MacGyver Posté(e) 28 septembre 2014 Signaler Posté(e) 28 septembre 2014 (modifié) Comment devenir Spationaute ( Astronaute français ) . Un rêve de gosses inaccessible pour beaucoup :greedy:. En 30 ans l'agence spatiale européenne (ESA) n'a recruté que 23 candidat . Moins d'une chance sur 1000 d'arriver au bout, et d’accéder à la Station Spatiale Internationale (ISS) . En voici les grandes lignes : Êtres sportif, avoir de solides dispositions scientifiques, avoir un anglais irréprochable, santé physique et morale parfaite, expérience professionnelle aéronautique ou scientifique, être âgé de 27 à 37ans . Le spationaute Leopold Eyharts Critères Santé: Mesurer entre 1,50m et 1,90m due à l’intérieur exigu de l'ISS . Le candidat est soumit à tous les tests médicaux possibles et imaginables cardiovasculaire, osseux, ophtalmologique, sanguin, échographie, l'IRM permettant de détecter toutes faiblesse incompatible avec l'espace où les muscles et l'ossatures sont mis à rude épreuve . Conditions Psychologique : Être "équilibré psychologiquement",dans l'espace savoir gérer le stress et garder son sang froid est indispensable . Le candidat doit le prouver ! Il doit savoir résoudre des problèmes complexes de logique et d'organisation en groupe . EX: "100% de chance de survie en abandonnant mon coéquipier, 50% en lui prêtant main forte" Que feriez vous ? Diplôme et vie Professionnelle: Master (bac+5) ou Doctorat (bac+8) dans le domaine Physique, Chimique, Mathématique, Ingénierie, Médecine, Science Technique est le minimum requis . L'ESA demande aussi une expérience scientifique professionnelle d'au moins 3 ans ou surtout une expérience aéronautique conséquente, tel que pilote d'essai, pilote de ligne ou pilote militaire . 1000 h de vols sont exigés . Pilote Militaire est le meilleur gage pour devenir Spationaute. Ensuite, le candidat entame une formation de 18 mois de cours intensif . Tout y passe, informatique, mécanique spatiale, sciences des réseaux, physique de l'atmosphère, relation publique . On y ajoute aussi l'apprentissage des systèmes de la navette spatiales (voyage aller), de l'ISS et de la capsule Soyouz (voyage retour) . Le Spationaute devra savoir manipuler ou réparer ces beaux outils De plus, il apprendra en 2 mois la langue Russe, la 2éme langue principale dans l'espace . Cela comprend 6h de cours plus 2h de conversation plus 4h à 5h de travail perso par jour . Suivi d'un mois en immersion au pays des Tsars . 5 ans de programme lycéen sont assimilés en 1 trimestre . Concernant la condition sportive, le candidat suit un important entraînement . Au programme, natation, Musculation, assouplissement, courses à pieds durant toutes la durée de la carrière . Des stages de Survie en milieu hostile terrestre et maritime sont organisés pour éprouver la résistance des futurs spationautes . Les Russes incluent un stage Commando . Le candidat participera à des vols en Airbus-Zéro G, une fois à 10000m, l'engin effectue une chute libre, les candidats se mettent donc à flotter et cela permet de se familiariser avec l'impesanteur . Stage Survie en Sibérie Vols parabolique en impesanteur Après avoir acquis ces quelques bases, les futurs spationautes entrent dans le vif du sujet . Durant une période de 6 mois à 1 ans, ils se familiarisent avec les opérations qu'ils réaliseront dans l'espace . Décollage en navette, arrimage à l'ISS, sortie extravehiculaire, réparation, reprogrammation des ordinateurs de bords, entrée dans l'atmosphère ... Ils utiliseront des infrastructure répartis dans les pays partenaires tel que USA, Europe, Russie, Japon, Canada . Chaque gestes devient un automatisme . A la fin de cette formation de plus de 2 ans, un spationaute peut être désigné à tout moment pour un vol spatial . Il dispose de 2 années supplémentaire pour maîtriser à la perfection chaque aspect de sa mission . Durant la dernière Sélection de 2009, sur 8400 candidats 6 sont arrivés au bout . Source: CNES, l'internaute Modifié 7 novembre 2014 par MacGyver Citer Le patriotisme, c'est l'amour des siens . Le nationalisme, c'est la haine des autres . Romain Gary
