Choix de page

Aller au contenu
Aumilitaire

Messages recommandés

Posté(e)
il y a 31 minutes, Decurio a dit :

Le concours est accessible à la licence, et même avant, puisqu'on pourrait désormais le passer dans le 2e semestre de L3. En ces de réussite au concours, il faut valider la L3 et on enchaîne sur élève donnant le M1, puis stagiaire avec le M21.  Ca ne s'est jamais vu. Quand les concours exigeaient la L3, et étaient très disputés, il fallait la licence en poche pour s'inscrire, ce qui engendrait une année de prépa spécifique, à fond pour le concours. J'en ai vu qui en bavaient (moi moins car je me suis présenté "vieux" et en candidat libre, advienne que pourra, j'avais quand même un boulot). Donc pour  quelqu'un qui a un bon niveau réel, l'aspect disciplinaire du concours ne devrait pas poser problème. C'est le point positif. Le point négatif, c'est que le concours n'est plus uniquement disciplinaire, et que l'oral n'est plus anonyme, avec juste le nom du candidat, sur un billet avec le sujet tiré,  au moment où il se présente. Billet qui repartait avec la note sans que le jury ne sache rien du candidat. Seule l'agrégation  reste dans cette configuration, avec un nombre impressionnant d'oraux d'ailleurs (5 ou 6 je pense en histoire).  Maintenant il y a un oral ressemblant à un entretien d'embauche, du blabla pour le dire crûment sur les lubies en vogue notamment pour "tenir" les classes, car les jeunes se retrouvent dans des établissements avec les "nouveaux publics" (langage EN) où on fait cours quand on peut.

A ce sujet, je dis attention au CAPLP. Pas évident qu'ils soit moins difficile, mais la vie dans les lycées pros n'est pas une évidence. Et c'est une litote...

Quand au fait de ne plus  pouvoir bouger, oui et non : on n'est pas prisonnier, on peut partir sur concours (détachement d'office), démission, ou détachement négocié dans un autre service public (mais ce n'est pas de plein droit). On est bien plus coincé agrégé que certifié, car  un détachement doit se faire à équivalence indiciaire, et les occasions sont rares contrairement à certifié qui appartient à la catégorie A "type". .

Voilà pour des renseignements techniques.

Autre aspect technique, sans me prononcer sur tel ou tel choix, qui relève parfois d'aspirations intimes : il faut absolument envisager l'après premier contrat, soit en essayant d'évoluer dans l'armée, soit en préparant sa sortie. Ce qui m'amène à préciser qu'en cas de réussite au CAPES ou CAPLP après un contrat, peu de chance de voir son ancienneté reprise, à moins que l'E.N. ne revoie sa copie sur le modèle de ce qui a été mis en place pour le privé. Ce qui fait démarrer à la base, bien au-dessous des autres, et pour le dire de manière lapidaire, celui qui a fait plus se retrouve avec moins ( et les répercussions négatives sur tout le reste de la carrière).  Il y a des cas où quelle que soit sa volonté et sa motivation, on se retrouve face à des situations administratives auxquelles on ne peut pas grand chose, et pas forcément justes. Il faut le savoir pour éventuellement les anticiper. C'est la raison pour laquelle j'évoquais les détachements ou les disponibilités, sans aucune certitude  dans un cas comme celui-ci, mais c'est une piste à ne pas négliger.

Tout d’abord merci pour toutes ces informations ! 

Je reviens sur la question du CAPLP et du CAPES. Mon choix se porte plus sur la mentalité de l’élève que sur ses capacités scolaires ou son comportement. Je me reconnais et j’ai moins de difficultés à communiquer et me faire respecter par ces jeunes. Je trouve d’ailleurs que les problèmes de manquement de respect surviennent surtout au sein du milieu général (l’élève avec qui le problème était survenu étant une élève rétrogradée en pro).

