Kodiak Posté(e) 20 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 20 mars 2020 Je vois bien ce que tu veux dire, et c'est un point de vue tout à fait respectable, néanmoins nous n'arriverons jamais à un commun accord, c'est certain, et tout cela finira en un partage de graphiques et autres études statistiques, ce qui ne mènerait rien. Donc pour conclure : il y a des bons points, des mauvais points, c'est au final une question de sensibilité pour considérer que l'un est plus important que l'autre. C'est aussi à mon sens culturel, comme tu dis, le Français n'est pas prêt à ça. Enfin bref, bonne nuit et très bonne soirée à toi. 1 Citer « On ne détruit réellement que ce qu'on remplace. » Napoléon III. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sako Posté(e) 20 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 20 mars 2020 Pour ceux qui pensent que les masques cest du superflu, pour faire beau .je les invitent à entrer dans une chambre d'un patient infecté ...cest un peu à l'époque entrer chez les frères kouachi sans gpb. Le mec qui a pondu quil fallait juste un mètre entre chacun et tousser dans son coude nest pas un épidémiologiste. Ce qui va marcher cest confinement a la chinoise et pour ceux qui se déplacent un masque même simple pour éviter de cracher partout . Dédicaces aux gamins de 3 à 20 ans qui meurent en réanimation du covid Quand nos politiciens subiront eux même l'effet dune machine qui respire à votre place et que vous avez envie de lutter avec effet de panique dans le lit etc jespere quils comprendront que dépenser des milliard pour rien, juste au cas ou ( tiens on fait pas ca pour notre défense nucléaire ? Pourtant on a pas été envahis depuis 1940...) Sur ce je vous j'ai bal masqué cette nuit ..;) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Levy Pierre Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 Il y a 2 heures, sako a dit : Sur ce je vous j'ai bal masqué cette nuit ..;) Tu danseras à quelle distance de ton ou ta partenaire ??? Citer Militaire d'active Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sako Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 Il y a 3 heures, Levy Pierre a dit : Tu danseras à quelle distance de ton ou ta partenaire ??? Un bon mètre. Jai le bras long Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 Le bras long ou le ... ! Sako le poney , a ce niveau la tu mérite une pension d'invalidité ? ! hahaah 1 Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 "40 prototypes sont en cours de tests, pour des masques chirurgicaux comme pour des FFP2" (offrant une meilleure protection), a-t-il précisé. Alors que le ministre de la Santé Olivier Véran doit tenir ce samedi une conférence de presse sur la question de la disponibilité de ces masques, Édouard Philippe a défendu la gestion du gouvernement en la matière. "S’agissant des masques, dès le mois de février, les quatre principaux fabricants français de masques utilisés par le monde de la santé ont été sollicités pour accroître fortement leurs cadences de production", a-t-il fait valoir. "Le 3 mars (…) j’ai signé un décret de réquisition des stocks et des capacités productives de masques anti-projections et FFP2". Dans le même temps, "un déstockage", provenant des réserves de l’État, "d’environ 25 millions de masques a été opéré début mars". "Grâce aux réquisitions, malgré ce déstockage, le stock a pu être maintenu à 105 millions de masques au 16 mars. Cette semaine du 16 mars, 29 millions de masques sont distribués aux professionnels", a-t-il encore égrené. De même, Édouard Philippe a assuré que la France était en train de finaliser "l’acquisition de centaines de millions de masques" à l’international. Selon le directeur général de la Santé Jérôme Salomon, la France a abordé l’épidémie avec un stock stratégique de "110 millions de masques chirurgicaux adultes et 40 millions de masques pédiatriques pour les enfants". Cependant, les oppositions ont pris le relais de l’indignation des soignants en soulignant depuis plusieurs jours la pénurie de masques sur le terrain. Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Garlousette Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 il y a 1 minute, Stvn a dit : "40 prototypes sont en cours de tests, pour des masques chirurgicaux comme pour des FFP2" Ils vont pas aller bien loin avec 40 masques ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gandalf Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 à l’instant, Garlousette a dit : Ils vont pas aller bien loin avec 40 masques ! Je vois pas le problème ? On parle de 40 prototypes, pas de 40 masques. