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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 22/05/2025 dans Messages

  1. Les plus jeunes c'est d'avantage : "faut dormir dehors ? Oula." suivi d'une fracture du morale. Ou alors pas mal de "J'ai vu, ça me plaît pas, je veux partir". Sinon ça part pour blessure (qui est un signe du manque d'entraînement).
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  2. bonjour, vous devriez en parler à votre recruteur, il dispose des notes à jour de la direction des ressources humaines qui traitent du sujet et saura vous aiguiller
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  3. Salut! Sur les RHC sorti dans ta spe en préparateur mission 2011, 1 place au 1er rhc, 1 place au 3 rhc, 1 place au 5rhc. Le premier des 3 à choisi le 5. Bon choix pour ma part. le 2eme le 1er et le dernier le 3. Aucune place pour notre promo, toutes spe confondu. il faut savoir que les recrutements particuliers se font pas sur toutes les promos. Tout dépend des besoins du régiments et de la drhat. Tu seras en concurrence avec les Evso de ta spe 2011. Les Evso en concurrences dans une arme sont souvent en cavalerie ou artillerie car ils signent pas une spe mais l’arme. Par exemple les artilleurs vont au classement choisir leur régiment et leur spécialité AFA ou CAF ou DSA. Pour la cavalerie les spe à choisir sont soit RIM/ERI, soit CHAR, soit ROUE CANON. Attention cependant, un régiment va peut être être disponible mais que pour des AFA. Chaque régiment expriment aussi ses besoin en spécialités. Pour les futurs EVSO dans les armes Cavalerie et Artillerie qui ne souhaitent pas jouer la spe mais que le régiment, vous avez la possibilité de signer un contrat au CIRFA directement dans une des 3 spécialités. Demander à votre conseiller !!! 2 EVSO ont été prioritaire sur la spécialité CAF car leur conseiller les a bien conseillé.
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  4. En effet je prends tout cela comme une bonne leçon, en espérant mener mon projet à son terme et pouvoir oublier ce passe un peu chaotique 😊 maintenant place aux tests du 21 au 23 mai !
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  5. Bonjour à tous, Je vais faire un retex de mon expérience à l'ENSOA en tant que major FGI, si vous avez des questions n'hésitez pas je vais surement oublier des détailles. Dans un premier tant je me suis engagé en avril 2024 et j'ai fini le cfim début juin. Pour ma part j'ai été assez dessus du cfim, j'ai même douté de mon engagement. Cela est du a un manque d'épanouissement personnel lors de la formation. J'ai intégré mon escadron des début juillet et j'ai pu y rester jusqu'à mon départ à l'ensoa. J'y ai rencontré mes futurs cadres et camarades de travail et j'ai pu préparer l'ensoa avec les sous-off qui sont tous semi direct. Cela a été 4 mois géniaux où j'ai pu passer des stages et qualifs avec mon peloton, ça n'a pas été du temps perdu, j'ai été bien utilisé. Arrive fin octobre le moment de partir à Saint Maixent, comme prévu j'intègre une promo de direct, la 378e promotion au 3e bataillon. Je suis arrivé le dimanche avec tous les autres majors intégrant la promo. Nous étions une trentaine. Nous étions également la deuxième promotion de l'ensoa depuis la réforme à faire 6 mois. Les majors FGI peuvent rejouer le régiment de leur arme ou l'arme en général. Peut ont accepté et ils ont pour la plupart regretté. Le calendrier était divisé en 3 grandes parties. De octobre a fin décembre, les "classes" + "cme" (j'insiste sur les guillemets) ; De janvier à début mars, entrainement chef de groupe c3t; et pour finir mars à avril, la courtine + test CM1 + "aguerrissement". La réforme étant nouvelle, chaque promo de 6 mois expérimente un emploi du temps différent pour faire des retex et trouver la solution miracle qui donnera (essayeras) de former des "bons" sergent en 6 mois. (Mission impossible 9) J'avais apporté mon cahier du cfim avec tous mes cours et mon memento de l'EVI, en 6 mois je n'ai rien écrit de plus que ce que j'avais marqué en fgi hormis les cadres d'ordre du CDG. J'ai même été surpris que la moitié des cours en EVI sont plus fournis et plus pratiqué. Car en 6 mois, nous avons pas le temps de voir : le génie (adieux le carré de retournement et le 0-5 5-25), la fouille et le checkpoint, la latta (réduis à la LADA), le rens (on le brosse à peine). Les classes sont très très loin de celles en CFIM, ils ont trop peur de perdre du monde. Je sors 17eme de la promo à 0,4 du premier. Pour les places sorties, ils étaient 20 en infanterie, une place au 8 et une au 3. Pour les autres Armes et spe n'hésitez pas à demander.
