Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

Toute l’activité

Ce flux se met à jour automatiquement

  1. Aujourd’hui
  2. Bonjour à tous J avais posté il y a plus d a an un sujet sur l engagement de mon fils. Ce post a disparu. J aimerai en connaître les raisons, à aucun moment je n ai parlé de son régiment, seulement de ses classes. Je vous remercie pour vos réponses.
      • 1
      • Sad
  3. https://www.opex360.com/2025/10/25/les-six-fregates-de-surveillance-de-type-floreal-resteront-en-service-bien-plus-longtemps-que-prevu/ Les six frégates de surveillance de type Floréal resteront en service bien plus longtemps que prévu Conçu il y a près de quarante ans et admise au service actif au début des années 1990, les six frégates de surveillance de type Floréal sillonnent les 11 millions de km² de la zone économique exclusive [ZEE] française depuis les outre-mer pour mener, notamment, des missions de police de pêche et de lutte contre le narcotrafic. Mais pas seulement puisqu’elles sont aussi susceptibles d’être engagées dans des opérations et des exercices multinationaux, comme cela a récemment été le cas pour le « Prairial », qui a pris part aux manœuvres « Annualex », au Japon. Selon la Loi de programmation militaire [LPM] 2024-30, le remplacement de ces six frégates de surveillance devrait commencer à partir de 2030, avec la livraison d’une première corvette, vraisemblablement issue du programme EPC [European Patrol Corvette], lancé en 2019 dans le cadre de la Coopération structurée permanente [CSP ou PESCO], sous la direction de l’Italie et avec la participation de la France, de l’Espagne et de la Grèce. Selon les attendus de ce programme, cette corvette européenne devra afficher un déplacement de 3 000 tonnes pour 110 mètres de long et être conçue selon une architecture ‘plug and play’ ouverte. En outre, elle se déclinera au moins en trois versions : une première optimisée pour la lutte anti-sous-marine, une seconde dédiée aux missions de longue durée avec une capacité de lutte anti-surface et une dernière plus axée sur la patrouille en haute mer. Il était récemment question qu’un « prototype » soit mis à l’eau en 2027. Seulement, la Marine nationale ne devrait pas disposer d’une première corvette européenne selon l’échéancier fixé par la LPM 2024-30. En effet, lors d’une audition parlementaire, le 23 octobre, son chef d’état-major [CEMM], l’amiral Nicolas Vaujour, a indiqué que les six frégates de surveillance de type Floréal seront prolongées, alors qu’elles arrivent presque à « bout de souffle ». « D’abord, on a plutôt une bonne nouvelle : nos frégates de surveillance tiennent encore à peu près la route. Donc, on est capable de les prolonger. Comme d’habitude, dans nos affaires d’actualisation de LPM, la question est de savoir où sont nos marges. Bon, là, c’est peut-être un peu une marge », a dit l’amiral Vaujour. « On a travaillé avec les Européens pour voir quelle serait la corvette du futur. On pense qu’on peut prolonger nos frégates de surveillance aujourd’hui même si elles arrivent à bout de souffle. Mais on a un besoin de navires de bonne qualité hauturière, endurants – c’est absolument essentiel – et d’un armement un peu durci. […] Donc, c’est un investissement important », a poursuivi le CEMM. En attendant, a-t-il ajouté, « on est dans le projet européen pour essayer de garder tout ce qu’il aura de bon. Mais c’est sûr qu’on va décaler un petit peu cette affaire vers la droite. Coup de bol : les frégates de surveillance permettent de le faire aujourd’hui ». Par ailleurs, l’amiral Vaujour a confirmé que la Marine nationale ne pourra pas disposer de trois frégates dites de premier rang dans un avenir proche, la question ayant été renvoyée à la prochaine LPM. Donc après 2030. C’est ce qu’avait annoncé, la veille, la ministre des Armées, Catherine Vautrin, aux députés. « Le ministre [Sébastien Lecornu] avait effectivement posé que le poids de la forme de la Marine était plutôt à dix-huit frégates. Aujourd’hui, on en a quinze. On