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Posté(e)

Salut tout le monde,

comme vous le savez je prévois prochainement de m'engager sérieusement dans l'armée. Je sais que l'armée peu nous faire passer certains permis pendant notre formation, mais j'hésites à passer d'abord mon permis dans le civil car je possède déjà le code de la route. Donc je voulais savoir si ça vaut le coup de le passer plutôt à l'armée, est-ce que c'est un peu plus facile ou tout aussi difficile dans le civil ? Est-ce que beaucoup se font recaler ? Si on rate l'un des deux examens qu'est-ce qui se passe ?

Merci

Posté(e)

De toutes facon pour passer votre permis (B) a l'armée il faut que dans votre regiment vous soyez amenez a conduire, car ils vont pas vous le faire passer parce que vous l'avez demandé gentillement ;)

Nunc leo, nunc aquila.

 

Le métier des armes est un beau métier, le plus beau à mon sens parce qu'il exige le sacrifice de celui ou de celle qui l'endosse et ce, en permanence, et parce qu'il donne au "petit" la possibilité d'être "grand" et ne pardonne pas au "grand" d'être "petit".

BTX

Posté(e)

Je ne sais plus qui c'est qui disait que passer le permis n'etait pas un dus, mais tout le monde n'as pas absolument besoin du permis, le boulanger ou le cuistot a part pour ramener la camionnette avec les denrées et encore je doute que ce soit eux qui le fassent.

Nunc leo, nunc aquila.

 

Le métier des armes est un beau métier, le plus beau à mon sens parce qu'il exige le sacrifice de celui ou de celle qui l'endosse et ce, en permanence, et parce qu'il donne au "petit" la possibilité d'être "grand" et ne pardonne pas au "grand" d'être "petit".

BTX

Posté(e)

Mais le permis B militaire n'est pas valable dans le civil ou je me trompe, car j'avais vus sa dans un article je sais plus ou ?

Brution à partir de septembre 2013

Prochain objectif : Intégrer l'ESM de Saint-Cyr

"La guérilla comme loi du terrain, “Qui ose gagne” tel sera notre destin."

Posté(e)

OK, merci pour l'info.

Brution à partir de septembre 2013

Prochain objectif : Intégrer l'ESM de Saint-Cyr

"La guérilla comme loi du terrain, “Qui ose gagne” tel sera notre destin."

Posté(e)

Bonjour,

" Art. 22-1. Attestation.

L'attestation certifie que l'intéressé a suivi une période d'IEC dans un CIEC ou dans une

CIECA en vue de l'obtention d'un BMC et a réussi aux épreuves prévues par le Code de la

route. Dans ce cas, le CIEC ou la CIECA :

attribue un n° d'attestation indiqué en colonne "CATEGORIES" de l'imprimé du BMC ;

délivre l'attestation de la catégorie concernée en renseignant la case adéquate de la

colonne "ATTESTATION" et en y apposant la date de délivrance et la signature du chef

du CIEC ou de la CIECA.

La détention de cette attestation ne constitue en aucun cas le BMC proprement dit.

La durée de validité de l'attestation est de six mois. Au-delà, le candidat doit refaire le

stage complet d'IEC correspondant.

Art. 22-2. Confirmation et délivrance.

Le personnel détenteur d'une attestation suit l'ICC. Appelée communément "confirmation",

l'ICC est assurée, dans les six mois au plus qui suivent l'obtention de l'attestation, par le

corps ou l'unité d'affectation de l'intéressé. Au cours de cette phase, ce dernier est assisté

d'un conducteur accompagnateur.

L'ICC consiste à donner une expérience de la conduite suffisante pour assurer seul, la

conduite et le service d'un véhicule et permet de juger l'aptitude de l'élève conducteur.

Le chef de corps ou l'autorité assimilée, en cas de réussite au contrôle de fin d'ICC, confirme

et délivre le BMC. Cette délivrance se traduit en renseignant la case adéquate de la colonne

"BREVET" et en y apposant la date, la signature et le cachet humide du chef de corps ou de

l'autorité assimilée.