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Garlousette Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 il y a 1 minute, Gandalf a dit : Je vois pas le problème ? On parle de 40 prototypes, pas de 40 masques. oui c'était de l'humour en ces temps difficiles. désolé le confinement me fait craquer, je sors => [] (de maximum 2 km bien sûr). 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 Sinon il y a toujours la solution artisanal ... 1 1 Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 http://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2020/03/covid-19-et-les-armees.html Un second A330 médicalisé, affrété par l'armée de l’air et le service de santé (SSA), doit décoller ce matin de la base aérienne d'Istres (Bouches-du-Rhône) à destination de l’aéroport de Bâle-Mulhouse. Il doit évacuer des patients du Grand Est atteints du Covid-19 vers la région Aquitaine. Mercredi, une première évacuation, vers Toulon a eu lieu. L’état-major des armées, précise qu’à Mulhouse, les militaires du Régiment médical ont commencé, ce matin, le déploiement de l’hôpital de campagne "qui viendra renforcer la prise en charge des malades atteints du Covid 19". © ministère des armées Par ailleurs, le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Tonnerre appareillera, ce week-end, pour évacuer des patients en réanimation en Corse vers des établissements de santé du continent. 1 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 https://forcesoperations.com/covid-19-la-bitd-francaise-se-mobilise/ Covid-19 : la BITD française se mobilise (Crédit : MBDA) Entre l’effondrement des places boursières et l’arrêt de la production industrielle, il est désormais acquis que la pandémie de Covid-19 ébranlera durablement l’économie planétaire. La BITD française n’en sera pas exempte alors, pour limiter la casse, certains s’adaptent pour assurer la poursuite des activités prioritaires ou participer au renforcement des moyens sanitaires. Assurer la continuité des activités prioritaires Le séisme économique à venir est difficilement quantifiable et, pour l’instant, la pandémie ne laisse que peu de choix entre une fermeture pure et simple ou l’adaptation de l’activité. Passé le flottement initial, beaucoup ont choisi la solution médiane d’une fermeture temporaire le temps d’établir un plan de continuités des activités. Pour les industriels français, le défi n’est pas moins de développer ou de livrer des armements neufs que de garantir le MCO des systèmes en service dans les Armées. Impensable, en effet, de se passer durant plusieurs semaines de services de soutien dont dépendent étroitement les opérations extérieures et intérieures ainsi qu’une partie du dispositif sanitaire d’urgence mis en place par les militaires. Entre autres axes d’effort, un Élément militaire de réanimation du Service de santé des Armées (EMR-SSA) est ainsi en cours de déploiement à Mulhouse (Alsace). Le transport de cette capacité spécifique du Régiment médical (RMED) de l’armée de Terre transportée au départ de La Valbonne (Ain) aura nécessité 16 camions des régiments du train. Des camions dont la maintenance ne peut être négligée, au risque de gripper la mécanique logistique. Pour éviter la paralysie, les industriels mettent progressivement en place un plan de continuité des activités. C’est premièrement le cas d’Arquus, fournisseur de 90% des véhicules à roues de l’armée de Terre. Celui-ci a fait le choix de « protéger ses salariés et ses partenaires en suspendant provisoirement sa production à partir du 18 mars ». Tous ses sites ont été temporairement fermés et les employés qui y ont accès se sont tournés vers le télétravail. « Notre plan de continuité des activités prioritaires pour nos armées a été déployé avec succès, » annonçait hier le groupe versaillais sans détailler le ou les secteurs qui prévaudront. Même son de cloche chez MBDA, qui a annoncé le 18 mars la suspension de la production sur ses trois sites de Bourges (Cher) et Selles-Saint-Denis (Loir-et-Cher). L’activité du missilier européen sera interrompue jusqu’au 23 mars afin « de permettre de mettre en place toutes les mesures de précaution sanitaire assurant la sécurité de tous les collaborateurs et de définir le plan de reprise progressive de l’activité ». La présentation des résultats annuels du groupe prévue le 24 mars a été annulée, conformément aux dispositions gouvernementales. Pour ces industriels producteurs de systèmes complexes, l’autre principale crainte après le défi sanitaire résidera dans le maintien des chaînes d’approvisionnement. Du côté d’un grand groupe français, on s’inquiète d’ores et déjà de la « cascade de fermetures de fournisseurs ». Fragilisées par une trésorerie moins robuste, nombre de PME, ETI et start-ups n’ont