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Posté(e)

Bonjour à tous, 

je viens d'arriver sur le forum et ne sais pas encore exactement comment ça fonctionne donc s'il vous plait ne me haïssez pas si les questions ont déjà été posées etc... 

Je viens tout juste d'avoir mon bac mais je suis de nature très prévoyante et commence déjà à réfléchir à comment cela se passera une fois le bac+5 en poche. En effet je prévois d'éventuellement devenir officier de liaison (c''est mon idée en ce moment en tout cas). Pour ceci je dois je crois passer par St Cyr (OST), arrêtez moi si je me trompe !! J'ai donc quelques questions sur l'entrée à Cyr.

Dans un premier temps il y a les épreuves sportives pour lesquelles j'ai trouvé le barème sur internet. Je ne comprends juste pas pourquoi pour les tractions/abdos (pas de pompes??) le barème s'arrête à 10/20 (5 tractions et 45 abdos). 

Dans un second temps, il y a un entretien oral. Quel genre de questions est posé ? C'est plus un entretien pour montrer les motivations ou un entretien où des questions quelconques peuvent être posées comme de la culture générale sur l'armée ou autre ? Je n'en ai aucune idée ; veuillez bien m'éclairer !

Dans un troisième et dernier temps pour le moment, le dossier. De quoi est-il constitué ? Possède t-il nos résultats et appréciations en études supérieures ? 

Je vais arrêter là pour l'instant, en vous remerciant d'avance pour les réponses que certains pourraient m'apporter !

Coralie

Posté(e)

En effet je prévois d'éventuellement devenir officier de liaison (c''est mon idée en ce moment en tout cas).

Qu’entendez-vous par « officier de liaison » ?

 

Pour ceci je dois je crois passer par St Cyr (OST)

Je ne saisis pas très bien. Il vaut mieux en effet si vous voulez faire carrière passer par l’ESM de Saint Cyr. Mais il existe aussi d’autres possibilités moins attrayantes en termes de déroulement de parcours comme l’EMIA (recrutement semi-direct) ou encore les officiers sous contrat.

 

Dans un premier temps il y a les épreuves sportives pour lesquelles j'ai trouvé le barème sur internet. Je ne comprends juste pas pourquoi pour les tractions/abdos (pas de pompes??) le barème s'arrête à 10/20 (5 tractions et 45 abdos). 

Exact

 

Dans un second temps, il y a un entretien oral. Quel genre de questions est posé ? C'est plus un entretien pour montrer les motivations ou un entretien où des questions quelconques peuvent être posées comme de la culture générale sur l'armée ou autre ?

Je vous donne ceci en lecture car vous l’aviez pressenti, nous avons déjà traité ce sujet.

« Pour JEANBAPTISTE

Q1. existe-t-il des annales des années passées ? Où peut-on les trouver ?

R1. Pas d'annales puisque les jurys ( = deux officiers supérieurs et un professeur d’université, expert ou enseignant de l’enseignement supérieur ou des classes préparatoires de grandes écoles, maître de conférences ou professeur agrégé titulaire d’un doctorat) sont chaque année renouvelés.

 

Q2. Les deux sujets à tirer sont-ils au hasard ou y a-t-il un sujet plus orienté militaire l’autre plus culture générale ?

R2. ÉPREUVE D’ENTRETIEN

D’une durée d’une heure environ, cet entretien vise à mettre en évidence la capacité d’organisation de la réflexion, d’apprécier la culture, le sens de l’à-propos, la faculté d’adaptation des candidats. Elle permet également d’éclairer le jury sur le bien fondé de leurs motivations et leurs aptitudes à exercer les responsabilités d’officier.

H est l’heure de début de l’exposé par le candidat.

H-30’ : tirage au sort d’un sujet puis préparation (30’)

H : présentation de l’exposé par le candidat (environ 10’)

H+10’ : questions portant sur l’exposé (environ 10’)

H+20’ : questions portant sur les motivations du candidat (environ 20’)

H+40’ : questions diverses (environ 5’)

H+45’ : délibération (15’)

L’entretien de motivation : toutes les voies sont concevables pour s’engager dans cette dernière phase.

Les questions portent toujours sur les expériences acquises, la formation universitaire, les engagements intellectuels, associatifs, sociaux, ou autres pris par les candidats, ainsi que leurs goûts et aspirations. Au cours de l’entretien, le jury s’efforce d’éprouver l’authenticité de l’enthousiasme que certains candidats peuvent afficher à l’égard de tel ou tel aspect de la vie militaire en général et de la fonction d’officier en particulier. C’est pourquoi, il se peut que certaines questions provocantes ou embarrassantes leur soient posées ; c’est le sens de la responsabilité, le courage et, sans doute aussi, le sens de la répartie qui se mesurent à cette occasion.