Art. 22-3. Validation.

Tout militaire détenteur d'un BMC (confirmé et délivré) peut, à sa demande, obtenir

obligatoirement la validation qui débouchera automatiquement sur la conversion en permis

de conduire civil équivalent.

La validation est du ressort du chef de corps ou de l'autorité assimilée. A la demande de

l'intéressé, tous les BMC doivent être validés et cette action possède un caractère

automatique :

le BMC VL doit être validé simultanément à sa délivrance ;

les BMC MOTO, PL, SPL et TC ne doivent être validés qu'à l'issue de la période

probatoire de l'EVAT10.

Article R. 221-6 du Code de la route.

Arrêté (Equipement) du 8 février 1999 (JO du 20) modifié relatif aux conditions d'établissement, de

délivrance et de validité des permis de conduire.

Les aptitudes et compétences de l'élève conducteur devront avoir été vérifiées avec la plus

grande attention lors des phases d'IEC et d'ICC.

Le chef de corps conserve, en tout état de cause, le droit de suspendre, voire de retirer le

BMC au personnel ayant commis une infraction dans l'exercice de ses fonctions (cf. article

22-6).

Instruction n° 2000/DEF/EMA/OL/5 du 15 septembre 2003 (BO du 16/02/04) - § 2.4.1.

Pour le personnel déjà titulaire du permis de conduire civil correspondant, le CIEC ou la

CIECA appose le tampon rouge "permis civil" dans la case adéquate "validé le …" de

l'imprimé du BMC. Cette opération est effectuée dès l'établissement du BMC.

Art. 22-4. Qualification.

L'obtention d'une qualification est la reconnaissance par l'autorité militaire de l'aptitude du

personnel à assurer seul, la conduite ou le pilotage et le service d'un véhicule spécifique des

armées, d'un engin spécial ou d'un matériel de travaux publics. Cette qualification est

obtenue après une IEP et une ICP.

L'IEP demande la détention d'un pré requis en matière de BMC y compris pour certains

engins spéciaux et matériels de travaux publics. Les BMC à détenir pour la conduite ou le

pilotage des véhicules spécifiques des armées, des engins spéciaux et des matériels de

travaux publics sont précisés en annexe 1.2.

Le chef de corps ou de l'autorité assimilée attribue un n° d'enregistrement dans la

qualification concernée en renseignant le BMC à la rubrique "QUALIFICATIONS" et en y

apposant la date de délivrance et sa signature.

Art. 22-5. Conversion.

Le BMC délivré par l'autorité militaire permet d'obtenir, dès sa validation et sans nouvel

examen, le permis de conduire civil des véhicules des catégories définies par l'article R. 221-

4 du Code de la route. Cette conversion est automatique.

a) Demande de conversion.

La demande de conversion (cf. annexe 2.2) est adressée par le titulaire du BMC au préfet du

lieu de stationnement de l'unité ou au préfet du lieu de la résidence déclarée de l'intéressé.

Cette demande est accompagnée des pièces définies à l'article 3 de l'arrêté du 1er juin 1999.

B) Obtention de la conversion.

La conversion du BMC en permis de conduire civil correspondant ne peut être obtenue que

si les conditions minimales requises par les articles R. 221-5 et R. 221-6 du Code de la route

sont remplies.

10 1er jour du 7ème voire du 13ème mois de service.

- 29 -

Si l'intéressé fait l'objet d'une mention restrictive11 du droit de conduire, la conversion ne peut

être accordée qu'à l'expiration de cette mesure. Dans ce cas, si elle est connue de l'autorité

militaire, cette restriction est inscrite à l'encre rouge sur la demande de conversion.

Lorsque l'intéressé, déjà titulaire du permis de conduire civil d'une catégorie, demande la

conversion du BMC d'une ou plusieurs autres catégories, il joint son permis de conduire civil

à sa demande.