J’ai effectué quelques mois en général en tant que surveillant et une année entière dans un EREA, la mentalité n’a rien à voir et par de nombreux égards j’ai appris - alors que l’on promets à ces gamins le CEF si ils continuent à faire des conneries - que le gamin jugé en difficulté démontre bien plus de respect, qu’un gamin des beaux quartiers - le lycée où j’ai étais surveillant en était rempli.

Bien sûr le comparatif est relatif et s’appuie sur deux extrêmes : une expérience de quelques mois dans un lycée bourgeois réputé contre une expérience en centre pour mineurs en difficultés, et quelques échanges avec des surveillants/professeurs. Sans parler du fait que la relation élève/surveillant élève/professeur n’est absolument pas la même. Mais c’est la seule expérience que j’ai pour baser mes choix en dehors des échanges avec des collègues. Je serais intéressé pour avoir le votre si vous avez été confronté aux deux milieux. 

Enfin, il faut préciser également que j’ai été affecté dans un bon lycée pro de province bien réputé dans la région, il y a bien pire dans le coin et ailleurs en France. Cela peut biaiser mon jugement vous avez raison de le préciser. 
 

Il est possible de se faire reprendre son ancienneté à l’armée en arrivant dans le privée ? Je ne le savais pas, dans ce cas si je viens à ne pas faire carrière dans l’armée je pense me diriger vers le privée. Savez-vous où je pourrais avoir plus d’informations à ce sujet ? Le major sera-t-il en mesure de répondre à cette question ?

Posté(e)
il y a 21 minutes, DDB a dit :

J’ai l’impression que c’est complexe et plus on réfléchit et moins ça s’éclaircit 

je n’ai pas les connaissances de Decurio ………..

vous semblez être à un tournant …et sans réel visibilité c’est difficile de faire un choix

certains feront la liste des + et - de chaque voie , d’autres iront à l’instinct…personnellement j’ai simplement remarqué que lorsqu’on se pose la question c’est qu’en fait on a déjà la réponse en soi mais pas toujours l’assurance qu’il faut pour se l’imposer 

c’est pourquoi je disais de se poser les bonnes questions car au final il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse il n’y aura que votre choix 

peut être déjà


avez vous peur de ne pas réussir vos concours pour faire ce que vous aviez penser faire ?

êtes vous déçu de ce que vous avez vu lors de vos premières immersions ? (Élèves , collègues…en sachant que chaque année ça sera différent mais pas tant que ça )

25 ans âge tournant avec une vie qui s’installe …Est ce fuite ou avancer selon vos convictions  ?

Si convictions il y a quelles sont elle vraiment finalement ? 
(monde militaire VS monde EN =2 grosses institutions ; 2 bons gros monstres où il faut se plier aux usages internes et à l’inertie inhérente à son administration )

2 mois c’est court pour basculer sa vie…votre amie et votre famille vous soutiennent ? Vous pensez tenir la pression?

le niveau sportif attendu n’étant pas le même pour toutes les spécialités militaires (et vous pourrez encore évoluer avant d’incorporer …puis encore une fois dans l’institution…) alors est ce que ces voies souvent plus techniques ou dites de soutien pourraient elles vous satisfaire ?

Encore une fois il n’y a pas de bonne ou mauvaise réponse …je vous souhaite de pouvoir y voir rapidement plus clair et trouver votre épanouissement …ce dont je suis sure c’est que vous avez la réponse en vous et que ce n’est jamais fini et qu’avec un peu /beaucoup de bonne volonté vous saurez le moment venu vous relancer dans une nouvelle direction quand le moment sera venu 

 

vous n’êtes pas « obligé » de répondre ici à ces questions …mais j’espère qu’elles vous aideront à bien vous auto-diagnostiquer afin de prendre une décision assumée et épanouissante 


et pour finir permettez moi juste de vous dire de croire en vous quelque soit la suite …prenez confiance en vos capacités 

 

Vous avez mis les mots et les interrogations là où il fallait. Je me pose beaucoup de questions, car comme vous le dites je suis à un tournant de ma vie. Je fonctionne aux + et aux - et chaque échange que je peux avoir ajoute un point dans un côté ou dans l’autre. 
 