Enfin, la langue anglaise pourra être utilisée au cours de cet entretien.

 

PRÉPARATION DU CANDIDAT

1. Préparation de l’entretien.

- Travail et entrainement personnel

En vue de l’entretien, il est important de se préparer en lisant quotidiennement la presse. Dans ce cadre, il convient de favoriser la lecture de revues qui privilégient la réflexion et les débats d’idées contradictoires.

A chaque lecture, il est important de s’entraîner à dégager la problématique, rechercher le plan suivi par l’auteur pour défendre sa thèse ainsi que d’apprécier l’argumentaire et construire le sien.

Dans le même ordre d’idée, il appartient au candidat de saisir toutes les occasions (débats radiophoniques ou télévisés, information quelconque) pour formuler ce qui pourrait devenir un sujet de culture générale et tenter d’y appliquer une problématique, des idées directrices et des idées secondaires.

Le candidat pourra utilement chercher à faire plusieurs fois par semaine trois ou quatre “plans flash” en vingt minutes.

Le jury s’intéressera à la culture générale : ouverture d’esprit, connaissances des enjeux et grands problèmes contemporains. Il appréciera la structure des propos et le fond.

- Quelques pistes pour parfaire sa culture générale

Pour ce faire, il faut identifier successivement :

- que chercher ?

- selon quelle priorité ?

- avec quels outils ?

Pour enfin :

- concevoir un cadre d’étude,

- puis l’exécuter.

Quelques champs à étudier :

Les phénomènes tels la mondialisation, la citoyenneté, les migrations, les révolutions techniques ou biologiques, géopolitique, géographie générale, l’histoire, les relations avec les espaces voisins, les cultures et civilisations… ;

Lire des hebdomadaires de langue anglaise pour perfectionner ses connaissances linguistiques ;

En cas de manque de temps, privilégier un mensuel qui fournit souvent plus de recul par rapport à un évènement donné et apporte naturellement des éléments de synthèse.

 

- Quelques exemples d’ouvrage pour développer une culture militaire

Bibliographie :

« Le rôle social de l’officier » du maréchal Lyautey

« Comprendre la guerre » Général Desportes éd Economia

« Paix et Guerre entre les nations » Aron R. éd Calmann Lévy

« Dialogue sur le commandement » Maurois A. éd Grasset

« Le fil de l’épée » Gal De Gaulle éd PLON

« Etudes sur le combat » Colonel Ardant du Picq éd Economia

« La guerre, la ville et le soldat » Colonel Dufour éd Odile Jacob

« Maîtrise de la violence » Gal Francart éd Economia

« Notre histoire : 1922-1945 » de Hélie de Saint Marc et August Von Kagenek

« Orage d’acier » d’Ernst Jünger

« Le désert des tartares » Buzzati

« Toi, cet officier » Gal Bonnemaison éd Economica

« Le livre blanc sur la défense nationale et la sécurité nationale»

Presse écrite militaire :

« Terre Information Magazine »

« Armées d’Aujourd’hui »

Sites Internet :

http://www.defense.gouv.fr/

http://www.ihedn.fr/

http://www.sengager.fr/

http://www.reserves.terre.defense.gouv.fr/

2. Conseils pour le déroulement de l’entretien

ÉTAPE 1 : TIRAGE AU SORT D’UN SUJET PUIS PRÉPARATION (30 minutes) :

- Analyser les termes du sujet et saisir la problématique,

- Construire une argumentation autour d’une idée maîtresse articulée par des idées directrices démontrées par des faits et des exemples,

- Nuancer son jugement pour pouvoir ensuite créer un vrai débat avec le jury.

Cas d’une phrase ou d’une formule : Deux phases distinctes.

A - une phase d'analyse : décomposer le sujet proposé, étude de la question, appréhender chacun de ses éléments ou de ses aspects et les caractériser en fonction de critères définis.

B - une phase de synthèse : au vu des mêmes critères, porter un jugement global sur ce sujet et en éclairer l'intérêt et répondre à la problématique.

A - La phase d’analyse :

La phase d'analyse = deux actes successifs, la compréhension du problème posé et l'étude des différents éléments qui le constituent.

1 - La compréhension du problème :

"De quoi s'agit-il vraiment ?"

Rédiger la réponse à la question "de quoi s'agit-il vraiment ?" (Vérification de la bonne compréhension du problème), en quelques mots qui seront constamment gardés sous les yeux pendant toute la durée de l'étude.

"Quel est l'esprit de la question posée ?"

