Yann pyromane Posté(e) %s à %s Signaler Partager Posté(e) %s à %s Gros changement militaire à venir ....à méditer . Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Maxtor Posté(e) %s à %s Signaler Partager Posté(e) %s à %s Je n'ai pas du tout suivi, la proposition c'est de fermer le robinet des appro et nous (UE) laisser nous débrouiller ? Ou d'accélérer les choses sur le terrain ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) %s à %s Signaler Partager Posté(e) %s à %s Pour les anglophiles, un point de vue parmi cent mille autres............... https://www.armyrecognition.com/news/army-news/army-news-2024/breaking-news-trump-elected-president-signals-shift-in-us-military-strategy-and-ukraine-aid BTX https://www.revueconflits.com/trump-reelu-analyse-de-son-entourage/ Trump réélu : analyse de son entourage par Olivier Chantriaux Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BTX Posté(e) %s à %s Signaler Partager Posté(e) %s à %s https://lignesdedefense.ouest-france.fr/victoire-de-trump-quels-impacts-sur-les-champs-de-bataille-dukraine/ Victoire de Trump: quels impacts sur les champs de bataille d’Ukraine ? La rencontre du 27 septembre entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump (Photo by Handout / UKRAINIAN PRESIDENTIAL PRESS SERVICE / AFP) Qui de Vladimir Poutine et de Xi Jin Ping a le plus large sourire en ce mercredi matin ? Assurément le président russe. Il peut désormais compter sur une Amérique qui va engager, sous la future présidence de Donald Trump, une pleine inversion de posture sur la question ukrainienne. Jusqu’à présent, sous l’administration Biden, les États-Unis ont affiché un soutien total à Kiev. Les chiffres démontrent cet engagement : les États-Unis ont déjà consacré plus de 61 milliards de dollars à l’aide à la sécurité de l’Ukraine depuis le début de l’administration Biden, dont environ 60,4 milliards de dollars depuis le déclenchement de l’invasion russe, le 24 février 2022. Le Pentagone a, pour sa part, effectué 69 cessions de matériels de guerre et de munitions depuis décembre 2021. Une livraison de munitions destinées à Kiev (photo U.S. Air Force by Staff Sgt. Marco A. Gomez) La probable victoire totale du camp républicain aux élections du 5 novembre rebat les cartes. D’autant plus que Donald Trump n’a jamais caché son aversion pour la coûteuse implication américaine dans ce conflit lointain, aux portes de l’Europe. Jamais à court de formules aussi percutantes que sibyllines, Donald Trump a affirmé que s’il était élu, il parviendrait « avant même de devenir président » à mettre fin à la guerre en Ukraine « en 24 heures ». Et de révéler le 3 septembre : « J’ai un plan très précis » , puis d’ajouter le 27 septembre : « Cette guerre n’aurait jamais dû avoir lieu, mais nous allons la résoudre », sans expliquer comment il comptait s’y prendre. Des précisions ont été égrainées par le futur vice-président J. D. Vance qui a déclaré que l’administration Trump prévoirait un cessez-le-feu sur les positions actuelles des deux armées, puis l’instauration d’une « zone démilitarisée » sur le territoire ukrainien, le long de la ligne de front. Par ailleurs, l’Ukraine maintiendrait son indépendance en échange d’une garantie de neutralité ; elle ne pourrait donc pas rejoindre l’Otan ou d’autres « institutions alliées ». Un tel plan correspond à l’imposition du scénario d’un « conflit gelé » à la coréenne qui assurerait à Moscou un contrôle durable sur les 18,2 % du territoire ukrainien (Crimée incluse) sous le contrôle de l’armée russe. Une armée dont les progrès notables et constants dans le Donbass (Est) témoignent de l’affaiblissement des forces ukrainiennes incapables de recruter massivement et de régénérer leurs brigades de combat exsangues. Quels autres impacts ? Sur la Russie. Moscou a tout intérêt à poursuivre l’offensive dans le Donbass et à y conquérir de nouvelles positions entre Pokrovsk et Kharkiv. Au cours des prochaines onze semaines (jusqu’au 20 janvier 2025 et l’investiture du nouveau président américain), l’armée russe devrait intensifier ses efforts offensifs pour s’avancer vers l’ouest, dans la direction du fleuve Dniepr qu’elle n’atteindrait pas toutefois. Sur l’Ukraine. Si le lâchage américain se concrétise avec une cessation des aides financières et militaires et des tractations directes américano-russe, le régime de Kiev va se retrouver dans une position périlleuse. Tant militairement puisque les cessions d’armes occidentales vont se ralentir sensiblement que politiquement puisque l’opinion publique ukrainienne risque de demander des comptes au président Zelensky et d’en faire le bouc émissaire d’une « drôle de défaite ». Sur l’Europe. Reprenant l’accusation formulée régulièrement par Donald Trump, J.D. Vance n’a manqué aucune occasion de lâcher des piques à l’Europe qui a « sous-financé cette guerre alors que les contribuables américains ont été très généreux ». D’où le commentaire inquiet de Joseph Henrotin, le rédacteur en chef de la revue de défense et de stratégie DSI, sur X, en ce mercredi matin : « Temps difficiles pour l’Ukraine. Ce n’est pas que la perte du soutien US, c’est aussi l’effet de cascade sur des Européens tétanisés ». Un avis partagé par l’eurodéputé socialiste Raphaël Glucksmann : « Nous sommes désormais, en Europe, seuls face à notre destin ». Laisser une administration Trump imposer son plan de paix, voire entamer un nouveau retrait militaire d’Europe, c’est donc courir le risque de lâcher la bride à une Russie impérialiste qui pourrait menacer tout le flanc est de l’Europe, de la Finlande à la Géorgie. 1 Citer Ya Rab Yeshua. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yann pyromane Posté(e) %s à %s Auteur Signaler Partager Posté(e) %s à %s Clair et concis , Vlad doit avoir sifflé une première bouteille de Hammer and sickle ( ibid) ...😁 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
piranha Posté(e) %s à %s Signaler Partager Posté(e) %s à %s 54 minutes ago, BTX said: Une livraison de munitions destinées à Kiev (photo U.S. Air Force by Staff Sgt. Marco A. Gomez) Point intéressant : sur cette photo (palette basse), on voit clairement les caisses des mines APERS M18A1 ("Claymore"), un super-outil sur le champ de bataille que l'armée française se prive, s'impute toute volontairement. Ceci fait des allusions. //en autre, si l'OTAN ne sert plus rien sans les US – il faut la dissoudre. "Armée européenne" sans US - grand phantasme, et le parapluie nucléaire nous démontre son inefficacité depuis février 2022, et plus particulièrement dans la région de Koursk. Soit l'Europe se refait une "vraie" armée, soit... Citer Moi legionnaire, moi pas bien francais parler. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yann pyromane Posté(e) %s à %s Auteur Signaler Partager Posté(e) %s à %s Alors tu seras civil depuis bien longtemps avant que ça arrive.... Organise bien ta sortie militaire 😁 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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