La conversion des BMC PL et SPL, sans restriction, peut être demandé dès l'âge de 18 ans

révolus si l'intéressé est porteur d'un certificat de formation professionnelle (CFP) de

conducteur routier.

c) Conversion du BMC TC en permis de conduire civil de la catégorie D.

Au-delà de la condition d'âge particulière – 21 ans révolus – le conducteur affecté aux

transports de voyageurs sur des trajets dépassant un rayon de 50 km autour du point

d'attache habituel du véhicule ou conduisant un véhicule équipé pour le transport de plus de

15 personnes, y compris le conducteur, doit pouvoir justifier :

d'un an de conduite des véhicules de transports de marchandises d'un PTAC supérieur à

3,5 tonnes ;

d’avoir parcouru dans un délai minimal d'un an, 5000 km au volant des véhicules

énumérés ci-dessus ;

de ne pas avoir commis d’infraction grave au Code de la route ou accident engageant sa

responsabilité.

Une attestation signée par le commandant de la formation ou l'autorité assimilée est alors

jointe à la demande de conversion (annexe 2.3).

A l'issue des opérations administratives de conversion, la demande de conversion est

retournée par la préfecture au corps ayant effectué la validation. La demande de conversion

est insérée dans les pièces matricules de l’intéressé.

Article R. 221-6 du Code de la route.

Arrêté (Equipement) du 8 février 1999 (JO du 20) relatif aux conditions d'établissement, de

délivrance et de validité des permis de conduire.

d) Frais d’établissement des permis de conduire.

Les frais de conversion sont à la charge des intéressés. Pour le personnel déjà titulaire d'un

permis de conduire civil, les formalités d'établissement des autres catégories de permis sont

effectuées gratuitement par les services préfectoraux.

Arrêté du 1er juin 1999 (JO du 11) modifié relatif aux conditions et modalités de conversion du BMC

en permis de conduite civil

e) Permis probatoire ("à points").

Le permis probatoire s'applique depuis le 1er mars 2004 à tous les nouveaux titulaires du

permis de conduire. Ainsi, à la date d'obtention du premier droit de conduire, quelle qu'en

soit la catégorie ou sous-catégorie, le permis de conduire est désormais affecté d'un capital

initial de six points.

Dans le cas des personnes titulaires d'un BMC sollicitant la conversion, la date retenue

pour justifier de l'obtention du premier droit de conduire est celle de l'attestation IEC.

Ainsi, tout titulaire d'un BMC comportant une date d'attestation IEC antérieure au 1er mars

2004 reste soumis à l'ancienne réglementation.

Article R. 223-1 du Code de la route.

Circulaire du ministère de l'équipement, des transports, du logement, du tourisme et de la mer du

29 mars 2004 relative aux modalités d'application des dispositions relatives au permis probatoire dans

le cadre des examens du permis de conduire - § e.

11 PL et SPL, mention "limitée à 7,5 tonnes jusqu'à 21 ans" – MOTO et TC, mention restrictive d'usage.

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

Bonsoir,

Le permis B n'est plus un du à l'armée, vu que cela a un cout, on vous le fera passer que si on a besoin de vous en tant que conducteur ou si vous etes tres meritant.

De plus, moi qui suis CER, je vais vous dire que si par exemple vous voulez etre chauffeur PL ou SPL à l'armée, et bien il faut deja avoir le permis B dans le civil.

De plus, il est vrai qu'une fois vous avez le permis B à l'armée, il est vrai que vous pouvez le convertir dans le civil.

Il faut juste que votre commandant d'unité vous fasse un papier et normalement il faut avoir effectué un certains nombres de kms.

Posté(e)

Je me souviens c'est Brunomili qui disait que ce n'etait pas un du.

:p

Nunc leo, nunc aquila.

 

Le métier des armes est un beau métier, le plus beau à mon sens parce qu'il exige le sacrifice de celui ou de celle qui l'endosse et ce, en permanence, et parce qu'il donne au "petit" la possibilité d'être "grand" et ne pardonne pas au "grand" d'être "petit".

