defense.gouv.fr/air/actus-air/le-centre-de-formation-a-l-appui-aerien/(language)/fre-FR

Modifié par RADU

Legio Patria Nostra

Posté(e)

d'accord merci.

Donc il n'y a pas de réponse précise a la question dans quelle armée ai je le plus de chance de devenir jtac? cela dépendra de moi.

Mais la spécialisation dans AA comment cela se passe t-il après Rochefort?

Posté(e)

si quand même quelqu'un aurait une idée pour savoir dans quelle armée aurais-je le plus de chance??

comment devenir jtac dans AA???

sachant que dans l'ADT il faut être sous off puis choisir coordination des feux a l'enSOA

Posté(e)

Alors que le centre de formation à l’appui aérien (CFAA) a obtenu, le 19 août 2011, le renouvellement de son accréditation Otan, le personnel formé est déployé sur tous les théâtres d’opération exigeant un emploi de l’appui aérien. Focus sur un organisme de l’armée de l’air unique en son genre.

Situé sur la base aérienne 133 de Nancy, le CFAA est le centre de l’armée de l’air dédié à l’instruction des spécialistes du Close Air Support (CAS – appui aérien rapproché) agissant en soutien de la manœuvre terrestre. Unité interarmées tournée vers l’international, des instructeurs allemands y sont intégrés depuis plus de dix ans.

«Nous formons les spécialistes de l’appui aérien des armées françaises et allemandes. Ainsi, notre mission est à vocation interarmées et interalliée, même si nous ne sommes pas répertoriés comme OVIA», explique le lieutenant-colonel Olivier Aribaud, commandant le CFAA. Le centre forme aussi bien des aviateurs, des terriens que des marins, y compris le personnel du commandement des opérations spéciales.

«Notre principale mission est de certifier les contrôleurs aériens avancés, appelés Forward Air Controller (FAC), selon les appellations en vigueur au sein de l’Otan, ou Joint Terminal Atack Controller (JTAC) selon les normes américaines. Nous en avons formé 56 en 2009, 64 en 2010, et nous restons dans les mêmes proportions cette année», poursuit le lieutenant-colonel. La formation s’étale sur six semaines. Les stagiaires bénéficient d’installations d’entraînement aussi bien en France (principalement autour de Suippes, Dijon, Valdahon ou Apt) qu’en Allemagne (à Baumholder). C’est aussi le cas dans la corne de l’Afrique à l'occasion de l’exercice Casex Djibouti.

«Les missions secondaires du CFAA concernent la formation du personnel qui, autour du FAC, est impliqué dans l’appui aérien comme les contrôleurs tactiques « air » (CTA)», précise le lieutenant-colonel Aribaud. Principal coordonnateur et conseiller de l’emploi de l’arme aérienne au niveau tactique, le CTA est intégré au niveau de la conception et de la conduite de la manœuvre terrestre afin de valoriser l’emploi des FAC sur le terrain. C’est le cas en Afghanistan où un CTA est inséré dans chaque groupement tactique interarmes (GTIA) pour répondre efficacement aux demandes d’appui. Il est ainsi formé à coordonner, avec l’armée de terre, l‘emploi des moyens d’appui intervenant dans la troisième dimension, comme les hélicoptères, les drones ou bien l’artillerie. «C’est un maillon indispensable dans la chaîne « air », situé fonctionnellement au-dessus des FAC, eux-mêmes affectés dans chaque compagnie de combat. De plus, le CTA est en mesure de réaliser des guidages, comme les FAC». Le centre forme également les National Fires Observers (NFO), déployés sur le terrain en complément des FAC. «Ce sont les yeux et les oreilles des FAC contribuant au maillage du terrain. Nous formons 150 NFO par an, à raison d’une semaine et demi de formation pour le module air-sol», explique le commandant du CFAA.

Enfin, le CFAA participe régulièrement, en étroite collaboration avec l’Otan ou les comités nationaux, aux études sur les évolutions de l’appui aérien ainsi que sur l’analyse des retours d’expérience. S’il existe un leadership anglo-saxon sur l’emploi opérationnel des FAC sur les théâtres d’opération, le CFAA se fait le relais des bonnes pratiques alliées et contribue à faire valoir les positions françaises en la matière.

Pour mener à bien ses missions, le CFAA utilise les équipements classiques qui font partie du matériel ordinaire en dotation pour les FAC, mais aussi des matériels modernes qui ont imposé une réelle transformation dans les modes de guidage d’appui aérien.

