Yann pyromane Posté(e) 22 juin Signaler Posté(e) 22 juin https://www.20minutes.fr/monde/israel/4159771-20250622-guerre-israel-iran-nucleaire-frappes-americaines-iran-integralite-allocution-solennelle-trump Citer
Yann pyromane Posté(e) 22 juin Auteur Signaler Posté(e) 22 juin Aucune autre armée au monde n’aurait pu faire ce que nous avons fait ce soir, et de loin. Aucune armée n’a jamais pu faire ce qui vient de se passer. Citer
BTX Posté(e) 22 juin Signaler Posté(e) 22 juin "Une attaque très réussie" : les États-Unis bombardent trois sites nucléaires iraniens Après des jours d’hésitation, Donald Trump a annoncé sur son réseau Truth Social, le bombardement par les États-Unis de trois sites nucléaires iraniens. Dans un discours plus solennel à la nation, le président américain a ensuite mis en garde l’Iran contre "toutes représailles" à l’encontre des États-Unis. Donald Trump a pris sa décision. Après avoir longtemps semé le trouble sur ses intentions et laissé un délai "maximum" à l’Iran avant de possibles frappes sur son territoire, Donald Trump a annoncé dans un communiqué sur son réseau Truth Social dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 juin, qu’une « attaque très réussie » avait été effectuée sur trois sites nucléaires iraniens. "Nous avons mené à bien une attaque très réussie sur les trois sites nucléaires en Iran, notamment Fordo, Natanz et Ispahan", a-t-il indiqué, rapporte Le Figaro. Toujours sur son réseau social, le président américain a tenu à préciser que tous les avions américains ayant participé à cette opération ont quitté l’espace aérien de Téhéran. "Félicitations à nos grands guerriers. Il n’y a pas d’autre armée au monde qui aurait pu faire cela. MAINTENANT L’HEURE DE LA PAIX A SONNÉ !", a-t-il poursuivi dans son message écrit en lettres majuscules. Donald Trump se félicite d’un "succès militaire spectaculaire" Donald Trump, qui était rentré samedi 21 juin à Washington afin de prendre part à un conseil de sécurité nationale, s’est ensuite exprimé à la nation américaine depuis la Maison-Blanche aux côtés de son vice-président J. D. Vance, du chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, et du patron du Pentagone, Pete Hegseth. Dans un discours cette fois-ci plus solennel, Donald Trump s’est félicité d’un "succès militaire spectaculaire" en réaffirmant que les "principales installations d’enrichissement nucléaire de l’Iran ont été complètement et totalement oblitérées", rapporte Libération. Après ces félicitations, notamment au Premier ministre israélien, Donald Trump a opté pour un discours plus menaçant à l’encontre de la République islamique, l’invitant à choisir "la paix" plutôt que la "tragédie". "La cible de ce soir était la plus difficile de toutes, mais il en reste de nombreuses. Et si la paix ne vient pas rapidement, nous nous attaquerons à ces autres cibles avec précision, rapidité et habileté - la plupart d’entre elles peuvent être éliminées en quelques minutes", a-t-il affirmé. Mise en garde contre toutes représailles Après ces frappes menées par les États-Unis, le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghtchi, a averti sur X que ces attaques auront des "conséquences éternelles", ajoutant que "l’Iran se réserve toutes les options pour défendre sa souveraineté, ses intérêts et son peuple". Des menaces loin d’effrayer Donald Trump qui, sur Truth Social, a prévenu que les États-Unis répondront "avec une force plus grande que ce qui a été observé ce soir" à "toutes représailles de l’Iran". publié le 22 juin à 06h50, Kévin Comby, 6Medias Citer Ya Rab Yeshua.
Yann pyromane Posté(e) 22 juin Auteur Signaler Posté(e) 22 juin Avec aussi des missiles venus des abysses 😉 Citer
BTX Posté(e) 22 juin Signaler Posté(e) 22 juin https://www.opex360.com/2025/06/22/des-bombardiers-americains-b-2-spirit-ont-frappe-le-site-nucleaire-iranien-de-fordo-lors-dun-raid-de-longue-duree/ Des bombardiers américains B-2 Spirit ont frappé le site nucléaire iranien de Fordo lors d’un raid de longue durée Dans les pages du journal Le Parisien, ce 22 juin, le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a affirmé que les services de renseignement français avaient « certifié » que l’Iran disposait « bien des différentes pièces » nécessaires pour assembler une bombe nucléaire, à commencer un « stock d’uranium enrichi à 60 % » qui n’a aucune application civile. « Mais ce stock, une fois réenrichi à 90 % […] permettrait de fabriquer près de dix bombes nucléaires », a-t-il dit. D’où l’opération militaire « préemptive » [*] Rising Lion, lancée par Israël contre les programmes nucléaire et balistique iraniens, dans la nuit du 12 au 13 juin. Soit quelques heures après le vote, par l’Agence internationale de l’énergie atomique [AIEA], d’une résolution déclarant que l’Iran ne respectait pas ses obligations en matière de non-prolifération nucléaire. Aux États-Unis, le président Trump a semblé vouloir donner une chance à une issue diplomatique, tout en exigeant que l’Iran renonce à ses ambitions nucléaires. Mais, dans le même temps, les forces américaines ont progressivement renforcé leur posture au Moyen-Orient, région placée sous la responsabilité de l’US CENTCOM. Ainsi, le 16 juin, trente-deux avions ravitailleurs [KC-16A Pegasus et KC-135 Stratotanker] et de transport [C-17] ont rejoint l’Europe, notamment l’Espagne [Morón et Rota], le Royaume-Uni, l’Italie [Aviano] et l’Allemagne [Ramstein]. Certains d’entre eux ont poursuivi leur vol jusqu’au Moyen-Orient. Le lendemain, des F-35A et des F-16 ont