Étude du libellé et de la formulation du sujet : sens et poids des mots.

2 - Etude des différents éléments du problème :

- La détermination du cadre d'étude :

o Le cadre d'étude = catalogue des critères retenus pour étudier le problème posé.

o But = éviter de perdre du temps dans des directions sans intérêt : centrer sur le sujet.

- L'étude analytique : Mettre à plat et sélectionner les faits et les idées intéressant le problème et les classer suivant leur importance.

B - La phase de synthèse :

La phase de synthèse se déroule en deux actes successifs après regroupement des idées, qui permettent d'établir la thèse et de déterminer le plan détaillé.

1 - L'établissement du plan :

Après regroupement de certaines idées, élaborer des idées directrices qui les dominent, puis en les comparant entre elles, déterminer une idée maîtresse, dénominateur commun de toutes les idées qui sont à retenir (fil rouge).

Cette idée maîtresse doit être claire (votre réponse à la question).

Idée maîtresse et idées directrices vont ensuite permettre de dresser l'ossature du plan.

Ainsi le plan est obligatoirement synthétique. Destiné à convaincre le jury, il doit être savamment dosé : les idées principales doivent y être classées par ordre d'importance croissante au regard de la thèse soutenue du général au particulier et du moins important au plus important. Là intervient, avec toute sa valeur, la notion de coeur du sujet. En effet, parmi les différentes idées présentées, certaines apparaissent plus importantes que d'autres, la plus importante de toutes étant celle que l'on a choisie comme coeur du sujet (attention de ne pas la confondre avec l’idée maîtresse). Elle représente l'argument décisif, celui qui, présenté en dernier ressort, doit emporter la conviction.

Il n’existe pas de plan type. En revanche toute réponse doit être argumentée. A titre indicatif, quelques plans types selon le but à atteindre :

2 - Le développement : Savoir où l’on veut amener le jury et jalonner le chemin.

À titre purement indicatif : 7 à 8 types de plans.

Idée maîtresse et idées directrices doivent pouvoir être isolées et cependant conserver leur capacité à convaincre sur le sujet traité.

- Le plan progressif : “parce que..., mais surtout parce que..., enfin et par dessus tout parce que...”.

- Le plan logique : “la réponse au problème est... parce que A est vrai, parce que par ailleurs B est vrai mais aussi et surtout parce que C est vrai”.

- Le plan classique par raisonnement : “certes..., néanmoins..., et surtout...

- Le plan par association ou opposition que l’on a coutume de résumer en “thèse, antithèse et synthèse”.

- Le plan prospectif : “au mieux..., au pire..., plus certainement...”

- Le plan chronologique : “à court terme..., à moyen terme..., à long terme...”

- Le plan géographique : “niveau national, niveau régional..., niveau international...”

- Le plan évolutif : “autrefois..., maintenant..., demain...”

ÉTAPE 2 : L’EXPOSÉ DU CANDIDAT (10 minutes) :

1 - L’introduction : Première impression et attente du jury

- un préambule : planter le décor, exposer le problème posé, définir ou redéfinir le cadre du sujet, enfin préciser le contexte général de l’étude.

- une idée maîtresse : véritable clef de voûte = réponse à la question posée.

- une annonce de plan : indique au jury le cheminement suivi.

2 - Le développement : Savoir où l’on veut amener le jury et jalonner le chemin.

Se référer à la structure évoquée à la page précédente.

3 - La conclusion : Assure la cohérence de l’ensemble.

Il s’agit d’emporter la conviction du jury. La conclusion est la reprise argumentée de l’idée maîtresse. De plus, elle est une ouverture sur l’avenir ou encore sur un problème connexe à celui proposé dans l’exposé.

Pour finir, ne pas chercher à être à tout prix original ou génial. L’humilité et la simplicité sont de mise.

ÉTAPE 3 : QUESTIONS PORTANT SUR L’EXPOSÉ DU CANDIDAT (10 minutes)

Ces questions permettent au jury d’attirer l’attention sur tel ou tel point de l’exposé qui aurait été peu explicité. Il peut aussi mettre en avant un contresens et vous redonner l’occasion de redévelopper un argumentaire dans le sens réel de la question posée.

Dans le cas d’un exposé clair et structuré, le jury peut alors inviter le candidat à un élargissement des perspectives.

Dans tous les cas, les réponses doivent être structurées : reprise de l’intérêt de la question, idée maîtresse (réponse), annonce d’un « mini » plan, développement et conclusion.