pas la capacité de rebond des grands groupes et se sont dès lors résolues à fermer sine die. Gageons que l’arsenal de mesures de soutien adopté ce jeudi par l’Assemblée nationale favorisera la relance rapide de ces petites structures, sous peine de fissurer durablement le socle industriel français. Le robot de décontamination Rhyno Protect développé par Shark Robotics (Crédit : Shark Robotics) Des explosifs au gel hydroalcoolique Quand certains oeuvrent au maintien du potentiel militaire français, d’autres ont choisi de basculer provisoirement une partie de leur activité vers la production ou le développement de solutions dédiées à la lutte immédiate contre l’épidémie. C’est notamment le cas d’Eurenco. À l’instar du groupe LMVH, ce spécialiste des explosifs a décidé de réorienter ses sites belge et suédois vers la production de gel hydroalcoolique. L’usine de Sorgues (Vaucluse) suivra dans les prochains jours pour soutenir un effort qui, selon l’industriel, « servira la collectivité et contribuera à garantir la continuité des fonctions essentielles du pays ». Cette filiale de la SNPE a en outre mis des masques FFP1 et FFP2 à disposition des autorités. Autre exemple marquant avec Shark Robotics. L’entreprise rochelaise développe depuis trois semaines et sur fonds propres un dérivé « décontamination » de son robot de sécurité incendie Rhyno Protect. Télécommandé et dimensionné pour se faufiler partout, ce robot « est aujourd’hui en mesure de désinfecter, à distance, jusqu’à 20 000 m2 de surface en trois heures grâce ses buses de pulvérisation, » explique Shark Robotics. Le concept a été appliqué à grande échelle en Chine sur base du robot agricole R80 de la société chinoise XAG, entre autres. D’autres pourraient suivre le mouvement, soutenus par les enveloppes débloquées en urgence par les institutions. Le ministère des Armées, par exemple, a décidé de consacrer 10M€ à l’acquisition de solutions innovantes directement mobilisables pour lutter contre la pandémie de Covid-19. Mené par l’Agence d’innovation de défense (AID), ce fonds financera un ou plusieurs projets présentant une maturité technologique suffisante pour être déployés rapidement à l’échelle nationale. Plus d’informations ici. PS. BITD ou Base Industrielle et Technologique de Défense (y en a un qui doit connaître) 2 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 21 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 21 mars 2020 D'ailleurs sur ce dernier point , il y a beaucoup d'attention de la part des autorités afin de garantir au maximum l'intégrité de nos collaborateur stratégique . C'était déjà pris en compte par Mme Parly depuis la crise du pirenne en autre mais la crise actuelle renforce le plan déjà prévus pour sauvegarder les tpe et pme . Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Nous avons posé la question à des médecins spécialisés dans les opérations d’urgence. Leur expérience au cœur des crises doit être étudiée pour comprendre comment la gestion du Covid-19 sera influencée par la référence à la guerre. Frédéric Petitjean est médecin spécialiste de l’aide médicale d’urgence et de la médecine de catastrophe, médecin Chef SDIS 04, et ancien médecin du BMPM et de la réserve opérationnelle au sein des forces spéciales de la Marine. Jean Marc Laborie est médecin spécialiste de l’aide médicale d’urgence et de la médecine de catastrophe, médecin principal de réserve à la BSPP, ancien médecin du Groupe Médical d’Intervention du RAID, membre de la Société française de médecine de catastrophe. Matthieu Dolain fonctionnaire, ancien Commando Marine, nageur de combat et opérateur premiers secours de combat. Si on devait trouver un sens opérationnel à cette comparaison entre la guerre et la mobilisation du système de santé contre le virus, on pourrait évoquer les trois phases avec lesquelles doivent travailler tous les médecins et travaillent dans la gestion de crise : l’anticipation, l’action et l’amélioration. Pour toutes les unités de l’armée et de la police qui se confrontent au combat, et plus particulièrement pour celles qui mènent des opérations de libération d’otages, il s’agit surtout de réagir à une situation de crise d’urgence ou à une situation dégradée. En cela, l’univers médical est comparable. L’évaluation et le pilotage de situations dans la crise se fait en trois temps : la préparation (avant), l’adaptation (pendant) et l’amélioration (après). Quel rôle peut jouer l’armée dans les prochaines semaines ? L’armée et surtout le Service de santé des Armées (SSA) participe à la sécurité publique, comme la police, la Gendarmerie, les Pompiers, les Secours Associatifs, le SAMU, etc… Au fond, il n’y a pas vraiment de