Pour ce qui est du soutien et de l’assurance à prendre un tel choix je pense que vous avez tapé dans le mille. Seul mon amie est au courant de ma décision, elle ne comprend pas mon choix mais le respecte, car c’est le mien et non le sien. Pour la famille c’est compliqué, rapport compliqué avec l’armée d’un côté, tradition militaire de l’autre. Sans parler du fait que j’ai un rapport assez compliqué avec ma famille de base, je suis indépendant financièrement depuis mes 18ans.

Je vous remercie énormément pour le temps que vous avez pu consacrer à me répondre, que j’aille dans une direction où dans l’autre je suis convaincu que vous m’avez appris, à votre manière certaines choses. Merci.

  • Thanks 1
Posté(e)

En tout cas quand je vous lis je vous sens malgré tout posé et honnête … quelqu’un de fiable, d’ouvert et à l’écoute des autres (alors n’oubliez pas de vous écouter aussi )

-> attitude favorable à l’enseignement comme à la vie militaire 

Votre manque de confiance en vous doit être profond, sans doute lié à votre histoire familiale …rien de rédhibitoire, le temps fera son œuvre, les expériences et les rencontres aideront …bien qu’une réelle introspection et une mise à plat des ressentiments éventuels peuvent aider aussi à passer par dessus 

-> sans doute moins compatible avec la fonction d’officier 

Vous êtes mature et réfléchi, condition physique perfectible mais sain 

-> sans doute trop avancé pour vous épanouir en MDR

Si vous faite le choix de la voie militaire selon moi (mais je ne veux pas outre-passer mes « prérogatives » ici) je vous imagine mieux en sous-officier : qqun au dessus pour donner la direction et vous pour faire le lien avec les personnels avec toute votre sagesse et vos qualités pédagogiques 

seul inconvénient alors c’est le fait de ne pas savoir où vous serez affecté …votre compagne devra plus que soutenir votre choix et vous surtout pas « porter » ça en plus du reste 

pour l’enseignement, vous semblez avoir déjà bien travaillé sur vos ressentis suite à vos expérience …rien d’inscrit dans la marbre …tout change …vous changerez aussi …il faut aussi accepter de ne pas être la passion de toute une classe ^^ si déjà vous en faites vibrer 1 ou 2, sauvez un autre par le mot juste au juste moment c’est déjà beaucoup …le reste suit le courant peut importe les rochers qu’ils rencontrent 

le privé pourra sans doute vous accueillir (facilement )plus tard si vous souhaitez y revenir…des offres sont faites aussi pour certaines écoles militaires 

Decurio sera plus à même de vous rassurer sur ce point 

et vous pourrez aussi vous spécialiser dans d’autre(s) domaine(s) peut être que le cours magistrale d’HG qui sait !?!

mais ce qui est sûr c’est que pour l’ENSOA faut pas traîner encore trop longtemps 

vos aptitudes physiques en 2 mois ont le temps de s’améliorer juste ce qu’il faut si le foncier est déjà solide 

et surtout ça fait pas tout, le profil psychotechnique sera porteur 

il faut juste vous projeter dans une spécialité et oser essayer 

si ça marche vous aurez encore le choix de renoncer 

si ça ne marche pas vous saurez et pourrez avancer sur l’autre voie sans regret du « si j’avais oser »


 

 

 

Posté(e)

 

il y a une heure, Yann pyromane a dit :

Ne tarde pas trop 25 berges pour un sergent c'est déjà un "jeune vieux".. La pyramide des âges est cruciale dans l'armée.. Le bigrame âge /grade est crucial... 

Oui le major m’en a fais part, raison pour laquelle je remets en question l’option master qui me couterait encore deux années.