marsouin-para Posté(e) 28 septembre 2014 Signaler Posté(e) 28 septembre 2014 Sacrément compliqué les conditions Citer "Adieu ma France... Tu n'es plus celle que j'ai connue, le pays du respect des valeurs, de l'hymne et du drapeau, le pays de la fierté d'être français." Marcel Bigeard Ancien réserviste Gendarmerie 2ème Houzard
Invité Posté(e) 28 septembre 2014 Signaler Posté(e) 28 septembre 2014 Ah j'aurais presque mes chances. :) Citer
MacGyver Posté(e) 28 septembre 2014 Auteur Signaler Posté(e) 28 septembre 2014 Ah j'aurais presque mes chances. Pourquoi ? Pourquoi pas ? :D Citer Le patriotisme, c'est l'amour des siens . Le nationalisme, c'est la haine des autres . Romain Gary
Timshel Posté(e) 28 septembre 2014 Signaler Posté(e) 28 septembre 2014 je savais que j'avais loupé ma vocation ! ah... Merci pour cet article. Un jour il existera des éboueur-astronautes tant l'espace est devenu une poubelle. On ne sait pas encore quelle qualification on demandera pour cette spécialité. "L'autre nécessité pour limiter les risques de collision consiste à trouver des moyens d'aller chercher les épaves les plus massives pour les désorbiter. "Il faudrait en enlever de 5 à 10 par an", estime Holger Krag. D'où une pléiade de technologies étudiées par les grandes agences, comme l'ESA, la Nasa ou le Cnes. "Elles sont un enjeu majeur et un marché porteur pour l'espace de demain, si bien que tout le monde travaille sur des solutions assez différentes", précise Christophe Bonnal. Le concept le plus avancé? L'envoi d'une petite sonde, appelée "chasseur", qui irait attraper l'épave et la précipiterait dans l'atmosphère. La difficulté première tient dans la manoeuvre d'approche, qui nécessite de concevoir un chasseur doté d'une intelligence suffisante - caméras, capteurs, lidars, radars - afin de réussir ce "rendez-vous" à 28 000 kilomètres-heure, celui-ci pouvant se faire non pas en direct mais de façon automatique. "Il serait possible, grâce à la fusée européenne Vega, qui possède déjà un moteur réallumable pour les manoeuvres d'approche et que l'on équiperait d'une petite sonde pour effectuer la capture par un câble", explique Christophe Roux, de la société ELV-Avio. Pinces, glu, harpon ou filet pour saisir les épaves Nous testons aussi des techniques de harponnage, ou encore la possibilité de déployer un filet géant Le deuxième défi technologique réside dans le choix de l'outil de capture: l'agence spatiale allemande (DLR) développe ainsi un bras robotique suffisamment puissant dans le cadre d'un programme ambitieux, baptisé Deos. "Nous y participons, mais pour saisir une cible d'envergure, nous testons aussi des techniques de harponnage, ou encore la possibilité de déployer un filet géant", explique Olivier Colaïtis. D'autres travaillent sur des concepts de glu et de pinces. Une fois intercepté, le débris se trouverait relié à la sonde par un câble en Kevlar qui peut mesurer plusieurs dizaines de mètres. Nicolas Petit, professeur à Mines ParisTech, a modélisé le comportement d'un tel lien en apesanteur pour le compte du Cnes : "Comme à la pêche à la traîne depuis un bateau, on a observé un effet de fouet qui veut que la tension du câble ne soit jamais la même. Ensuite, l'objet tracté ferait un mouvement sur lui-même, à l'instar d'un poisson qui frétille au bout d'un hameçon. Ce qui signifie qu'il faudrait posséder un câble solide et maîtriser la stabilité de l'ensemble pour réussir avec précision la manoeuvre de désorbitation." Or, à ces altitudes-là, la moindre erreur de timing peut être fatale: se tromper de deux minutes au moment de