BTX

Posté(e)

Bonsoir,

Le permis B n'est plus un du à l'armée, vu que cela a un cout, on vous le fera passer que si on a besoin de vous en tant que conducteur ou si vous etes tres meritant.

De plus, moi qui suis CER, je vais vous dire que si par exemple vous voulez etre chauffeur PL ou SPL à l'armée, et bien il faut deja avoir le permis B dans le civil.

De plus, il est vrai qu'une fois vous avez le permis B à l'armée, il est vrai que vous pouvez le convertir dans le civil.

Il faut juste que votre commandant d'unité vous fasse un papier et normalement il faut avoir effectué un certains nombres de kms.

En gros vaut mieux le passer directement dans le civil avant de s'engager ? De nos jours avoir le permis c'est vraiment très important, et si on fait 5 ans dans l'armée sans avoir le permis je trouve ça assez navrant, surtout pour ceux qui ont déjà commencé le permis avant de s'engager avec le code acquis.

Etre méritant, oui, mais c'est à dire ? Il suffit d'avoir un bon comportement ou alors être meilleur que les autres sur le terrain ?

  • 10 mois plus tard...
Posté(e)

CLINT35,

Vérifiez ce que vous écrivez. Ca la fout mal de parler de "passer au BMC".

Un jeune comme vous ! Mais que fait la Police ?

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

Par là c'est sûr que vous ne verrez rien. Entendre éventuellement. Souffler vaut mieux pas. Caresser tant que vous voulez.

Bonne chance.

BTX

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

CONDUITE ET ENTRETIEN DES VÉHICULES AUTOMOBILES.

Le sous-officier titulaire du CM 1 doit détenir le permis de conduire VL et connaître les rôles de chef de bord et de rame.

Ya Rab Yeshua.

Posté(e)

LOL attention aux Bmc d'indochine on y attrape plein de maladies !

Had, a l'ensoa on le passe?

Merci du renseignement, je ne savais pas que "BMC" avait plusieurs significations :)

Si je passe le permis dans l'armée, que j'ai eu le code dans le civil et que celui ci est toujours valide, est-ce que je dois quand même le repasser car c'était dans le civil et pas dans l'armée ?

Incorporation 35e RI 1er Février

Posté(e)

Effectivement !

Merci

En clair, si votre emploi doit vous amener à conduire et piloter des engins, vous passerez TOUT. Si non, vous pourrez éventuellement être inscrit, sans être prioritaire, et au gré des places vacantes.

Incorporation 35e RI 1er Février

Posté(e)

Information à prendre avec des pincettes (car j'avais déjà mon permis avant de m'engager). Des collègues de promotion ont effectivement passé le permis VL pendant les classes à l'ENSOA et l'ont obtenu, et je crois que sur demande en préfecture le BMC VL est converti en permis B.

Posté(e)

Pour ce qui est de l'envoi en stage VL ben sachez que je suis en plein dedans, fin du stage la semaine prochaine et j'ai finis ma FGI début Décembre donc ça peut aller tres vite.

Toujours est il que certains nous regardent, mon collegue et moi, avec des yeux envieux, car tout le monde sauf nous est au minimum 1ere Classe, d'autres sont même Caporal, donc un peu jaloux de voir des trou duc de 3 mois de services etre déjà envoyés au VL :P

Donc si vous avez des questions sur le deroulement de la chose, n'hesitez pas, en tous cas tous les stagiaires VL passent le code, et je pense que certains l'ont déjà dans le civil, aprés doivent ils également passer l'epreuve et risquer l'echec ou est-ce juste une "révision" ? Je ne sais pas, mais si les heures de codes pouvaient etre "sautées", il y aurait des trous de 4 à 6 heures dans la journée et bon, je suis pas sur que ce soit toléré par l'encadrement :lol:

Soutenir au plus haut

Posté(e)

Je ne sais pas à quoi s'accorde le "prendre avec des pincettes". Pour ma part, je fais mention du traitement réservé aux MDR.C et non aux EVSO.