les optimise au maximum, grâce à une disponibilité extrêmement bonne [80 % ndlr], et on a doublé les équipages sur certaines pour augmenter le nombre de jours à la mer. Mais on arrive au bout du curseur de ce que l’on est capable de faire avec quinze [bateaux] », a expliqué l’amiral Vaujour. Aussi, « si on devait aller au-delà en termes d’emploi opérationnel », comme assurer une permanence en mer Noire, « il en faudrait plus », a souligné le CEMM. « Une permanence dans une zone géographique, c’est trois frégates. Aujourd’hui, on a une permanence en Atlantique, une permanence en Méditerranée, une permanence dans l’océan Indien. Ce qui vous en fait neuf. Pour tenir une alerte, il en faut deux à Brest et deux à Toulon. Donc, ça vous en fait quatre supplémentaires. Vous en mettez deux en arrêt technique et vous les quinze », a détaillé l’amiral Vaujour. Aussi, a-t-il fait observer, cela « montre bien que, structurellement, on ne peut pas aller beaucoup plus loin. Et donc, à chaque fois que l’on veut faire quelque chose d’autre, il faut malaxer tout ça et faire des choix ». Et donc se résoudre à des renoncements. Quoi qu’il en soit, les « trois frégates supplémentaires ne sont pas posées. C’est une réalité. Donc, ce sera un travail pour la prochaine LPM, probablement. Il est vrai que le nombre de frégates est important. Aujourd’hui, on a tiré le maximum de ce que l’on est capable de faire »‘, a conclu l’amiral Vaujour.
  4. https://www.opex360.com/2025/10/25/lutte-contre-le-narcotrafic-les-etats-unis-deploient-le-porte-avions-uss-gerald-r-ford-dans-les-caraibes/ Lutte contre le narcotrafic : les États-Unis déploient le porte-avions USS Gerald R. Ford dans les Caraïbes Pour vaincre un adversaire, l’action militaire n’est pas forcément nécessaire : il suffit de l’affaiblir et le déstabiliser par différents moyens, comme en soutenant des mouvements politiques subversifs, voire des groupes terroristes, en instrumentalisant les flux migratoires [ce que la Russie est accusée de faire] ou encore, via des relais, en encourageant le trafic de drogue. Ainsi, aux États-Unis, les surdoses liées à la consommation de drogues causent, chaque année, plus de 100 000 décès. Les opioïdes, comme le fentanyl, sont impliqués dans 80 % des cas, la cocaïne l’étant dans les 20 % restants [27 569 décès en 2022, ndlr]. Au-delà des aspects sanitaires, évidemment préoccupants, notamment pour la jeunesse, cette situation nourrit la criminalité et, partant, pose un problème de sécurité intérieure. La consommation de drogues de synthèse, comme le fentanyl, a pratiquement décimé toute une génération aux États-Unis. Cinquante fois plus puissantes et moins chères que les opiacés d’origine végétale, elles font des ravages tant dans les grandes villes que dans les campagnes, comme l’a décrit le vice-président américain, J.D Vance, dans son livre Hillbilly Elegy. Or, parce qu’elle est le premier producteur mondial des précurseurs chimiques du fentanyl, la Chine est accusée par les États-Unis de jouer un rôle central dans la diffusion de cette drogue de synthèse, via les cartels sud-américains qui l’achemine vers l’Amérique du Nord. D’où la volonté de l’administration du président Trump d’y mettre un terme, en usant de la force militaire. Deux pays sont plus concernés que les autres : le Venezuela, dont le président, Nicolas Maduro, est accusé par Washington d’être de mèche avec le Cartel de Los Sols et Tren de Aragua, et la Colombie, à qui les États-Unis reprochent de ne pas en faire assez contre la production de cocaïne. Par ailleurs, le Venezuela cultive des liens étroits avec la Chine, la Russie et l’Iran, ce qui, aux yeux de Washington, est une circonstance aggravante. En outre, depuis qu’il est à la tête de la Colombie [il est le premier président issu de la gauche], Gustavo Petro plaide pour un rapprochement avec Caracas, l’une de ses premières décisions ayant d’ailleurs consisté à rétablir des relations diplomatiques qui avaient été rompues en 2019. Quoi qu’il en soit, lors de son premier