différence au niveau des personnels-soignants. Les formations sont proches. La grande capacité réside dans la faculté à évaluer et à soigner dans un environnement particulier. Les médecins, les infirmiers et les secouristes qui sont préparés à aller au combat, qu’ils appartiennent à la police ou à l’armée, aux unités spéciales ou non, peuvent tous être amenés à jouer un rôle dans cette crise, car ils ont une expérience des situations d’urgence. Le reste de l’armée pourrait prêter main-forte afin de soulager et d’optimiser les effectifs des services hospitaliers ou afin de remplir des tâches qui ne relèvent pas de l’urgence mais qui restent indispensables. Le SSA va forcément apporter son expertise et son aide. D’abord, il a à offrir une capacité logistique unique pour proposer des solutions en situation extrême. Sur le plan stratégique, ses objectifs ne sont pas si différents de ceux des personnels-soignants civils : il s’agit toujours de soigner le maximum de patients avec les moyens à disposition. Ils ont la même éthique, les mêmes connaissances et les mêmes qualifications. Un syndrome de détresse respiratoire (SDRA) se soigne toujours de la même façon, qu’on soit au SSA ou à l’hôpital. Ce qu’apporte le SSA sur le plan logistique est donc surtout une culture de l’extrême, qui aura peut-être ses limites, et une culture de l’obéissance et de la résilience. Ces facteurs seront cruciaux pour prendre en charge la crise qui submerge le pays. Mais le reste de l’armée pourrait aussi prêter main-forte afin de soulager et d’optimiser les effectifs des services hospitaliers ou afin de remplir des tâches qui ne relèvent pas de l’urgence mais qui restent indispensables. C’est justement ce que l’on observe, par exemple, en Lombardie où les militaires assurent le transport les corps des personnes décédés. Et en Corse, où un navire de la Marine nationale doit prochainement évacuer des malades d’Ajaccio. Dans les armées, l’expérience opérationnelle de ces dernières années a considérablement renforcée les qualités humaines du soldat. Au niveau des individus d’abord, le facteur humain est essentiel. Certains ont des « facilités » à garder des facultés d’analyse en situation de stress, à garder son calme sous une pression importante, à travailler en équipe sous stress. On peut citer par exemple le processus de sélection des unités spéciales. Le résultat est que ces formations intensives et ces sélections donnent des individualités plus stables, plus solides, plus fiables et capables de continuer à penser, à créer, à s’adapter quelle que soient les circonstances. Plus généralement dans les armées, l’expérience opérationnelle de ces dernières années a considérablement renforcée les qualités humaines du soldat. Car au-delà du facteur humain qui permet une forte résistance psychologique et physique au niveau individuel, l’expérience est primordiale à la préparation à la gestion de crise. À ce titre, les éléments qui vont pouvoir changer la donne sont ici : l’acquisition de connaissances et d’outils la répétitions d’exercices mettant en œuvre ces outils et ces connaissances et le partage d’expérience. Par définition, une crise est imprévisible, dans sa survenue, sa cinétique, sa forme, ses contraintes : il est impossible de travailler tous les scénarios. La formation doit donc s’attacher à travailler à l’adaptabilité, à la souplesse et à l’intelligence, pour permettre aux acteurs de s’adapter en permanence. La suite ici 1 Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Nouvelle attestation employeur - employé Elle est valable pendant toute la durée des mesures de confinement et n’a donc pas à être renouvelée tous les jours. https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/contenu/piece-jointe/2020/03/justificatif-deplacement-professionnel-fr.pdf 1 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gandalf Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 il y a 11 minutes, BTX a dit : Nouvelle attestation employeur - employé Elle est valable pendant toute la durée des mesures de confinement et n’a donc pas à être renouvelée tous les jours. https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/contenu/piece-jointe/2020/03/justificatif-deplacement-professionnel-fr.pdf Il faut quand même que soit mentionné la durée de validité de l'attestation. