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Posté(e)

Bonjour, 

voici mon histoire =

" y’a une fille qui voulais me frapper et par réflexe pour pas me faire frapper dessus j’ai mis mon pied mais avec la vitesse d’où elle venait et mon pied elle a reçu un coup séns faire exprès moi qui voulait la l’éloigne mais il a rendu compte à un supérieur parce que elle a u un bleu le lendemain.

et le superieur ma appeler et sans  demande où gens qui avait vu l’histoire et la fille a raconté n’importe quoi le second maître ma mit dés coups où nuque et ma mis des coup frontal avec ses pied et un peu touché mes partie génital

et j’ai encore mal et je sais pas qoui faire

désolé pour mes faute d’orthographe et j’ai 16 ans et qu’est que je peux faire alors que c un second maître".

Posté(e)

Bienvenue JHOMAR2002,

1. Vous êtes en Ecole dans la Marine Nationale ?

2. Les coups que vous avez reçus ont ils été constatés par le médecin militaire de l'Ecole ?

3. Y a t'il eu des témoins de la scène avec le second maître ? Quand cela a t'il eu lieu et où ?

4. Quelle est la fonction de ce second maître ? Avez vous un chef de section ou quelqu'un qui occupe ce type de fonction ?

Vous répondez dans l'ordre à chacune des questions 1, 2, 3 et 4.

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

Pour être crédible, il vous faut aller consulter le médecin pour qu'il vous remette un certificat médical établissant la présence de blessures, les traces de coup et leur localisation. C'est un document qui prouvera que vous avez été victime d'une "agression".

Muni de ce certificat médical, vous demandez le rapport du Major à qui, éventuellement assisté des deux témoins, vous rendrez compte de ce qui s'est passé.

Si vos deux témoins se rétractent, demander leur de rédiger un compte rendu expliquant les faits.

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

Les règles d'usage sont peut être d'en référer au chef de section en effet, mais que se passera t-il si rien ne se passe justement et que cela se passe comme souvent dans ces cas là. Du temps de perdu très néfaste en la matière.  Il y a les " règles d'usage" du code de procédure pénale qui prévoit et réprime les violences volontaires.  Pour cela c'est un dépôt de plainte qui initiera une enquête afin de faire constater au plus vite les blessures par un médecin légiste.  Très difficile de se mettre à la place de quiconque, mais je dis que si on se sent vraiment victime une plainte officiellement déposée est la seule solution. Il s'agit toujours d'un choix personnel dont le but est d'obtenir réparation via la reconnaissance d'un préjudice par la justice . Voilà pour la théorie après il faut prendre en compte le contexte particulier et les conséquences d'une plainte au pénal au sein de l'instution. Pas spécialement déontologique comme conseil ou mise en garde mais entre les belles  théories législatives et les réalités de la vie, il y a un monde qu'aucune loi ne pourra jamais régler. 

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