Un principe : se référer aux textes et rien qu'aux textes.

Voilà ce qu'ils stipulent :

"2.1.2. Généralités.

La formation initiale (FI), comporte :

- un volet commun à toutes les fonctions, la FGI ;

- un volet, destiné à préparer le MDR à tenir un premier emploi dans un domaine de spécialités,

comportant la formation de spécialité initiale (FSI) et la formation à la conduite militaire (FCM),

lorsque celle-ci est indispensable à la fonction tenue (pilote, conducteur...).

Les fonctions pour lesquelles la FCM est indispensable seront répertoriées dans les instructions relatives à la formation individuelle de spécialité des militaires du rang pour chaque domaine de spécialités.

Le certificat pratique (CP) sanctionne la réussite à ces deux actions de formation (trois dans le cas d'une FCM indispensable au premier emploi).

Au terme de la FI, une formation d'adaptation (FA), indépendante de l'attribution du CP, peut éventuellement être dispensée.

1.2.6. Cas particulier de la formation à la conduite militaire.

Dans une directive annuelle, l'état-major de l'armée de terre (EMAT) répartit les places en centre d'instruction élémentaire de conduite (CIEC) entre les grands commandements [CFT, commandement interarmées des soutiens (COMIAS), service de maintenance industrielle terrestre (SMITer), SDFE] qui les attribuent ensuite aux corps demandeurs en fonction des priorités fixées (priorités d'emploi ou opérationnelles). La cellule pilotage de l'instruction élémentaire de conduite (IEC) (écoles militaires de Bourges) contrôle l'application de la directive EMAT.

Conclusions tirées du TTA 303.

- pour le MDR.C, si sa fonction opérationnelle engerbe la capacité à conduire des véhicules, il suivra la FCM. S'il détient le code das le civil, il suivra malgré tout la formation complète (code + conduite), l'armée ayant sa vision de la conduite (notamment la conduite en rame).

- si la FE dispose d'un volant de places libres au CIECM 'de moins en moins fréquent eu égard aux contraintes budgétaires), le chef de corps a toute latitude pour envoyer à la FCM les MDR.C initialement non retenus du fait de leur fonction.

- le stage d'IEC est sanctionné par les résultats obtenus au contrôle continu dans le CIEC et il est suivi par une phase d'ICC dans la FE. Seule, la réussite aux deux phases d'instruction entraîne la délivrance du BMC de la catégorie considérée. Elle autorise la conduite des véhicules à roues militaires dans les limites définies par l'article R. 221-4 du Code de la route et ne nécessitant pas de qualification particulière.

- le BMC peut être attribué au MDR.C titulaire ou non d'un permis de conduire civil, après avoir satisfait aux épreuves prévues par l'arrêté du 5 mars 1998, pour la conduite des véhicules automobiles du ministère de la défense relevant de l'article R. 221-4 du Code de la route.

- tout MDR.C détenteur d'un BMC (confirmé et délivré) peut, à sa demande, obtenir obligatoirement la validation qui débouchera automatiquement sur la conversion en permis de conduire civil équivalent.

Pour le MDR.C déjà titulaire du permis de conduire civil correspondant, le CIEC appose le tampon rouge "permis civil" dans la case adéquate "validé le …" de l'imprimé du BMC. Cette opération est effectuée dès l'établissement du BMC.

- le BMC délivré par l'autorité militaire permet d'obtenir, dès sa validation et sans nouvel examen, le permis de conduire civil des véhicules des catégories définies par l'article R. 221- 4 du Code de la route. Cette conversion est automatique.

- la demande de conversion est adressée par le titulaire du BMC au préfet du lieu de stationnement de l'unité ou au préfet du lieu de la résidence déclarée de l'intéressé.

Cette demande est accompagnée des pièces définies à l'article 3 de l'arrêté du 1er juin 1999.

BTX

Ya Rab Yeshua.

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