[Mémoire de fin d’étude en ergothérapie – Prévention des lombalgies chez le militaire]

[Oceane-ergo]

Bonjour, 

Dans le cadre de mon mémoire de fin d’étude, je réalise une pré-enquête à destination des militaires travaillant à l’armée de terre afin de les questionner sur l’apparition ou non de troubles musculosquelettiques, en particulier les lombalgies, durant leurs années de services. Cette enquête, d’environ 5 minutes, aura pour finalité la création d’une procédure d’intervention de prévention des lombalgies chroniques par l’ergothérapeute au sein d’un régiment. Vous pouvez également répondre à ce questionnaire si vous êtes un ancien militaire.

Merci d’avance pour vos réponses qui m’aideront dans la rédaction de mon mémoire.

Restant à votre disposition pour d’éventuelles questions.

N’hésitez pas à partager !                                                                                                              

Océane M., étudiante en 3ème année d’ergothérapie

 https://forms.gle/xmV54ZnUQPg4uyBB8

[BTX]

Bienvenue

Je déplace votre présentation dans la rubrique SONDAGES et ETUDES.

J'ai effacé votre patronyme. Discrétion.

BTX

[dragunov]

Bonsoir Océane-Ergo,

Merci de votre souci des carcasses fragiles que nous sommes parfois !

(Si vous le pouvez, effacez par ailleurs votre nom de famille de l'abstract de votre enquête en ligne...)

§§

A titre contributif, n'est-il pas intéressant de savoir "sur quel plans", pour ceux qui auront considéré l'entraînement intensif comme "positif" ? (Fin de questionnaire dès la troisième page en ce qui me concerne).

Il n'est en effet pas exclu (c'est même une certitude..), que nombre d'entre nous considèrent un entraînement intensif comme étant bénéfique, malgré le fait d'avoir pu rencontrer, à un moment donné des douleurs posturales ou suite à blessure à l'entraînement..

 

 

[Oceane-ergo]

Bonsoir, 

Merci pour votre conseil, c'est fait ! 

En revanche, je tiens à préciser qu'il ne s'agit en aucun cas pour moi de vous voir comme des "carcasses fragiles" mais comme une population bien trop négligé par mon corps de métier