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Très bonne remarque, en effet. Je pense que l'employeur a tout intérêt à "voir large". BTX Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SG5375 Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 il y a 23 minutes, Gandalf a dit : Il faut quand même que soit mentionné la durée de validité de l'attestation. Oui,bien sûr qu'il faut la durée de validité car l'attestation comme le dit @BTX est valable en droit pendant toute la durée du confinement mais je rajoute que toutes les attestations d'employeur ne sont pas valables pendant toute la durée du confinement. C'est très simple il y a de nombreux cas, comme par exemple un déplacement de courte durée pour une mission particulière, ou pour aller sur un site depuis le siège pour les employés en déplacement hebdomadaires etc... Et puis ne pas oublier que certains contrats de travail ne vont pas jusquà la fin du mois n'ont plus (cdd, démission, chômage partiel à partir de telle ou telle date...) Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Si le COVID 19 sévit, les salopards n'ont pas pour autant baissé les bras. "Confinement" vous avez dit …………..? Paris : ils tentent de piller le chantier de Notre-Dame http://www.leparisien.fr/paris-75/coronavirus-a-paris-notre-dame-stoppe-le-chantier-et-se-fait-voler-des-pierres-21-03-2020-8285124.php L’établissement public de Notre-Dame vient de porter plainte. Mardi, à 19h30, les gardiens qui patrouillaient ont repéré deux hommes à l’intérieur de la cathédrale. Comment ont-ils fait pour escalader les palissades qui font trois mètres de hauteur ? « Il y a toujours une faille dans un chantier ! » regrette une source à Notre-Dame. Les gardiens ont appelé le commissariat du Ve. Les policiers ont été très rapides et ont récupéré les deux voleurs, qui étaient ivres et s’étaient cachés sous des bâches de chantier avec… un petit stock de pierres à revendre. 2 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SG5375 Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Faites confiance à tous les crevards du territoire, ils n'ont pas attendu le 2e jour pour se gaver. Les premieres cibles, les magasins d'alimentation et leur coffre forts remplis par la frénésie du français tout en mesure pour dévaliser les grandes surfaces. Alors évidemment il y a moins de cambriolages de maisons principales de fait mais pour le reste... ... 3 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2020/03/20/coetquidan-navale-fermees-les-eleves-officiers-tele-etudient-20969.html Coëtquidan, Navale... fermées: les élèves officiers télé-étudient eux aussi La formation militaire est aussi sujette aux restrictions et autres consignes de précaution prises dans le cadre de l'épidémie. Petit point sur les établissements d'enseignement militaires. Commençons au plus près de Rennes. Tous les élèves officiers des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan (56) ont été priés de quitter le site morbihanais dans le cadre des mesures de précaution mises en place pour contenir la propagation du corona-virus. L'ESM (et son 4e bat), ainsi que l'EMIA, sont donc fermées comme tous les établissements universitaires. La mesure prise ne concerne pas que les élèves de Coëtquidan mais aussi toutes les grandes écoles: l’École polytechnique, l'École navale, l’École des officiers de la Gendarmerie nationale, l'École de l'air, l'École nationale supérieure de techniques avancées Bretagne, l’École de santé des armées, l'École des commissaires des armées, précise le ministère des Armées. Les lycées de la Défense et assimilés (Lycée militaire de Saint-Cyr, Prytanée national militaire, Lycée militaire d'Aix-en-Provence, Lycée militaire d'Autun, Lycée naval de Brest, École des mousses de Brest, École des pupilles de l'air de Grenoble-Montbonnot, École d'enseignement technique de l'Armée de l'air) sont aussi fermés et ce depuis le 16 mars. L'Ecole de guerre a aussi renvoyé ses stagiaires. Les écoles d'application (Draguignan avec l'infanterie et l'artillerie, l'École du génie à Angers, l'École des transmissions à Cesson-Sévigné, les écoles militaires de Bourges, l'École de l'aviation légère de l'armée de terre au Cannet-des-Maures et à Dax, l'École de l'arme blindée et cavalerie de Saumur...), ainsi que certaines écoles de sous-officiers comme l'ENSOA restent ouvertes. Toutefois des stages et certaines formations courtes sont suspendues. Opérations. Le télé-enseignement a du bon, surtout en termes académiques. Pour les aspects plus physiques, plus "terrains", on atteint vite les limites de l'exercice. Et ce n'est pas Call of Duty et des actions en réseau qui aideront... Enfin, la préparation opérationnelle n'a pas été suspendue, mais elle est réalisée avec toutes les précautions qui s'imposent, selon le ministère. Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Oui , c'est bien fini le temps des héros ... comme j'aime bien les dates , il y a pas ci longtemps que ça un 22 Mars 1944 ... Pierre Brossolette se défenestre à la Gestapo, pour ne pas parler sous la torture ! Compagnon de la Libération,chevalier de la Legion d'honneur, croix de guerre 39-45, médaille de la resistance avec rosette. Ses cendres ont été transférées au Panthéon, le 27 mai 2015. 