Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 sinon tu viens la veille :/ tu viens de où.?
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 (modifié) , c'est ce soir que tu dois arrivé à Sarrebourg ?? tu as appeller le RHC ? sinon il y a pour CE SOIRI L Y A Dimanche 22/06 Durée 05h27 Départ à : 16h09 De la gare de :CAEN Transporteur Intercités Numéro du train :3346 Services à bord Période ? ? Info Ponctualité Arrivée à :18h16 A la gare de : PARIS SAINT LAZARE Départ à : 19h13 De la gare de : PARIS EST Transporteur TGV Numéro du train : 2583 Services à bord Période ? ? Info Ponctualité Arrivée à : 21h36 A la gare de : SARREBOURG GARE celui là il est plus d'actualité ?? cela te fair arrivé ce soir, Modifié 22 juin 2014 par Dani
Levy Pierre Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 Echange tes billets de manière à arriver au régiment le 22 avant 17h Militaire d'active
Levy Pierre Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 Dani a raison : préviens les ! Militaire d'active
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 (modifié) a voir pour demain matin il y en a pas mal quand mm http://www.voyages-sncf.com/billet-train/horaires/resultats?hid=K3 ils ont pas annulé tt les train pour l'est , surtout que la grève est entrain de finir PS : désolé pour le lien je pensais qu'il mettrait tt les train mais il revient au lien de départ :/ Modifié 22 juin 2014 par Dani
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 en plus aucun ne donne 5 correspondances , je sais pas par où , tu as l'intention de prendre mais ou c'est la gare que tu es tombé sur un gogole, ou c'est toi qui fait mal sur le net ..??
Quentin1912 Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 Un autre de mes train vient d'être annulé, du coup il m'ont donné un direct Paris- sarrebourg, mais j'arrive encore plus tard : 21h36, je viens d'appeler le rhc et normalement ils viennent me chercher. Si normalement j'avais que 2 correspondances mais avec les grèves ils m'avaient mis plein de correspondance car les grandes lignes ne circulent pas
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 Juste Une Question Qui Vient De Me Passer Par La Tete ? Tu As Bien Pris Sarrebourg France ; Pas Sarrburg Allemagne ?????
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 et bien voilà, de toute façon tkt , ils laisseront jamais aucun civil ce balader lol mais s'il faut on a aussi des gendarmes , qui font taxi :D
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 juste comme cela , un conseil pour ceux qui n'ont pas l'habitude du soleil , prenez de la crême solaire, ici sa brûle, et comme le RHC c'est surtout un rgt de champs , vous allez pas mal vous ballader au soleil :D
newboy Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 les gendarmes ? je voit mal voir les gendarmes faire un role de taxi ? J'avous en Alsace-Lorraine c'est traitre Tout ce qui est bon dans la vie mérite qu’on en abuse, la modération c’est pour les lâches ! J’suis un amant, j’suis un combattant, je suis un NAVY SEAL ! Je bois, je bouffe, je baise ! Et je repars discrètement dès que le plein est fait. Ancien réserviste du rmt, engagé au sein du rmt le 05/01/16
Dani Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 tkt newboy , ils sont civilisés nos gendarme a sarrebourg, ils sont sympa, et ils font du taxi avec les jeunes :D
newboy Posté(e) 22 juin 2014 Signaler Posté(e) 22 juin 2014 oui taxi quand ils sont soul mdr , sympa peut etre dépent du contexte , je me souvient au 70 ans du D-Day je leur poser des question assez innatendus au gendarme en moto il on répondu avec le plaisir , faut pas trop les titillier non plus mdr Tout ce qui est bon dans la vie mérite qu’on en abuse, la modération c’est pour les lâches ! J’suis un amant, j’suis un combattant, je suis un NAVY SEAL ! Je bois, je bouffe, je baise ! Et je repars discrètement dès que le plein est fait. Ancien réserviste du rmt, engagé au sein du rmt le 05/01/16