De manière générale, faire l’effort d’organiser systématiquement les réponses par souci de clarté et de concision, veiller à la cohérence des propos et à développer un raisonnement logique (introduction de paragraphe, synthèse partielle, phrases de transition, mots de liaison…)

ÉTAPE 4 : QUESTIONS PORTANT SUR LA MOTIVATION DU CANDIDAT (20 minutes)

Toutes les voies sont concevables pour s’engager dans cette dernière phase. Les questions portent toujours sur les expériences acquises, la formation universitaire, les engagements intellectuels, associatifs, sociaux, ou autre pris par les candidats, et leurs goûts, leurs aspirations ainsi que sur le réalisme de la motivation.

Il va de soi que le jury s’efforce d’éprouver l’authenticité de l’enthousiasme que certains candidats peuvent afficher à l’égard de tel ou tel aspect de la vie militaire en général et de la fonction d’officier en particulier.

C’est pourquoi, il se peut que certaines questions provocantes ou embarrassantes leur soient posées : c’est le sens de la responsabilité, le courage et sans doute aussi, le sens de la répartie qui se mesurent à cette occasion. Enfin la langue anglaise pourra être utilisée au cours de cet entretien.

Il n’y a pas de profil standard. Toutes les motivations sont bonnes à condition d’être argumentées. Le candidat doit rester naturel dans ses réponses.

ÉTAPE 5 : QUESTIONS DIVERSES (5 minutes)

Quelques petits conseils :

 Eviter les clichés.

 Se poser les bonnes questions : pourquoi militaire ?, pourquoi officier ?, pourquoi officier sur titres ?

 L’important n’est pas tant ce que le candidat a fait que les leçons et enseignements tirés et la plus value dégagée.

 Prendre appui sur la lettre de motivation. Le jury attend une cohérence du candidat (dossier, lettre de motivation, posture à l’oral, structure des propos, …).

 S’informer sur : le parcours professionnel, le programme de formation à Coëtquidan, les phases en écoles d’application, les temps de la carrière de l’officier, les contingences du métier des armes et d’officier en particulier...

 Être au fait des enjeux de la défense.

 Connaître l’organisation de la défense et de l’armée de terre en particulier.

Répondre franchement et honnêtement sans méfiance excessive.

Le jury s’efforce d’apprécier l’authenticité et l’enthousiasme affichés pour tel ou tel aspect de la vie militaire en général et de la fonction d’officier en particulier.

Ne pas esquiver les questions, se préparer à toutes les questions même les plus embarrassantes.

Tout est important lors de l’entretien : l’exposé, les questions portant sur les motivations, les questions portant sur l’ouverture d’esprit et la connaissance des grands enjeux mondiaux et de la défense, la posture, la conviction et enfin la structure des propos, …. Chaque moment de l’épreuve est pris en compte.

 

Q3. Concernant le sport : comment doit-on faire les abdominaux (contre une barre ? Contre un mur ? en rameur ?)

R3. il s'agit de réaliser une flexion du tronc jusqu'au contact des coudes avec les cuisses puis de revenir à la position de départ sans que les épaules ni la tête ne touchent le sol. Le sujet est allongé sur le dos, genoux et hanches fléchis à 90°. Les pieds en appui contre un mur ou sur une chaise, sont tenus par un partenaire ou bloqués contre un espalier. Les épaules doivent être décollées du sol, les coudes fléchis, les mains sur la face avant des épaules, les bras en contact avec la poitrine et le menton placé contre le sternum. La position des mains, des coudes et des bras doit rester inchangée tout au long de l'épreuve. Un maximum de répétitions doit être exécuté en deux minutes ;

 

Q4. Pour la natation le départ est-il plongé ? Le bassin fait-il 25 ou 50m ?

R4. 50m à parcourir en nage libre : il s'agit de nager en style libre, en piscine, une distance de 50 mètres, avec ou sans virage, départ plongé ou sauté des plots de départ ;

 

Q5. Pour les 3000m et 50m sur quel type de terrain court-on ? (terre battue, bitum ?)

R5. Tartan. Course de demi-fond : il s'agit d'une course de 3 000 mètres, avec départ en ligne, effectuée sur piste et par série n'excédant pas vingt-cinq coureurs.

 

Q6. Comment enchaine-t-on le tout ? (temps de repos etc…)

R6. Je n'en sais rien. Il me semble qu'on débute avec la natation, ensuite abdos et tractions, puis athlétisme.

 

Q7. Enfin savez-vous combien de places seront ouvertes (si non quand peut on le savoir ?) ?

R7. Publié par arrêté (ex. pour l'année de recrutement 2014, voir l'arrêté du 26 décembre 2013 fixant au titre de l’année 2014 le nombre de places offertes pour l’admission en formation initiale en vue du recrutement dans le corps des officiers des armes de l’armée de terre). ».