projeter l'épave dans l'atmosphère change son point de chute de... 1000 kilomètres! "De telles opérations coûteraient sans doute plus de 10 millions d'euros par débris", estime Fernand Alby. Avant de s'interroger : "Qui sera prêt à les financer ?" Les grandes puissances devraient être capables de s'unir afin de faire du nettoyage de l'espace une priorité pour le bien de l'humanité. Pour l'heure, elles n'en ont pas la moindre volonté. Difficile, en effet, de faire cause commune, alors que la plupart des technologies ne dépassent pas le stade de la planche à dessin. "Aucune piste ne doit être négligée, conclut résolument Holger Krag. Mais il faudra encore une quinzaine d'années avant qu'une solution ne soit arrêtée." Un laps de temps qui laisse entrevoir de nouveaux accidents orbitaux. L'homme, ce Sisyphe imprudent qui aime à défier les dieux, restera donc condamné au rôle de spectateur d'un mal qu'il a lui-même engendré. En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/espace-poubelle-l-heure-du-tri-selectif_1244156.html#xJkpxgfGsdmWRh67.99\" Pour ceux qui ne pourront jamais devenir astronautes : J'ai entendu parlé d'une mission pour aller sur Mars. J'ai cru à une bêtise... et : http://www.lefigaro.fr/sciences/2014/01/20/01008-20140120ARTFIG00490-partir-sur-mars-sans-retour-ca-fout-la-trouille.php mission suicide? ou exploration "à la Christophe Colomb" ? http://www.francetvinfo.fr/sciences/mars-curiosity/le-projet-mars-one-est-il-realisable_503957.html extrait : "Francis Rocard : C’est un beau rêve, qui sera vraiment difficile à réaliser. Qui dit coloniser une planète dit envoyer une infrastructure extrêmement lourde : modules d’habitation et de travail, véhicules de transport au sol, équipements pour les cultures, une centrale pour l'énergie, mais aussi tout un dispositif pour extraire l’eau du sol de Mars. Les participants ne pourront rien construire sur place. La quantité d'eau nécessaire à une personne est considérable. Par exemple, un Français consomme plus de 100 litres d'eau par jour. Elle ne peut donc pas être apportée de la Terre. Afin de valider le concept d’extraction de la glace du sous-sol pour boire, manger, se doucher, il est indispensable de mettre en œuvre au préalable une expérience probatoire. Nous savons que de la glace se trouve dans le sol, mais elle n’a jamais été extraite. L'exploitation des ressources, en particulier de l'eau, est en cours d'étude. En 2008, l'engin Phoenix envoyé sur la planète a tenté de creuser pour extraire de la glace mais n’y est pas parvenu parce que la glace et le sol étaient extrêmement durs. Le financement de ce projet via les droits télévisés et les donations privées vous semble-t-il possible ? Non. La télévision - française ou étrangère - n’est pas si riche. Mars One a chiffré l'envoi d'une première équipe de quatre personnes à 6 milliards de dollars [4,4, miiliards d'euros]. Une évaluation très basse. La Nasa estime le coût d'une mission vers Mars plutôt à 200, 300 milliards de dollars [150, 220 milliards d'euros]. Le chiffrage de Mars One est donc sous-estimé. Mais de toute façon, je serais très étonné que l'organisme néerlandais arrive à collecter 6 milliards. Je pense qu’il n’y aura jamais de décollage vers Mars. Les organisateurs vont réaliser la partie du projet au sol, avec les phases de sélection, de préparation et d’entraînement de l’équipage, qui seront financées par la diffusion d'émissions de téléréalité et les fonds qu'ils possèdent déjà. Mais le projet s’arrêtera ensuite, faute de financement. Pour vous, il est donc impossible que Mars One envoie quatre personnes sur Mars en 2024, comme il l'annonce... En plus de la question du financement, le calendrier me paraît très tendu. Limiter les risques pour ce type de mission nécessite du temps. Et puis, il faut établir des contrats avec des industriels