Pell Posté(e) 27 février Signaler Partager Posté(e) 27 février Bonjour à tous, J'ai parcouru les discussions sur le CPIS et bien compris la complexité de son intégration. Cependant, j'aimerais clarifier un autre point. Concernant la formation des officiers au sein du CPIS, est-elle identique à celle des sous-officiers, qui dure un an ? Si ce n’est pas le cas, quelles en sont les raisons ? J'ai lu sur un forum : "Recrutement CIRP : - Etre apte à servir dans les troupes aéroportées ; - Poste opérationnel : Les officiers à vocation opérationnelle seront de préférence du grade de lieutenant. Les sous-officiers doivent être prioritairement titulaires du BSTAT. Il est à noter que les sous-officiers recrutés suivront une formation opérationnelle de 12 mois (d’août 2018 à août 2019) incompatible avec la préparation à distance (P@D FG2) et la mise en formation FG2 et FS2. Les candidats titulaires du BSAT pourront être étudiés selon les besoins en gestion. Limite d’âge supérieure : 35 ans au 1er janvier 2017. Affectation possible : le CPIS ou le CPES." En complément, j'aimerais savoir : Les officiers ont-ils vocation à suivre le groupe en mission avec les sous-officiers ? Ont-ils accès aux formations spécifiques (tir explosif, opérations de chute, techniques d'effraction, etc.) ou sont-elles exclusivement réservées aux sous-officiers ? Quelles sont les différences de mission entre les officiers et les sous-officiers au sein du CPIS ? Merci d'avance pour vos éclaircissements ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
h2M Posté(e) 27 février Signaler Partager Posté(e) 27 février (modifié) Bonjour, Ayant quelques informations sur le recrutement à ce sujet sans plus, je peux simplement dire que tous suivent le "tronc commun" sans exception, evat, soff, off Le jeune officier suivra les mêmes formations opérationnelles ensuite et se retrouvera comme les autres sur les théatres qu'on lui confiera avec sa petite équipe. Pour la question 3, j'imagine que la différence réelle étant la carrière. L'officier n'a pas vocation à rester en groupe, il a un cursus de carrière défini. Je ne connais pas ce qu'il y a en revanche après le tronc commun pour les sous off et les officiers Ces informations sont "partielles", à vous de voir comment vous souhaitez vous orienter Modifié 27 février par h2M Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 27 février Signaler Partager Posté(e) 27 février La formation est d'un peu moins de 3 ans, pas une année. Sinon un sous-officier n'a pas vocation à le rester, le SA est composer majoritairement d'officier. C'est fini l'époque où il y avait un peu des trois groupes. Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ptitandalou Posté(e) 28 février Signaler Partager Posté(e) 28 février (modifié) Mais le SA est un service à recrutement particulier, avec des formations à part ou il recrute directement chez du personnel déjà formé et en activité ? Je n'arrive pas trop à situer cette unité en fait. Son fonctionnement doit être à rapprocher de celui des unités d'intervention d'autres services de renseignement comme le MI6 ou la CIA mais quand on est lambda on a surtout une vision cinématographique de la chose qui n'est pas forcément la réalité. D'ailleurs j'avais lu un article rédigé par un général, de mémoire qui avait commandé le COS ou quelque chose du genre qui m'avait marqué qui suggérait qu'il serait pertinent de fusionner le SA au COS/FS car les missions sont similaires. Je cherche pas à entrer dans un débat qui touchent aux hautes sphères et qui me dépasse certainement en profondeur et en expérience, simplement je rapporte ce que j'ai lu à titre de réflexion. Naturellement, veillons à ne pas divulguer d'informations classifiés sur un forum public. Au plaisir de vous lire Fraternellement Modifié 28 février par Ptitandalou Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Stvn Posté(e) 28 février Signaler Partager Posté(e) 28 février C'est simple, le SA va là où il n y a pas de passeport diplomatique. Les FS sont invités dans un pays, le SA va sans autorisation. Mélanger les deux n'est pas pertinent, car cela fragiliserait la légende des agents d'être mélangé avec un cercle trop grand. D'où pourquoi l'idée n'est jamais allée plus loin. Au sein même du CIRP, il y a les agents et les soutiens, c'est déjà cloisonner de base. Citer Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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