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  6. Bonjour BTX, oui j'ai déjà eu l'entretien et ça s'est très bien passé. Merci pour les conseils! Merci pour les conseils, ces deux points sont effectivement ceux que je ne sais pas gérer par expérience. Un précédent employeur (civil) n'a eu aucun problème à me fournir l'uniforme masculin, mais l'armée est évidemment une autre histoire. Merci
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  7. Bonjour, Je rejoins h2M, prenez rendez-vous avec votre recruteur et expliquait la situation. Il comprendra votre désarrois et vos questionnements. Il est vrai qu'avoir le "F" complique les choses comme vous l'avez spécifié avec les uniformes et la nudité mais l'AAE est ouverte d'esprit et s'adaptera sûrement à la situation, vous ne devez pas être le premier dans ce cas.
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  8. Vous nous aviez dit être candidat à la réserve de l'AAE. Vous devrez avoir un entretien avec votre futur employeur si cela se passe comme dans l'armée de terre. Lors de cet entretien, des questions vous seront posées. Sur votre expérience professionnelle, vos motivations, vos attentes et votre projet. Répondez y naturellement. Le reste est du ressort de votre vie privée. Eventuellement lorsque vous passerez la visite médicale d'aptitude, vous aborderez le sujet avec le médecin et recueillerez son avis sur la conduite à tenir. Perso, je ne me prendrai pas trop la tête. BTX
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  9. https://www.opex360.com/2025/05/21/clemenceau-25-le-groupe-aeronaval-du-charles-de-gaulle-a-aussi-rencontre-un-porte-avions-chinois/ Dans le bilan de la mission Clemenceau 25 qu’elle a publié le 30 avril dernier, la Marine nationale n’a pas tout dit au sujet des activités du groupe aéronaval [GAN] formé autour du porte-avions Charles de Gaulle quand celui-ci naviguait dans la région Indopacifique. C’est en effet ce qu’il ressort de l’audition de son chef d’état-major [CEMM], l’amiral Nicolas Vaujour, par les députés de la commission de la Défense, ce 21 mai. Même si le programme du porte-avions de nouvelle génération [PANG] ne semble pas menacé étant donné que le budget des Armées devrait, a priori, augmenter sensiblement dans les années à venir, l’amiral Vaujour a commencé son propos liminaire en mettant en avant l’intérêt pour un pays comme la France de disposer d’un groupe aéronaval. « Le groupe porte-avions est quelque chose d’assez particulier. On l’oublie souvent mais il a trois grandes fonctions : le dialogue stratégique, la supériorité aéromaritime qui permet de défendre nos intérêts partout dans le monde et de gagner un combat en mer ou d’ouvrir une brèche [dans les milieux contestés] et l’agrégation des volontés politiques partenariales », a-t-il dit. S’agissant du dernier point, le CEMM a fait valoir que « quand vous avez un porte-avions, vous avez des copains qui viennent avec vous » alors que « quand vous n’en avez pas, vous allez toquer à la porte des copains qui en ont pour savoir si vous pouvez aller avec eux ». Quoi qu’il en soit, a-t-il poursuivi, le « groupe porte-avions, ce n’est pas quelque chose d’anodin dans le monde. Pendant la mission Clemenceau 25, le Charles de Gaulle a rencontré cinq groupes porte-avions : deux américains, un indien, un japonais et un chinois. Les pays expriment leur puissance par l’outil porte-avions ». Effectivement, durant sa mission, le groupe aéronaval eut une interaction avec le porte-avions américain USS Harry S. Truman quand celui-ci se trouvait en Méditerranée. Même chose lors de l’exercice Pacific Steller, auquel participèrent l’USS Carl Vinson et le porte-aéronefs japonais JS Kaga. Puis, en mars, les manœuvres Varuna furent l’occasion pour la marine indienne de déployer, pour la première fois, l’INS Vikrant (ci-dessous) au côté du Charles de Gaulle. Cela étant, et sauf erreur, à aucun moment la Marine nationale n’évoqua, dans sa communication, une rencontre entre le GAN et un porte-avions chinois… Lors de son audition, l’amiral Vaujour a indiqué que le Charles de Gaulle était « passé dans la ligne des neuf traits, c’est à dire en mer de Chine méridionale ». Or, la quasi totalité de cette dernière est revendiquée par Pékin, malgré un avis de la Cour permanente d’arbitrage [CPA] de La Haye qui, rendu en 2016, avait estimé que les prétentions chinoises ne reposaient sur « aucun fondement juridique ». A priori, cette « rencontre » avec un porte-avions chinois a eu lieu avant ou après l’escale – inédite – du GAN aux Philippines. À cette occasion, il avait pris part à des exercices de lutte anti-sous-marine ainsi qu’à des manœuvres aériennes en mer de Chine méridionale, aux côtés des forces armées philippines. « Toutes ces interactions ont pour objectif non seulement de renforcer notre interopérabilité, mais aussi de démontrer notre engagement à maintenir la stabilité régionale et à promouvoir une région indo-pacifique libre, ouverte, sûre