mandat [2017-21], le président Trump avait l’intention de lancer une vaste opération antidrogue en Amérique du Sud. Opération qui ne put être menée puisqu’il dut quitter la Maison Blanche. Mais depuis qu’il a retrouvé le bureau ovale, il entend reprendre les affaires où il les avait laissées. En août, après avoir mis la tête du président Maduro à prix pour 50 millions de dollars, les États-Unis ont commencé à déployer une puissante force dans les caraïbes, avec pas moins de sept navires [dont l’USS Iwo Jima, susceptible de mettre en œuvre des chasseurs-bombardiers AV-8B Harrier], dix F-35B [basés à Porto Rico], des avions de patrouille maritime P-8A Poseidon et des drones. Au total, 10 000 militaires américains, appartenant essentiellement à l’US Marine Corps [USMC] sont engagés dans cette opération de lutte contre le « narcoterrorisme ». Mais ce n’est pas fini. Aux vols ponctuels de bombardiers stratégiques B-52H Stratofortress et B-1 Lancer au large du Venezuela viendra s’ajouter ceux des aéronefs embarqués à bord du porte-avions USS Gerald R. Ford, lequel sera mis à disposition du commandement Sud des États-Unis [USSOUTHCOM] après son départ de la Méditerranée, où il se trouve actuellement avec son groupe aéronaval. C’est en effet ce qu’a annoncé Sean Parnell, un porte-parole du Pentagone, le 24 octobre. « Pour appuyer la directive du Président visant à démanteler les organisations criminelles transnationales [OCT] et à lutter contre le narcoterrorisme […], le secrétaire à la Guerre a dirigé le groupe aéronaval Gerald R. Ford et son escadre aérienne embarquée vers la zone de responsabilité du Commandement Sud des États-Unis », a-t-il dit. L’USS Gerald R. Ford « renforcera notre capacité à détecter, surveiller et perturber les acteurs et activités illicites qui compromettent la sécurité et la prospérité des États-Unis », a-t-il fait valoir. Ce porte-avions a appareillé de la base navale de Norfolk, en juin dernier. Son groupe aéronaval se compose notamment des destroyers USS Winston S. Churchill, USS Bainbridge, USS Mahan, USS Mitscher et USS Forrest Sherman, les deux derniers étant respectivement déployés en mer d’Arabie et en mer Rouge. Aussi, il n’est pas certain qu’ils soient envoyés aux Caraïbes, où l’USS Gerald Ford devrait se trouver d’ici une bonne semaine.
  5. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/en-israel-le-centre-de-coordination-militaro-civile-cmcc-accueille-des-officiers-francais-britanniques-allemands/ Une info France Info: « Trois militaires français sont intégrés au Centre de coordination militaro-civile (CMCC) installé par les Américains en Israël, a appris de sources diplomatiques européennes et auprès de l’Etat-major français le correspondant de Radio France à Jérusalem. Le Centre de coordination militaro-civile (CMCC) installé en Israël, à une trentaine de kilomètres de Gaza, mène une mission de surveillance du cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne, sous l’égide des États-Unis. Selon une source diplomatique européenne, ils sont arrivés très récemment et n’ont pas encore de fonction précise au sein des cinq groupes de travail coordonnés par les États-Unis. Ils rejoignent des équipes britanniques et canadiennes. Des équipes provenant d’autres pays européens et des représentants de l’Union européenne doivent aussi participer prochainement. » En outre, « le correspondant de Radio France à Jérusalem a pu consulter un document confidentiel, un échange entre deux acteurs concernés, qui permet d’en savoir plus sur le fonctionnement du CMCC. Il s’agit de directives, en 11 points, qui permettent d’y voir plus clair sur la gestion à court terme de la bande de Gaza. Dans ce document, on apprend que le QG de la force de stabilisation devrait être installé à Rafah, au sud de l’enclave, d’ici deux ou trois semaines. » L’EMA français a confirmé cette information, précisant que « nous n’en sommes qu’à la phase de planification. Le mandat, les modalités de sa mise en oeuvre et les moyens mis à disposition par