pour développer de nouvelles technologies, qu’il faut ensuite tester. La Nasa le fait depuis de nombreuses années, mais dans une perspective à très long terme. Sans compter que, pour l'instant, nous ne voyons pas le premier boulon de l'énorme infrastructure nécessaire à l’envoi d’une mission habitée sur Mars. Une mission préalable [avec l'envoi d'un engin chargé de repérer le lieu d'implantation de la colonie] est prévue pour 2018. Et puis, sur le site internet de Mars One, on ne trouve aucune information, ou si peu. Tout cela ne ressemble pas à un projet concret, mais plutôt à des intentions. On attend de voir comment cela peut se matérialiser." Edit : Had a tout à fait les capacités pour obtenir le BAC + 5. Juste un manque de volonté. non, son défaut = le Russe. Le seul obstacle. Citer 1) Présentation obligatoire : cliquez ici 2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée
Wasan Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 (modifié) http://www.cnes-jeunes.fr/web/CNES-Jeunes-fr/8237-devenir-astronaute-une-selection-feroce.php Dans la dernière vidéo, il est précisé que des anciens NC ont déjà été spationautes. Modifié 29 septembre 2014 par Wasan Citer
brucine Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 Pourquoi "les mecs"? http://fr.wikipedia.org/wiki/Claudie_Haigner%C3%A9 Citer
MacGyver Posté(e) 29 septembre 2014 Auteur Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 9 Spationautes sont allés dans l'espace . 8 hommes et une femme . Ils sont pour la plupart militaire, pilote de chasse et pilote d'essais, chef d'escadrille ou commandant d'escadrons, certains responsables des projets Mirage F1 CR ou Mirage 2000-5 . Les autres sont polytechniciens en ingénierie aéronautique . Claudie Haigneré est médecin specialiste en medecine aéronautique et neuroscience . Citer Le patriotisme, c'est l'amour des siens . Le nationalisme, c'est la haine des autres . Romain Gary
Timshel Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 "Au sein de la Clinique de rhumatologie du service de réadaptation de l'hôpital Cochin à Paris, Claudie Haigneré exerce pendant huit ans une activité médicale. Pendant six ans, au Laboratoire de physiologie neuro-sensorielle du CNRS à Paris, elle prépare des expériences scientifiques dans le domaine de la physiologie humaine et effectue des recherches sur l'adaptation des systèmes sensori-moteurs en microgravité. De 1990 à 1992, Claudie Haigneré, responsable des programmes de physiologie et de médecine spatiale à la Division « Sciences de la Vie » du CNES à Paris, participe aux orientations de la recherche spatiale dans ce domaine en étroite collaboration avec les laboratoires français et internationaux. Elle assure, de 1989 à 1992, la coordination scientifique de la mission franco-russe Antarès pour les expériences des sciences de la vie." Je crois bien que la girl soit une tête également :+ Citer 1) Présentation obligatoire : cliquez ici 2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée
S-N Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 Rien à voir... J'ai été maladroite dans mes paroles. J'aurais mieux fait de me taire sur le coup ;) Citer
Timshel Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 Mais non S-N ça va. Ce n'est pas votre faute. En lisant le message, moi j'avais bien compris qu'il s'agissait d'une façon de parler : "des têtes les mecs" Car il est clair qu'ils sont plus ou moins des génies dans leur domaine. J'ai posté un petit bout de CV suite à la justification de Macgyver. ;) Citer 1) Présentation obligatoire : cliquez ici 2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée
MacGyver Posté(e) 29 septembre 2014 Auteur Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 Mais non S-N ça va. Ce n'est pas votre faute. En lisant le message, moi j'avais bien compris qu'il s'agissait d'une façon de parler : "des têtes les mecs" Car il est clair qu'ils sont plus ou moins des génies dans leur domaine. J'ai posté un petit bout de CV suite à la justification de Macgyver. Oui, qui ne tente rien n'a rien !!! En tout cas merci pour les précisions Timshel . Je savais pas que l'espace était polluer comme ça, c'est effrayant ! Et oui c'est sure qu'ils sont à la pointe, belle fierté pour nous ! Je me suis dit pourquoi pas d'en parler, le CNES relève du ministère de la défense, même si aujourd'hui cela a plus un but scientifique et l'étude de l'environnement ( flux marin, température terrestre, forêt ...) que de défense . Citer Le patriotisme, c'est l'amour des siens . Le nationalisme, c'est la haine des autres . Romain Gary
kevin23 Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 ça change du CSO XD Citer "Nous sommes dans la merde, mais ce n'est pas une raison pour la remuer." Marcel Bigeard
Timshel Posté(e) 29 septembre 2014 Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 Si l'espace est une poubelle. J'ai mis une vidéo du film gravity. mais en réalité les astronautes qui sont amenés à sortir en combinaison sont en danger. à lire pour ceux que ça intéresse : http://theglobserver.com/2013/10/23/gravity-coherent-scientifiquement-22/ extrait: "La NASA surveille environ 22.000 morceaux lâchés dans l'espace. Or d'après le rapport du NRC rendu public le 1er septembre, il y en aurait 500.000 de plus, d'une dizaine de centimètres de diamètre au moins. Et si on compte ceux de moins d'un centimètre ? Il y en aurait alors des millions. Les satellites abandonnés, l'équipement perdu pendant les missions, des écailles de peinture, les épaves spatiales et les météoroïdes s'accumulent dans un nuage orbital de débris qui ne peut devenir que plus dangereux encore. « Les objets existants sont plus susceptibles d'entrer en collision avec d'autres débris et de produire alors des morceaux supplémentaires, ce qui accroît le risque de nouvelles collisions et de défaillance des satellites », expliquent les auteurs du rapport paru en anglais sous le titre « Limiting Future Collision Risk to Spacecraft ». La NASA fait ce qu'elle peut depuis 1979 pour surveiller les déchets qui s'accumulent dans l'espace, mais la technologie actuelle ne lui permet pas de suivre la trace des débris de petite taille. C'est le cas, par exemple, des météoroïdes, particules généralement petites qui proviennent de comètes ou d'astéroïdes, qui circulent dans l'espace interplanétaire et qui finissent par pénétrer dans l'atmosphère terrestre. Du coup, la NASA a pris certaines mesures pour protéger ses vaisseaux spatiaux, notamment en ajoutant un écran de protection à la station spatiale internationale, mais le problème prend de l'ampleur à une telle vitesse que les technologies passives vont se trouver dépassées, sans compter qu'elles alourdissent le coût des missions. On pourrait penser que l'envoi d'une équipe de nettoyage serait une bonne solution, mais les auteurs du rapport mettent en avant les complexités du droit international incompatibles avec une telle formule. Soixante-dix pour cent des débris qui ont été catalogués proviennent de missions spatiales autres qu'américaines, et des précédents juridiques internationaux interdisent la récupération ou la collecte d'objets par un pays autre que celui à qui ces objets appartiennent. (je ne plaisantais pas entièrement avec les éboueurs de l'espace ) Read more: http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/article/2011/09/20110913162906x0.3090893.html#ixzz3EkNQfPmt " http://www.sciencesetavenir.fr/espace/20130509.OBS8568/la-pollution-spatiale-plus-inquietante-que-jamais.html Citer 1) Présentation obligatoire : cliquez ici 2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée
MacGyver Posté(e) 29 septembre 2014 Auteur Signaler Posté(e) 29 septembre 2014 (modifié) Gravity, il faut que je le vois ce film !!!! Si un de nos Spationaute à dit qu'il était réaliste à 95%, c'est que c'est pas un film à l'américaine dénouer de crédibilité, comme Armagedon . Ce problème me fait penser au film Space Cow Boy, où ils vont dans l'espace pour prendre en charge un vieux sattelite sovietique qui va bientot rentrer dans l'atmosphère sauf que problème, il y'a 6 missiles nucléaire à l'intérieur . Mais sinon, c'est très problématique . Personnellement, c'est pas un problème de plus avoir de chaînes de télé et le GPS, je pourrai m'en passer . Mais il y'a les autres applications beaucoup plus vitale comme la navigation aéronautique, prévisions des tempêtes, surveillance des marées ... C'est juste dommage pour la planète qu'on souille . Modifié 28 novembre 2014 par MacGyver Citer Le patriotisme, c'est l'amour des siens . Le nationalisme, c'est la haine des autres . Romain Gary
Timshel Posté(e) 12 octobre 2014 Signaler Posté(e) 12 octobre 2014 Bonsoir Moi j'ai vraiment apprécié le film. Beaucoup ont été déçus. Bon il aurait fallu le voir au cinéma, parce que les effets spéciaux sont incroyables. Mais je te le conseille. après il ne faut pas t'attendre à un scénario incroyable, et ne t'étonne pas du manque de dialogue. Le suspens est là. Il faut rentrer dans le film, et se mettre à la place de. Autre élément à prendre en compte : il y a Clooney :+ Bon pour toi cela ne changera pas grand chose j'imagine Sandra peut-être? Mais juste une chose apparemment selon le spationaute : impossible qu'elle se retrouve en petite culotte : apparemment lors des sorties les astronautes ont "une couche" afin de pallier aux envies soudaines et impromptues. Comme tu le soulignes la vulnérabilité "physique" des satellites dans l'espace (d'ailleurs on a un article sur le piratage...) n'est pas à prendre à la légère. loin de là. On peut imaginer les dégâts et leurs conséquences sur le fonctionnement des systèmes informatiques. Par contre je ne peux pas penser que je m'en fiche de la race humaine. La surpopulation est un (gros) problème. Les dégradations climatiques sont un autre (gros gros) problème. Ce sont des questions existentielles. Mais pas de panique. Des gens intelligents s'occupent de tout cela pour nous. Ou pas. En tout cas s'il y a besoin d'aller faire le ménage dans l'espace, je suis volontaire pour passer les tests! articles sur les dommages des débris spatiaux: http://ec.europa.eu/enterprise/magazine/articles/industrial-competitiveness/article_11075_fr.htm Citer 1) Présentation obligatoire : cliquez ici 2) Vu le contexte actuel : attention aux informations livrées sur l'Armée
MacGyver Posté(e) 13 octobre 2014 Auteur Signaler Posté(e) 13 octobre 2014 Je suis un mec, je ne suis pas Sandra si c'est ce que tu croyait ! Après, pour en revenir à notre bonne vieille terre et son espace, j’espère que t'est pas choqué pour mon propos . Ce que je dit c'est qu'on est pas éternel, ont est ce qu'on est, des êtres destructeurs malgré nous. Même l'espace ont l'a sali, et ça me désole. Je suis pas un écolo, mon rêve c'est de rouler en Grosse BMW pour faire le quéqué :cool:, mais je rêve encore plus de voir la terre retrouver sa dignité ! Le problème, c'est que les gens intelligents qui s’occupent de tout cela pour nous, ça fait des années qu'ils poussent des cris d'alarme . Comme à dit Chirac " Notre maison brûle et nous regardons ailleurs " Quand ont pense qu'une surface de panneaux solaires de 300 kilomètres sur 300 kilomètres dans le Sahara, équipée de miroirs paraboliques suffirait pour couvrir les besoins en énergie pour planète entière ! Ont a toute les cartes en mains, mais ont attendra que le mal soit fait ! Citer Le patriotisme, c'est l'amour des siens . Le nationalisme, c'est la haine des autres . Romain Gary
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