et pacifique », avait alors expliqué le contre-amiral Jacques Mallard, le commandant du groupe aéronaval français. « Nous souhaitons renforcer la coopération avec les partenaires régionaux qui partagent notre engagement à faire respecter le droit international et à garantir la liberté de navigation dans les espaces maritimes partagés », avait-il ajouté, avant de refuser de dire si la marine chinoise avait suivi les navires français durant leur navigation vers les Philippines. En tout cas, d’après les propos de l’amiral Vaujour, une « rencontre » a bel et bien eu lieu entre le GAN et un porte-avions chinois. Selon le renseignement en sources ouvertes, le navire en question pourrait être le CNS Shandong (ci-dessus). À en croire l’imagerie satellitaire, ce dernier se trouvait encore amarré à la base navale de Yulin [province de Hainan] le 21 février. Mais il n’y était plus le 25 février, alors que le Charles de Gaulle venait de quitter les Philippines. Sa mission aura été de courte durée puisqu’il fut de nouveau repéré à son port d’attache le dimanche suivant [soit le 2 mars]. Cette rencontre n’a pas engendré de tensions particulières… « Les Chinois nous ont surveillés mais ils n’ont pas du tout été agressifs à l’encontre de la France. Ils comprennent mieux notre position. Cela ne veut pas dire qu’ils sont contents qu’on soit là… Mais nous avons affirmé la liberté de navigation qui est véritablement ce que l’on défend pour nos intérêts », a ensuite expliqué l’amiral Vaujour. Enfin, interrogé sur le coût du porte-avions, jugé trop élevé par un député, le CEMM a invité à faire un calcul. « De manière générale, la marine est chère. Mais les armées sont chères. Pendant la phase de construction, le coût du porte-avions [de nouvelle génération] représente 2 % du budget de la Défense. 2 % sur 50 à 60 milliards d’euros, pendant dix / quinze ans. Quand on rapporte ça au budget de l’État [350 milliards], ça devient vraiment pas grand chose. Et encore moins si on le rapporte aux dépenses publiques [1 500 milliards]. Doit on se priver d’un tel outil de puissance ? Je vous laisse réfléchir », a-t-il conclu. Photo : archive / Marine nationale
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  10. Salut ! Alors j’avais que 1 seule personne génie dans ma promo qui était 2006 et à la fin il a été affecté en 2006. Tu ne choisiras pas d’autre spécialité que 2006 à l’école. Si tu souhaites 2007 ou 2005 il faut que ça soit sur ton contrat pour être dans ces domaines.
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  11. Le sergent-chef Tran Dinh Vy, né le 27 avril 1928, croix de guerre TOE avec 4 citations, Médaille coloniale avec agrafe, ancien séminariste persécuté par le Viet-minh, il deviendra Colonel du 41°RI de l'armée sud vietnamienne, puis rejoindra la Légion étrangère après la chute de Saïgon. Le colonel Tran Dinh Vy est probablement le soldat français le plus décoré puisque 25 fois cité. Ayant débuté son parcours de guerrier comme simple partisan, il est entré dans la légende quelques années plus tard en devenant l’adjoint du plus célèbre chef de commando d’Indochine celui de l’Adjudant-chef Roger Vandenberghe. Il s’engage en 1947 au 6e Régiment d’Infanterie Coloniale. Il y fait la connaissance du Sgt Roger Vandenberghe avec lequel il va fonder le commando le plus célèbre d’Indochine, « les tigres noirs » à savoir une centaine de volontaires, majoritairement d’anciens viets ralliés et récupérés dans les camps de prisonniers. Habillés en viet, ils sont spécialisés dans les infiltrations de nuit derrière les lignes viets pour des coups de main, du renseignement...de Lattre disait d’eux : « Donnez-moi cent Vandenberghe et l’Indochine est sauvée ! » Leur fait d’arme le plus célèbre, en mai 1951, sur ordre du général de Lattre, l’assaut du rocher de Ninh Binh, le long du fleuve Day, pour récupérer le corps du fils unique du général, le lieutenant Bernard de Lattre tué la veille en défendant son poste situé au sommet du rocher. Pour ce fait d’arme exceptionnel (qui a réussi), le sergent-chef Vy, adjoint de Vandenberghe (blessé durant l’assaut, c’est donc Vy qui a pris le commandement et coiffé le sommet), de Lattre l’a pris dans ses bras et lui a remis la Médaille militaire en personne. Après l’assassinat de Vandenberghe en janvier 1952, Vy est passé officier dans l’Armée Nationale Vietnamienne qui servira de colonne vertébrale à la future Armée du Sud-Vietnam. Par la suite, il a fait toute la guerre du Vietnam dont les furieux combats sur les collines de Dak To, d’abord dans les paras, puis à la tête d’un régiment d’Infanterie et enfin à la tête d’une province militaire. Il a fui le Vietnam à la suite de la prise de Saigon le 30 avril 1975 par les divisions communistes. Nord-Vietnamien, il est un des tout premiers boat-people. Revenu en France, est réactivé dans l’Armée française au grade de Chef de bataillon au 1er RE à Aubagne. Titulaire de 23 titres de guerre dont la Silver Star américaine.
