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Mali: Le Président Hollande confirme l'engagement de forces françaises


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MALI : VIOLENTS COMBATS DANS LE MASSIF DES IFOGHAS

http://afghanistan-actualites.fr/index.php/component/k2/item/236-mali-violents-combats-dans-le-massif-des-ifoghas.html

Une vidéo qui complémente avec des images du terrain, vidéo en date du 7,

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De nouvelles photos du conflit en bonne définition http://www.flickr.com/photos/theatrum-belli/sets/72157632507552964/show/with/8562055802/

Très belles images.

Citation

Notre vie vaut ce qu'elle nous a coûté d'efforts

 

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Mali -

Article publié le : jeudi 21 mars 2013 - Dernière modification le : vendredi 22 mars 2013

La nuit du mercredi 20 au jeudi 21 mars 2013 a été très agitée à Tombouctou dans le nord du Mali. Un véhicule piégé a tenté de pénétrer dans l'aéroport mais l'armée française a ouvert le feu. L'explosion a tué un militaire malien et en a blessé deux autres. Un autre véhicule de l'armée malienne a également été touché par erreur. La fusillade avec les jihadistes a duré une bonne partie de la nuit.

Selon une source militaire malienne, c’est un véhicule piégé qui a explosé dans la nuit à Tombouctou, plus précisément vers l’aéroport de la ville.

Le véhicule est arrivé non loin d’une position de l’armée malienne, tous feux éteints, et le kamikaze a actionné sa ceinture. Le kamikaze a été tué sur le coup et une partie du moteur du véhicule a été retrouvé à plus dix kilomètres de l’endroit de l’explosion. Deux militaires maliens ont été blessés, un autre est décédé.

Au moment de l’explosion de la voiture piégée, il y a eu un branle-bas de combat. Les militaires français et maliens avaient le doigt sur la gâchette. Un autre véhicule suspect est localisé par les militaires français qui ouvrent le feu dans le secteur où se trouve ce véhicule suspect.

Malheureusement, c’était un véhicule de l'armée malienne et trois militaires maliens ont été blessés. Actuellement, un calme précaire règne à Tombouctou, même si certains habitants sont restés terrés à la maison.

http://www.rfi.fr/afrique/20130321-mali-tentative-attentat-dejouee-aeroport-tombouctou-france-terroriste

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Le djihadiste français capturé début mars par l'armée française dans le nord du Mali a été mis en examen, ce vendredi soir, pour "association de malfaiteurs en relation avec un entreprise terroriste". Il est placé en détention provisoire.

Agé de 37 ans, ce Franco-Algérien faisait partie de la "demi-dizaine" de djihadistes faits prisonniers après des combats opposant les forces françaises et tchadiennes aux islamistes radicaux dans le massif de l'Adrar des Ifoghas. Il avait été renvoyé en France et immédiatement placé en garde à vue.

Au début des années 2000, il avait en vain déposé deux dossiers de candidature pour devenir adjoint de sécurité, c'est-à-dire contractuel auxiliaire de la police.

> Lire aussi: Le djihadiste arrêté au Mali n'a jamais travaillé dans la police

Né en décembre 1975 en Algérie, cet homme s'était installé au début des années 2000 à Bonneville en Haute-Savoie, où il s'était marié en 2005. Père de trois enfants, il était retourné vivre à Grenoble en septembre, après s'être séparé de son épouse.

Avec AFP

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/justice/le-djihadiste-francais-capture-au-mali-est-mis-en-examen_1234107.html

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Le journal Le Monde affirme ce samedi matin, de sources officielles, qu'Abou Zeid, l'un des principaux chefs d'Al-Qaida au Maghreb islamique, a bien été tué lors des opérations menées par les armées française et tchadienne au nord du Mali, dans l'adrar de Tigharghar.

Le président tchadien Idriss Déby avait annoncé la mort du terroriste dès le 1er mars. Abou Zeid aurait été tué lors d'affrontements dans le massif des Ifoghas qui avaient alors opposé les islamistes aux troupes tchadiennes et françaises. Mais Paris n'avait pas confirmé. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait prudemment déclaré que sa mort était "probable", le 11 mars dernier.

D'après Le Monde, l'Elysée devrait communiquer dans la journée à ce sujet. Le corps d'Abou Zeid aurait été identifié il y a quatre jours déjà par les autorités algériennes au moyen d'analyses ADN demandées par Paris. Alger disposait de fragments d'ADN familiaux qui ont permis que soient menés ces tests.

