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Je partage @Yann pyromane et c’est mon cas. 
 

Je me suis fait « emballé » aux portes ouvertes du régiment de mon coin, directement entrepris les démarches mais la douloureuse : plus d’un an d’attente pour rejoindre une FGI-R.

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On ne naît pas soldat, on le devient !

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Il y a 12 heures, Yann pyromane a dit :

C'est quand même incroyable ....quelle misère de voir des pax qui ont un désir d'engagement aussi sincère,d' être obligés de batailler ...quelle misère ....c'est déroutant .

Bonjour,

Oui est on en a parlé sur une autre post, en effet les dates qui changent au dernier moment c'est pas du tout souple avec une vraie vie pro à côté... on nous demande d'être dispo pour des missions pas de problèmes, on nous donne un planning qui n'est pas ou peut respecté, dernièrement les mots ont été clairs, on a pas de budget pour telle ou telle mission donc on fera la mission mais en effectif réduit, on voulait envoyer beaucoup plus de monde mais les hautes sphères on décidé de fermer les robinets.

On s'achète nos bandes patronimiques et nos grattons, et on est moins bien dédommagés que les sous-off et officiers, mais pour être franc plus ça va et plus je me dit que d'être 1Classe INFINI m'ira bien car si c'est pour gérer des mecs, du matériel avec juste ma b*** et mon couteau non merci je le fais déjà dans mon emploi civil quotidiennement. et qu'au dessus tout change en moins de temps qu'il en faut pour le dire, ça motive pas a monter... et pour certains a rester faut en avoir conscience.  

Modifié par Totonenabou
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Le 30/09/2025 à 18:19, Cephalyx a dit :

Concernant les PGE, je ne suis absolument pas d'accord. Ce sont actuellement les cadres les plus fiables et les mieux entrainés par rapport à leurs camarades ab initio (6 mois de formation continue + DA). Le problème reste leur fidélisation sur le long terme. 

C'est parce que vous m'avez mal lu. Le PGE est un excellent programme en cela qu'il constitue à l'heure actuelle le seul dispositif via lequel une formation adéquate et de qualité est dispensée à de potentiels futurs officiers de réserve. Qu'un aspirant sorti du PGE soit infiniment mieux formé et prêt à l'emploi qu'un homologue passé par une simple FIOR commandement est indéniable.

Le problème du PGE c'est qu'il n'est ouvert qu'à quelques happy few et que les critères d'éligibilité sont objectivement très problématiques et en contradiction totale avec une conception républicaine de l'armée qui voudrait que les différentes fonctions militaires et en particulier les fonctions d'encadrement soient ouverte à tous, les mérites, aptitudes et motivations particulières constituant les seuls critères acceptables régissant l'entrée dans l'institution et l'avancement d'une carrière. Dans son principe le PGE constitue une forme de retour à une logique d'ancien régime, en vertu de laquelle seuls ceux issus d'un certain milieux peuvent prétendre accéder à certaines opportunités au sein des armées et, dans le cas de la réserve, peuvent accéder au corps des officiers voie commandement sans devoir au préalable passer par la case GV de base - contrairement à la gueusaille qui n'est pas passée par une supposée grande école.

Si la fidélisation des heureux élus du PGE ayant fait le choix de poursuivre dans la réserve pose problème, la rétention de ces derniers à l'issue du programme en constitue un autrement plus grand. Un rapport (parlementaire il me semble) avait souligné il y a quelques années, que compte tenu des ressources importantes investies par l'armée de terre dans le PGE et du faible nombre de bénéficiaires choisissant de s'engager dans la réserve par la suite, le rapport coût/retour de celui-ci ne pouvait être considéré comme étant satisfaisant.

Plutôt que de dépenser un budget non négligeable pour la formation de 60 bénéficiaires du PGE, dont une forte proportion ne servira jamais dans la réserve, basculer sur un modèle à l'anglaise, avec une formation d'une durée de huit à douze semaines ouverte à, mettons, 200 EOR par an, me paraît infiniment plus efficace et en cohérence avec l'objectif de montée en puissance des réserves.