les nations contributrices n’ont pas été déterminés ». Photo prise le 23 octobre au sein du Civil-Military Coordination Center (CMCC). Photo U.S. Army photos Sgt. 1st Class Malcolm Cohens-Ashley. La mission du CMCC Dans un communiqué du 21 octobre, le CENTCOM, le commandement central américain, a annoncé avoir ouvert un Centre de coordination civilo-militaire (CMCC) en Israël, le 17 octobre. Environ 200 militaires américains possédant une expertise en transport, planification, sécurité, logistique et ingénierie ont mis en place ce CMCC sous la direction du lieutenant-général Patrick Frank, commandant de l’US Army Central (ARCENT). « Le CMCC est conçu pour soutenir les efforts de stabilisation. Le personnel militaire américain ne sera pas déployé à Gaza, mais contribuera à faciliter l’acheminement de l’aide humanitaire, logistique et sécuritaire des partenaires internationaux vers Gaza. Le CMCC assurera également le suivi de la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu, grâce à un espace opérationnel permettant au personnel d’évaluer en temps réel l’évolution de la situation à Gaza. De plus, des bureaux et des espaces de réunion sont aménagés pour favoriser la planification collaborative entre les dirigeants, les représentants et le personnel », ont expliqué les Américains. D’autres annonces européennes L’info des confrères de France Info intervient après plusieurs autres annonces d’armées étrangères prêtes à déployer des représentants au sein du CMCC. Ainsi, l’amiral Brad Cooper, commandant du CENTCOM, avait annoncé, le 17 octobre, qu’au cours des deux prochaines semaines, « le personnel américain intégrera des représentants de pays partenaires, d’organisations non gouvernementales, d’institutions internationales et du secteur privé dès leur arrivée au centre de coordination. » Parmi ces petits contingents, outre celui de la France, signalons celui de la Bundeswehr qui a envoyé trois officiers dont un général. Selon le ministère allemand de la Défense, « ils serviront en uniforme national et sans armes ». Il faut aussi signaler celui du Royaume-Uni. Le mardi 21 octobre, les autorités britanniques avait confirmé la participation de quelques militaires britanniques à la mission menée par les Etats-Unis de surveillance du cessez-le-feu à Gaza: « Un petit nombre d’officiers britanniques chargés de la planification ont été intégrés au Centre de coordination militaro-civile (CMCC) dirigé par les Etats-Unis », a indiqué le ministère de la Défense. Lundi, le ministre britannique de la Défense, John Healey, avait déclaré que la Grande-Bretagne jouerait un « rôle central » dans les efforts déployés à la demande de Washington.
  6. Skyrock Pour Les Militaires – Skyrock PLM, la seule radio en France dédiée à la communauté militaire et ouverte à tous – franchit une nouvelle étape éditoriale. À partir de mercredi prochain, en équipe avec Unéo, elle lance Calibre, une émission mensuelle qui donne la parole aux dirigeants de l’industrie de défense française. Proposée sur YouTube, LinkedIn, Instagram, TikTok et l’application de la radio Skyrock FM, Calibre explore les enjeux de souveraineté, d’innovation, d’emploi et de responsabilité sociale au cœur de la Base industrielle et technologique de défense (BITD). Chaque mois, Calibre accueille un dirigeant d’une grande entreprise de défense française pour un entretien exclusif. Au cœur des échanges : la souveraineté, l’innovation, l’emploi, la formation, mais aussi l’engagement social et territorial de ces entreprises Ce lancement marque un élargissement éditorial majeur pour Skyrock PLM, qui, en partenariat avec la mutuelle Unéo, poursuit sa mission de valoriser toutes les formes d’engagement au service de la Nation. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/skyrock-pour-les-militaires-lance-calibre-emission-mensuelle-qui-donne-la-parole-aux-dirigeants-de-lindustrie-de-defense/