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http://www.lemonde.fr/afrique/article/2013/04/05/le-mali-promet-des-elections-en-juillet_3155016_3212.html#ens_id=1632216&xtor=RSS-3208

<<1 000 SOLDATS FRANÇAIS RESTERONT STATIONNÉS AU MALI

Par ailleurs, M. Fabius a affirmé que la rébellion touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), en partie à l'origine de la crise malienne, devra déposer les armes "le moment venu". "Dans un pays démocratique, il ne peut pas y avoir deux armées", a dit Laurent Fabius, en affirmant que la ville de Kidal (nord-est du Mali) tenue par le MNLA, qui y a désigné un "administrateur" et a refusé la présence de l'armée malienne, "fait partie du territoire malien".

Il a confirmé qu'un millier de soldats français resteraient de façon permanente au Mali. "La France a proposé aux Nations unies et au gouvernement malien d'avoir une force d'appui française d'un millier d'hommes, qui sera permanente, qui sera au Mali, et qui sera équipée pour lutter contre le terrorisme", a déclaré M. Fabius, avant de quitter Bamako.>>

1) Présentation obligatoire : cliquez ici

2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée

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INTERVIEW E1 - Sébastien Chenebeau, officier, raconte comment il a vécu l’opération au Mali.

Le retour. Pendant 27 jours, le lieutenant-colonel Sébastien Chenebeau était en opération au Mali. Père de quatre enfants, il vient de rentrer en France. Sur Europe 1, ce soldat aguerri raconte ce qui l’a le plus marqué, évoquant notamment la "détermination" de ses adversaires.

http://www.europe1.fr/International/Au-Mali-quasiment-du-corps-a-corps-1480153/

http://www.europe1.fr/International/Mali-les-premiers-soldats-de-retour-1479699/

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Opération Serval : point de situation sur les opérations du jeudi 18 avril 2013

Points sur les opérations de la force Serval depuis le jeudi 11 avril 2013 (18h00) jusqu’au jeudi 18 avril (18h00)

http://www.defense.gouv.fr/operations/mali/actualite/operation-serval-point-de-situation-sur-les-operations-du-jeudi-18-avril-2013

Au cours de ces derniers jours, les opérations aériennes se sont poursuivies avec cent cinquante sorties, principalement dans la région de Tessalit et le long de la boucle du Niger. Une quarantaine de sorties a été dédiée à l’appui des troupes au sol, près de soixante-dix au transport de nos forces et de nos matériels et le reste des sorties étant consacrées au soutien des opérations (ravitaillement et renseignement). Une frappe au nord de Tessalit qui a permis la neutralisation d’un pick-up ennemi.

Le 15 avril, 3 Mirage 2000D, 2 Rafale et 1 avion C135 ont quitté le Mali pour la France. Ce désengagement s’inscrit dans le cadre de l’allégement du dispositif français au Mali. Ainsi, le dispositif chasse de l’opération Serval comprend désormais 3 Mirage 2000D à Bamako et 6 Rafale à N’Djamena. Ce dispositif est complété par plusieurs avions de type C160, C130, CN235 ou encore par des moyens de contrôle et de commandement, de renseignement et de ravitaillement en vol qui poursuivent leurs opérations depuis le Mali, le Sénégal, le Tchad ou la Côte d’Ivoire.

article_demi_colonneAu sol, les opérations se poursuivent dans le nord et dans le centre du pays. A l’extrême Nord du Mali, dans la région de Taoudenni, des éléments des forces spéciales appuyés par un SGAM adapté ont conduit une mission de reconnaissance offensive et de fouilles afin de marquer notre présence française dans une zone de transit potentielle des groupes terroristes. Cette opération remarquable de par les distances parcourues (près de 3000 km) a nécessité un soutien logistique adapté avec plusieurs livraisons par air (LPA) pour assurer l’autonomie logistique dans la durée de cette mission. Elle n’a donné lieu à aucun contact avec les groupes terroristes. Aucune trace de passage récent n’a été relevée.

A Tombouctou, depuis le 15 avril 2013, le bataillon burkinabé est au complet (3 compagnie et un état-major tactique). Il a débuté sa prise de consignes avec l’EAE du GTIA 2 et procède à la prise en compte de sa zone d’action grâce à l'exécution de patrouilles communes. Parallèlement et comme sur Ménaka, les premiers éléments du détachement de liaison (DLA) français sont arrivés afin d’appuyer la mise en œuvre de cette transition.

Les derniers éléments du GTIA TAP ont quitté le Mali, la plupart étant maintenant rentrés en France. Quelques éléments sont encore stationnés à Abidjan.

Un peu moins de 4000 soldats français sont engagés au Mali, aux côtés des forces armées maliennes et des forces africaines de la MISMA afin d’y mener des opérations de sécurisation visant à permettre au gouvernement malien de recouvrer et de contrôler son intégrité territoriale.

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