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  12. En tant que ADM
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  13. Bonnes questions car les métiers et le quotidien militaire n'ont rien à voir j'imagine ....
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  14. Toujours d'excellents renseignements !
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  15. Bonjour ben pour moi on candidate pour un poste donné (le DS) donc le classement se fait pour ce poste là (c’est tout l’objet de la sélection des candidats au CIRFA qui donne accès à la formation au quotas attendu de candidats pour un nombre de places en spécialités à pourvoir) si le DS a plusieurs spécialités la répartition se fait par encore un classement dans le classement du dit DS (les premiers choisiront alors leur spécialité puis le régiment selon ceux ouverts pour la spé) j’ai bon?
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  16. Transposable aux moins vieux : « Ma copine me manque » « Mon chien/chat me manque » « Ma console me manque ! » sans compter pour certains de tout âge le manque nicotinique ou autre fumette qui plombe direct le moral dans les chaussettes 😂 mais non ça va le faire…la gniak!!! Avec l’envie et la détermination tout passe bon courage pour l’attente c’est presque ça le plus dur 🙃
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  17. C'est toujours bien d'avoir des retex de notre recrutement. Bon courage pour la FGI-R et à peut être en compagnie (j'en suis persuadée). Quelques abandons de vieux car "ma femme me manque" "mes enfants me manquent"
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  18. À date, 2 FGIRs par an : Avril et Octobre (Toussaint), en vue d’alimenter les 2 solides compagnies de réserve qui montent encore en puissance, foncez
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  19. En tout cas ça fait plaisir de voir qu'il reste ce vivier intellectuel disponible pour la Reserve. De mon temps, le fait d'avoir fait son service comme officier était une obligation.. J'en ai même connu qui ont fini Colonel d'Active... C'etait avant.. Je voulais dire dans certains milieux sociaux...
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  20. Merci pour vos retours et corrections, je ne pourrai malheureusement pas prétendre maîtriser le pachtoune, je me contenterai donc de l'anglais Que téléverser sur l'espace candidat du site ? La version manuscrite ou document texte ? PS : pour répondre à ma propre question, "hors classe" fait bien partie du nom du grade, JMCMBCC (je me coucherai moins bête ce soir)
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  21. MrsDor, tu retournes automatiquement dans ton régiment si tu n'acceptes rien de ce qu'ils te proposent. Oui il y a eu 2 Major chasseurs Alpin qui avaient beaucoup hésité à faire en semi direct pour le faire à l'EMHM. Plus prestigieux et plus pêchu, cela impliqué d'attendre quelques années de plus.
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  22. Notre capitaine a une phrase qui marche vraiment bien : - Quand l'active se réserve la réserve s'active Les deux sont complémentaires et maintenant indissociables.
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  23. Tout çà est très intéressant , tu as bien fait de porter à la connaissance de tous ce parcours "interne" , témoignage des plus précieux pour s'actualiser .