Posté(e)
il y a une heure, DDB a dit :

En tout cas quand je vous lis je vous sens malgré tout posé et honnête … quelqu’un de fiable, d’ouvert et à l’écoute des autres (alors n’oubliez pas de vous écouter aussi )

-> attitude favorable à l’enseignement comme à la vie militaire 

Votre manque de confiance en vous doit être profond, sans doute lié à votre histoire familiale …rien de rédhibitoire, le temps fera son œuvre, les expériences et les rencontres aideront …bien qu’une réelle introspection et une mise à plat des ressentiments éventuels peuvent aider aussi à passer par dessus 

-> sans doute moins compatible avec la fonction d’officier 

Vous êtes mature et réfléchi, condition physique perfectible mais sain 

-> sans doute trop avancé pour vous épanouir en MDR

Si vous faite le choix de la voie militaire selon moi (mais je ne veux pas outre-passer mes « prérogatives » ici) je vous imagine mieux en sous-officier : qqun au dessus pour donner la direction et vous pour faire le lien avec les personnels avec toute votre sagesse et vos qualités pédagogiques 

seul inconvénient alors c’est le fait de ne pas savoir où vous serez affecté …votre compagne devra plus que soutenir votre choix et vous surtout pas « porter » ça en plus du reste 

pour l’enseignement, vous semblez avoir déjà bien travaillé sur vos ressentis suite à vos expérience …rien d’inscrit dans la marbre …tout change …vous changerez aussi …il faut aussi accepter de ne pas être la passion de toute une classe ^^ si déjà vous en faites vibrer 1 ou 2, sauvez un autre par le mot juste au juste moment c’est déjà beaucoup …le reste suit le courant peut importe les rochers qu’ils rencontrent 

le privé pourra sans doute vous accueillir (facilement )plus tard si vous souhaitez y revenir…des offres sont faites aussi pour certaines écoles militaires 

Decurio sera plus à même de vous rassurer sur ce point 

et vous pourrez aussi vous spécialiser dans d’autre(s) domaine(s) peut être que le cours magistrale d’HG qui sait !?!

mais ce qui est sûr c’est que pour l’ENSOA faut pas traîner encore trop longtemps 

vos aptitudes physiques en 2 mois ont le temps de s’améliorer juste ce qu’il faut si le foncier est déjà solide 

et surtout ça fait pas tout, le profil psychotechnique sera porteur 

il faut juste vous projeter dans une spécialité et oser essayer 

si ça marche vous aurez encore le choix de renoncer 

si ça ne marche pas vous saurez et pourrez avancer sur l’autre voie sans regret du « si j’avais oser »


 

 

 

Mon manque de confiance en moi-même est indéniablement lié à mon histoire familiale. J’ai appris à vivre avec, je n’ai pas vraiment eu le choix de toute façon. Certaines blessures ne guérissent jamais, elles peuvent néanmoins cicatriser. Le temps fait son œuvre. Désormais, j’ai pardonné en mon âme et conscience et pour reprendre votre métaphore, je suis le courant sans me retourner, sans en vouloir au rocher. La lecture, l’apprentissage et l’échange de certains passages d’un « livre » m’ont permis de mûrir vis-à-vis de cela.

Oui, le but est de ne pas avoir de regrets et vous marquez un autre point en me faisant remarquer cela.

Je vous remercie encore une fois pour votre temps et la pertinence de vos échanges. Encore merci.

  • Like 1
Posté(e)
Il y a 8 heures, tosh99 a dit :

Je vous remercie encore une fois pour votre temps et la pertinence de vos échanges. Encore merci.

Y’a pas de quoi, je vous en prie…la neutralité affective aide bien pour l’analyse factuelle 

merci à vous de votre sincérité 

(par contre désolée j’ai vu quelques fautes dans mes écrits qui piquent un peu de bon matin 😳)

 

je vous souhaite de réussir et de vous épanouir dans votre décision 

n’hésitez pas si vous avez besoin ☺️

et puis vous savez c’est facile de tout compliquer …allégez donc au maximum l’équation (personne ne saurait tout prévoir) et ensuite goooo! A fond !!!

 

 

 

  • Thanks 1
Posté(e)
Il y a 14 heures, tosh99 a dit :

Tout d’abord merci pour toutes ces informations ! 