  7. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/missiles-et-mirage-paris-renforce-mollement-la-panoplie-ukrainienne/ Missiles et Mirage: Paris renforce mollement la panoplie ukrainienne Devant les alliés de l’Ukraine réunis ce vendredi en visioconférence, le président Emmanuel Macron a annoncé de nouvelles livraisons d’armes françaises aux forces armées d’Ukraine. La Coalition des volontaires réunit 26 pays, essentiellement européens. « Nous livrerons dans les prochains jours des missiles Aster additionnels, de nouveaux programmes de formation et de nouveaux Mirage », a-t-il dit depuis Paris, sans plus de précisions. À ce stade, la France n’a livré que trois Mirage 2000 à l’Ukraine sur les six promis, en raison notamment des besoins de formation des pilotes ukrainiens. L’un des appareils a été abattu en juillet. Les missiles Aster 15 et 30, produits en coopération entre Paris et Rome et destinés à la destruction des aéronefs ennemis, fonctionnent avec le dispositif SAMP/T MAMBA, un système de défense antiaérienne franco-italien équivalent au Patriot américain. Le président français répond ainsi favorablement à la demande de Kiev dont les forces manquent de moyens de défense contre les missiles, drones et avions russes qui frappent les infrastructures ukrainiennes et affaiblissent la résilience de la population. En revanche, le chef de l’Etat français n’a pas suivi le Premier ministre britannique Keir Starmer qui a appelé la Coalition à accroître les livraisons d’armes de longue portée. L’Ukraine produit certains missiles de type longue portée (Flamingo, Neptune) et reçoit des Européens des Scalp français et des Storm Shadow britanniques, mais en petites quantités. Elle a réclamé, sans succès, des missiles allemands Taurus. Et les Américains ont refusé jusqu’ici de livrer les missiles Tomahawk.
  8. https://lignesdedefense.ouest-france.fr/la-croatie-reintroduit-le-service-militaire-pour-18000-jeunes/ Une séance d’information pour des jeunes Coates (Photo HRZ/ L. Parlov) Le parlement croate a voté ce vendredi la réintroduction du service militaire obligatoire, le projet de loi ayant été présenté en juin dernier. La Croatie rejoint ainsi un groupe d’une dizaine d’Etats européens qui maintiennent un service militaire obligatoire, sous des formes diverses (Finlande, Suède, Danemark, Lituanie, Lettonie, Estonie, Autriche, Grèce et Chypre). L’objectif est de renforcer les capacités défensives du pays, dans un contexte marqué par la montée des menaces dans le monde et la guerre en Ukraine. Un total de 84 députés (sur 151 sièges au parlement) ont approuvé les amendements à la loi sur la défense, tandis que 110 ont amendé la loi sur le service dans les forces armées. Zagreb avait aboli le service militaire obligatoire en 2008, un an avant de rejoindre l’Otan, misant sur la professionnalisation de l’armée. Mais les dirigeants croates ont estimé que la situation géopolitique actuelle nécessitait le rétablissement d’une formation militaire de base pour renforcer les capacités de défense du pays. « Nous assistons à une montée de différents types de menaces… qui exigent réactivité et efficacité de la part de la communauté dans son ensemble », a déclaré cette semaine devant les députés le ministre de la Défense, Ivan Anusic, du parti conservateur au pouvoir HDZ. « Face à toute menace, la défense du pays est cruciale », a-t-il dit. On se souviendra que Zagreb a acheté douze chasseurs Rafale et des chars Leopard. L’armée croate s’intéresse aussi au Caesar. Quelque 18 000 jeunes gens seront appelés chaque année pour suivre dès l’âge de 18 ans une formation de deux mois, à partir du début de l’année 2026. Les femmes seront exemptées, alors que les objecteurs de conscience auront la possibilité d’accomplir un service civil de trois ou quatre mois, y compris au sein d’équipes mobilisées pour faire face aux catastrophes naturelles. Les conscrits recevront 1100 euros par mois, le montant pour ceux qui opteront pour le service civil alternatif n’ayant pas été précisé. Ceux ayant accompli leur service militaire seront avantagés lorsqu’ils postuleront à des emplois dans la fonction publique.