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  24. Résultat ce jour de l'enquete de sécurité ! Et je suis.... C1! À croire que j'ai une bonne étoile comme me l'a dis mon CER ! 😊😊
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  25. https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/manifestations-en-ukraine/reportage-la-motivation-c-est-d-abord-l-argent-au-c-ur-de-l-entrainement-des-jeunes-ukrainiens-volontaires-pour-faire-la-guerre_7228602.html
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  26. Neoskrim, Clairement, conduire sous alcool ou/ET stups 🙄 ... , n'est pas "une erreur". C'est d'une part de l'insconscience quant aux éffets de ces substances, mais surtout de l'irresponsabilité, potentiellement criminelle, quant aux conséquences potentielles sur soi, ses camarades, et avant tout autrui ! Aucun jugement doctrinaire : juste le réel. §§ => Nous avons tous été amenés, un jour ou l'autre, à "dépasser la norme", au sortir d'une fête, d'une célébration, d'un pot de départ, ou d'une soirée quelconque... Mais en tant que militaire, à quelque niveau ou statut que ce soit, ne pas être maître de ses capacités n'est tout simplement pas admissible. Si "abus" il y a eu, on assume : on rentre à pied, en taxi, ou conduits par un camarade plus sage, ou à qui a été dévolue la mision sacrée de "chaperon de cette soirée". Puis on cuve en silence, et fait en sorte d'être "frais, dispo, et volontaire" pour le rapport du matin, et la journée de travail et d'exercices qui s'en suit ! §§ Nb : si les excès sont réccurents, rapprochez-vous du Bureau des Sports de votre unité, qui pourra excellement vous aiguiller vers une pratique régulière (trail, cross-fit, boxe..) apte à prodiguer une condition physique et un bien-être permanents, sans commune mesure avec les "béquilles" chimiques... §§ En toute bienveillance, et (on vous le souhaite), future camaraderie ! 🤞
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  27. Sans compter que la ligue de défense des poteaux pourrait porter plainte 🤣🤣 Clairon
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  28. bonjour, chaque signalement fait l'objet d'une enquête (pharos notamment). Vous n'aurez pas de suite à vos signalements. Ce n'est pas parce que vous voyez toujours la plateforme ouverte que les enquêteurs qui ont reçus vos signalements ne se penchent pas sur ce qui se dit. En fait, ni vous ni personne ne peut savoir ce qu'il adviendra ainsi que les actions mises en places Et croyez moi sur les signalements sur des thèmes à caractère "terro" sont pris très au sérieux
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  29. Salut la team Terre ! Je profite d’un petit arrêt de travail qui va sans doute me valoir le statut si peu convoité d’IRP pour vous rédiger un petit RETEX de mes deux premiers mois à Saint-Maix. J’ai incorporé le 1e bataillon de la 372e promo en février dernier, la fameuse promo des JO. Au départ, nous étions 330 élèves dont 31 majors FGI, mention spéciale à l’arme du train qui compte dans ses rangs 10 majors FGI sur 14 élèves, autrement dit les 4 directs n’auront que peu de choix concernant leur affectation. Je complèterai plus tard avec les statistiques concernant le nombre de bac+2, féminines et ultra-marins quand je retournerai à l’école. Dans ma section, quasiment la moitié a déjà de l’expérience militaire, que ce soit en tant que major FGI, réserviste, voire active dans l’AAE mais leur avance s’atténue assez vite. Pour ce qui est des spécialités, les plus répandues sont sans conteste le génie combat, les SIC et la sécurité civile pour seulement une dizaine de fantassins et une dizaine de cavalos. Sans surprise, les spés sont réparties équitablement entre les sections (jamais plus de 2/3 représentants de la même spé par section). Avant de commencer le descriptif de mes premiers mois à l’ENSOA, quelques petits points concernant les récentes altérations de la formation des sous-offs. La promo de juin sera la dernière à suivre la formation de 8 mois avant que cette dernière ne passe à 6 mois. Le contenu a cependant déjà été fortement réduit avec notamment la suppression du stage en corps de troupe et des cours d’anglais, seul le TOEIC a subsisté. La promotion de novembre est la première à expérimenter cette réduction du volume de la formation et les cadres commencent à se demander comment ils vont réussir à combler les derniers mois. Un autre changement majeur est la suppression partielle du CM1 remplacé par du contrôle continu. A titre d’exemple, en deux mois, on a déjà eu 4 évaluations en topographie. Circuit d’incorporation La première semaine est exclusivement dédiée au circuit administratif (visite médicale, prise de mesures, coiffeur, perception paquetage, papiers,…) qui donne lieu aux premiers départs. On a malheureusement 5 inaptes d’entrée de jeu dont 2 rien que dans ma section, certains se sont par ailleurs lassés de