 

Le 30/09/2025 à 18:19, Cephalyx a dit :

 La porte reste ouverte et le principe de la fin des limites du REO reste actée, mais en ayant bien conscience de ces exigences et, pour l'instant, force est de constater que nombreux sont ceux qui peinent à faire les 37 jours idéaux voulus (ce qui correspond environ à 10 IS réparties sur 1 an). 

Exiger de réservistes qu'ils fassent 37 jours par an est irréaliste et complètement déraisonnable, surtout compte tenu des niveaux de rémunération existants. La plupart des pays européens qui ont une (si ce n'est plusieurs) longueur d'avance sur la France en matière de réserves n'en demandent pas tant, y compris à leurs officiers réservistes. La norme se situe plutôt aux alentours d'une vingtaine de jours par an, après une solide formation initiale.

Modifié par CIE
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Je vous remercie tous pour ces échanges, très intéressants à lire.

Je suis en phase avec la grande majorité de vos propos. 

Des idées pour rendre attractif les postes en responsabilité ou en TC ?

Je me demande si on ne devrait pas augmenter drastiquement le recrutement officier de réserve (justement via l'ouverture au direct). Il y aura bcp de perte en ligne (pas assez de dispo, demotivation car pas / peu de légitimité) mais il restera bien quelques "survivants" à la fin, pour prendre un TC ?

C'est un petit peu ce qu'il se passait après 2015, quand l'accès direct était ouvert. Bcp de perte, mais à la fin, quelques très bons militaires, qui aujourd'hui font carrière de réserve.

Posté(e)

C'est comme dans tout, plus le vivier est important, plus la sélection est bonne.

Ce n'est pas grave d'avoir de la perte, il y en aura toujours mais il faut donner les moyens de brasser large au début pour affiner au fur et à mesure.

C'est comme ça que sa marche pour toutes les unités d'élites en ponctionnant les bons éléments un peu partout.

Je ne peux confirmer ni démentir que c'est une signature. 😶

Posté(e)
Il y a 12 heures, schafer a dit :

Des idées pour rendre attractif les postes en responsabilité ou en TC ?

Je me demande si on ne devrait pas augmenter drastiquement le recrutement officier de réserve (justement via l'ouverture au direct). Il y aura bcp de perte en ligne (pas assez de dispo, demotivation car pas / peu de légitimité) mais il restera bien quelques "survivants" à la fin, pour prendre un TC ?

La question est sans doute quelque peu provocatrice, mais quel est l'intérêt pour les armées de disposer d'officiers de réserve RO1 ayant fait un temps commandement ? Dans le cadre d'une carrière dans l'active c'est bien évidemment indispensable, mais pour un réserviste je vois mal quelle pourrait être la pertinence ou la valeur ajoutée. La finalité première d'un officier de réserve (voie commandement) c'est, en cas de conflit ou de crise majeure, d'être en mesure de pouvoir prendre le commandement d'une section ou d'une compagnie, composée de réservistes, voire de mobilisés. A cet effet, dispenser une formation adéquate, accompagnée d'un stage en corps de troupe en qualité d'adjoint, à l'image de ce qui se fait déjà dans le cadre du PGE, me paraît suffisant . A contrario, demander à un civil officier de réserve de commander et de gérer une compagnie de réserve en temps de paix, qui plus est compte tenu de la faiblesse des moyens mis à disposition, me semble assez peu pertinent. C'est d'ailleurs un modèle qui ne fonctionne pas, ou très mal, comme en attestent différents témoignages exprimés sur ce forum.

En Finlande, pays aux 900 000 réservistes, le grade le plus haut pouvant être atteint par un officier de réserve est celui de major/commandant/chef de bataillon. La raison en est simple: la vocation d'un officier de réserve dans l'armée finlandaise est avant tout d'encadrer une section ou une compagnie de réservistes/conscrits chargés d'assurer des missions de type "défense territoriale" en cas de conflit majeur, pas de dérouler un parcours de carrière, avec transition vers des fonctions d'état-major passé un certain stade.