 

Dans un troisième et dernier temps pour le moment, le dossier. De quoi est-il constitué ? Possède t-il nos résultats et appréciations en études supérieures ? 

https://www.recrutement.terre.defense.gouv.fr/bac-3-bac-5/epreuves-du-concours-ost-au-niveau-bac5

 

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

La meilleure préparation, selon moi, c'est de faire de la réserve pendant tes études pour savoir un peu ce que c'est que la vie de militaire et ce que l'on attend du CDS que tu voudrais être

Avant de faire de la réserve, il faut insister au CIRFA pour pouvoir faire une PMD (une fois qu'on a commencé son ESR, ce n'est plus possible)

Attention les résultats d'une PMD, d'une PMS et de la réserve seront pris en compte par le jury. Moi, ça m'a aidé !

Militaire d'active

Posté(e)

Merci BTX pour les références des réponses déjà données précédemment ! et comme définition : Un officier de liaison est un militaire qui joue le rôle d'intermédiaire entre les armées de deux pays afin de coopérer leurs activités. La plupart du temps, les officiers de liaison sont utilisés pour coordonner les activités d'armées alliées afin d'éviter les dommages collatéraux. J'attends plus d'informations venant de mon père qui va essayer de parler avec un là où il est... Merci encore !

 

Levy Pierre, merci à toi aussi pour ces petits conseils ! J'ai déjà eu un aperçu de la vie militaire puisque je sors de lycée militaire, certes légère expérience de l'armée mais disons que je sais à quoi m'attendre. Donc si je comprends bien, je fais une PMD puis une PMS et enfin la réserve, tout ceci me sera que favorable pour l'entretien et les résultats (si bons) utiles pour les décisions prises par le jury ? Comment s'est passé la partie exposé, peux-tu m'en dire un peu plus si cela ne te dérange pas ? Merci beaucoup à toi !

Posté(e)

J'ai le sentiment que la fonction d'OL est plutôt floue dans votre esprit.

Un AD (attaché de défense) est un officier de liaison.

Auprès et inclus le plus souvent dans le PC de GTIA (par exemple), il y a des tas d'officiers de liaison, le plus souvent "chef de détachement". Parce que l'OL seul ne peut rien. Il a toute une équipe et des matériels propres à son domaine de compétences avec lui pour lui permettre de remplir sa mission càd d'apporter un soutien spécifique au GTIA pour lequel il travaille.

On trouve le DL ART, le DL Génie, le DL ALAT (DL pour détachement de liaison).

On peut même trouver des DL PATMAR, des DL Air, des DL FS. Et puis des DL des unités étrangères qui gravitent dans l'environnement du GTIA.

Bref la notion d'OL est vaste. Soyez sans crainte, avant de la tenir, il vous faudra accumuler beaucoup d'expérience et de compétences.

Pour conclure, si vous limitez la fonction d'OL à celle "d'intermédiaire entre les armées de deux pays afin de coopérer leurs activités", vous n'êtes pas près d'être OL en tentant le concours d'admission sur titres à l'ESM.

Envisagez plutôt une carrière de diplomate. Musclez vous en langues rares mandarin, arabe, etc. Faites l'ENA.

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

Je ne limite en aucun cas cette notion à seulement cette définition, j'attends juste plus d'informations de sources sûres plutôt que de raconter n'importe quoi. Je ne connaissais pas ces appelés, c'est sûrement pour cela que je n'ai pas plus sous le coude. En tout cas merci pour votre avis. De toute manière, j'ai encore 5 ans me dira-t-on ! 

Posté(e)

En effet en 5 ans beaucoup de choses peuvent survenir =

1. La Corée du Nord nous balance sur la tronche un missile balistique. On retrouve BTX vitrifié devant son écran de PC.

2. Vous rencontrez Mouloud et ouvrez un fast food "khebab" à volonté.

3. Vous rentrez dans les ordres.

4. Saint Cyr est dissous. Pour devenir officier une seule porte d'entrée = EVAT.

Bonne chance

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)
Il y a 1 heure, BTX a dit :

En effet en 5 ans beaucoup de choses peuvent survenir =

1. La Corée du Nord nous balance sur la tronche un missile balistique. On retrouve BTX vitrifié devant son écran de PC.

Impossible ! BTX ne se vitrifie pas ... il enfile la tenue NRBC est par venger la France !:lol:

2. Vous rencontrez Mouloud et ouvrez un fast food "khebab" à volonté.

3. Vous rentrez dans les ordres.

4. Saint Cyr est dissous. Pour devenir officier une seule porte d'entrée = EVAT.

Bonne chance

BTX

 

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