l’attente ou n’ont pas supporté les premières contraintes telles que faire le lit au carré et un gars n’a pas supporté sa tête sans les dreadlocks et a préféré arrêter directement (c’est pas une blague). Le soir on retrouve notre section et nos cadres, en général 3 chefs ou adjudants appuyés de 2 sergents de promotion pour les premiers mois. En bref, ce sont des sergents de la promotion sortante diplômés quelques jours plus tôt condamnés à rester à l’école 4/5 mois supplémentaires car il y a trop d’attente avant leur rentrée en école de spécialité. Ils n’apprennent que quelques jours avant qu’ils sont sélectionnés et malheureusement, pour certains il est flagrant qu’ils ne veulent pas être là. Pour d’autres en revanche, ça leur permet d’avoir une expérience dans l’instruction, ce que leur futur affectation ne leur aurait pas permis. Début de la formation Les cours débutent le premier week-end avec énormément d’amphis et d’OS le soir ainsi que les tests sportifs initiaux (tractions, pompes, 2400m) mais le sport ne commence véritablement qu’après l’amphi sur les mutuelles, ce serait dommage qu’on se blesse avant d’être assurés. Dans notre cas, le moniteur qui nous a fait passé les tests n’avait clairement aucune attente concernant le niveau des féminines, c’en était limite insultant. Par contre, les gars qui se sont fait battre par une féminine dans ne serait-ce qu’une seule des épreuves ont passé un sale quart d’heure car, je cite, « ce n’est pas normal ». Le message est clair, préparez-vous. Les premiers temps les journées sont longues, on est régulièrement retenu après le diner pour des cours, du chant, de l’OS ou toujours plus d’administratif. On doit notamment désigner les responsabilités de chacun : - Administratif : lister ceux qui mangent à l’ordinaire le week-end et les adresses de ceux qui rentrent, ils ont toujours les chefs et l’ADU sur le dos, très grosse charge de travail (en général les élèves RH) - Tradition : chargés de prendre des photos, réaliser le film de fin, écrire le chant section, déterminer l’animal totem et créer tous les goodies qui en découlent - Optique : responsables du matériel d’optique (pourtant l’instant RAS) - Transmissions : pour l’instant on ne se sert pas encore des postes de radio, les élèves trans sont uniquement condamnés à porter ces 10kgs en plus de leur musette de combat pendant les marches (en général les élèves SIC) - TAM (Tir Armement Munitions) : aider les chefs lors de la réintégration et de l’entretien des armes à l’armurerie (meilleur rôle y a pas de débat) - Sport : suggérer des entraînements et échauffements (pour l’instant RAS) - Popotier : organiser les repas section sur le terrain - Trésorier : récolter l’argent pour les multiples commandes et cautions (oh vous allez en verser de l’argent… vous ne verrez que très peu la couleur de votre 1e solde entre l’achat d’équipements parfois obligatoires et les cotisations quant à elles toujours obligatoires) - Auto : laver les voitures au retour des terrains - Fourrier : responsables de tout ce qui va à la fourre - NBC (Nucléaire Biologique Chimique) : responsables du matériel NBC (pour l’instant RAS) - Santé : soigner les éventuels blessés, vérifier l’état des pieds après les marches - Informatique : aucune idée (pour l’instant RAS) - Chant : faire réviser les chants, rédiger le chant section, désigner de nouveaux chants Pour ce qui est de l’élève chef de section, la sélection se fait sur lettre de motivation, idem pour les élèves compagnie et bataillon qui auront en prime droit à un entretien avec le capitaine et le lieutenant-colonel. Pas de permission les deux premiers week-ends, juste un QL de quelques heures le 2e week-end pour faire le plein de fournitures avant le 1e terrain On ne ramasse que très peu et encore moins à l’école (« ça se paiera sur le terrain » comme disent les cadres), apparemment ce n’est plus vraiment la mentalité. Il y avait trop de désistement alors ils essayent de nous ménager un peu. Après tout dépend des sections, dans ma compagnie il y en a une en particulier qui ramasse régulièrement car les PAX reviennent saouls tous les soirs tous les week-ends. Sport Les premiers mois, les cours sont surtout centrés sur la topographie, le combat et la MOAL (puis le SITTAL et le tir après l’obtention du CATi à repasser plusieurs fois pour certains), avec bien entendu toujours un peu de sport à la clé. Le sport en question dépend de votre moniteur EPMS. Chez nous le modèle est clair : 1 séance = 50% de corde + 50% de cardio. Et par cardio, j’entends de la course sur piste, notamment du fractionné, le footing c’est sur votre temps libre. Pour ce qui est du reste c’est anecdotique : la natation (à part le test initial) et le PO n’arrivent qu’après 2 mois, les cours de CO sont rares et épars, le C4 (remplaçant du TIOR) ne démarre qu’1 à 2 mois avant la fin et vous ne verrez la couleur de la piste d’audace