1 1 Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Dans le prolongement du post relatif à l'implication de la BITD française http://www.opex360.com/2020/03/22/covid-19-la-direction-generale-de-larmement-impliquee-dans-la-recherche-dalternatives-aux-masques-médicaux/ Covid-19 : la Direction générale de l’armement impliquée dans la recherche d’alternatives aux masques médicaux En février 2009, et en prévision d’une épidémie majeure, la France disposait d’un stock de 723 millions de masques de protection respiratoire [FFP2] et d’un milliard de masques chirurgicaux, réservés pour les personnes infectées afin qu’elles évitent de contaminer leur entourage. Ces stocks étaient alors gérés par l’Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires [EPRUS], créé dans le cadre de la loi du 5 mars 2007 « relative à la préparation du système de santé à des menaces sanitaires de grande ampleur ». Or, plus de dix ans plus tard, et alors que ce qui était redouté est en train de produire avec le Covid-19, les autorités peinent à équiper le personnel médical en masques FFP2 et autres équipements de protection. Comment en est-on arrivé à une telle situation? On trouve un début de réponse dans un rapport publié en 2015 au nom de la commission des Finances du Sénat. « Une nouvelle doctrine du SGDSN [Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale] a d’ores et déjà établi que le stock national [de masques] géré par l’EPRUS concernerait désormais uniquement les masques de protection chirurgicaux à l’attention des personnes malades et de leurs contacts, tandis que la constitution de stocks de masques de protection des personnels de santé [notamment les masques FFP2 pour certains actes à risques] étaient désormais à la charge des employeurs », y lit-on. Puis, la loi du 26 janvier 2016 relative à la « modernisation du système de santé » a eu pour conséquence la dissolution de l’EPRUS, ses missions étant reprises par l’Unité Etablissement pharmaceutique au sein de Santé Publique France, une nouvelle agence regroupant l’Institut de veille sanitaire [InVS], l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé [INPES] et Addictions Drogues Alcool Info Service [ADALIS]. Et les décisions concernant les stocks stratégiques de médicament et de matériels médicaux relèvent, depuis, exclusivement du ministre chargé de la Santé. L’actuel titulaire de cette fonction, Olivier Véran, a rappelé aux députés les décisions qui ont été prises pour arriver à la situation actuelle. Situation qui fait que le stock de l’État comprenait encore récemment environ 150 millions de masques chirurgicaux et… aucun masque FFP2. « À la suite des crises sanitaires de 2011 et 2013, il a été décidé qu’il n’était plus nécessaire de conserver des stocks massifs dans le territoire, en considérant que les usines de production étaient à même d’être actives très rapidement, notamment en Chine. Seulement, voilà : la crise sanitaire a d’abord touché la Chine. Ses usines ont été arrêtées et les pays européens se sont trouvés en difficulté », a-t-il expliqué. D’où l’urgence d’y remédier promptement. D’autant plus que, selon les prévisions données par M. Véran, il est question d’une consommation de 24 millions de masques par semaine [3,4/jour]. Et encore s’agit-il d’une hypothèse basse, d’autres études ayant évalué des besoins supérieurs. C’est en tout cas ce qu’ont indiqué plusieurs collectifs de médecins, via un communiqué commun. Ainsi, le texte parle d’un besoins de 15 millions de masques FFP2 par jour « afin de prévenir l’hécatombe de la communauté soignante qui se profile si cette pénurie se perpétue. » Or, selon la Direction générale de la Santé, citée par l’agence Reuters, les capacités de production françaises seraient de 6 millions de masques par semaine [quelles que soient les catégories]. Et comme il sera compliqué de pouvoir s’approvisionner ailleurs, il faut donc trouver des solutions. « Nous avons demandé au ministère de l’Économie et au ministère de la Défense [sic] de trouver des alternatives, plus exactement de charger toute une série d’activités industrielles, de chercheurs, soit pour démultiplier les chaînes de production, soit pour qualifier des alternatives, jetables ou réutilisables », a indiqué Édouard Philippe, le Premier ministre, lors d’une séance à l’Assemblée nationale, le 21 mars. Au ministère des Armées, l’Agence de l’innovation de Défense [AID] a lancé un appel à projets afin de justement trouver des solutions innovantes pour, entre autres, les « protections individuelles ou collectives, soignants et populations (e.g. masques, ‘hygiaphones de fortune’, concepts innovants de protection, de barrières, techniques de recyclage, Do It Yourself, etc.]