Je reviens sur la question du CAPLP et du CAPES. Mon choix se porte plus sur la mentalité de l’élève que sur ses capacités scolaires ou son comportement. Je me reconnais et j’ai moins de difficultés à communiquer et me faire respecter par ces jeunes. Je trouve d’ailleurs que les problèmes de manquement de respect surviennent surtout au sein du milieu général (l’élève avec qui le problème était survenu étant une élève rétrogradée en pro).

J’ai effectué quelques mois en général en tant que surveillant et une année entière dans un EREA, la mentalité n’a rien à voir et par de nombreux égards j’ai appris - alors que l’on promets à ces gamins le CEF si ils continuent à faire des conneries - que le gamin jugé en difficulté démontre bien plus de respect, qu’un gamin des beaux quartiers - le lycée où j’ai étais surveillant en était rempli.

Bien sûr le comparatif est relatif et s’appuie sur deux extrêmes : une expérience de quelques mois dans un lycée bourgeois réputé contre une expérience en centre pour mineurs en difficultés, et quelques échanges avec des surveillants/professeurs. Sans parler du fait que la relation élève/surveillant élève/professeur n’est absolument pas la même. Mais c’est la seule expérience que j’ai pour baser mes choix en dehors des échanges avec des collègues. Je serais intéressé pour avoir le votre si vous avez été confronté aux deux milieux. 

Enfin, il faut préciser également que j’ai été affecté dans un bon lycée pro de province bien réputé dans la région, il y a bien pire dans le coin et ailleurs en France. Cela peut biaiser mon jugement vous avez raison de le préciser. 
 

Il est possible de se faire reprendre son ancienneté à l’armée en arrivant dans le privée ? Je ne le savais pas, dans ce cas si je viens à ne pas faire carrière dans l’armée je pense me diriger vers le privée. Savez-vous où je pourrais avoir plus d’informations à ce sujet ? Le major sera-t-il en mesure de répondre à cette question ?

Non, le privé ne tient pas compte des services publics antérieurs, civils ou militaires. Je parle pour les services publics dans les corps où  l'on accède à  la titularisation.On est classé selon un échelon  correspondant à un indice qui détermine le traitement. Si l'on a effectué des services publics comme contractuels, militaire, on est re-classé en fonction de leur durée, selon les statuts particuliers propres à chaque corps . Dans la police, la moitié des services au-delà de la durée légale était reportée à la titularisation, ce qui faisait démarrer à un échelon supérieur. Les lauréats nées concours réservés  gardaient je crois la totalité.L' Educati Nationale reprend 2/3 des services contractuels en son sein, et désormais celle du privé dans certaines conditions (emplois de cadre), pour ne pas dissuader des reconversions dans ce contexte de fuite des candidats. Avec certains petits coups fourrés comme la bon interruption des services et un plafonnement.

 Pour les services militaires, je ne sais pas , j'ai décroché de tout ça mais je crois que c'est un prorata. Pour les officiers de carrière qui se reconvertissent, j'ai vu le cas, c'est la règle de l'indice égal ou à défaut immédiatement supérieur, puisqu'ils viennent d'un corps  assimilé à la catégorie A.

Pour les relations, effectivement c'est la loterie, même dans des établissements paraissant corrects . Il y a le problème aussi des parents et de la négociation permanente des notes,  liée au contrôle continu qui dénature les examens. Il ne faut pas une formation d'enseignant, encore moins de militaire, mais d'épicier.😁 Bon je ne développe pas ce HS.Ce qui importe ici, cest surtout de savoir à quelle sauce on est mangé quand on se reconvertit.

''Pour soutenir une guerre , trois choses sont absolument nécessaires : premièrement  de l'argent, secondement de l'argent, troisièmement de l'argent'' (Giangiacomo Trivulce à Louis XII).

Réagir à la dicussion

Vous pouvez poster maintenant et vous inscrire plus tard - Déja membre ? connectez vous pour poster avec votre compte

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

© Aumilitaire - Contact - CGU

×
×
  • Créer...