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Posté(e) (modifié)
Il y a 19 heures, schafer a dit :

Je vous remercie tous pour ces échanges, très intéressants à lire.

Je suis en phase avec la grande majorité de vos propos. 

Des idées pour rendre attractif les postes en responsabilité ou en TC ?

Je me demande si on ne devrait pas augmenter drastiquement le recrutement officier de réserve (justement via l'ouverture au direct). Il y aura bcp de perte en ligne (pas assez de dispo, demotivation car pas / peu de légitimité) mais il restera bien quelques "survivants" à la fin, pour prendre un TC ?

C'est un petit peu ce qu'il se passait après 2015, quand l'accès direct était ouvert. Bcp de perte, mais à la fin, quelques très bons militaires, qui aujourd'hui font carrière de réserve.

Pour un TC, c'est minimum 120 jours de dispo (10 IS + un STNL et/ou exo, et/ou action de formation), sans compter le travail en temps masqué, les éventuelles réunions / rapports / SK etc. Peu de personnes peuvent se dégager une telle dispo en dehors de profils bien spécifiques (profs, autoentrepreneurs, professions libérales ... pas étonnant qu'on retrouve ensuite ces mêmes type de profils en OFFSUP en 2nd partie de carrière). 

Faire du volume ne résoudra pas le problème, je dirai même qu'il en ajoutera. Je reprends ce que j'ai dis plus haut : comment être OPS quand un CDP/CDG change à toutes les IS + des pax qui ne sont pas redondants. C'est chaque fois tout recommencer à zéro. 

A titre perso, je sais que j'ai un volume 2 PLT de pax "fidèles" qui arrivent à être là 90% du temps et sur lesquels je peux monter en gamme avec des résultats réels et tangibles à la clé. Faire du volume pour faire du volume ne fera que diluer le savoir-faire. 

Quant à la problématique des "directs", elle est connue depuis Mathusalem : un cadre direct qui arrive en escadron n'a quasi aucune légitimité, aucun savoir-faire, ne connait pas ses pax, sauf à faire un TC CDP d'au moins 4 ans régulièrement, ce qui rejoint le constat fait en infra. 

Il y a 6 heures, CIE a dit :

La question est sans doute quelque peu provocatrice, mais quel est l'intérêt pour les armées de disposer d'officiers de réserve RO1 ayant fait un temps commandement ? Dans le cadre d'une carrière dans l'active c'est bien évidemment indispensable, mais pour un réserviste je vois mal quelle pourrait être la pertinence ou la valeur ajoutée. La finalité première d'un officier de réserve (voie commandement) c'est, en cas de conflit ou de crise majeure, d'être en mesure de pouvoir prendre le commandement d'une section ou d'une compagnie, composée de réservistes, voire de mobilisés. A cet effet, dispenser une formation adéquate, accompagnée d'un stage en corps de troupe en qualité d'adjoint, à l'image de ce qui se fait déjà dans le cadre du PGE, me paraît suffisant . A contrario, demander à un civil officier de réserve de commander et de gérer une compagnie de réserve en temps de paix, qui plus est compte tenu de la faiblesse des moyens mis à disposition, me semble assez peu pertinent. C'est d'ailleurs un modèle qui ne fonctionne pas, ou très mal, comme en attestent différents témoignages exprimés sur ce forum.

En Finlande, pays aux 900 000 réservistes, le grade le plus haut pouvant être atteint par un officier de réserve est celui de major/commandant/chef de bataillon. La raison en est simple: la vocation d'un officier de réserve dans l'armée finlandaise est avant tout d'encadrer une section ou une compagnie de réservistes/conscrits chargés d'assurer des missions de type "défense territoriale" en cas de conflit majeur, pas de dérouler un parcours de carrière, avec transition vers des fonctions d'état-major passé un certain stade.