  9. https://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2025/10/les-photos-de-victor-ferreira-au-modern.html Quel est le lien entre le Modern Art Fair, rendez-vous de l’art moderne et la Légion ? Ce n’est ni un peintre, ni un sculpteur, ni un designer dont les œuvres sont exposées depuis jeudi et jusqu’à demain place de la Concorde à Paris. Vous donnez « votre langue au chat ? ». Il s’agit de Victor Ferreira, photographe, ex-adjudant-chef de la Légion qui expose 23 photos dans un stand offert par l’organisation afin de soutenir une cause généreuse. A profit de l’IILE Les œuvres présentées* sont, en effet, mises en vente au profit de la solidarité légionnaire. Plus précisément afin de participer au financement de l’agrandissement de l’infirmerie de l’Institution des invalides de la Légion étrangère (IILE) à Puyloubier (Bouches-du-Rhône). Comme le rappelle l’ancien sous-officier « la solidarité n’existe que par des actes ». Dire que Victor Ferreira a la Légion dans la peau, titre de son premier livre de photos de tatouages et de l’exposition parisienne, est quasiment une tautologie. Tant cet homme généreux participe effectivement à faire vivre la fraternité légionnaire. Photographe de l’intime « Chaque photographie révèle une histoire personnelle, entre loyauté, solitude et fierté » avertit un panneau à l’entrée de l’exposition. « Parce qu’il était leur frère d’arme, il a reçu l’intime » expliquait, jeudi soir, le général Cyrille Youchtchenko, commandant de la Légion étrangère. Ce projet a pu exister grâce à une rencontre entre Victor Ferreira et Vincent Courcelle-Labrousse, avocat, écrivain et petit-fils d’un ancien chef de corps du 2e REI. *Stand 223B Photo : @DR
  10. Tous appelés , pas de chichi .La bonne époque ..les missions étaient remplies .
  11. C'est dans les tubes, mais la copie n'est guère reluisante.
  12. Par chez nous c'est plutôt les chasseurs qui ont la gâchette facile (et bien équipés, drones thermiques etc). 🫠
  13. Hier
  14. J'ai quand même hâte de découvrir la version officielle ... ça va être joli comme pour le Louvre, il n’y a pas eu de problème de sécurité ! 😄
  15. Si la menace est immédiate et impossible à contenir, non, mais pour ne pas reconnaître ses propres uniformes, véhicules, armes, etc il y a du niveau outre la mauvaise communication.
  16. "Pas vu pas pris... pris..."
  17. Bonjour, souvent les armées deviennent des trampolins pour sauter dans la vie de “dehors”.
  18. Si le BSS se trouve en dehors du régiment, c’est plus simple. Ici, nous devons informer le président des sous-officiers de la visite, et il donne son accord ou l’interdit. Surtout si quelqu’un reçoit des visiteurs venus de l’étranger. À titre exceptionnel, et en fonction des mérites et du grade. Il y a aussi des tentatives illégales, mais elles sont rapidement (et sévèrement) réprimées.
  19. Bonjour, attention avec la tondeuse, Massu avait dit que certaines attibuts ne repoussent pas.
  20. aux dernières nouvelles non. Toutes personnels étrangers à la base ne peuvent pas y pénétrer sauf cas exceptionnel comme mission temporaire, cérémonie visite temporaire mais à titre ponctuelles.
  21. Salut Pierre , si tu devais compter le nombre d'officiers qui ont quitté les armées en écourtant leur carrière .....Mes 2 derniers directeurs École Navale, du navire de guerre aux ports de plaisance pour oligarques ....La boucle est bouclée ......
  22. Clairon

    Question BCC

    Tiens, pour ma culture perso, quand un sous-off est logé en BCC, il peut recevoir des visites ? Sa copine/Son copain ? Ses conquêtes endiablées ? Clairon
  23. Bonjour, ce que je me demande c’est ça: mais chez les frisés les sommations n’existent-elles pas?
  24. Oui il y a des postes intéressants. Marqueur, c'est proche des avions ou alors sur de la logistique pourquoi pas. Pour le dossier officier, c'est de faire une demande d'avancement lorsque l'on remplit les conditions nécessaires, mais en étant déjà MdR ou S/off.
  1. Charger plus d’activité

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...