respectivement décollé des bases de Lakenheath [Royaume-Uni] et d’Aviano pour se mettre à la disposition de l’US CENTCOM. Puis, le 20 juin huit F-22A Raptor [sur douze arrivés précédemment à Lakenheath] se sont posés à Mullowaq Salti, en Jordanie. Dans le même temps, l’US Navy a annoncé qu’elle renforcerait sa présence au Moyen-Orient, avec deux groupes aéronavals, formés autour des porte-avions USS Nimitz et USS Gerald Ford, devant rejoindre celui de l’USS Carl Vinson. Le 21 juin, alors que le président Trump venait d’affirmer qu’il se donnait quinze jours pour décider d’une éventuelle frappe contre le programme nucléaire iranien, plusieurs bombardiers stratégiques B-2 « Spirit » ont décollé de la base aérienne de Whitman [Missouri] et mis le cap vers l’île de Guam soit 7340 miles. À ce moment-là, leur destination finale restait incertaine dans la mesure où ils étaient plutôt attendus à la base Diego Garcia, dans l’océan Indien, afin de renforcer le dispositif militaire américain au Moyen-Orient. Était-ce une feinte ? Toujours est-il que, comme cela s’est déjà produit par le passé, comme en Afghanistan et en Libye, avec des missions ayant duré entre trente et quarante heures, six B-2 Spirit, emportant chacun deux bombes GBU-57A/B MOP [Massive Ordnance Penetrator], ont frappé le site nucléaire souterrain de Fordo, dont l’existence avait été révélée en 2009, dans la nuit du 21 au 22 juin. Étant l’un des éléments essentiels du programme nucléaire iranien, avec celui de Natanz, le site de Fordo abrite des centrifugeuses permettant d’enrichir l’uranium [En janvier 2023, l’AIEA y avait découvert des particules d’uranium enrichies à près de 84 %, ndlr]. Profondément enfouies, ses installations sont inaccessibles à la force aérienne israélienne, celle-ci ne disposant pas de munitions comme la GBU-57A/B MOP. Aussi, l’opération Rising Lion ayant atteint ses limites, Israël ne pouvant compter que sur intervention militaire américaine pour détruire le site de Fordo. Ce qui vient donc d’être fait. Mise en service en 2011, la MOP est une bombe de 13,6 tonnes censée pouvoir percer jusqu’à 60 mètres de roche ou de béton avant d’exploser dès qu’elle détecte une cavité. Au total, les B-2 ont donc largué 180 tonnes de bombes sur Fordo, ce qui, a priori, serait suffisant pour causer des destructions irrémédiables. Par ailleurs, outre l’action des B-2 à Fordo, un sous-marin nucléaire lance-missiles de classe Ohio, probablement l’USS Georgia, a tiré trente missile de croisière Tomahawk contre deux autres sites du programme nucléaire iranien, à savoir ceux de Natanz et d’Ispahan. Les forces américaines ont « mené des frappes massives et précises contre les trois principales installations nucléaires du régime iranien : Fordo, Natanz et Ispahan. Ces noms étaient connus de tous depuis des années, alors qu’ils construisaient cette entreprise terriblement destructrice. Notre objectif était de détruire les capacités d’enrichissement nucléaire de l’Iran et de mettre un terme à la menace nucléaire posée par le principal Etat soutenant le terrorisme au monde », a ensuite déclaré le président Trump. « Ce soir, je peux annoncer au monde que ces frappes ont été un succès militaire spectaculaire. Les installations d’enrichissement nucléaire de l’Iran ont été complètement et totalement détruites. L’Iran, le tyran du Moyen-Orient, doit maintenant faire la paix. S’il ne le fait pas, les futures attaques seront bien plus graves et bien plus faciles à mener », a-t-il poursuivi. Et d’ajouter : « La situation ne peut plus durer. Soit la paix règne, soit la tragédie pour l’Iran sera bien plus grave que celle que nous avons connue ces huit derniers jours. N’oubliez pas qu’il reste de nombreuses cibles. Celle de ce soir était de loin la plus difficile […]. Mais si la paix n’est pas rapidement atteinte, nous nous attaquerons à ces autres cibles avec précision, rapidité et habileté. La plupart peuvent être détruites en quelques minutes ». Reste à voir les conséquences de ces frappes américaines. Cette semaine, le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a prévenu qu’une intervention de Washington entraînerait des « dommages irréparables » tandis que le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Esmail Baghaei a affirmé qu’elle « ouvrirait la voie à une guerre ouverte dans la région ». Outre la riposte iranienne contre Israël [trente missiles ont été tirés vers l’État hébreu après les frappes américaines], deux points particuliers seront à surveiller dans les prochaines heures : le détroit d’Ormuz, que l’Iran pourrait être tenté de bloquer, et la situation en mer Rouge, où les rebelles houthis, qui lui sont inféodés, ont menacé de reprendre leurs attaques contre les navires américains. Selon M. Lecornu, l’Iran disposerait encore d’environ 2 000 missiles. « On constate que les frappes sont moins nombreuses chaque jour. Donc, on sent une stratégie iranienne qui s’installe pour durer », a-t-il confié au Parisien. [*] Selon le droit international, une guerre « préemptive » est lancée pour neutraliser une menace « immédiate et imminente » tandis qu’une guerre « préventive » vise à prévenir une menace qui ne s’est pas encore concrétisée. Photo : US Air Force PS. Fiche technique Northrop B2 SPIRIT https://aviationsmilitaires.net › aircraft › show › northro... Citer Ya Rab Yeshua.
Levy Pierre Posté(e) 22 juin Signaler Posté(e) 22 juin Techniquement bien réussi. Mais, est-ce politiquement malin ? 1 Citer Militaire d'active
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