Le problème n'est pas l'intérêt, c'est qu'il faut bien des commandants d'unité, des OA, des CDP, pour les UER/USR, et ce n'est pas l'active qui va s'y coller. Dans tous les cas ce n'est pas que ça fonctionne mal (le 24RI est l'exemple vivant d'une unité à 90% de réservistes qui carbure), mais qu'il y a des contraintes inhérentes à cette voie. Le système actuel repose très largement sur la bonne volonté de deux qui sont élus à ces voies là. A l'époque, une idée à tourné (H1) de faire des TC pour l'active en escadron de réserve, ça a été largement rejeté (cela étant ce n'était pas débile), ou, et c'est ce qui tourne actuellement, rétablir les ORSA pour les TC avec des profils qui peuvent se mettre en disponibilité (H2). 

Quant à l'emploi, la doctrine actuelle dépasse largement le cadre de l'ancienne DOT, ou est limité à des bataillon de réserve territoriaux qui sont entrain d'être créés. Pour le reste, l'idée est bien que les UER/USR appuient, voire suppléent, l'active en cas de conflit sur des missions identiques. Perso dans mon unité c'est à cela qu'on s'entraine en hybridation avec l'active (soit en renfort inséré, soit en pion autonome).  

Modifié par Cephalyx
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"Celui qui n'est que militaire n'est qu'un mauvais militaire, celui qui n'est que professeur n'est qu'un mauvais professeur, celui qui n'est qu'industriel n'est qu'un mauvais industriel. L'homme complet, celui qui veut remplir sa pleine destinée et être digne de mener des hommes, être un chef en un mot, celui-là doit avoir ses lanternes ouvertes sur tout ce qui fait l'honneur de l'humanité". Maréchal Lyautey.

Posté(e)
Il y a 15 heures, Cephalyx a dit :

Le système actuel repose très largement sur la bonne volonté de deux qui sont élus à ces voies là.

Et la bonne volonté est régulièrement mise à mal. Reconnaissance en berne, solde quasi identique à un mdr, rythme tendu avec l'emploi civil (qui permet de payer le loyer ...), vie de famille qui change...

Posté(e)
Il y a 6 heures, schafer a dit :

Et la bonne volonté est régulièrement mise à mal. Reconnaissance en berne, solde quasi identique à un mdr, rythme tendu avec l'emploi civil (qui permet de payer le loyer ...), vie de famille qui change...

M'en parle pas, j'en sais quelque chose. Le système serait à revoir en profondeur, notamment la possibilité d'activation temporaire qui permettrait aux jeunes d'avoir une première expérience pro valorisée + formation, pour les chômeurs / reconversion, de raccrocher le wagon et ne pas avoir d'années blanches etc, et pour les cadres qui peuvent se mettre en dispo, de réellement avoir le temps de se consacrer à leur TC. On pourrait imaginer avec ce système des passerelles vers l'active avec une FA et du coup, plus de problème de REO et des pax employables immédiatement (un peu le système qui existait du temps du SN). 

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"Celui qui n'est que militaire n'est qu'un mauvais militaire, celui qui n'est que professeur n'est qu'un mauvais professeur, celui qui n'est qu'industriel n'est qu'un mauvais industriel. L'homme complet, celui qui veut remplir sa pleine destinée et être digne de mener des hommes, être un chef en un mot, celui-là doit avoir ses lanternes ouvertes sur tout ce qui fait l'honneur de l'humanité". Maréchal Lyautey.

Posté(e)
Le 02/10/2025 à 17:48, Cephalyx a dit :

Le problème n'est pas l'intérêt, c'est qu'il faut bien des commandants d'unité, des OA, des CDP, pour les UER/USR, et ce n'est pas l'active qui va s'y coller. Dans tous les cas ce n'est pas que ça fonctionne mal (le 24RI est l'exemple vivant d'une unité à 90% de réservistes qui carbure), mais qu'il y a des contraintes inhérentes à cette voie.