Guillaume67 Posté(e) 17 juillet 2014 Auteur Signaler Posté(e) 17 juillet 2014 (modifié) Tiens, personne n'a fait de retour sur cette PMS... Alors je vais vous raconter un peu, malheureusement je n'ai pas eu le temps de tenir un journal au jour le jour. De plus, j'ai du partir cinq jours avant la fin pour cause de blessure aux tendons des deux genoux (le médecin militaire m'a limite ordonné 3 semaines de repos total, le dernier jour je n'arrivais même plus à marcher... je faisais pitié à tout le monde). Du coup PMS avortée par la force des choses pour moi, mais j'ai adoré le monde militaire et l'ALAT. Le retour à la maison, cloué au lit, a été très dur moralement... vivement mon rétablissement complet pour une FMIR PS : dans mon récit, je ne donne aucun nom, je ne sais pas si on peut ou pas. 1er jour (dimanche 22 juin) Le sous-lieutenant nous accueille à la gare de Sarrebourg. J'arrive pile pour 17 heures et il y a déjà une dizaine de présents. Par contre, vu la période de grève de la SNCF, nous serons que 12 sur 30 à partir en bus vers la base du Camp de la Horie à Phalsbourg. Les autres arriveront au compte-goutte pendant la soirée, dont le dernier à minuit et qui a dû être cherché à Metz à 70km de là. Au total, nous serons 25 dont 6 femmes il me semble. Pour l'anecdote, il nous est dit qu'une fois entré dans la base, impossible d'en sortir pour trois semaines... quelques visages surpris chez les stagiaires, mais personne n'a bronché. Le trajet en bus permet de faire un peu connaissance avec nos camarades, sans surprise je suis le plus âgé (29 ans) bien qu'il y en ait eu un de 28 ans. Le plus jeune avait 19 ans. Pour le repas, je ne sais plus pourquoi mais au lieu d'aller au Mess nous avons eu le droit à une ration de combat à manger sur le macadam de la petite place devant ce magnifique bâtiment 147, qui sera notre doux foyer pour les 3 prochaines semaines ! Ah, ce 147... j'y reviendrai. Ensuite je ne sais plus trop ce qu'on a fait, il me semble qu'on a eu les présentations de l'encadrement : le lieutenant (pilote), le sous-lieutenant, 3 sergents, 3 caporaux (dont un mixité) et un 1 ère classe. Ils nous ont dit "nous on aime être dans nos unités, on va devoir vous encadrer mais ce n'est pas forcément ce qu'on préfère" (ils auront changé d'avis au bout de quelques jours, c'est qu'on était attachants il faut croire !). Ensuite, cours sur le lit en batterie (dont la disposition rappelle un canon) et le lit au carré. On est théoriquement 4 par chambres, mais certaines n'ont eu que 2 stagiaires. Elles seront rapidement fusionnées, dont la mienne. Le coucher s'est fait, de mémoire, vers 23 heures. 2 ème jour Et ça commence ! Petite déception, celle de ne percevoir notre paquetage, notre treillis, nos rangers (une torture au début, et source de punitions ou récrimination récurrentes par la suite vu que ce n'était pas toujours bien ciré) et notre béret qu'à 16 heures... jusque là, ce sera en civil. Je n'avais emmené qu'un short civil, j'étais un peu embêté de me pointer au Mess sans pantalon, mais le lieutenant m'a dit que c'était OK vu que je présentais correctement. Le lever s'est fait il me semble vers 6 heures, un peu plus tard que d'habitude par la suite (en général 5h20-30 officiellement, mais on se levait plus tôt dans ma chambre). Je ne sais plus si on a fait les TIG (travaux d'intérêt général, autrement dit le ménage dans les chambres et les communs) ce matin là. C'est une journée de préparation, on est aussi passés par la visite médicale. A ce propos, le médecin militaire voulait me faire stoper dès ce moment là, car j'étais sous un traitement qui fragilisait mes tendons. Ca n'a pas loupé vous le verrez dans mon récit. En fin de journée, on était fiers d'être enfin en treillis, on commençait enfin à ressembler à quelque chose... enfin... excepté les "Bourvil" (dont moi-même) qui ne mettaient pas correctement leur béret sur le crâne. On nous annonce aussi qu'il y aura un élève de jour chaque journée. Celui-ci est la courroie de transmission entre les ordres des encadrants et la section. Malheureusement, je n'ai pas pu le faire malgré ma demande en tant que volontaire. 1ère semaine Ce fut la plus éprouvante psychologiquement, toutes proportions gardées ; prendre l'habitude de se lever tôt, faire les TIG correctement (les "échecs" furent nombreux, on a du presque tous refaire notre lit, repasser le chiffon, la serpillière, etc), tenir le rythme soutenu des journées. Les cours étaient nombreux cette semaine, entre 4 et 6 heures par jour parfois plus. On avait peu de temps pour nous voir pas du tout, sauf pour une cigarette de temps en temps. Une anecdote, un stagiaire est arrivé les... cheveux longs. Le deuxième ou troisième jour, il a tout rasé sans état d'âme, ce qu'a apprécié les encadrants ! Quelques uns ont du couper un peu plus cours mais rien de bien méchant. A noter que la seule tondeuse présente était en fait une tondeuse à barbe, donc pas de place pour les fantaisies. On se faisait gueuler dessus souvent, surtout lors des séances d'OS (ordre serré, ou apprendre les façons de faire le garde à vous, le salut, marcher au pas, etc) ou les TIG le matin ! Au bout du cinquième jour, un stagiaire a craqué le matin et deux heures plus tard il était dans le train. Personne