. » Et la Direction générale de l’armement [DGA] « Maîtrise NRBC » [nucléaire, radiologique, biologique, chimique] est également sur le pont, comme annoncé. Ainsi, à la demande du SGDSN, elle travaille actuellement à identifier des alternatives aux masques FFP2 et chirurgicaux. « Compte-tenu de l’urgence actuelle à fournir des équipements de protection individuelle efficaces, les industriels de la filière textile ont été mobilisés afin de faire parvenir au centre DGA MNRBC des prototypes et échantillons de masques dont il s’agit d’évaluer les performances », a en effet indiqué la DGA, le 21 mars. Ainsi, dès le 19 mars, la DGA MNRBC a reçu 700 échantillons de textiles, dont elle doit mesurer l’efficacité de filtration de particules. « Pour ce faire, chaque masque est disposé sur une tête de mannequin placée dans un caisson rempli de particules de sel. Cette tête simule une respiration humaine. La comparaison entre la densité de particules présente dans la bouche et celle contenue dans le caisson permet de calculer le pourcentage d’arrêt des particules. Connaissant la taille des virus, cette méthode permet d’évaluer l’efficacité de filtration de chaque masque », explique le ministère des Armées. Cependant, le rôle de la DGA MRNBC se limite uniquement à évaluer les échantillons de textiles et à en communiquer les résultats aux industriels. « La DGA n’est pas compétente pour recommander l’utilisation des nouveaux masques. Elle intervient ainsi comme un maillon de la chaîne d’évaluation de la qualité et des performances des échantillons », souligne en effet le ministère. Photo : Ministère des Armées Edifiant mais en somme "très français". BTX 1 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SG5375 Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Oui situation connue pour ceux qui s'y intéressent, on sait bien que c'est lorsque la situation est critique qu'on s'aperçoit que pour des raisons économiques on a laissé tomber nos capacités . C'est valable aujourd'hui en matière médicale, en matière de sécurité intérieure suite aux attentats alors que les effectifs de police/gendarmerie avaient été diminués drastiquement depuis 2012. Il faut trouver des millions de masques aujourd'hui alors que les stocks existaient. A chaque fois la même histoire. Comme si le secteur public pouvait être rentable. On agit donc malheureusement sur ces domaines au jour le jour. Pour rappel, les urgences sont à l'agonie depuis des mois et en grève pour cette raison. 1 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Comme en 40, "nous vaincrons parce que nous sommes les plus forts !" Paul REYNAUD (1878-1966), Allocution à la radio, 10 septembre 1939 Cette planisphère colorée me rappelle quelque chose. Quoi ? je n'en sais rien….…………... BTX 1 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 il y a une heure, BTX a dit : En février 2009, et en prévision d’une épidémie majeure, la France disposait d’un stock de 723 millions de masques de protection respiratoire [FFP2] J'avais bien dit que c'était pas Chichi qui avait démantelé les stocks .... mais bon .... Citer Le fil rouge sur le bouton rouge, le fil bleu .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 il y a 3 minutes, Clairon a dit : J'avais bien dit que c'était pas Chichi qui avait démantelé les stocks .... mais bon .... En effet , mea culpa ! Moi c'était des bruits de couloir a cette époque mais visiblement cela n'avais pas encore était fait . Par contre , l'opposition était bien responsable a l'époque de Bachelot qui avait juger ces dépense inutile ... choses qui a était pleinement voter et imposer par décret en 2015. Du coup , le vrai responsable c'est Hollande ! hahah Bah oui , on va pas dire que c'est une responsabilité collective ! Il faut une tête a couper nom de dieu ? ! Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SG5375 Posté(e) 22 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 22 mars 2020 Et pour ROSELINE BACHELOT elle s'était battue contre des députés qui ont eu raison des stocks à son grand dam. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 23 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 23 mars 2020 Elle avait ramasser a l'époque méchant en plus ! haha ? Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 23 mars 2020 Signaler Partager Posté(e) 23 mars 2020 Historique des hôpitaux des armées archive ECPAD Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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