Et pourtant elle devrait. Compte tenu de la faiblesse des carences de notre modèle de réserve, ainsi que de la faiblesse moyens mis à disposition, atteindre les objectifs affichés de remontée en puissance des effectifs est impossible sans mettre davantage à contribution l'active en ce qui concerne l'encadrement. C'est, encore une fois, ce qui se fait dans nombre de pays qui n'ont pas un modèle de réserve autonome type garde nationale/défense territoriale et ça marche. Le 24RI est un beau succès mais difficilement duplicable, pour quantité de raisons que vous n'ignorez certainement pas.

Le 02/10/2025 à 17:48, Cephalyx a dit :

Quant à l'emploi, la doctrine actuelle dépasse largement le cadre de l'ancienne DOT, ou est limité à des bataillon de réserve territoriaux qui sont entrain d'être créés. Pour le reste, l'idée est bien que les UER/USR appuient, voire suppléent, l'active en cas de conflit sur des missions identiques. Perso dans mon unité c'est à cela qu'on s'entraine en hybridation avec l'active (soit en renfort inséré, soit en pion autonome).  

Appuyer et suppléer avec quoi et comment ? Avec des PAX sous-entraînés et dotés de FAMAS hors d'âge, de cinq chargeurs et d'une paire de grenades, qui n'ont jamais approché ne serait-ce qu'un AT-4, manipulé un lance-grenade 30mm, tiré avec une quelconque arme collective, ou appris à désembarquer d'un VAB? Cela n'est tout simplement pas sérieux.

Il ne faut pas se voiler la face. En l'état actuel, à quelques très rares exceptions près, le réserviste moyen est tout juste en mesure d'assurer des missions de troisième ligne, pas d'effectuer des missions de combat, encore moins dans le cadre d'un conflit de haute intensité.

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Posté(e) (modifié)
Le 03/10/2025 à 08:57, schafer a dit :

Et la bonne volonté est régulièrement mise à mal. Reconnaissance en berne, solde quasi identique à un mdr, rythme tendu avec l'emploi civil (qui permet de payer le loyer ...), vie de famille qui change...

On peut ajouter à la bonne volonté mise à mal pour la prise de TC : lieutenance infinie (passage au grade sup' que durant le TC), échelon de solde non mis à jour malgré les conditions remplies : perte seche en terme de rémunération, faiblesse en terme d'infra de matos et tout le toutim.. Franchement faut avoir envie de se palucher deux ans (a minima) pour faire son TC.

Le 03/10/2025 à 15:41, Cephalyx a dit :

M'en parle pas, j'en sais quelque chose. Le système serait à revoir en profondeur, notamment la possibilité d'activation temporaire qui permettrait aux jeunes d'avoir une première expérience pro valorisée + formation, pour les chômeurs / reconversion, de raccrocher le wagon et ne pas avoir d'années blanches etc, et pour les cadres qui peuvent se mettre en dispo, de réellement avoir le temps de se consacrer à leur TC. On pourrait imaginer avec ce système des passerelles vers l'active avec une FA et du coup, plus de problème de REO et des pax employables immédiatement (un peu le système qui existait du temps du SN). 

Lors de tables ronde c'est une idée qui avait été évoquée avec la DRHAT : créer un détachement pour les fonctionnaire pour la prise de commandement et valoriser l'emploi civil au profit de l'armée pour le temps de non gestion de l'UIR. Réponse de la DRHAT : silence. 

Le retour des ORSA est évoqué, mais pas pris au sérieux. 

Il y a une crise des vocations pour les postes de commandement mais les états majors grouillent de barrettes qui se plaignent de ne pas être suffisamment employées, cherchez l'erreur.

Beaucoup d'idée mais peu de concrétisation et un modèle chancelant qui continue par la bonne volonté de ses membres qui veulent que tout fonctionne avec le peu de moyen dont ils disposent.

Modifié par Legat

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