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  1. @vittorio venturi J'avais écrit ce post alors que j'avais tout juste mon BAC et que je venais de commencer un parcours de réserviste avant ma CPGE Depuis lors j'ai fait plusieurs stages au 2 REP et je n'écrirais certainement plus la même chose, au contraire : j'aime la Légion et la stricte discipline qui y règne, la même pour tous, indépendamment du pays d'origine ou de la couleur de peau !
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  2. Bonjour, le post est vieux mais le sujet est toujours actuel surtout pour le politiquement correct d’aujourd’hui. Je n’ai pas eu l’impression que la Légion soit raciste à moin que appeler spaguetti un italien, boulon ou gros spek un germanophone, stari un slave, chico un espagnol, amerloque un americain, chinetoque quelq’un bridé etcetera, soit tout de suite une manifestation de racisme. Un instructeur anglais ne cessait d’engueuler un légionnaire anglais avec la joli définition : abruti britannique; etait-il raciste? C’est seulement mon idée mais pour sa même structure la Légion ne pourrait jamais sombrer dans un racisme qui depasse le niveau de l’anglais “froggy”.
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  3. Pourquoi ”passer en privé ” si vous vous adressez à un forum? J’avoue ne pas bien comprendre
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  4. 9,30 exactement mais oui c’est clair j’ai un ami qui a été pris aussi avec 11 LL mais 1 tractions et 40 squats ! Mes tests psycho été bon et le bac +2 dans la mesure de progression a pu joué ! Et oui ça va me coûter cher en cochon tout ça !!
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  5. De mon côté j' ai pas trop à m en faire c est sûre tu as largement raison après je veux arrêter la mécanique pour être de l autre côté du volant comme on dit chez nous je partirai dans le transport de marchandises
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  6. Bonjour, on est d’accord que la Légion marche, mais que dire des VL que nous ont accompagné dans toute nôtre vie militaire et auxquels sont liés autant de souvenirs? En Corse ces véhiculs (quelqu’un venait d’Algérie) ont survécu plus longtemps que dans le continent et merci à ça on a continué à utiliser des engines valables comme la Goélette Renault de la foto (celles de la Légion-appelées quat quat- etaient en meilleur état ) ou le Citroën HX, avec sa gueule unique que, bien avant des cartes bleus, transportait chaque mois la solde des légionnaires en espèces, avec une escorte armée de PM- prudence obblige vu que les indépendantiste Corses aimaient le fric français-. Et aussi la Jeep Hotchkiss qui amenait les Comandants de Compagnie, la Peugeot 403 bâché, la plus moderne Peugeot 202 au service du Chef de Corps et encore la plus recherché: la Citroen Mehari ( À mon retour au civil je n’ai acheté une -du pain du vin du Citroën-). Toutes cettes voitures aujourd’hui sont très recherchées par les collectionneurs, en nous permettant ainsi de les admirer durablement et de les faire connaître aux jeunes.
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  7. Hello Pierre , je suis en attente de la réponse de la commission qui se tenait normalement aujourd'hui pour incorporer le 6e RG en Avril , je n'ai jamais fait de réserve , même si cela était mon souhait premier lorsque je suis arrivé sur ce forum . Si notre cher BTX le désire je pourrais refaire une présentation appropriée
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  8. http://ainsi-va-le-monde.blogspot.com/2023/02/robert-hebras-dernier-survivant-du.html En janvier 2022, Robert Hébras reçoit la cravate de commandeur du Mérite des mains du président de la République ©OHVR - ANFVOG Il lui prit la main. Longtemps. Ce 10 juin 2017, le nouveau chef de l’Etat Emmanuel Macron et Robert Hébras sillonnent une partie des ruines d’Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne). 73 ans auparavant, un même 10 juin, une colonne de la division SS Das Reich massacrait 642 personnes dont 25 avaient moins de 5 ans. La veille, ces hommes avaient pendu 99 personnes à Tulle. « Ce 10 juin 44, c’était un samedi. J’étais chez moi » m’a raconté, il y a quelques années, celui qui était le dernier survivant du massacre. « Vers 14h, les Allemands sont arrivés. Ils n’avaient pas de grades apparents. L’inquiétude de la population est alors modérée. Il n’y a pas de maquis à Oradour. Que veulent-ils vérifier ? Les papiers ? Rechercher les réfractaires du service du travail obligatoire (STO) ? » Il y a dans cette commune de 1 600 habitants environ 200 réfugiés venus d’Alsace, de Lorraine, d’Espagne. Le massacre Les femmes et les enfants sont enfermés dans l’église. Quatre groupe sont formés, au hasard. « Je suis dans le dernier. Dix minutes après, une explosion retentit. C’était le signal. » Le massacre débute. « Les hommes sont battus dans les granges. Dans l’église, les femmes et les enfants vont mourir asphyxiés, mitraillés. » Le feu est ensuite mis à l’édifice. Une seule femme parviendra à s’extraire. Dernier témoin « Pourquoi suis-je là, aujourd’hui, à vous parler » s’était interrogé Robert Hébras, dans cet entretien publié dans le magazine La Cohorte. Le jeune homme de 19 ans se retrouve sous les corps. Que les nazis recouvrent de paille avant d’y mettre le feu. « Avant d’être brûlé, alors que les Allemands sont encore dans le village, je parviens à me dégager. Je fuis. Je retrouve quatre autres survivants. » Il ne reverra jamais sa mère Marie-Louise, 52 ans, et ses deux sœurs Georgette, 22 ans, et Denise, 9 ans. Robert Hébras s’engagera dans la Résistance, combattra ensuite dans l’armée jusqu’à la libération de la poche de Saint-Nazaire en avril 1945. Il s’installera comme garagiste dans le nouvel Oradour puis à Saint-Junien où il vient de décéder à l’âge de 97 ans. C’est désormais sa petite fille, Agathe qui poursuivra ce travail de mémoire entrepris avec son grand-père.
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