Lors des conflits des Balkans ou d’Afrique du milieu des années 1990, les FAC ne disposaient que d’équipements rudimentaires (carte, radio et GPS). Aujourd’hui, les systèmes d’extraction de coordonnées facilitent la localisation d’un objectif à traiter. Les aéronefs sont, quant à eux, équipés d’armements à guidage GPS ou inertiel et de capteurs optroniques permettant la transmission des données en temps réel par le biais du système ROVER. La cinquième génération de ROVER est en cours de déploiement en métropole, ce matériel étant déjà utilisé en Afghanistan. Enfin, ayant fait son apparition au milieu des années 2000, le Digital CAS est également un outil intéressant pour les missions d’appui aérien, notamment en appui de la numérisation du champ de bataille amorcée depuis plusieurs années. Il permet un partage immédiat des informations entre les FAC et les aéronefs. L’intérêt est de diffuser instantanément les éléments caractérisant un objectif, y compris éventuellement sous forme de «tchat».

«Après avoir reçu une délégation d’experts au mois de mai dernier, nous avons obtenu cet été le renouvellement de l’accréditation valable deux ans, consacrant la qualité de la formation dispensée en respect des exigences de l’Otan pour la certification des FAC», explique le lieutenant-colonel Olivier Aribaud. Véritable label de crédibilité à l’international, cette accréditation confère aux armées françaises l’assurance de pouvoir déployer des FAC sur tous les théâtres d’opération. Dans un contexte où la nature de l’appui aérien a profondément changé au cours de ces dernières années, le FAC se doit d’être capable d’apporter une solution rapide et efficace dans des opérations de contre-insurrection où l’intégration des appuis (chasseur, artillerie, hélicoptère, drone) se fait au plus bas échelon tactique.

Si le besoin français et allemand en experts de l’appui aérien ne dépassait pas la capacité de formation du CFAA, cette accréditation permettrait de certifier plus de stagiaires étrangers. Ainsi par le passé, des FAC Italiens, Marocains ou Qataris ont été formés. Aujourd’hui, la participation des Allemands au sein du CFAA monte en puissance. D’ici la fin du mois de septembre, ils vont mettre à la disposition du centre un avion civil de type Learjet, équipé d’un pod de désignation laser, parfaitement adapté à l’entraînement des FAC. «Nous avons aussi des échanges fructueux avec les belges et les néerlandais qui disposent d’un centre de formation également accrédité. Actuellement, une coopération avec les britanniques est en train de se mettre en place. Des échanges ponctuels d’instructeurs devraient bientôt intervenir. Enfin, nous échangeons aussi avec nos homologues américains stationnés à Ramstein». Par ailleurs, une délégation des Émirats arabes unis a visité le CFAA en juin dernier. Un instructeur français fera prochainement le déplacement sur place pour un exercice d’appui aérien.

«Aujourd’hui, plusieurs démarches sont initiées sur le plan interarmées avec pour objectif l’optimisation des ressources, notamment afin de réduire le taux d’échec au cours de la formation des FAC qui avoisine aujourd’hui les 20%». À l’image du personnel navigant sélectionné selon des critères stricts, le métier de FAC nécessite de disposer d’un certain nombre de compétences qui seront prochainement mises à jour par le Centre d’expertise et de recherches psychologiques de l’armée de l’air (CERP’Air). Un autre axe d’effort consiste à mettre l’accent sur les stages de perfectionnement à l’emploi des matériels nobles de l’appui aérien, comme les postes radio de dernière génération, la mise en œuvre du système ROVER ou le Digital CAS offrant tous une haute valeur ajoutée sur le terrain.

L’adaptation permanente aux exigences des théâtres d’opération et l’accréditation Otan obligent le CFAA à se maintenir constamment à niveau et à innover pour rester un organisme reconnu au sein des armées et de la sphère Otan.

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

Implanté sur la Base aérienne 102 à Dijon, le CPA 20 est composé de 250 personnes réparties en deux compagnies spécialisées : l’une dans l’appui aérien rapproché et l’autre dans la protection de force.

L’unité s’entraîne au guidage d’aéronefs, en coordination avec les experts du CPA 10 et du centre de formation à l’appui aérien (CFAA, unité du Commandement des forces aériennes) de Nancy. Le CPA 20 comprend plusieurs équipes TACP (Tactical Air Controler Party - équipe au sol d’appui aérien), dirigées et supervisées par les JTAC (Joint Terminal Attack Controler - contrôleur aérien avancé). L’équipe TACP est composée d’une dizaine de membres spécialisés dans le domaine de l’appui aérien mais qui sont avant tout des combattants capables d’agir en toute autonomie. On trouve un contrôleur aérien avancé (FAC), un transmetteur radio, un opérateur de l'appareil DHY307 de désignation de la cible, un extracteur de coordonnées, un tireur d'élite, un mitrailleur Minimi.

Ya Rab Yeshua.

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