que 2/3 fois. J’avais noté le détail de chaque module en sport mais je l’ai laissé à l’ENSOA, je le posterai quand j’y retournerai. Pour ce qui est des évaluations de 2400m, pompes et grimpers de corde, vous serez évalués ¾ fois au cours de la formation et seule la meilleure note sera retenue. Terrains Pour ce qui est des terrains, ils sont assez condensés au début. On retourne passer trois nuits dans la boue toutes les deux semaines, des nuits avec des alertes à la clé dès le 2e terrain. Vous risquez d’ailleurs d’en faire des cauchemars de cette boue mais bon à Avon la seule météo possible c’est la pluie. Un point qui peut sembler anecdotique pour certains mais qui prend vraiment une ampleur considérable sur le terrain c’est les rations, ou devrais-je dire l’absence de rations. Les rations prévues pour l’ENSOA ont été envoyées en Ukraine et nous sommes pour l’instant à court. A la place nous avons droit à des sachets froids le midi et chauds le soir. Le contenu des sachets est digne des pique-niques d’école primaire, autrement dit on meurt de faim, vraiment. Les chefs ont été tellement sidérés en voyant notre petit-déjeuner (une madeleine et une brique de jus de pomme) qu’ils nous ont rapidement autorisé les amélios. Les terrains sont pour l’instant quasiment exclusivement centrés sur le combat en trinôme avec une marche en bonus à chaque fois. Les marches en question sont progressives : 5km, 10km, 16km puis la fameuse marche au képi de 25km, toutes uniquement avec la musette. Vie sur place Les sections sont regroupés par couloirs dans des chambres de 3 à 6 lits avec une chambre systématiquement réservé aux féminines. Chaque chambre comprend une douche, deux lavabos et une barre de traction. Pour les toilettes, c’est sur le palier. Niveau matériel, les éléments les plus indispensables vous seront indiqués dans le livret d’accueil remis par votre CIRFA mais vous pouvez déjà vous munir des éléments suivants : - Pour l’école : cadenas, cintres, PQ, lessive à main, baskets de course persos - Pour le terrain : lingettes, lampe frontale qui éclaire en rouge, sardines - Pour l’entretien de l’arme : chiffon, cure-dents, brosse à dents, coton-tiges Mis à part les premiers temps où le circuit d’incorpo rend l’emploi du temps assez instable, les journées fonctionnent toutes selon le même modèle, mis à part le vendredi où vous serez en général libérés vers 13h : - 5h30 : Réveil + TIG - 6h15 - 7h15 : Petit-déj (heure variant selon les semaines et les compagnies mais si vous passez à 7h15, soyez certains que vous aurez à courir au retour sans avoir pu avaler quoi que ce soit) - 8h à midi : Cours - Midi - 14h : Pause déjeuner (soyez certains que deux heures de pause sur le papier ne valent jamais deux heures en pratique) - 14h - 18h : Cours - 18h15 - 19h : Dîner - 22h30 : Extinction des feux En définitive, tout se passera bien. Le niveau demandé n’augmente que progressivement et de toute façon, cohésion oblige, on se sert les coudes dans la section. On a tous nos points forts et nos points faibles. Ceux qui ont besoin d’aide pour porter leurs sacs lors des marches / courses aident par exemple les plus endurants lors des évaluations de topo. Tâchez quand même de vous préparer un minimum physiquement et surtout (SURTOUT !) apprenez les grades avant votre arrivée si vous ne voulez pas vous prendre une râclée comme le bitos (désolé mais là y a pas d’autre terme) qui a appelé le général Didier « mon capitaine » en amphi… Alors bon courage aux futurs EVSO et comme dirait le capitaine, GARDEZ LA BANANE !
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  30. Bonjour / Bonsoir ! Dans la continuité de mon premier retex de l’ENSOA, voici une description des 3e et 4e mois de la formation surtout centré autour de deux thèmes : un enchaînement de cérémonies et de traditions d’une part puis la Courtine d’autre part. Bonne lecture ! Pour reprendre où je m’étais arrêtée, le lendemain de la marche au képi s’est tenue la présentation au drapeau. Concrètement il s’agit d’une petite cérémonie permettant d’inaugurer les képis et tricornes dûment mérités en faisant un peu d’OS devant les familles. Ca n’a rien d’incroyable mais ça reste une première cérémonie à laquelle succède celle déjà bien plus importante du baptême de promotion. Cette journée met à l’honneur le parrain de la promotion et marque l’intégration des EVSO à leur promotion, avant nous étions la 372e promotion, après ce baptême nous sommes la promotion de l’adjudant Géo André. Petite précision, comme cette promo est aussi celle des JO, cette fois-ci le baptême s’est effectué au CNSD à Fontainebleau. Une autre cérémonie a eu lieu un peu plus tard pour deux sections qui ont fait office de bataillon d’honneur à 369e promotion. C’est aussi malheureusement l’occasion pour certains de s’habituer aux chutes. Par contre, je préviens d’office ceux qui envisagent les dérives sur la fin de