d'autre n'a arrêté, à part moi pour raisons médicales et un autre camarade, qui a dû subir un décès dans sa proche famille alors que nous étions sur le terrain la deuxième semaine. Moment très émouvant, son départ... la cohésion commençait véritablement à prendre forme à ce moment là. J'y reviendrai. Le bâtiment 147... très vieux, délabré, avec de l'eau froide le matin. Rien de tel pour se réveiller, un peu moins pour se raser ! L'apprentissage du rasage chaque matin fut quelques fois épique, avec des joues mal rasées, des saignements. Nos casiers étaient souvent défoncés, avec pour certains l'impossibilité de les fermer. Heureusement, aucun vol n'a été signalé, surtout que les chambres étaient toujours fermées à clé. J'ai été un peu naïvement surpris d'apprendre que les vols arrivaient parfois entre camarades de section. Pour finir, pas de rideaux (permet néanmoins de se réveiller naturellement à 5 heures), des douches insalubres (quelques uns ont eu des mycoses aux pieds), etc. Mais y on était attachés à ce bâtiment, au bout d'un moment ! Les cours (appelés instructions, de mémoire) étaient denses, et je ne sais pas si c'était fait exprès mais les cours les plus importants (notamment sur le FA-MAS) étaient programmés en fin de journée... nerveusement, c'était parfois difficile de tenir le coup et retenir ce qui a été dit. En résumé, on a eu des instructions sur le FA-MAS (montage, démontage, apprendre les pièces, les postures de combat, etc), les grades (dont l'apprentissage fut rude, j'y reviendrai), les droits et devoirs du militaire, l'organisation de l'armée, le risque NBC (nucléaire, bactériologique, chimique), le combat en zone urbaine ou en rase campagne, etc. Très intéressant en tous cas, j'ai beaucoup aimé. Certains tombaient de fatigue en cours... mais pas la peine d'espérer faire un roupillon ! Si on se sentait piquer du nez, on se levait pour suivre le cours debout. On a eu aussi une séance de courses faites par le lieutenant pour acheter ce qu'il nous manquait : feuilles de cours, stylos, claquettes pour la douche, rasoirs... etc. Dette dûment remboursée au fur et à mesure. On a du subir quelques punitions collectives, mais les encadrants n'avaient théoriquement pas le droit de nous faire faire des pompes, abdos et tractions (!). Ils ont trouvé cependant la parade... qui a dit qu'il n'y a pas d'imagination chez les militaires ? Côté sport, c'était relativement léger : sport collectif le week-end, une "marche-course-pompes" avec un petit paquetage, un footing ou deux, course au pas, etc. J'ai commencé à morfler au bout d'une semaine au niveau des genoux, j'ai serré les dents et j'ai terminé ce qui m'était demandé. Bref, toute cette semaine visait à nous préparer à aller sur le terrain, à Bitche à 150 km de là. Au début, peu de cohésion dans la section... ceux qui faisaient des erreurs étaient brocardés par leurs camarades, vu qu'on était punis collectivement. Mais tous ont vite appris que le plus fort devait aider le faible, et que celui-ci devait se "sortir les doigts du cul" ! Mais l'entraide était néanmoins présente et allait en croissant. J'ai beaucoup aimé ce stage pour ça, vraiment. J'ai été aidé (notamment quand je commençais à morfler aux genoux et tibias), j'ai aidé de mon mieux (j'avais toujours à manger, du PQ ou des clopes sur moi, je me suis fait vite des amis, héhé). La plupart faisaient ainsi. En fin de semaine, on a eu une interrogation écrite sur les grades, et de temps en temps dans les rangs le 1ère classe nous interrogeait la dessus... de nombreux "échecs" ont été à signaler. Pour ma part je l'ai vite appris, mais une fois mis en conditions, lorsque j'ai croisé dans les couloirs un capitaine... le drame. Je l'ai appelé "chef" et non pas "mon capitaine". Je me suis fait engueulé et par la suite, aucune erreur ! Un petit mot sur le Mess, le premier jour on trouvait ça dégueulasse mais par la suite, c'était magiquement devenu un festin. Je vous laisse deviner pourquoi ! 2 ème semaine A venir ! Petite pause. ;) Modifié 17 juillet 2014 par Guillaume67
Levy Pierre Posté(e) 17 juillet 2014 Signaler Posté(e) 17 juillet 2014 Merci pour ce début de RETEX Désolé pour tes tendons : j'espère que tu es rétabli ? Militaire d'active
Guillaume67 Posté(e) 17 juillet 2014 Auteur Signaler Posté(e) 17 juillet 2014 Ca va déjà mieux, Levy Pierre, mais pendant huit jours j'ai du rester cloîtré dans ma chambre au lit. Les radios ont confirmé une inflammation des genoux et le besoin de repos, donc rien de grave. Au mois d'août je reprends le sport normalement. :)
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