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TAVIGNANO


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Vrai.

La seconde est celle de la citadelle (le nid d'aigle) à Corte. Dans le doute, je l'ai insérée car je ne sais pas si c'est dans son enceinte que vous avez suivi votre instruction ou bien, à la minoterie, au quartier Chabrières.

 

Ya Rab Yeshua.

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Il y a 9 heures, BTX a dit :

Vrai.

La seconde est celle de la citadelle (le nid d'aigle) à Corte. Dans le doute, je l'ai insérée car je ne sais pas si c'est dans son enceinte que vous avez suivi votre instruction ou bien, à la minoterie, au quartier Chabrières.

 

J'ai fais l'instruction à Chabriéres à la 5eme section juste derriere le pouf. Il y avait la Citadelle, et à l'entrée de Corté comment s'appelait le quartier où il y avait l'infirmerie, la tôle, les trans et un escadron de garde mobile je crois et un chateau d'eau. J'ai oublié le nom, pourtant c'est pas faute d'y avoir monté la garde...

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Le "fameux" quartier GROSSETTI. Devenu depuis le départ du 2 sur le continent (1983), une résidence CROUS pour les étudiants.

Résultat de recherche d'images pour "photos du quartier grossetti à corte"

Comme le dépôt de munitions (le fameux PK 7), un temps "circuit d'apprentissage" CIEC du détachement légion, puis après fermeture rendu à la municipalité.

Comme le champ de tir de Campétine.

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Exact. Le chalet qui avait brûlé………...

Que de souvenirs en effet et cette "marche" chronométrée, par section d'instruction, que peu d'EVLE pourraient faire aujourd'hui, entre Corte et Sartène (ou Bonifacio ?). Dont le tracé variait selon la saison (été-hiver et les cols enneigés) mais pas la distance = 142 km.

Si j'en crois ce site

http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=7&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi56uaR0P_iAhVGrxoKHWyhC2oQFjAGegQIBRAB&url=http%3A%2F%2Fpatrianostra.forum-actif.eu%2Ft3099-le-gile&usg=AOvVaw2W5IAudDY5ReHinIZvkffU

BTX

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Ya Rab Yeshua.

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Pas faux.

A l'époque, le 2 n'avait pas bonne réputation. Il ne souffrait pas la comparaison avec le REP.

Et vous l'avez dit, le padre se partageait entre les deux unités. Il me semble qu'il avait une Peugeot 204 comme "voiture de fonction" dont le compteur kilométrique était bloqué tant elle avait parcouru de kilomètres.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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  • 3 semaines plus tard...

A mon époque, deux attaques =

- celle d'OUEAH où l'escadron a du sortir les AML et tirer au canon ;

- celle d'ARTA en 1983 avec la 3e compagnie du 2e REP du capitaine RAYMOND. J'y étais et les cadres sont passés à l'armurerie récupérer les FSA, les munitions et quelques grenades.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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ok je vous remercie

Il y a 3 heures, Levy Pierre a dit :

On vous croit parce que c'est vous ! Mais dur dur à croire !

j'ai trouvé, BTX a trouvé... en 1983 Cne Raymond du 2eme REP à Arta, et à Ouéah même année, dans les deux cas, les cynos ont dus être poussés par la faim je suis arrivé à Gabode, au trans 2 ans plus tard, j'ai moi aussi eut la dalle pendant 2 ans...

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Pour l'affaire d'ARTA, j'y étais. J'étais en charge du stage CM1 qui durait 4 mois, à l'époque où la 13 était encore autorisée à le mener. Nous étions hébergés sous tentes au sein de la 3, COMPARA.

A la popote à midi alors que nous déjeunions, un premier cyno a fait une apparition dans l'embrasure d'une fenêtre ouverte. Et puis un second, et ainsi de suite.

Bref, une compagnie entière remontant du thalweg de Miryam a envahi la popote.

Nous avons du la quitter précipitamment. Et le capitaine RAYMOND a fait procéder à la distribution de l'armement aux cadres seulement pour limiter les dommages collatéraux.

Ca canardait de partout. Les cynos ont rebroussé chemin sans omettre, comme c'est leur habitude, d'emporter avec eux les cadavres de leurs congénères.

Les attaques au Day étaient fréquentes. Raison pour laquelle nous montions toujours là-haut avec "Moucha" le guépard (celui que nous prêtait la 2e CT).

Résultat de recherche d'images pour "entrée du camp monclar à djibouti"

 

Ya Rab Yeshua.

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  • 3 years later...
Le 23/06/2019 à 14:51, BTX a dit :

Exact. Le chalet qui avait brûlé………...

Que de souvenirs en effet et cette "marche" chronométrée, par section d'instruction, que peu d'EVLE pourraient faire aujourd'hui, entre Corte et Sartène (ou Bonifacio ?). Dont le tracé variait selon la saison (été-hiver et les cols enneigés) mais pas la distance = 142 km.