leur formation. On nous prévient encore et toujours sur les débordements qui suivent la remise des galons et certes les règles sont plus souples pour les jeunes sergents et maréchaux des logis mais tout n’est pas permis pour autant. Un sergent pourtant major FGI et major de sa section figurant parmi les méritants en a malheureusement fait les frais et n’a eu le droit à ses galons que quelques heures avant de devoir retourner à son régiment en caporal. Une autre cérémonie plus ponctuelle mais tout aussi importante qui a rythmé ces deux mois et la combinaison des journées portes ouvertes avec le passage de la flamme. Pour ce qui est des JPO, le tout était un peu organisé au format d’un forum des métiers avec des présentations d’écoles, de matériel et de régiments. Côté passage de la flamme, on a surtout eu le droit à des démonstrations cynophiles de la gendarmerie, de l’hélitreuillage du GPA et des spectacles de l’équipe des pompiers de Paris. Je ne m’étendrai pas forcément dessus dans la mesure où il y a peu de chance que les prochains y aient droit et le tout est déjà bien détaillé sur internet mais c’était vraiment intéressant. Concernant les cours, rien de particulier si ce n’est que débutent peu à peu les cours de génie, PO et de natation. Attention au PO où les blessures sont TRES fréquentes. Pour la natation, a priori rien à craindre, la section est séparée en deux groupes selon la réussite aux 15m d’apnée. Si vous ne savez pas nager, des cours sont dispensés en plus le midi. Niveau sport, s’ajoutent à cela une première évaluation de niveau qui comptera pour 80% de la note si jamais vous êtes blessés à l’évaluation finale, un cross de 17kms au lendemain du 4e terrain et auquel participe toute l’école (cadres compris) et un premier ERAF. Il s’agit d’une nuit où vous enchainez les activités sportives (grimper de cordes, natation, pompes,…) et qui se termine par un quizz sur le cours, le tout en compétition avec les autres sections bien entendu. Et enfin vient la Courtine tant attendue. A ce moment-là, nous sommes encore 306 EVSO en lice sur les 330 initiaux en sachant que de nombreux départs sont à prévoir au retour à l’école (parfois jusqu’à 3 par section). Au début, on ne sait pas trop à quoi s’attendre concernant ces trois semaines dans la Creuse surtout que ça ne s’est pas très bien passé pour la promo précédente qui l’a vécue sous la neige mais finalement de notre côté, ce « stage de tir » se présente davantage comme une classe verte pour être tout à fait honnête. Les journées sont plus détendues qu’à l’école, les nuits un peu plus longues, les activités bien plus intéressantes (adieu les salles de classes). Il faut quand même garder à l’esprit qu’en-dehors du planning officiel, la gestion du temps libre dépend vraiment des cadres de chaque section. A titre d’exemple, certaines sections ont garder leurs portables tout du long alors que d’autres n’y avaient droit que 20mn par, certains ont eu droit à la popote dès son ouverture, d’autres n’en ont jamais vu la couleur et devait marcher 2km pour aller manger des rations tous les soirs, même le nombre de marches dépend des chefs, la seule obligatoire étant celle de 33km en totale autonomie (par golf mais sans les cadres) toujours avec musette mais avec un dénivelé pour le moins conséquent et l’armement collectif. Les seuls points communs à tout le bataillon seraient à mon sens les révisions ISTC pendant plusieurs heures tous les jours jusqu’au passage de l’initiateur (vous allez faire des cauchemars de ces incidents de tir) et l’avalanche de blessés au fil des jours avec une moyenne de 5 par section environ. Entorse, fracture, trauma sonore,… il y en a pour tous les goûts. Pour vous donner une idée de ce qui vous attend voici les principales activités au cours de ces 18 jours sur le plateau de Millevaches : module Charlie et Delta GPB au HK, tir de nuit, tir à la Mag58, examen initiateur ISTC (83% de réussite avant les rattrapages mais un pax y a laissé ses catis), les premières gardes, cati grenades DF/OF, un deuxième ERAF avec le parcours bulldog, le parcours fantassin, beaucoup de combat et un peu d’azur, le SC1, démonstration d’explosifs,… C'est tout pour ce résumé. Encore une fois, j'espère qu'il sera utile aux prochains. A priori, les prochains mois devraient être plus calmes selon nos cadres avec uniquement le défilé et les permissions cet été puis uniquement les aguerrissements et les examens après la rentrée, notre promotion ayant déjà basculé sur le programme des 6 mois tout en étant encore sur une durée de 8 mois. Bonne journée / Bonne soirée !
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  31. https://www.france24.com/fr/europe/20250520-armée-ukrainienne-enquête-brigade-anne-de-kiev-formée-france-scandales-corruption Très pro l'encadrement ....Les chefs étant pourris on devine le reste ..
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