 

 

BTX

Mon raid de fin instruction partait de Sorbo-Ocagnano en passant pour le Vergio.

Nous etions armés avec le magnifique MAS 36 (les 49/56 étant restés à Corte) père du FR-F1.

En suite je suis retourné pour un mois a Sorbo marine, ou y avait un club-vacances Legion, pas pour le loisir mais pour y monter la garde à cause des troubles provoqués par les indépendantistes.

Quelques mois avant ils avaient tué le C/C Bianchi qui etait là comme gardien des lieux.

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Bizarrement, je n'avais pas ce nom là de Bianchi mais celui de Rossi. Et j'étais alors présent au 2.

Extrait = " 
https://www.lemonde.fr/archives/article/1982/02/13/bull-un-commando-tue-un-legionnaire-bull-une-quinzaine-d-attentats_3105008_1819218.html
 

• Un commando tue un légionnaire • Une quinzaine d'attentats

Un mort - un légionnaire - deux autres militaires sérieusement blessés, des explosions criminelles en plusieurs points de l'ile, tel est le bilan des graves événements qui se sont produits en Corse dans la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 février. Le Front de libération nationale de la Corse (F.N.L.C.) a revendiqué ces attentats, ainsi que deux autres commis dans les Bouches-du-Rhône. Ces événements coïncident avec la présence en Corse de trois ministres. Mme Édith Cresson, jeudi, MM. Charles Fiterman et Charles Hernu, vendredi. Ce dernier a présidé, vendredi matin, à Calvi, les obsèques des trente-six victimes - dont trente légionnaires - de l'accident du Nord-Atlas survenu le 3 février à Djibouti. Il a déclaré que la mort du légionnaire était " un assassinat ".

Par DOMINIQUE ANTONI.

Publié le 13 février 1982 à 00h00, mis à jour le 13 février 1982 à 00h00

 

Bastia. - La trêve de la violence qui avait été décrétée en Corse, le 3 avril 1981, par le Front de libération nationale de la Corse (F.L.N.C.) a été, de fait, rompue dans la nuit du jeudi 11 février. Une quinzaine d'attentats ont été perpétrés, qui ont visé, en Haute-Corse, des équipements touristiques, et, en Corse-du-Sud, quatre nouvelles gendarmeries en construction. Plus grave est le mitraillage de légionnaires, qui a fait un mort.

La première intervention d'un commando en cagoules a eu lieu au camp de repos de la Légion étrangère, à Sorbo-Ocagnano (Haute-Corse).

Vide en cette saison, le camp est gardé par deux hommes. Ce sont eux qui ont été mitraillés à l'arme automatique à travers une fenêtre. Dix-neuf douilles de 9 millimètres ont été retrouvées sur les lieux, tandis que les deux hommes grièvement blessés ont cependant pu donner l'alerte. L'un d'eux est décédé à l'hôpital où ils avaient été transportés d'urgence. Il s'agit de Renato Rossi, caporal-chef, âgé de quarante-cinq ans, originaire d'Italie.

 

À 21 heures, à Ventiseri (Haute-Corse), village situé dans la plaine orientale, un homme masqué a fait irruption au domicile de l'adjudant-chef Gérald Habermacher, qui est attaché à la base de Solenzara. Après avoir tué le chien et arraché le fil du téléphone, l'homme armé a tiré dans les jambes de l'adjudant-chef. Trente douilles ont été retrouvées.

D'autre part, une série d'attentats a été perpétrée entre minuit et 3 heures du matin ce vendredi. Un commando à visage découvert a pénétré dans la ferme appartenant à M. Marcel Wagner et située à Abbazzia dans la plaine orientale. Après avoir embarqué sur un camion les ouvriers nord-africains qui se trouvaient là pour les conduire dans une vigne, les hommes du commando ont placé quatre charges de moyenne puissance qui ont détruit un hangar contenant quatre tracteurs, une machine à vendanger, un bulldozer, et causé des dégâts à la ferme attenante.

Sur les murs, plusieurs sigles I.F.F. (les Français dehors) et F.L.N.C. ont été retrouvés. À Saint-Florent, c'est la villa témoin de l'agence Nebbio, gérée par M. Albert Verbec, promoteur immobilier parisien, qui a été détruite. Là encore le sigle F.L.N.C. a été peint sur les lieux. À San-Ambrogio, en Balagne, le bureau de l'administrateur de la marine, M. Maurice Perron, a été détruit ainsi que le garage de mécanique bateau appartenant à M. Gilles Gamier-Couignier. Le château d'eau alimentant le camp de vacances ainsi qu'une drague dans le port ont été également détruits à l'explosif. Enfin, une baraque de chantier située à Puriani, dans la banlieue de Bastia et.......".

BTX

Basta cosi

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Ya Rab Yeshua.

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